L’emploi permanent dans les lieux de musiques actuelles
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Une étude réalisée par la FEDELIMA (Fédération des lieux de musiques actuelles) et le RIF (Réseau des musiques actuelles en Île-de-France), en partenariat avec Opale (Centre de ressources culture pour le DLA)
Cette étude sur les salariés permanents travaillant dans les lieux et structures de musiques actuelles marque une étape importante dans la connaissance de l’emploi pour cette partie du secteur.
Bien que la FEDELIMA et le RIF organisent régulièrement des campagnes de recueil d’informations leur permettant d’avoir une connaissance fine et actualisée de leurs membres, elles ne disposaient jusqu’à présent que de données éparses quant aux caractéristiques liées aux postes et aux salariés travaillant dans leurs structures adhérentes. Cette étude vise donc à combler ce manque d’informations sur l’emploi permanent dans les lieux de musiques actuelles.
Ce travail d’enquête, mené sur deux années, a ainsi permis de recueillir auprès de 140 structures et plus de 1000 salariés permanents des informations inédites sur l’âge, le genre, les familles de métiers, les niveaux de salaires et les profils des équipes des lieux. Ces données ont pu, pour la première fois, être croisées et analysées en fonction du type, du budget et de l’ancrage territorial des structures.
Cette étude doit être appréhendée comme un marqueur de la professionnalisation du secteur des musiques actuelles, dont la structuration a commencé à s’opérer au début des années 1990. Elle constitue en ce sens une photographie de l’état de l’emploi permanent au sein des lieux de musiques actuelles à un temps T, apportant des éléments de connaissance qui demanderont certainement à être actualisés dans quelques années pour être comparés afin d’en analyser les tendances et évolutions.
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Les participants
Une étude réalisée par :
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la FEDELIMA (Fédération des lieux de musiques actuelles) et
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le RIF (Réseau des musiques actuelles en Île-de-France), avec l’aide de 140 structures membres et 1 000 salariés permanents,
menée en partenariat avec
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Opale (Centre de ressources culture pour le DLA),
avec la contribution de
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Luc Delarminat – directeur d’Opale
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Bruno Colin – chargé de mission à Opale
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Priscilla Martin – statisticienne à Opale
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Véra Bezsonoff – coordination de l’accompagnement des adhérents et des dynamiques de territoires à la FEDELIMA
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Hyacinthe Chataigné – coordination de l’observation et des études à la FEDELIMA
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Franck Michaut – directeur du RIF
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Marion Blanchard-Lagoeyte – chargée de l’administration et de l’observation au RIF
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et les équipes d’Opale, de la FEDELIMA et du RIF
Extraits
Sommaire
Les structures enquêtées
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Les structures répondantes
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Les différents types de structures
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Les budgets des structures répondantes
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L’ancrage territorial des structures enquêtées
Les salariés et permanents des musiques actuelles
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Les salariés enquêtés
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Les permanents par famille de métiers
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Les permanents par âge
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Les permanents par sexe
Analyses croisées
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Les salaires des permanents
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Focus sur les permanents musiques actuelles de la famille de métiers « direction »
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Les profils d’équipes permanentes
Conclusion
Précisions méthodologiques
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Protocole d’enquête
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Méthodologie du traitement des données
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Limites d’exploitation et d’analyse des données
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Calendrier
Annexes
Introduction
Nous vous présentons ici l’introduction et la conclusion de cette enquête. Le pdf de l’ensemble de l’enquête peut être téléchargé ici.
- 1 Le RIF, anciennement Confédération des réseaux départementaux de musiques actuelles en Île-de-Franc (...)
- 2 Le rapport de branche est un document produit annuellement faisant état des rémunérations sur un se (...)
Ce travail d’enquête a été mené en partenariat par la FEDELIMA (Fédération des lieux de musiques actuelles), le RIF (Réseau des musiques actuelles en Île-de-France1) et Opale (Centre de Ressources Culture pour le DLA Rapport de branche2 des entreprises artistiques et culturelles de 2007 à 2010).
