Bibliography
Textes anciens
Cicéron, Discours. t. XIX : Philippiques I à IV, A. Boulanger & P. Wuilleumier (éd.), Paris, Les Belles Lettres, (1959) 1963.
Cicéron, Second Philippic Oration, W. K. Lacey (éd.), Warminster, Aris & Phillips, 1986.
Études critiques
Allély A. 2012, La déclaration d’hostis sous la République romaine, Bordeaux, Ausonius.
Ansuategui A. D. 2017, « Incitement to Violence in Late Republican Political Oratory », dans C. Rosillo-López (dir.), Political Communication in the Roman World, Leyde-Boston, Brill, p. 181-200.
Arena V. 2007, « Roman Oratorical Invective », dans W. Dominik & J. Hall (dir.), A Companion to Roman Rhetoric, Malden MA-Oxford, Blackwell, p. 149-160.
Baudry R. & Hurlet F. 2016 (dir.), Le prestige à Rome à la fin de la République et au début du Principat, Paris, Éditions de Boccard.
Booth J. 2007 (dir.), Cicero on the Attack. Invective and Subversion in the Orations and Beyond, Swansea, Classical Press of Wales.
Borgies L. 2016, Le conflit propagandiste entre Octavien et Marc Antoine. De l’usage politique de la uituperatio entre 44 et 30 a. C. n., Bruxelles, Latomus.
Breunesse M. 2019, « Cicero vs. Mark Antony. Identity Construction and Ingroup/Outgroup Formation in Philippics One and Three », dans L. Van Gils, C. Kroon & R. Risselada (dir.), Lemmata linguistica Latina. 2, Clause and Discourse, Berlin-Boston, De Gruyter, p. 448-463.
Carcopino J. 1947, Les secrets de la correspondance de Cicéron, Paris, L’Artisan du Livre.
Craig Ch. 2004, « Audience Expectation, Invective, Proof », dans J. Powell & J. Paterson (dir.), Cicero the Advocate, Oxford, Oxford University Press, p. 187-213.
Delaunois M. 1966, « Statistiques des idées dans le cadre du plan oratoire des Philippiques de Cicéron », Les Études Classiques 34,1, p. 3-34.
Ferriès M.-C. 2007, Les partisans d’Antoine. Des orphelins de César aux complices de Cléopâtre, Bordeaux, Ausonius.
Francisci P. (de) 1964, « Preannunci del principato nelle Filippiche di Cicerone », Bullettino dell’Istituto di Diritto romano 67, p. 1-37.
Grimal P. 1986, Cicéron, Paris, Arthème Fayard.
Hall J. 2002, « The Philippics », dans J. M. May (dir.), Brill’s Companion to Cicero. Oratory and Rhetoric, Leyde-Boston, Brill, p. 273-304.
Keeline T. J. 2020, « Were Cicero’s Philippics the Cause of his Death? », dans C. Pieper & B. Van der Velden (dir.), Reading Cicero’s Final Years. Receptions of the Post-Caesarian Works up to the Sixteenth Century: With Two Epilogues, Berlin-Boston, De Gruyter, p. 15-36.
Manuwald G. 2007, Cicero. Philippics 3-9. vol. 1: Introduction, Text and Translation. vol. 2: Commentary. Berlin-New York, De Gruyter.
Manuwald G. 2011, « The Function of Praise and Blame in Cicero’s Philippics », dans C. J. Smith & R. Covino (dir.), Praise and Blame in Roman Republican Rhetoric, Swansea, Classical Press of Wales, p. 199-214.
Marasco G. 1992, « Marco Antonio “nuovo Dioniso” e il De sua ebrietate », Latomus 51, p. 538-548.
Martin P. M. 1994, L’idée de royauté à Rome, t. 2 : Haine de la royauté et séductions monarchiques (du IVe siècle av. J.-C. au principat augustéen), Clermont-Ferrand, Adosa.
Martin P. M. 2009, « Un exemple parfait de haine politique : Cicéron et Antoine », dans M. Deleplace (dir.), Les discours de la haine. Récits et figures de la passion dans la cité, Villeneuve-d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion, p. 49-62.
