Bibliographie
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Bachmann Ingeborg, Werke, tome IV, Christine Koschel, Inge von Weidenbaum et Clemens Münster (éd.), Munich, Zurich, Piper, 1978, Der Umgang mit Namen, pp. 238-254.
Bachmann Ingeborg, Werke, tome IV, Christine Koschel, Inge von Weidenbaum et Clemens Münster (éd.), Munich, Zurich, Piper, 1978, Die Welt Marcel Prousts – Einblicke in ein Pandämonium, pp. 156-180.
Bannasch Bettina, « Literaturkritische Essays und Frankfurter Vorlesungen », in Monika Albrecht, Dirk Göttsche (éd.), Bachmann-Handbuch : Leben – Werk – Wirkung, Stuttgart, Weimar, Metzler, 2002, pp. 191-203.
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Walter Benjamin, Œuvres, tome II, traduit de l’allemand par Maurice de Gandillac, Rainer Rochlitz et Pierre Rusch, Paris, Gallimard, 2000, L’image proustienne, pp. 135-155.
Walter Benjamin, Œuvres, tome I, traduit de l’allemand par Maurice de Gandillac, Rainer Rochlitz et Pierre Rusch, Paris, Gallimard, 2000, Sur le langage en général et sur le langage humain, pp. 142-165.
Blöcker Günter, Die neuen Wirklichkeiten : Linien und Profile der modernen Literatur, Berlin, Argon Verlag, 1957, Marcel Proust, pp. 86-102.
Boehm Gottfried, Wie Bilder Sinn erzeugen : Die Macht des Zeigens, 3e édition, Berlin, Berlin University Press, 2010.
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Kaiser Gerhard R., « Kunst nach Auschwitz oder : “Positivist und Mystiker”. Ingeborg Bachmann als Leserin Prousts », in Dirk Göttsche, Hubert Ohl (éd.), Ingeborg Bachmann : Neue Beiträge zu ihrem Werk, Wurtzburg, Königshausen & Neumann, 1993, pp. 329-352.
Mitchell W.J.Thomas, Iconologie : image, texte, idéologie, trad. de l’anglais par Maxime Boidy et Stéphane Roth, Paris, Les prairies ordinaires, 2009.
Pichl Robert, « Rhetorisches bei Ingeborg Bachmann : Zu den ‘redenden Namen’ im "Simultan"-Zyklus », Akten des VI. Internationalen Germanisten-Kongresses, hrsg. von Heinz Rupp, Bern, Lang, 1980. pp. 298-303.
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Wildenstein Daniel, Claude Monet : biographie et catalogue raisonné, tome V, Lausanne, Bibliothèque des Arts, 1991.
Wildenstein Daniel, Claude Monet : biographie et catalogue raisonné, tome IV, Lausanne, Bibliothèque des Arts, 1985.
Wittgenstein Ludwig, Tractatus logico-philosophicus, Tagebücher 1914-1916, Philosophische Untersuchungen, Francfort-sur-le-Main, Suhrkamp, 2006.
Yoshikawa Kazuyoshi, Proust et l’art pictural, Paris, Champion, 2010.
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Notes
Leslie Morris, « Das Leben, die Menschen, die Zeit. Hans Werner Henze im Gespräch mit Leslie Morris (Rom, 4.Januar 1999) », in Monika Albrecht, Dirk Göttsche (éd.), Über die Zeit schreiben 2 : Literatur- und kulturwissenschaftliche Essays zum Werk Ingeborg Bachmanns, Wurtzbourg, Königshausen & Neumann, 2000, p. 150.
Sigrid Weigel, Ingeborg Bachmann : Hinterlassenschaften unter Wahrung des Briefgeheimnisses, Vienne, Paul Zsolnay Verlag, 1999, p. 34.
Ingeborg Bachmann, « William Turner : Gegenlicht », Europe, Revue littéraire mensuelle : Ingeborg Bachmann, no892-893, Françoise Rétif (dir.), Paris, Europe, août-septembre 2003, p. 129.
Sigrid Weigel, Ingeborg Bachmann..., op.cit., p. 34.
Rita Svandrlik, « Der Umgang mit Bildern », in Robert Pichl (éd.), Kritische Wege der Landnahme : Ingeborg Bachmann im Blickfeld der neunziger Jahre, Vienne, Hora Verlag, 1994, pp. 81-84.
Ingeborg Bachmann emploie indifféremment le terme allemand « Bild » pour désigner une œuvre d’art, un décor de scène, un rêve (etc.). Sur les acceptions du terme « Bild », Gottfried Boehm (éd.), Was ist ein Bild ?, 3e édition, Munich, Fink, 2001.
