Bibliographie
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Notes
Cit. in Jack Zipes, “Introduction. Towards a Definition of the Literary Fairy Tale”, in Jack Zipes, The Oxford Companion to Fairy Tales, New York, Oxford University Press, 2001,p. xv.
Maurice Maeterlinck, « Ruysbroeck l’Admirable », in Maurice Maeterlinck, Œuvres I. Le réveil de l’âme : poésie et essais, Bruxelles, Complexe, 1999, p. 265-289.
Joanne Wieland-Bunston, « Introduction au Cahier bleu », in Maurice Maeterlinck, Le « Cahier bleu », Gand, éd. de La Fondation Maurice Maeterlinck, 1977, p. 21.
Ibid., p. 20.
« Je crois que tout ce qui ne sort pas des profondeurs les plus inconnues et les plus secrètes de l’homme, n’a pas jailli de sa seule source légitime. » (Maurice Maeterlinck, « Confession de poète », in Maurice Maeterlinck, Œuvres I, op. cit., p. 454.)
Paul Gorceix, « De La Princesse Maleine à La Princesse Isabelle. Essai sur le théâtre de Maeterlinck », in Maurice Maeterlinck, Œuvres II : théâtre I, Bruxelles, Complexe, 1999, p. 10.
Marthe Robert, « Préface », in Grimm, Contes, Paris, Gallimard, « Folio », 2005 [1re éd. 1976], p. 10.
Paul Gorceix, « De La Princesse Maleine à La Princesse Isabelle… », op. cit., p. 11.
Maurice Maeterlinck, « Devant Dieu », in Maurice Maeterlinck, Œuvres I., op. cit., p. 236.
Maurice Maeterlinck, Le « Cahier bleu », op. cit., p. 160.
Ibid., p. 135.
Ibid., p. 142.
Ibid., p. 145.
Ibid., p. 136.
Paul Gorceix, Maeterlinck. L’arpenteur de l’invisible, Bruxelles, Le Cri, 2005, p. 126.
Maurice Maeterlinck, Le « Cahier bleu », op. cit., p. 145.
Paul Gorceix, Maeterlinck. L’arpenteur de l’invisible, op. cit., p. 305.
Gaston Compère, Le théâtre de Maurice Maeterlinck, Bruxelles, Palais des Académies, 1955, p. 62.
Ibid., p. 145.
Comme l’indique son agenda, cela concerne : « la boule d’or du Roi grenouille ou de L’Homme-de-fer […] ; le château hanté et “les ossements qui tombent par la cheminée” de L’Histoire d’un qui s’en alla pour apprendre le tremblement […] ; la tour aveugle de Raiponce ; les moulins des Six à qui rien ne résiste […] ; les cygnes des Six frères cygnes […], etc. » (Fabrice Van de Keckhove, « Introduction », in Maurice Maeterlinck, Carnets de travail [1881-1890], Bruxelles, Labor, 2002, p. 79.)
Ibid., p. 129.
Maeterlinck se réfère d’ailleurs au tableau Le Berceau de Roses de Burne-Jones, où la princesse alitée est entourée de ses suivantes endormies. Ne connaissant ce tableau que par ouï-dire, il est par contre familier de l’illustration de style préraphaélite que Walter Crane a faite de La Belle au bois dormant, dans la traduction anglaise de Lucy Crane des Contes des enfants et du foyer des Grimm. (Ibid.)
Maurice Maeterlinck, La Mort de Tintagiles, in Maurice Maeterlinck, Œuvres II, op. cit., p. 548.
Paul Gorceix, « De La Princesse Maleine à La Princesse Isabelle… », op. cit., p. 28.
Marc Quaghebeur, Lettres belges entre absence et magie, Bruxelles, Labor, 1990, p. 44.
Gaston Compère, op. cit., p. 124.
Même si Les Sept Princesses se termine mal, l’effet tragique est plus estompé que dans La Princesse Maleine : « Ici, il renoue plutôt avec le climat de surréalité du conte de fées. » (Paul Gorceix, Maeterlinck. L’arpenteur de l’invisible, op. cit., p. 346.)
Paul Gorceix, « De La Princesse Maleine à La Princesse Isabelle… », op. cit., p. 33.