Martin P. M. 2011, « L’insulte “gladiateur” dans les discours cicéroniens », dans M. Baratin, C. Lévy, R. Utard & A. Videau (dir.), Stylus : la parole dans ses formes. Mélanges en l’honneur de Jacqueline Dangel, Paris, Classiques Garnier, p. 131-148.
Montlahuc P. 2019, Le pouvoir des bons mots. « Faire rire » et politique à Rome du milieu du IIIe s. a.C. à l’avènement des Antonins, Rome, École française de Rome, 2019.
Orlandini A. 2002, « Pour une approche pragmatique de l’ironie (Cicéron, « Philippiques », livres 1-2) », Pallas 59, p. 209-224.
Seager R. 2007, « Ciceronian Invective: Themes and Variations », dans J. Booth (dir.), Cicero on the Attack. Invective and Subversion in the Orations and Beyond, Swansea, Classical Press of Wales, p. 25-46.
Stevenson T. 2009, « Antony as “Tyrant” in Cicero’s First Philippic », Ramus 38,2, p. 174-186.
Stevenson T. & Wilson M. (dir.) 2008, Cicero’s Philippics. History, Rhetoric and Ideology, Auckland, Prudentia.
Suspène A. 2009, « Aspects numismatiques de la Res publica restituta augustéenne », dans F. Hurlet & B. Mineo (dir.), Le Principat d’Auguste. Réalités et représentations du pouvoir. Autour de la Res publica restituta, Rennes, Presses universitaires de Rennes, p. 145-167.
Top of page
Notes
Sur cette communis opinio, voir Manuwald (2007 : 47-54). Sur les Philippiques, voir Hall (2002 : 273-304), à compléter par Booth 2007 et Stevenson & Wilson 2008.
Cic. Phil. 2, 118-119. Voir Keeline (2020 : 15-36).
Plut. Cic. 69. Pour une biographie de Cicéron en langue française, voir Grimal 1986.
Cic. Phil. 13, 40 : quem ego inustum uerissimis maledictorum notis tradam hominum memoriae sempiternae, « Moi, je le livrerai à l’impérissable mémoire des hommes marqué des plus patentes traces d’infamie » (traduction personnelle).
Voir Ansuategui (2017 : 181-200).
Le sénat déclare Marc Antoine et ses partisans hostes publici lors de la séance du 26 et 27 avril 43 av. J.-C. (Cic. Ad Brut. 1, 3, 4 ; 1, 5, 1 ; 1, 15, 8-9 ; Fam. 10, 21, 4 ; Vell. 2, 62, 4-5 et 2, 64, 4 ; Liv. perioch. 119 ; App. B.C. 3, 74 et Dion Cass. Hist. Rom. 46, 39, 3 et 46, 41, 5). Voir Allély (2012 : 94-95 et 98-99).
Voir Montlahuc 2019 avec références aux publications antérieures.
Martin (2009 : 49-62).
Cic. Fam. 12, 22, 1 : Nos hic cum homine gladiatore omnium nequissimo, collega nostro, Antonio, bellum gerimus, sed non pari condicione, contra arma uerbis, « Dans le cas présent, nous menons certes une guerre avec un gladiateur, le plus vil de tous, notre collègue, Antoine, mais dans des conditions inégales, avec des mots contre des armes » (traduction personnelle). Cette expression fait écho au vers cedant arma togae, raillé par Marc Antoine dans son discours auquel répond la deuxième Philippique (Cic. Phil. 2, 20).
Manuwald (2007 : 52-54).
Voir Cic. Att. 15, 13, 1 ; 15, 13, 7 et 16, 11, 1-2. La date de publication, généralement située avant la troisième Philippique, et les modalités de cette publication ont fait couler beaucoup d’encre (voir Manuwald 2007 : 59, n. 156 qui propose un aperçu assez exhaustif des publications sur cette question délicate).
Cic. Att. 15, 13, 7. Voir aussi Cic. Att. 15, 13, 1 et 16, 11, 1-2.
Stevenson & Wilson 2008.
De Francisci (1964 : 1-37).
Sur le prestige à Rome, voir Baudry & Hurlet 2016.
Sur les lieux communs de l’invective à Rome, voir Craig (2004 : 190-191), Arena (2007 : 149-160) et Seager (2007 : 25-46).