Agnese Barbara, Der Engel der Literatur : zum philosophischen Vermächtnis Ingeborg Bachmanns, Vienne, Passagen Verlag, 1996.
Ingeborg Bachmann, Werke, tome IV, Christine Koschel, Inge von Weidenbaum et Clemens Münster (éd.), Munich, Zurich, Piper, 1978, Fragen und Scheinfragen, p. 192.
Ingeborg Bachmann, Kritische Schriften, Monika Albrecht et Dirk Göttsche (éd.), Munich, Zurich, Piper, 2005, p. 581.
Bachmann, Werke, tome IV, op.cit., Der Umgang mit Namen, p. 241. Ingeborg Bachmann, Œuvres, Arles, Actes Sud, 2009, Leçons de Francfort : La fréquentation des noms, trad. de l’allemand par Elfie Poulain, p. 697 : « Récemment un tableau de Monet a brûlé dans un musée de New York : les Nénuphars. Je l’avais vu une fois, aussi lorsque cette nouvelle fut dans les journaux, je n’ai pu m’empêcher de penser : mais où ont-ils bien pu aller, les nénuphars ? Cette disparition, cette extinction, n’est pas possible. Notre mémoire garde encore ces nénuphars, elle désire encore les garder et on aimerait parler d’eux pour qu’ils demeurent, car cette destruction est différente de la mort de tous les nénuphars dans tous les lacs même si l’incendie a beau n’avoir été qu’une destruction insignifiante par rapport à toutes les destructions que nous connaissons et qui furent causées par des guerres. »
Voir l’article : Sanka Knox, « Monet Water-Lily painting valued at $ 40,000 Destroyed in Museum Fire », The New York Times, New York, The New York Times Company, 16 avril 1958, p. 30.
Daniel Wildenstein, Claude Monet : biographie et catalogue raisonné, tome V, Lausanne, Bibliothèque des Arts, 1991, pp. 324-325. La reproduction du Bassin aux Nymphéas est accompagnée du numéro d’inventaire (no1982) et des dimensions de l’œuvre (2x6, 02 m).
« Fiery Peril in a Showcase of Modern Art : A multimillion-dollar collection is saved in New York museum but a great Monet is burned and lost », Life, vol. 44, no17, Chicago, Illinois, Time Inc., 28 avril 1958, p. 56.
« Old Master’s Modern Heirs : The scorned work of Monet’s later years inspires a present generation of painters », Life, vol. 43, no23, Chicago, Illinois, Time Inc., 2 décembre 1957, pp. 94-95.
Daniel Wildenstein, Claude Monet : biographie et catalogue raisonné, tome IV, Lausanne, Bibliothèque des Arts, 1985, p. 120.
Bachmann, Werke, tome IV, op.cit., Der Umgang mit Namen, p. 241. Voir traduction note 10.
Ibid., idem. Voir traduction note 10.
Ibid., idem. Voir traduction note 10.
Ibid., idem. Voir traduction note 10.
Par exemple : Ingeborg Bachmann, Kriegstagebuch ; Mit Briefen von Jack Hamesh an Ingeborg Bachmann, Hans Höller (éd.), Berlin, Suhrkamp, 2010.
Daniel Wildenstein, Claude Monet…, tome IV , op.cit., p. 89.
Bachmann, Werke, tome IV, op.cit., Der Umgang mit Namen, p. 253.
Gerhard R. Kaiser, « Kunst nach Auschwitz oder “Positivist und Mystiker”. Ingeborg Bachmann als Leserin Prousts », in Dirk Göttsche, Hubert Ohl (éd.), Ingeborg Bachmann : Neue Beiträge zu ihrem Werk, Wurtzburg, Königshausen & Neumann, 1993, pp. 329-352.
Bettina Bannasch, « Literaturkritische Essays und Frankfurter Vorlesungen », in Monika Albrecht, Dirk Göttsche (éd.), Bachmann-Handbuch : Leben – Werk – Wirkung, Stuttgart, Weimar, Metzler, 2002, pp. 191-203.
Bachmann, Kritische Schriften, op.cit., p. 573.
Marcel Proust, À la Recherche du temps perdu, tome I, Paris, Gallimard, 1955, Nom de pays : le Nom, p. 387.
Ibid., idem.
Proust, Recherche, tome I, op.cit., Nom de pays : le Pays, pp. 660-661.
Bachmann, Werke, tome 4, op.cit., Die Welt Marcel Prousts..., p. 230.
Marcel Proust, À la Recherche du temps perdu, tome III, Paris, Gallimard, 1955, Le Temps retrouvé, p. 759 ; Bachmann, Werke, tome IV, op.cit., Die Welt Marcel Prousts…, p. 168.