Pourquoi une enquête sur l’emploi permanent dans les musiques actuelles ?
Bien que la FEDELIMA et le RIF via leurs différents travaux d’observation organisent des campagnes de recueil d’informations, et/ou de mises à jour d’indicateurs auprès de leurs structures membres, ces deux organisations ne disposent que d’informations portant sur les personnes morales composant leurs réseaux, mais pas sur les individus physiques salariés de ces mêmes structures/membres. Cette enquête vise donc à combler ce manque d’informations sur l’emploi des permanents des structures musiques actuelles. La connaissance des structures reste bien différente de celle des individus qui y travaillent. Pour exemple, la FEDELIMA rassemble 144 structures dans lesquelles travaillent plus de 1 200 salariés permanents.
- 3 La FEDELIMA est née au 1er janvier 2013 de la fusion de deux anciennes fédérations, La Fédurok (féd (...)
- 4 Cf. Synthèses du « Tour de France » de La Fédurok, édition 1 (1999/2000) et 2 (2001/2002), La Fédur (...)
Le dernier travail équivalent mené sur ce sujet, par la Fédurok3, remonte à 20034. Ceci explique la nécessité d’actualiser les informations recueillies il y a plus d’une dizaine d’années maintenant. Il s’agit par ce travail d’avoir une meilleure lecture de la composition de l’emploi salarié permanent dans les structures, que ce soit en termes de nombre de permanents dans les équipes, de répartition par genre, par niveaux de salaires, par grandes familles de métiers…
Conclusion
Cette publication vient conclure une importante phase de restitutions intermédiaires et de temps d’échanges organisés avec les adhérents et partenaires de la FEDELIMA et du RIF.
Ce travail d’enquête sur les salariés permanents travaillant dans les lieux et structures de musiques actuelles marque une étape importante dans la connaissance de l’emploi dans ce secteur. En effet, la FEDELIMA et le RIF ne disposaient jusqu’à présent que d’informations éparses quant aux caractéristiques liées aux postes et aux salariés au sein des structures étudiées. Cette étude permet de croiser pour la première fois des données sur les salaires des permanents, leur sexe, leur âge, leur fonction et le type, le budget et l’ancrage territorial des structures dans lesquelles ils travaillent.
Cette étude constitue tout d’abord un marqueur de la professionnalisation du secteur des musiques actuelles, dont la structuration a commencé à s’opérer au début des années 1990. Au-delà des chiffres consolidés met tant en évidence des volumes d’emploi très significatif (les 140 structures étudiées représentent, tous salariés confondus, 10 848 salariés, plus de 2 millions d’heures de travail et 32 millions d’euros de salaires bruts par an), une analyse plus fine permet de constater la poursuite de la consolidation des équipes permanentes et de la diversification des postes et métiers en lien avec la forte montée en charge d’activités encore assez marginales il y a 15/20 ans (particulièrement en matière d’action/ médiation culturelle et d’accompagnement artistique).
- 5 32 ans en 2002. Cf. La Fédurok, Synthèses du « Tour de France » de La Fédurok, édition 1 (1999/2000 (...)
Une forme de maturité peut également, d’une certaine manière, s’observer dans l’âge médian des salariés permanents, qui se situe autour de 37 ans, soit très proche de l’âge médian sur l’ensemble du spectacle vivant, alors même que dans les années 90 les lieux de musiques actuelles se distinguaient d’autres établissements culturels par des équipes plus jeunes5.
Structuration et professionnalisation, donc, mais qui ne doivent pas masquer de grandes disparités, confirmées par les résultats de cette étude, entre les typologies de structures, la nature des projets, le budget, le degré de prise en considération par les pouvoirs publics, mais aussi l’implantation territoriale et géographique.
