Bibliographie
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Caby, Cécile, « Abstinence, jeûnes et “pitances” dans le monachisme médiéval », in Pratiques et discours alimentaires en Méditerranée de l’Antiquité à la Renaissance, Actes du colloque de la Villa Kérylos à Beaulieu-sur-Mer (4-6 octobre 2007), Jean Leclant, André Vauchez et Maurice Sartre (éd.), Paris, Académie des Inscriptions et Belles Lettres (Cahiers de la Villa Kérylos, 19), 2008, p. 271-292.
Chazelas, Jean, « La vie monastique au Mont Saint-Michel au XIIIe siècle », in Millénaire monastique du Mont Saint-Michel, I : Histoire et vie monastiques, Jean Laporte (éd.), Paris, Lethielleux, 1967, p. 125-150.
Chevalier, Louis, Agere et statuere : étude historique et édition critique et numérique des deux ordinaires liturgiques du Mont Saint-Michel (XIVe-XVe siècles), thèse d’histoire, Université de Caen Normandie, 2019, 3 vol.
Collomb, Pascal, « Le Liber Ordinarius : un livre liturgique, une source historique », in Comprendre le XIIIe siècle : études offertes à Marie-Thérèse Lorcin, Pierre Guichard et Danièle Alexandre-Bidon (dir.), Lyon, Presses universitaires de Lyon, 1995, p. 97-109.
Dreves, Guido Maria, Analecta Hymnica Medii Aevi, 19 : Hymni inediti, Leipzig, O. R. Reisland, 1895.
Dubois, Jacques, « Le trésor des reliques de l’abbaye du Mont Saint-Michel », in Millénaire monastique du Mont Saint-Michel, I : Histoire et vie monastiques, Jean Laporte (éd.), Paris, Lethielleux, 1967, p. 501-593.
Fiasson, David, « Un chien couché au pied du roi d’Angleterre ? Robert Jolivet, abbé du Mont Saint-Michel (1411-1444) », Annales de Normandie, 64-2, 2014, p. 47-72.
Fiasson, David, « Ravitaillement, communications et financement de la garnison du Mont Saint-Michel (1417-1450) », in La guerre en Normandie (XIe-XVe siècles), Actes du colloque international de Cerisy (30 septembre-3 octobre 2015), Anne Curry et Véronique Gazeau (dir.), Caen, Presses universitaires de Caen (Symposia), 2018, p. 217-229.
Guilloreau, Léon, « Un fragment de coutumier de l’abbaye du Mont Saint-Michel édicté en l’an de grâce 1258 », Revue catholique d’histoire, d’archéologie et littérature de Normandie, vol. 24-25, 1915, p. 161-176.
Lebigue, Jean-Baptiste, « La législation des usages liturgiques au Moyen Âge (XIIe-XVe s.) », Revue de l’histoire des religions, 229-3, 2012, p. 349-373.
Lebigue, Jean-Baptiste, « Rits et couleurs : acronymie et chromonomie des calendriers liturgiques au Moyen Âge », in Le manuscrit enluminé : études réunies en hommage à Patricia Stirnemann, Claudia Rabel (éd.), Paris, Le Léopard d’or (Cahiers du Léopard d’or, 16), 2014, p. 39-73.
Lemarié, Joseph, « La vie liturgique au Mont Saint-Michel d’après les ordinaires et le cérémonial de l’abbaye », in Millénaire monastique du Mont Saint-Michel, I : Histoire et vie monastiques, Jean Laporte (éd.), 1967, p. 303-352.
Martimort, Aimé-Georges, Les ordines, les ordinaires et les cérémoniaux, Turnhout, Brepols (Typologie des sources du Moyen Âge occidental, 56), 1991.
Neufville, Jean (éd.), La Règle de saint Benoît, Adalbert de Vogüé (introd. et trad.), Paris, Cerf (Sources chrétiennes), 1972-1977, 7 vol.
