Dans une publication de 2017 présentant une recherche alors en cours sur l’analyse des encres noires utilisées pour l’écriture des manuscrits de la Genizah du Caire, aujourd’hui conservés sous forme de fragments, les auteurs de l’étude formulaient de la sorte les attentes liées au recours à des méthodes physico-chimiques pour enrichir les connaissances des manuscript studies, traditionnellement fondées sur les savoirs érudits des humanités :
« The collected data should supplement the description based on Hebrew paleography and codicology. Moreover, a characterization of the writing materials would provide insights on trade, local technologies, and social structures. If sufficient data is collected, the tabulated results have the potential for use as a geo-chronological marker. »
Parce qu’elles produisent une connaissance positive sur les artefacts nécessaires à la science historique, les données collectées par les méthodes de laboratoire sont présentées comme complémentaires (suppleme...