De manière plus générale, l’étude décrit un secteur (ou plus exactement un segment de secteur) qui reste dans une grande fragilité et une certaine forme de précarité. Composé de structures développant des projets artistiques et culturels relevant en grande majorité d’initiatives privées non lucratives et inscrivant leurs actions dans l’intérêt général, le secteur des musiques actuelles se caractérise en effet par des équipes salariées très réduites marquées par une polyvalence importante, sans pour autant que les salaires soient à la hauteur des niveaux de diplôme, des compétences mises en œuvre, ni des fonctions exercées. L’influence de ce modèle militant/associatif, inhérent à la genèse du développement du secteur des musiques actuelles en France, semble encore prégnant aujourd’hui pour bon nombre d’acteurs de terrain, et ce, malgré la professionnalisation et la structuration aujourd’hui reconnue des équipes en charge de la mise en œuvre opérationnelle des projets.
Bien que les équipes se soient étoffées dans le temps, en s’adaptant au fort développement des activités connexes, une majorité de ces lieux se retrouvent dans la situation d’avoir à remplir des missions de plus en plus nombreuses sans que les moyens financiers ne suivent réellement en regard.
Quelques indicateurs sont à cet égard très parlant comme l’écart entre le nombre de postes de salariés permanents par structure et sa correspondance en équivalent temps plein, le second étant sensible ment inférieur au premier (7 postes en moyenne pour 5,3 ETP), démontrant un recours important au temps partiel, et nuançant le constat d’une forte consolidation des équipes au fil de ces dernières années. Sur cette question, l’étude permet toutefois d’entrevoir des effets de seuil intéressants liés au budget et aux subventions octroyées aux structures, même s’il était difficile de les caractériser plus précisément au regard des éléments dont nous disposions.
Un autre indicateur est celui des niveaux de salaire bien entendu. L’étude vient en effet confirmer les enseignements des rapports de branche des entreprises artistiques et culturelles, c’est-àdire un niveau de salaire au sein des lieux et structures de musiques actuelles sensiblement inférieur à la moyenne de l’ensemble de la branche, quelle que soit la catégorie de poste observée. Le travail d’analyse spécifique réalisé sur la fonction de « direction générale » montre même qu’il existe encore des structures qui ne parviennent pas à salarier leurs permanents dans le respect des grilles de salaires de la convention collective de ce secteur. Il s’agit principalement des petites et moyennes structures, les moins soutenues par les partenaires publics. De manière plus positive, soulignons sur cette question des rémunérations, des différences entre les types de fonctions bien moins importantes que celles constatées dans d’autres secteurs du spectacle vivant. Les écarts observés entre le plus haut et le plus bas salaire au sein d’une même structure restent en effet raisonnables (rapport de 1 à 2 en moyenne).
L’étude met donc en lumière une certaine forme de précarité, renforcée par le fait que, pour développer et réaliser leurs projets d’activité, les lieux et structures étudiés ont souvent recours à des dispositifs d’aides à l’emploi. La disparition programmée de ces dispositifs d’aides, couplée à la stagnation, voire la baisse, des subventions publiques, ne peut que fragiliser ces structures, voire contraindre certaines à la disparition, et avec elles les missions d’intérêt général qu’elles remplissaient en direction des habitants de leur territoire d’implantation. Pour le secteur associatif, les dispositifs d’aides à l’emploi ont permis le démarrage de bon nombre de projets, offrant la possibilité aux structures de constituer dans le temps leur équipe de salariés permanents tout en limitant la précarisation de l’emploi associatif. Ce fut par exemple le cas à la fin des années 1990 avec le dispositif Nouveaux Services Emplois Jeunes (NSEJ) qui a eu un impact très positif sur la structuration des équipes des lieux de musiques actuelles. La majorité des postes aidés à l’époque dans les musiques actuelles ont en effet été pérennisés, permettant ainsi aux équipes de se structurer et de se professionnaliser un peu plus et aux projets de se développer dans le temps.
- 6 Voir les enquêtes de Marie Gouyon et Frédérique Patureau, Tendances de l’emploi dans le spectacle. (...)