Cic. Phil. 3, 15 ; Suet. Aug. 2, 6 et 4, 3. Voir Borgies (2016 : 53-84).
Cic. Phil. 2, 14 ; 2, 42 et 2, 70. Ce thème de l’ignobilitas se prolongera dans le corpus des Philippiques (voir par ex. Cic. Phil. 3, 15-17).
Cic. Phil. 2, 3.
Cic. Phil. 2, 20 ; 2, 58 ; 2, 69 et 2, 77.
Suet. Aug. 49, 3.
Cic. Phil. 2, 44-45 ; 2, 50 ; 2, 55 ; 2, 61 et 2, 77. Ces attaques culminent dans le fait que la soumission d’ Antoine aux femmes aurait fini par le conduire à une servitude totale (Cic. Phil. 2, 86).
Voir Liv. perioch. 131 et 132 ; Plut. Ant. 10, 6 et 60, 1 ; Mart. epigr. 11, 20, 4-5 ; Flor. 2, 14, 4 (4, 11) ; Dion Cass. Hist. Rom. 50, 5, 1 et 2. Ces thèmes apparaissent également en filigrane des réponses d’Antoine à Octavien (Suet. Aug. 63, 4 et 69, 3). Voir Borgies (2016 : 266-279).
Cic. Phil. 2, 11 : « à ta maison appartient un être qui leur a été fatal à tous deux » (trad. Boulanger & Wuilleumier 1963 : 95). Fulvia était en effet la veuve de P. Clodius Pulcher (mort en 52 av. J.-C.). Elle s’est ensuite mariée à C. Scribonius Curio fils (mort en 49 av. J.-C.). Voir aussi Cic. Phil. 2, 113.
Voir Mart. epigr. 11, 20, 4-5. En outre, les inscriptions des balles de fronde du siège de Pérouse (glandes plumbeae Perusinae) sont éloquentes (voir CIL XI 6721, 5 et CIL XI 6721, 14).
Que Cicéron considère Fulvia comme de sinistre augure pour Antoine, en la qualifiant de « fatale », évoque le fatale monstrum d’Horace (Hor. carm. 1, 37, 21).
Cic. Phil. 2, 40-42 ; 2, 62 et 2, 103.
Cic. Phil. 2, 48 et 2, 62.
Cic. Phil. 2, 44 ; 2, 50 et 2, 62.
Cic. Phil. 2, 39 ; 2, 62 ; 2, 64-66 et 2, 73-75.
Cic. Phil. 2, 62.
Cic. Phil. 2, 42-43 ; 2, 84 et 2, 101.
Cic. Phil. 2, 93-97.
Cic. Phil. 2, 101-102.
Cic. Phil. 2, 103-104.
Cic. Phil. 2, 109.
Ces invectives toucheront tant Octavien (Suet. Aug. 70, 3-4) qu’Antoine (Plin. nat. 33, 50 et 34, 6).
Afin de discerner les thèmes « principaux » et « secondaires », on se reporte à l’étude statistique de M. Delaunois (Delaunois 1966 : 6-12).
Cic. Phil. 2, 67 : domus erat aleatoribus referta [...] ; suggerebantur etiam saepe – non enim semper iste felix – damna aleatoria, « la maison était bondée de joueurs [...] ; à tout cela venaient encore s’ajouter souvent (car il n’avait pas toujours de la chance) des pertes au jeu » (trad. Boulanger & Wuilleumier 1963 : 125).
Voir Suet. Aug. 70, 4.
Cic. Phil. 2, 35 ; 2, 75, 2, 93 ; 2, 99 et 2, 103.
Voir R. Gest. div. Aug. 24, 2 ; Strab. 13, 1, 30 et 14, 1, 14 ; Plin. nat. 33, 24 (82-83) et 34, 19, 58 et Plut. Ant. 24, 5-6.
Sur la lâcheté d’Octavien à Nauloque, voir Suet. Aug. 16, 4.
Cic. Phil. 2, 34 ; 2, 71 ; 2, 74 ; 2, 76 et 2, 88.
Prop. 2, 16, 37-40 ; Vell. 2, 85, 3-4 ; Flor. 2, 17 (4, 7) et Plut. Ant. 14, 1-2.