The Ordinal of the Abbey of the Holy Trinity Fécamp (Fécamp, Musée de la Bénédictine, Ms. 186), vol. 2, David Chadd (éd.), Woodbridge, Boydell Press (Henry Bradshaw Society, 112), 1999-2002.
Tardif, Henri, « La liturgie de la messe au Mont Saint-Michel aux XIe, XIIe et XIIIe siècles », in Millénaire monastique du Mont Saint-Michel, I : Histoire et vie monastiques, Jean Laporte (éd.), 1967, p. 353- 377.
« Traité pour la défense du Mont Saint-Michel en 1440 », Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, XV, 1846, p. 212-213.
Trotin, Nicolas, « La Trinité de sainte Anne, un avatar du dogme immaculiste : à propos d’une planche gravée par Simon Vostre (1508) », in Marie et la « fête aux Normands » : dévotion, images, poésie, Actes du colloque de Rouen (janvier 2009), Françoise Thelamon (dir.), Mont-Saint-Aignan, Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2011, p. 153-163.
Vogüé, Adalbert de, « Travail et alimentation dans les Règles de saint Benoît et du Maître », Revue bénédictine, 74, 1964, p. 242-251.
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Notes
Bréviaires : Avranches, Bibl. mun., ms 39 (XIIIe s.), bréviaire d’hiver ; Paris, BnF, ms nouv. acq. lat. 424 (XVe s.), bréviaire d’été ; Maredsous, Bibliothèque de l’abbaye, ms 16°/1 (XVe s.). Cérémonial : Avranches, Bibl. mun., ms 214 (XVe s.). Collectaire : Avranches, Bibl. mun., ms 215 (XVe s.). Évangéliaire-nocturnal : Avranches, Bibl. mun., ms 44 (XIIIe s.). Lectionnaires : Avranches, Bibl. mun., ms 128 (XIe-XIIe s.) ; Avranches, Bibl. mun., ms 129 (XIe s.) ; Avranches, Bibl. mun., ms 131 (XIIIe s.) ; Avranches, Bibl. mun., ms 168, fol. 1r-92r (XIII-XVe s.) ; Avranches, Bibl. mun., ms 214 (XVe s.). Martyrologe : Avranches, Bibl. mun., ms 214, (XVe s.). Missel : Avranches, Bibl. mun., ms 42 (XIIIe s.). Légendier : Avranches, Bibl. mun., ms 167 (XIIIe s.). Nécrologes : Avranches, Bibl. mun., ms 214 (XVe s.) ; Avranches, Bibl. mun., ms 215 (XVe s.). Ordinaires : Avranches, Bibl. mun., ms 46 (XIVe s.) ; Avranches, Bibl. mun., ms 216 (XVe s.). Pontifical : Paris, BnF, ms lat. 14832 (XIIe s.). Sacramentaire : New York, Pierpont Morgan Library, ms 641 (XIe s.-XIIe s.) ; Rouen, Bibliothèque patrimoniale Villon, ms suppl. 116 (mm 15) (XIe s.-XIIe s.). Ces fragments de sacramentaire sont deux parties d’un même manuscrit selon Henri Tardif (cf. Tardif, 1967, p. 358). L’origine montoise de fragments d’évangéliaires conservés à Avranches et Saint-Pétersbourg est discutée (Avranches, Bibl. mun., ms 48, fol. 1r-3v ; Avranches, Bibl. mun., ms 66, fol. 1r-1v ; Avranches, Bibl. mun., ms 71, fol. 1r-1v. Saint-Pétersbourg, Bibliothèque nationale de Russie, ms lat. O.V.I).