Les salariés des associations culturelles et artistiques représenteraient près du tiers des emplois du secteur culturel (institutions, industries culturelles, associations). Ces 30 dernières années ont vu ces structures de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) prendre une place considérable et incontournable dans la filière culturelle française (compagnies de création, ateliers de pratiques artistiques, lieux culturels de proximité, festivals, services aux artistes, actions culturelles et éducatives…). Mais si ces Très Petites Entreprises (TPE) constituent l’essentiel des entreprises employeuses, et si elles présentent des atouts en termes de réactivité, de capacité de création, de relation au territoire ou d’utilité sociale, elles pré sentent aussi des limites en termes d’emploi comme le montre cette étude. Rappelons par ailleurs que, si les emplois étudiés à travers cette étude sont des emplois permanents, il n’en reste pas moins que les structures de musiques actuelles sont ancrées dans une réalité de l’emploi dans les champs culturels et artistiques marquée par une forte atomisation et précarité, à commencer par les artistes eux-mêmes. Pour rappel, environ un quart des actifs du secteur culturel sont non-salariés (professions libérales, autoentrepreneurs, artisans…)6.
Il y a donc un vrai risque de délitement de l’emploi, particulièrement permanent, pour cette typologie de structures, et donc un enjeu de politique publique en la matière.
Parmi les autres grands enseignements de l’étude, nous pouvons bien entendu évoquer la question de la parité femmes-hommes, à laquelle la présente publication consacre une part importante.
Au sein du panel de lieux et structures étudiés, les femmes représentent 41 % des emplois permanents. Si l’on compare ces données à celles de l’ensemble du champ du spectacle vivant, il semble que le secteur musiques actuelles soit encore assez nettement en retard en matière d’égalité femmes-hommes puisque, en 2016, 54 % des salariés en CDI dans le spectacle vivant étaient des femmes (notons toutefois que la comparai son est un peu biaisée, l’année de référence n’étant pas la même, pas plus que le périmètre en matière de cadre d’emploi étant donné que nous n’avons pas circonscrit la définition de permanents à la nature indéterminée du contrat de travail).
L’observation de la pyramide des âges des salariés concernés par notre étude pourrait nous inciter à l’optimisme, la proportion de femmes étant bien plus importante au sein des classes d’âge les plus jeunes, ce qui peut laisser penser à une féminisation en cours des postes au sein des lieux et structures de musiques actuelles. Difficile toutefois de ne pas faire également l’hypothèse d’une sortie prématurée des femmes.
L’analyse de la répartition hommes-femmes dans le temps aux postes de direction ne va pas, en tout cas, dans le sens d’un rééquilibrage significatif puisque, si l’on se concentre sur les lieux membres de la FEDELIMA ou ceux labellisés SMAC (pour lesquels nous disposons de don nées antérieures), nous n’observons quasiment aucune évolution entre 2002 et la présente étude, ces postes restant très majoritairement dévolus à des hommes.
Au-delà des postes de direction, on observe que la plu part des familles de métiers sont fortement sexuées, que les postes à responsabilité et les postes ascendants (per mettant plus facilement l’accès aux postes de direction) sont encore majoritairement occupés par les hommes et que, logiquement, les familles de métiers plus spécifiquement occupées par les femmes restent moins bien rémunérées (même si l’écart global de niveau de salaire entre les femmes et les hommes – 6,5 % tous types de postes confondus – est assez sensiblement inférieur à celui observé au niveau de la branche spectacle vivant).