M. Delaunois ne relève que 6 occurrences de ce thème alors que les vices d’Antoine sont développés dans 110 passages (Delaunois 1966 : 10). Ce thème de l’inaptitude oratoire et littéraire se prolongera dans le corpus des Philippiques (voir par ex. Cic. Phil. 3, 21-22).
Voir Cic. Phil. 2, 8 ; 2, 11 ; 2, 18 ; 2, 20 ; 2, 28 ; 2, 42-43 ; 2, 86 et 2, 111. Voir Orlandini (2002 : 212).
Suet. Aug. 86, 5. Voir aussi Plut. Ant. 2, 8.
Cic. Phil. 2, 19 ; 2, 29 ; 2, 30 ; 2, 42 ; 2, 68 ; 2, 80 et 2, 97.
Bien que l’ebrietas se prolonge dans le corpus des Philippiques (voir par ex. Cic. Phil. 3, 12 ; 3, 20 ; 3, 31 ; 3, 35 et 5, 24), elle n’atteindra pas la même ampleur que dans la deuxième.
Cic. Phil. 2, 103-105.
Cic. Phil. 2, 7 ; 2, 67 ; 2, 77 et 2, 87.
Cic. Phil. 2, 31 et 2, 42.
Cic. Phil. 2, 62 et 2, 67.
Cic. Phil. 2, 63 et 2, 106.
Cic. Phil. 2, 63.
Cic. Phil. 2, 76.
Cic. Phil. 2, 101.
Cic. Phil. 2, 81 et 2, 84.
Cic. Phil. 2, 106.
Comme le remarque M.-C. Ferriès, « les partisans d’Antoine sont toujours reçus ou représentés à table ; le triclinium est le décor de l’essentiel des anecdotes, paris [et] plaisanteries » (Ferriès 2007 : 251).
Voir Flor. 2, 21, 2 (4, 11) et Sen. epist. 83, 25. Sur le pamphlet, voir Plin. nat. 14, 28 (148) et Marasco (1992 : 538-548). Ce type d’attaque est d’autant plus évident que Marc Antoine renforce à dessein son assimilation à Dionysos.
Cic. Phil. 2, 7 ; 2, 63 ; 2, 74 ; 2, 97 et 2, 106.
Martin (2011 : 131-148).
Les évocations de Spartacus sont en effet absentes des deux premières Philippiques. L’on peut donc estimer qu’elles renvoient assez précisément aux mobilisations de vétérans menées illégalement par Octavien en Campanie. Antoine qualifiera en effet Octavien de « Spartacus » dans ses edicta (Cic. Phil. 3, 21 et 4, 6), invective retournée par Cicéron contre Antoine, alors dépeint comme un nouveau « Spartacus » (Cic. Phil. 3, 18 ; 3, 21 et 4, 6).
Cic. Phil. 1, 27.
Cic. Phil. 1, 33-34. Voir aussi Cic. Phil. 2, 112-114.
Cic. Phil. 2, 6 ; 2, 89 ; 2, 108 et 2, 112. Ce thème sera aussi développé dans la suite du corpus des Philippiques (par ex. Cic. Phil. 5, 17-20).
Cic. Phil. 2, 68 et 2, 80.
Cic. Phil. 2, 10.
Cic. Phil. 2, 35 ; 2, 70-71 et 2, 87. Pour la première Philippique, voir Stevenson (2009 : 174-186). Ce thème se prolongera dans le corpus des Philippiques, notamment, dès la troisième qui contient une peccatorum comparatio avec Tarquin le Superbe (Cic. Phil. 3, 8-12).
Cic. Phil. 2, 113.
Voir Martin 1994 et Martin (2009 : 49-62).
R. Gest. div. Aug. 1.
Suet. Aug. 28, 1.
Cic. Phil. 2, 30.
Cic. Phil. 2, 59 et 2, 71.
Cic. Phil. 2, 67.
Voir par ex. Cic. Phil. 4, 11-12; Phil. 6, 7 ; Phil. 10, 22 et Phil. 11, 1.
Cic. Phil. 2, 58. Cicéron utilise à dessein des mots d’origine gauloise (essedum et raeda).
Cic. Phil. 2, 76.
Suet. Aug. 40, 8.