Ibid., idem. « ce n’est pas la guerre, celle qui se déroule effectivement, celle où les coups de feu sont tirés, ou celle qui peut être peinte dans la scène de bataille d’un tableau, mais c’est son reflet qui est plus réel qu’elle ne l’est : son intrusion dans la langue de tous, son impact sur la vie dans les salons et sur la mode et ses capacités de faire des lieux d’autres lieux. Le raidillon aux aubépines de Méséglise est devenu la cote 307. » Traduction A.H.
Bachmann, Werke, tome IV, op.cit., Der Umgang mit Namen, p. 238. Bachmann, Œuvres, op.cit., La fréquentation des noms, p. 695 : « ce nom s’ancre pour toujours dans la conscience avec son aura, une aura qu’il doit certes à la musique et au langage, mais une fois qu’il l’a, une fois qu’un nom a une telle force de rayonnement, il semble alors qu’il se rende libre et autonome. Il n’y a rien de plus mystérieux que cet éclat fulgurant des noms et que notre adhésion a eux. »
Bachmann, Werke, tome IV, op.cit., Der Umgang mit Namen, p. 238. Bachmann, Œuvres, op.cit., La fréquentation des noms, p. 695 : « un baptême […] où […] on n’aurait eu recours à aucune eau bénite et dont on aurait gardé aucune trace écrite ».
Bachmann, Werke, tome IV, op.cit., Der Umgang mit Namen, p. 254. Bachmann, Œuvres, op.cit., La fréquentation des noms, p. 707 : « [Proust] a dit des noms tout ce qu’on peut en dire et il a agi dans deux directions : il a intronisé les noms, les a plongés dans une lumière magique, puis les a détruits et effacés ; il les a remplis, chargés de signification, et il en a prouvé en même temps le vide, il les a jetés comme des cartouches vides, il les a marquées au fer rouge comme usurpations de propriété. »
Walter Benjamin, Gesammelte Schriften, tome II.I, Rolf Tiedemann et Hermann Schweppenhäuser (éd.), Francfort-sur-le-Main, Suhrkamp, 1955, Zum Bilde Prousts, p. 311. Walter Benjamin, Œuvres, tome II, traduit de l’allemand par Maurice de Gandillac, Rainer Rochlitz et Pierre Rusch, Paris, Gallimard, 2000, L’image proustienne, pp. 136-137 : « Mais chaque jour, avec nos actions orientées vers des fins précises et, davantage encore, avec notre mémoire captive de ces fins, nous défaisons les entrelacs, les ornements de l’oubli. C’est pourquoi, à la fin de sa vie, Proust avait changé le jour en nuit : dans une chambre obscure, à la lumière artificielle, sans être dérangé, il pouvait consacrer toutes ses heures à son travail et ne laisser échapper aucune des arabesques entrelacées. »
Benjamin, Gesammelte Schriften, tome II.I, op.cit., Zum Bilde Prousts, p. 311. Benjamin, Œuvres, tome II, op. cit., p. 136 : « Et ce travail de remémoration spontanée, où le souvenir est la trame et l’oubli la chaîne, plutôt qu’un nouveau travail de Pénélope, n’en est-il pas le contraire ? »
Benjamin, Gesammelte Schriften, tome II.I, op.cit., Zum Bilde Prousts, p. 312. Benjamin, Œuvres, tome II, op. cit., p. 137 : « un évènement vécu est fini, il est à tout le moins confiné dans la seule sphère de l’expérience vécue, tandis qu’un évènement remémoré est sans limites, parce qu’il n’est qu’une clé pour tout ce qui a précédé et pour tout ce qui a suivi. »
Bachmann, Werke, tome IV, op.cit., Der Umgang mit Namen, p. 254. Voir traduction note 34.
Bachmann, Werke, tome IV, op.cit., Der Umgang mit Namen, p. 238. Bachmann, Œuvres, op.cit., La fréquentation des noms, p. 695 : « Ces noms sont marqués au fer rouge dans des êtres fictifs en même temps qu’ils les représentent ».
Proust, Recherche, tome I, op.cit., Nom de pays : le Nom, p. 387.
Par exemple : Sigrid Weigel, « Die Erinnerungs- und Erregungsspuren von Zitat und Lektüre. Die Intertextualität Bachmann – Celan, gelesen mit Benjamin », in Bernhard Böschenstein, Sigrid Weigel (éd.), Ingeborg Bachmann und Paul Celan : poetische Korrespondenzen, Francfort-sur-le-Main, Suhrkamp, pp. 231-249.
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