Cette pratique se retrouve en effet dans à peu près tout son premier théâtre : il s’agit de l’épaisse forêt et du château bâti sur des grottes souterraines aux eaux maléfiques dans Pelléas et Mélisande (1892), le grand château construit sur des cavernes envahies par l’eau dans Alladine et Palomides (1894), le château entouré par la mer dans Aglavaine et Sélysette (1896).
Lesław Eustachiewicz, « Wesele » Stanisława Wyspiańskiego (« La Noce » de Stanisław Wyspiański), Varsovie, Wydawnictwa Szkolne i pedagogiczne, 1991, p. 9-10.
Juliusz Krzyżanowski, Słownik folkloru polskiego (Dictionnaire du folklore polonais), Varsovie, Wiedza powszechna, 1965, p. 44.
Aniela Łempicka, Wyspiański, pisarz dramatyczny. Idee i formy (Wyspiański, écrivain dramatique. Idées et formes), Cracovie, Wydawnictwo Literackie, 1973, p. 323.
Ibid., p. 327.
Aniela Łempicka, O « Weselu » Wyspiańskiego (À propos de« La Noce » de Wyspiański), Wrocław, Wydawnictwo Polskiej Akademii Nauk, 1955, p. 119.
« Excités par l’exotisme de la fête populaire, épris de littérature romantique et néoromantique, ils composent un conte de fées adapté à l’atmosphère de l’endroit et du moment. L’inspiratrice directe est Rachel, la Muse du drame, mais chacun des intellectuels devient coauteur, en poétisant un moment de la noce ainsi que son propre rôle. Le conte apparaît sur la scène comme l’effet d’un jeu littéraire, le déchaînement de l’humeur poétique. » (Ibid., p. 118.)
Aniela Łempicka, Wyspiański, pisarz dramatyczny. Idee i formy, op. cit., p. 324.
Wilhelm Feldman, O twórczosci Stanisława Wyspiańskiego i Stefana Żeromskiego. Wykłady, wygłoszone na Wyższych Kursach Wakacyjnych w Zakopanem w sierpniu 1904 roku (À propos de l’oeuvre de Stanisław Wyspiański et Stefan Żeromski. Conférences données aux Cours supérieurs de vacances à Zakopane en août 1904), Cracovie, Księgarnia Naukowa, 1905, p. 24.
Aniela Łempicka, Wyspiański, pisarz dramatyczny. Idee i formy, op. cit., p. 323.
Jan Nowakowski, « Wstęp » (« Introduction »), in Stanisław Wyspiański, Wesele (La Noce), Wrocław, Zakład narodowy im. Ossolińskich, Biblioteka Narodowa, 1994, p. LXXXI.
Ibid., p. LXI.
Juliusz Krzyżanowski, Polska bajka ludowa w układzie systematycznym (Le conte populaire polonais dans une classification systématique), t. 1, Wrocław, Zakład Narodowy im. Ossolińskich, 1962, p. 121.
Roman Zmorski, Podania i baśnie ludu w Mazowszu (Légendes et contes du peuple en Mazovie), Varsovie, Ludowa Spółdzielnia Wydawnicza, 1956, p. 59-65.
Stanisław Zabierowski, « Prolegomena do Wesela » (« Prolégomènes à La Noce »), Pamiętnik Literacki, 1969, no 1, p. 45.
Juliusz Krzyżanowski, Polska bajka ludowa w układzie systematycznym, op. cit., p. 133.
Lesław Eustachiewicz, op. cit., p. 13-14.
Jan Kasprowicz, O śpiących rycerzach w Tatrach (Les chevaliers endormis dans les Tatras), in Podania, legendy i baśnie poskie (Légendes, légendes locales et contes de fées polonais), Włodarczyk B. (dir.), Cracovie, Wyd. GREG, 2004, p. 50-54.
Juliusz Krzyżanowski, Polska bajka ludowa w układzie systematycznym, op. cit., p. 213.
Kazimierz Władysław Wójcicki, Klechdy, starożytne podania i powieści ludu polskiego i Rusi (Contes, vielles légendes et récits du peuple polonais et de Rus’), Ryszard Wojciechowski (dir.), Varsovie, Państwowy instytut wydawniczy, 1974, p. 109-110.