Calendriers liturgiques du Mont Saint-Michel : Avranches, Bibl. mun., ms 39 (fol. 29v-32r) ; Avranches, Bibl. mun., ms 42 (fol. 2v-8r) ; Avranches, Bibl. mun., ms 214 (p. I-XIII) ; Avranches, Bibl. mun., ms 215 (1r-6v) ; Avranches, Bibl. mun., ms 216 (fol. 4v-10v) ; Paris, BnF, ms nouv. acq. lat. 424 (fol. 7r-12r) ; Maredsous, Bibliothèque de l’abbaye, ms 16°/1 (fol. 1r-6v).
Cf. Collomb, 1995, p. 97-109. Et : Martimort, 1991, p. 62-67. L’Ordinaire 46 fut vraisemblablement copié entre 1330 et 1370, et l’Ordinaire 216 entre 1386 et 1432. Si le texte des deux manuscrits est très proche, leurs prescriptions ne sont cependant pas toujours identiques : l’ordo décrit par l’Ordinaire 46 est sans doute antérieur à celui présenté dans l’Ordinaire 216. Les moines semblent avoir continué à corriger l’Ordinaire 46 après la copie de l’Ordinaire 216, au moins jusque dans la première moitié du XVe siècle. Cf. Chevalier, 2019, vol. 1, p. 72-80 et p. 90-98.
Cf. Martimort, 1991, p. 89-90. Joseph Lemarié date le cérémonial du Mont Saint-Michel (Avranches, Bibl. mun., ms 214) du début du XVe siècle : Lemarié, 1967, p. 307.
Lebigue, 2012, p. 355.
Ibid., p. 355-356 : [les offices de type dominical,] « plus solennels, comptent trois nocturnes à matines et deux offices de vêpres, comme un dimanche, au lieu d’un seul nocturne et une seule heure de vêpres pour le type férial, c’est-à-dire le modèle suivi pour les jours de la semaine (féries) ».
L’Ordinaire 216 décrit la vigile des fêtes de Jean-Baptiste (fol. 130v), Pierre et Paul (fol. 133v), Jacques le Majeur (fol. 141v), Laurent (fol. 146v), Matthieu (fol. 162), Michel (28 septembre, fol. 164), Simon et Jude (fol. 170v) et de la Toussaint (fol. 171v). Cet ordinaire livre en outre la liturgie des octaves des fêtes d’Étienne (fol. 39v), Jean (fol. 40v), des Saints-Innocents (fol. 41), Aubert (fol. 132), Jean-Baptiste (fol. 135v), Pierre et Paul (fol. 137), Benoît (fol. 139), Laurent (fol. 150v), de l’Assomption de la Vierge (fol. 152v), de la Nativité de la Vierge (fol. 161), Michel (6 octobre, fol. 167), de la Dédicace (fol. 170) et de Martin (18 novembre, fol. 178).
Maredsous, Bibliothèque de l’abbaye, ms 16/1°, fol. 6v.
Avranches, Bibl. mun., ms 214, p. 209-212 et p. 215-221.
Lemarié, 1967, p. 324-326.
Lebigue, 2014, p. 41-42.
Lemarié, 1967, p. 324-326.
Lebigue, 2014, p. 60.
Ibid., p. 62-63 : « À partir du milieu du XIIIe siècle, le rôle de la polychromie est surtout de souligner la hiérarchie des rits. La rigueur avec laquelle ce principe est appliqué dépend du lieu et du destinataire du manuscrit ».
Dans le calendrier du bréviaire conservé à Maredsous, on trouve copiées de couleur bleue les fêtes de la Conception de la Vierge, de la Nativité du Seigneur, de Jean, de la Circoncision du Seigneur, de l’Annonciation, de l’Épiphanie, de Jean-Baptiste, de l’Assomption, de la Nativité de la Vierge, de Michel du 29 septembre, de la Dédicace du Mont Saint-Michel, de la Toussaint et de Catherine. La couleur rouge met en valeur les fêtes d’André, Nicolas, Thomas apôtre, Étienne, des Saints-Innocents, de Sébastien, Fabien (fête sans doute présentée en rouge car prenant place le même jour et sur la même ligne que la fête de Sébastien), Vincent, de la Conversion de Paul, de la Purification de la Vierge, d’Agathe, de la Chaire de Pierre, de Mathias, Benoît, de Pâques, de Marc, Barnabé, Aubert, Pierre et Paul, de la Translation de Martin, de la Translation de Benoît, de Marie-Madeleine, Jacques apôtre, Pierre, de l’Inventio d’Étienne, de Laurent, Barthélemy, de la Décollation de Jean-Baptiste, de l’Exaltation de la sainte Croix, de Matthieu, Maurice, Denis, Luc, Simon et Jude, des fidèles défunts et de Martin.