Pour compléter ce travail, il serait pertinent d’effectuer des analyses comparatives des traits marquants qui ressortent de cette étude, avec d’autres secteurs du spectacle vivant et des données générales de l’emploi en France. Cela permettrait de rendre compte des éventuelles spécificités propres à l’emploi dans le secteur des musiques actuelles. Il serait également intéressant d’étendre le focus réalisé sur la fonction de « direction générale » aux autres familles de métiers, voire de pouvoir détailler pour chaque famille de métiers les différentes fonctions exercées par les salariés, afin de mieux com prendre le rapport entre le salaire et les fonctions exercées pour un même poste. Enfin, dans une perspective de pour suite de cette étude, il pourrait être utile de construire un panel de structures représentatif du champ des musiques actuelles afin de mener un travail qualitatif sur les parcours professionnels des salariés (études initiales, formations, progression dans l’emploi, perspectives…) et de pouvoir suivre, auprès de ce panel de structures, l’évolution de certains indicateurs sur plusieurs années.
Il semble important pour conclure d’ouvrir certains débats et réflexions autour de l’emploi dans le secteur associatif culturel.
Pour les structures associatives, interroger la place du salarié dans sa posture de militant apparaît de plus en plus crucial. Si ce n’est bien sûr pas une réalité pour tous, les salariés sont souvent porteurs du projet militant de l’association culturelle ou du projet artistique. Mais parvenir à concilier idéal politique et travail n’est pas toujours simple et si cet équilibre peut amener à une plus forte émancipation des salariés et à de nouvelles formes de relation au travail, il peut également produire de la confusion, des tensions entre dirigeants bénévoles et équipe salariée, des abus des employeurs, voire des risques psychosociaux pour les salariés. Sans réduire ni caricaturer l’emploi dans ce secteur à ces situations d’emplois parfois critiques, la question de la qualité de l’emploi, mais aussi de la place des salariés dans une association, par bien des aspects spécifiques, doit être posée.
La question de la transmission des projets par les fondateurs se pose également de façon de plus en plus importante, avec les départs à la retraite à venir, ouvrant des perspectives de renouvellement des équipes salariées et bénévoles, sous l’angle de la diversité et de la parité.
Enfin, du fait du caractère souvent expérimental et non standardisé des activités culturelles et artistiques qui s’organisent dans des logiques de projets – et donc souvent de discontinuité de l’emploi – leurs acteurs sont aux avant-postes des mutations du travail et des emplois. Ils expérimentent ainsi souvent des modes de faire spécifiques, s’appuyant sur les principes de l’ESS pour mettre en œuvre des processus de coopération ou de mutualisation. Analyser et étudier ces modes de faire, ces expérimentations, permettrait d’ouvrir de nouvelles perspectives à long terme pour l’emploi dans le secteur culturel.
Notes
1 Le RIF, anciennement Confédération des réseaux départementaux de musiques actuelles en Île-de-France, est devenu un réseau régional en avril 2018.
2 Le rapport de branche est un document produit annuellement faisant état des rémunérations sur un secteur donné. Il doit permettre aux syndicats d’employeurs et de salariés de négocier les évolutions des salaires sur un même secteur d’activité.
3 La FEDELIMA est née au 1er janvier 2013 de la fusion de deux anciennes fédérations, La Fédurok (fédération des lieux de musiques amplifiées/actuelles née en 1994) et la FSJ (fédération des scènes de jazz et de musiques improvisées née en 1996).
4 Cf. Synthèses du « Tour de France » de La Fédurok, édition 1 (1999/2000) et 2 (2001/2002), La Fédurok, 2003.
5 32 ans en 2002. Cf. La Fédurok, Synthèses du « Tour de France » de La Fédurok, édition 1 (1999/2000) et 2 (2001/2002), La Fédurok, 2003, et Carole le Rendu-Lizée, « Quelles formes d’implication dans les lieux de musiques actuelles et amplifiées ? », Volume !, vol. 4, no 2, 2005, p. 25-40.
6 Voir les enquêtes de Marie Gouyon et Frédérique Patureau, Tendances de l’emploi dans le spectacle. Réalisées en 2007, 2010 et 2014 par le DEPS – Ministère de la culture. http://www.culture.gouv.fr/content/download/86973/653357/version/2/file/CC-2014-2-Tendances%20de%20l%27emploi%20dans%20le%20spectacle.pdf
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