Franciszek Ziejka, W kręgu mitów poslkich (Dans le sillage des mythes polonais), Cracovie, Wydawnictwo Literackie, 1977, p. 42.
Stanisław Wyspiański, Wesele (La Noce), op. cit., p. 195-196.
Maria Barbara Stykowa, « Maeterlinck w Młodej Polsce (mit dramaturga) » [« Maeterlinck dans la Jeune Pologne (le mythe d’un dramaturge) »], in Wśród mitów teatralnych Młodej Polski (Parmi les mythes théâtraux de la Jeune Pologne), Irena Sławińska, Maria Barbara Stykowa (dir.), Cracovie, Wydawnictwo Literackie, 1983, p. 118.
Ibid.
Jan Nowakowski, op. cit., p. XII.
Listy Zebrane III. Listy Stanisława Wyspiańskiego do Karola Maszkowskiego (Correspondance complète III. Les lettres de Stanisław Wyspiański à Karol Maszkowski), Płoszewski Leon, Rydlowa Maria (dir.), Cracovie, Wydawnictwo Literackie, 1979, p. 292.
Claude Backvis, Le dramaturge Stanislas Wyspiański (1869-1907), Paris, PUF, 1952, p. 69.
Aniela Łempicka, Wyspiański, pisarz dramatyczne. Idee i formy, op. cit., p. 324.
« Ce caractère authentique, non dépourvu du piquant de pamphlet, a une signification plus profonde pour le drame : il constitue un excellent fondement pour le conte de La Noce. » (Aniela Łempicka, O « Weselu » Wyspiańskiego, op. cit., p. 53.)
Pour Jan Błoński, « chaque personnage sur scène est un signe, de la même manière que chaque mot. […] Dans les pièces de Wyspianski, les personnages renvoient le plus souvent à quelque chose d’autre ». (Jan Błoński, Wyspiański wielokrotnie [Plus d’une fois Wyspiański], trad. du français par Janina et Krzysztof Błoński, Cracovie, Universitas, 2007, p. 118.) De la même manière, Miriam remarque que dans les drames de Maeterlinck « il n’y a pas un mot qui ne soit pas un symbole ou une analogie, lesquels servent un plus grand symbole ». (Zenon Przesmycki, « Maurycy Maeterlinck. Stanowisko jego w literaturze belgijskiej i powszechnej » [« Maurice Maeterlinck. Sa position dans la littérature belge et universelle »], in Maurice Maeterlinck, Wybór pism dramatycznych [Choix d’œuvres dramatiques], Varsovie, Własność, 1894, p. XLVI.)
Paul Gorceix, Maurice Maeterlinck. Le symbolisme de la différence, Mont-de-Marsan,Éditions interuniversitaires, 1997, p. 59.
Jan Nowakowski, Wyspiański. Studia o dramatach (Wyspiański. Études sur ses drames), Cracovie, Wydawnictwo literackie, 1972, p. 39.
Jan Nowakowski, « Wstęp », op. cit., p. XCII.
Mirosława Bukowska-Schielmann, « Ja w śnie narodu przeklętym, uśpiony ». Stanisława Wyspiańskiego dramaty-sny (« Moi, dans le rêve maudit du peuple, endormi ». Les drames-rêves de Stanisław Wyspiański), Gdańsk, Wydawnictwo Uniwesytetu Gdańskiego, 1994, p. 34.
Jan Błoński, Wyspiański wielokrotnie, op. cit., p. 118.
Paul Gorceix, Les affinités allemandes dans l’œuvre de Maurice Maeterlinck. Contribution à l’étude des relations du Symbolisme français et du Romantisme allemand, Eurédit, Paris, 2005, p. 287.
En effet, à ce sujet Claude Backvis dira que, de ces personnages, Wyspiański esquisse « les traits généraux et incomplets qui sont précisément les traits symboliques, ceux qui permettent d’élargir le personnage jusqu’à la notion d’espèce, de groupe, d’idée ». (Claude Backvis, op. cit., p. 216.)
Ibid., p. 102.
Wilhelm Feldman, op. cit., p. 22.
Paul Gorceix, « De La Princesse Maleine à La Princesse Isabelle… », op. cit., p. 11.
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