Notes
Revon, Michel, Anthologie de la Littérature Japonaise des Origines au xxe siècle, Paris, C. Delgrave, 1910.
Aston, William George, Littérature japonaise, trad. H.-D. Davray, Paris, Armand Colin, 1902.
Voir la recension de Noël Péri, « Michel Revon : Anthologie de la littérature japonaise des origines au xxe siècle », Bulletin de l’École française d’Extrême-Orient, tome 11, 1911, p. 226-231.
Lafond, Jean, « Préface », Moralistes du xviie siècle, dir. Jean Lafond, Paris, Éditions Robert Laffont, 1992, p. XIX.
Parmentier, Bérangère, Le siècle des moralistes, Paris, Éditions du Seuil, 2000, p. 8.
Revon, Michel, Anthologie de la Littérature Japonaise des Origines au xxe siècle, op. cit., p. 195.
Sei Shônagon, Notes de chevet, éd. André Beaujard, Paris, Gallimard, 1966.
Revon, Michel, Anthologie de la Littérature Japonaise des Origines au xxe siècle, op. cit., p. 199.
Urabe Kenkô, Les heures oisives, suivi de Kamo no Chômei, Notes de ma cabane de moine, trad. Charles Grosbois, Tomiko Yoshida et le R.P. Sauveur Candau, Paris, Gallimard, 1968. Toutes nos références se feront dans cette édition. Notons par ailleurs qu’André Beaujard, auteur de l’édition de référence en France des Notes de chevet, est justement un ancien élève de Michel Revon.
« Personne au Japon ne peut parler de Kenkô sans évoquer Montaigne », indique la quatrième de couverture des Heures oisives. Voir également René Sieffert, La littérature japonaise, Paris, Publications orientalistes de France, 1973, p. 93 : « Dans un siècle soumis aux violents, il est le parfait honnête homme, libre, fin, sceptique, un Montaigne de l’Extrême-Asie. »
Grosbois Charles et Yoshida Tomiko, « Préface » à Urabe Kenkô, Les heures oisives, op. cit., p. 23.
Ce point mériterait une étude à part entière. Voir par exemple dans les Heures oisives les paragraphes LXXXV (p. 89), XCI (p. 92) et CXLIII (p. 123).
Ferrier, Michaël, Japon : la barrière des rencontres, Nantes, Éditions Cécile Defaut, 2009, p. 243.
Quignard, Pascal, « Un collectionneur de roman », Le Débat, n° 54, mars-avril 1989, Gallimard, p. 88.
Voir Sakaï, Anne, « Présentation » de De la paresse de Tanizaki Jun’ichirô, in Cent ans de pensée au Japon, éd. Y.-M. Allioux, Paris, Éditions Philippe Picquier, 1996, t. 1, p. 170.
Pigeot, Jacqueline, « Postface », Kamo no Chômei, Notes de ma cabane de moine, Paris, Le Bruit du temps, 2010, p. 69.
Van Delft, Louis, « Les recueils des moralistes comme encyclopédies existentielles », L’Entreprise encyclopédique, Littérales, n° 21, 1997, p. 113-135.
L’expression est notamment utilisée par Barbara Carnevali, « L’observatoire des mœurs. Les coutumes et les caractères entre littérature et morale », Pensée morale et genres littéraires de Montaigne à Genet, dir. Jean-Charles Darmon et Pierre Desan, Paris, PUF, 2009, p. 168.
Notes de ma cabane de moine, p. 263 de l’édition de référence.
Van Delft, Louis, Le moraliste classique. Essai de définition et de typologie, Genève, Librairie Droz, 1982, p. 108, nous soulignons.
Origas, Jean-Jacques, La lampe d’Akutagawa. Essais sur la littérature japonaise moderne, Paris, Les Belles Lettres, 2008, p. 175.
Montaigne, Michel (de), Essais, éd. Pierre Villey, revue par Verdun-Louis Saulnier, Paris, PUF, 1978, I, 1, p. 9. Nos références à Montaigne se feront dans cette édition. I, 1, p. 9 renvoie au premier chapitre du premier livre, p. 9. L’orthographe a été modernisée.
Origas, Jean-Jacques, La lampe d’Akutagawa, op. cit., p. 176.
Derrida, Jacques, Parages, Paris, Galilée, 1986.
Origas, Jean-Jacques, La lampe d’Akutagawa, op. cit., p. 177.
Van Delft, Louis, Les moralistes. Une apologie, Paris, Gallimard, 2008, p. 127.
Compagnon, Antoine, La seconde main ou le travail de citation, Paris, Éditions du Seuil, 1979, p. 302.
Bakhtine, Mikhaïl, Esthétique et théorie du roman, Paris, Gallimard, 1975.
Origas, Jean-Jacques, La lampe d’Akutagawa, op. cit., p. 189.
Ferrier, Michaël, Japon : la barrière des rencontres, op. cit., p. 245.
Struve, Daniel, « Les "Heures oisives" et le xviie siècle », Éloge des sources. Reflets du Japon ancien et moderne, dir. J.-A. Kyburz, F. Macé, C. von Verschuer, Paris, Éditions Philippe Picquier, 2004, p. 214.
Van Delft, Louis, Les spectateurs de la vie : généalogie du regard moraliste, Laval, Les Presses de l’université Laval, 2005, p. 157.
Van Delft, Louis, Les moralistes. Une apologie, op. cit., p. 44.
Ferrier, Michaël, Japon : la barrière des rencontres, op. cit., p. 243.
Quignard, Pascal, « Un collectionneur de roman », Le Débat, n° 54, mars-avril 1989, Gallimard, p. 88.
Parmi les nombreuses références aux moralistes et au zuihitsu dans l’œuvre de Pascal Quignard, retenons son texte sur La Bruyère, Une gêne technique à l’égard des fragments (Paris, Fata Morgana, 1986), et son « petit traité » sur Sei Shônagon, « L’oreiller de Sei », Petits traités II, Paris, Gallimard, 1998.
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