Ni cinéma, ni télévision : la vidéo et les paradoxes de la représentation
Résumés
La multiplication des vidéo-cassettes qui rendent accessibles une variété de représentations shakespeariennes ouvre désormais de vastes champs à l’enseignement et à la recherche, mais risque aussi d’opérer un nivellement entre cinéma, télévision et théâtre en occultant la spécificité de leurs codes. Le statut du texte est une variante essentielle dans les divers transcodages subis par la pièce de théâtre, mais la nature du public et les conventions de représentation de chaque media sont d’autres paramètres dont la définition se trouve brouillée par l’intervention de la vidéo. La mise en conserve du théâtre, grâce à des enregistrements de divers types, fige la représentation par essence éphémère, mais rend aussi tangible l’infinité de possibles que permet le texte d’origine.
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Haut de pagePour citer cet article
Référence papier
Michèle Willems, « Ni cinéma, ni télévision : la vidéo et les paradoxes de la représentation », Actes des congrès de la Société française Shakespeare, 16 | 1998, 183-194.
Référence électronique
Michèle Willems, « Ni cinéma, ni télévision : la vidéo et les paradoxes de la représentation », Actes des congrès de la Société française Shakespeare [En ligne], 16 | 1998, mis en ligne le 01 novembre 2007, consulté le 07 décembre 2024. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/shakespeare/296 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/shakespeare.296
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