Lemarié, 1967, p. 346.
Citons par exemple l’oraison de l’office de none (variante de Corpus Orationum 1366 a) : « Deus, qui beate Anne tantam gratiam donare dignatus es, ut beatissimam matrem tuam in suo gloriosissimo utero portare meruit, da nobis per intercessionem matris et filie tue propitiationis habundantiam, ut quarum commemorationem pro amore amplectimur, earum precibus ad celestem patriam pervenire valeamus » (Maredsous, Bibliothèque de l’abbaye, ms 16°/1, fol. 450). Frappante également est l’hymne des laudes, dont la première strophe est : « Adesto nobis inclita, Dei matris O genitrix, [Anna,] que in celi perpetua cum Christo regnas gloria » (Maredsous, Bibliothèque de l’abbaye, ms 16°/1, fol. 450). Le répertoire Analecta Hymnica signale la présence de cette hymne dans un bréviaire à l’usage de la collégiale du Saint-Sépulcre de Caen et dans des bréviaires de Coutances et de Sées, ainsi que dans un bréviaire franciscain, et dans des bréviaires à l’usage d’établissements d’Amiens : Dreves, 1895, p. 61-62.
Trotin, 2011, p. 156. Une étude comparative des manuscrits liturgiques normands pourrait permettre de déterminer s’il exista un modèle normand de l’office de sainte Anne.
Avranches, Bibl. mun., ms 213, fol. 158v. Cf. Dubois, 1967, p. 520 et p. 539.
L’office fécampois de sainte Anne, ajouté de seconde main dans la marge du folio 126v de l’ordinaire de l’abbaye (Fécamp, Musée du Palais Bénédictine, ms 186), a été édité par David Chadd dans : The Ordinal of the Abbey…, 1999-2002, p. 711-712 : « The Feast of St Anne (Jul. 26) ».
Cf. Caby, 2008, p. 289.
La porée blanche est une soupe, une sauce ou une purée composée de blancs de poireaux.
Caby, 2008, p. 289.
Fiasson, 2018, p. 220-221.
Cf. « Traité pour la défense du Mont Saint-Michel en 1440 », 1846, p. 212-213. Ce traité daterait plutôt de 1420 : cf. Fiasson, 2014, p. 63, note 68.
Fiasson, 2018, p. 218-219.
« Traité pour la défense du Mont Saint-Michel en 1440 », 1846, p. 212.
Ibid., p. 213 : « Que les ditz religieux aient la prise de poisson sur les marchants ou pescheurs venans a la dicte ville ainsi comme ils en ont joy tous les temps passés. Et aussi du droit qu’ils ont ès rivieres de Senne et de Coynon davoir les saulmons et aultres poissons. Ainsi Monseigneur le consent pourveu que en nourriture tout soit en commun. Que les ditz religieux aient les esturgeons et les marsouins prins ou trouves es greves et qu’ils en puissent joyr ainsi que leur appartient selon leurs tiltres et possessions. Monseigneur le consent comme dessus. Que ou cas que les dis marchans ou pescheurs ne feroient leur devoir d’apporter aux dits religieux les ditz esturgeons, marsouins saulmons et aultres poissons, toutes fois que les cas s’offriraient les dicts religieux les puissent et doivent punir par leur justice ainsi qu’il leur appartient et qu’ils en ont joy le temps passé. Monseigneur le consent ».
