Shakespeare and the silver screen: Reinhardt’s Dream, Branagh’s Hamlet, and some persistent problems
Résumés
Cet article étudie les attentes et les réserves exprimées à l’égard des films shakespeariens des années trente (où le son s’était imposé au cinéma) en prenant pour exemple les réactions des commentateurs britanniques au Songe de Max Reinhardt, et défend l’idée que bien des arguments et des problèmes d’alors sont encore d’actualité. Cette étude se tourne ensuite vers les conséquences qu’il y a à utiliser les oeuvres dramatiques de l’époque élisabéthaine comme matériau pour faire un film avec des exemples tirés du Hamlet intégral de Kenneth Branagh (1996-97) auquel l’auteur de cet article a contribué en tant que conseillé littéraire.
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Haut de pagePour citer cet article
Référence papier
Russell Jackson, « Shakespeare and the silver screen: Reinhardt’s Dream, Branagh’s Hamlet, and some persistent problems », Actes des congrès de la Société française Shakespeare, 16 | 1998, 141-148.
Référence électronique
Russell Jackson, « Shakespeare and the silver screen: Reinhardt’s Dream, Branagh’s Hamlet, and some persistent problems », Actes des congrès de la Société française Shakespeare [En ligne], 16 | 1998, mis en ligne le 01 novembre 2007, consulté le 05 décembre 2024. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/shakespeare/265 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/shakespeare.265
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