Cic. Phil. 2, 76 ; 2, 108 et 2, 112.
Plutarque rapproche son éloquence de son mode de vie (Plut. Ant. 2, 8).
Voir Borgies (2016 : 287-327) avec renvoi aux sources. Sur l’invective comme vecteur de construction identitaire, voir Breunesse (2019 : 448-463).
Pour l’entrée d’Antoine dans Éphèse en 42 av. J.-C., voir Plut. Ant. 24, 4. Pour la rencontre à Tarse entre Antoine et Cléopâtre VII, voir Plut. Ant. 26, 5. Pour le triomphe d’Alexandrie, voir Vell. 2, 82, 4 ; Plut. Ant. 54 et Dion Cass. Hist. Rom. 49, 40. Pour les préparatifs de la guerre d’Actium, voir Plut. Ant. 55-56. Ces attaques sont rendues d’autant plus évidentes qu’Antoine s’assimile à Dionysos pour renforcer la cohésion des territoires situés sous son contrôle dans la partie orientale du bassin méditerranéen (voir Marasco 1992 : 538-548).
Cic. Phil. 2, 58 (traduction remaniée de Boulanger & Willeumier 1963 : 120).
Par ailleurs, Cythéris était une affranchie de Volumnius (Cic. Phil. 2, 20 ; 2, 58; 2, 61; 2, 69; 2, 77 ; Cic. Ad Att. 10, 10, 5 ; 10, 16, 5 et Cic. Ad Fam. 9, 26, 2).
Le manuscrit proposant leonibus est le codex Harleianus 2682. Leonibus pourrait être « a scribal conjecture, made also by Victorius in 1540 » (voir l’édition de Lacey 1986 : 94 et 200). Pour les sources, voir la lettre datée de 49 av. J.-C. (Cic. Ad. Att. 10, 13, 1 : Tu Antoni leones pertimescas caue, « garde-toi d’avoir peur des lions d’Antoine » (traduction personnelle) ; Pline l’Ancien (Plin. nat. 8, 21 (55) : iugo subdidit eos [leones] primusque Romae ad currum iunxit M. Antonius, [...], « Marc Antoine les [les lions] plaça sous un joug et il fut le premier à Rome à les atteler à un char [...] », traduction personnelle) et Plutarque (Plut. Ant. 9 : καὶ λέοντες ἅρμασιν ὑπεζευγμένοι « ses lions attelés à un char », traduction personnelle), lesquels pourraient s’appuyer sur Cicéron. Cependant, la leçon lenonibus est soutenue par la mention des lenones en Cic. Phil. 6, 2 et 8, 9.
Sous les traits de Bacchus-Dionysos, Antoine défile en char dans les rues d’Alexandrie (Vell. 2, 82, 4).
Cic. Phil. 3, 15-17. Cela n’est pas sans lien avec le portrait que dresse Nicolas de Damas dans le Βίος Καίσαρος, présentant Octavien comme un être pur et chaste (Nic. Damas Aug. F 127, V, 12 ; F 128, XIII, 18 et F 129, XV, b, 36).
Suet. Aug. 94, 14.
Cic. Phil. 2, 62.
R. Gest. div. Aug. 25 : Iurauit in mea uerba tota Italia sponte sua et me belli quo uici ad Actium ducem depoposcit. Iurauerunt in eadem uerba prouinciae Galliae, Hispaniae, Africa, Sicilia, Sardinia, « L’Italie entière, de sa propre initiative, prêta serment selon mes termes et me réclama comme chef pour mener la guerre d’Actium dont je sortis victorieux. Selon les mêmes termes, les provinces des Gaules, des Espagnes, d’Afrique, de Sicile et de Sardaigne prêtèrent aussi serment » (traduction personnelle).
Cic. Phil. 2, 104-105 (trad. Boulanger & Willeumier 1963 : 146).
Voir la légende de l’aureus de 28 av. J.-C. : Leges et iura P. R. restituit. Voir Suspène (2009 : 145-167).
Cic. Phil. 2, 85-87 (trad. Boulanger & Willeumier 1963 : 135-136).
Cic. Phil. 2, 86.
Cic. Phil. 2, 71.
Cic. Phil. 2, 85.
Top of page