Cf. Boulc’h, 1997, p. 315-317.
Avranches, Bibl. mun., ms 214, p. 6-7. La fin de ce texte est également présentée, avec de menues variantes, dans l’Ordinaire 216 (fol. 95r) : « Die Pasche et tribus diebus sequentibus habeat conuentus flacones et gastellos ; et tribus diebus ante Rogationes flatones ; et die Ascensionis gastellos et flacones habeat ; die Penthecostes et tribus diebus sequentibus et in festo beati Michaelis in maio pigmentum et in omnibus festis in capis conuentus gastellos habeat et bonum uinum pro pigmento. In Quadragesima monachi panem breatum habeant et etiam simirellos. Die Jouis absoluto, uinum habeant et pigmentum et optimam pitanciam de coquina ». Plusieurs passages du coutumier ont été transcrits et commentés par Léon Guilloreau, in : Guilloreau, 1915, p. 161-176.
Cf. règle, Chapitre 49 : « Ergo his diebus augeamus nobis aliquid solito pensu seruitutis nostrae, orationes peculiares, ciborum et potus abstinentiam ». La règle de saint Benoît interdit par ailleurs la consommation de viande de quadrupède durant toute l’année : « Carnium uero quadrupedum omnimodo ab omnibus abstineatur comestio, praeter omnino debiles aegrotos ». Cette interdiction est reprise dans les Statuts de Grégoire IX copiés à la suite du coutumier dans le manuscrit Avranches, Bibl. mun., ms 214, p. 11 : « In infirmitorio autem nullus carnes comedat, nisi monachus uel conuersus qui infirmus fuerit, aut propter debilitatem corporis ad infirmitorium missus ».
Les prescriptions des deux ordinaires sont en cette matière presque identiques. Seulement, lors de la fête des Saints-Innocents l’Ordinaire 46 prescrit une pitance, une écrasée de fèves, de la porée blanche et des mets rôtis (fol. 18r) et l’Ordinaire 216 une pitance et des mets rôtis (fol. 36v) ; et en la fête de saint Jean, l’Ordinaire 46 commande trois pitances, des gâteaux, une écrasée de fèves, de la porée blanche et des mets rôtis (fol. 17r) et l’Ordinaire 216 trois pitances, des gâteaux et des mets rôtis (fol. 35v), conséquemment dans les deux cas à une probable omission du copiste de l’Ordinaire 216. Le cas de la solennité de saint Jean-Baptiste est différent : le menu de cette fête comprend deux pitances dans l’Ordinaire 46 (fol. 111r) et trois pitances dans l’Ordinaire 216 (fol. 132r), signe d’un enrichissement de ce repas.
Avranches, Bibl. mun., ms 46, fol. 84r : « Pro comite uero Ricardo pitanciam et pigmentum et gastellos… ».
Cf. Chazelas, 1967, p. 147.
Avranches, Bibl. mun., ms 215, fol. 159r-174v.
Avranches, Bibl. mun., ms 214, p. 11 : « Ab idibus septembris usque ad capud Quadragesime, secundum regulam beati Benedicti, reficiantur ad nonam et in aliis temporibus, secundum regulam eandem, et illo moderamine ciborum quod describit regula et ordinatis pitanciis, si quando eas fieri contigerit, sint contenti, nec aliquis sibi in cibo et potu delicaciora parari uel extra deferri faciat uel recipiat presentata, set quicquid presentatum fuerit coram illo qui tunc conuentui preest deferatur et ipse taliter prouideat siue de hiis siue de aliis pitanciis, quod eorum confortet naturam qui delicati uel debiles commode communibus cibis uti non possunt ».
La fête de sainte Barbe (4 décembre), qui est absente des calendriers du collectaire et du deuxième ordinaire, apparaît en outre copiée de seconde main dans le calendrier du manuscrit 162 (fol. 81v).
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