Le labyrinthe et les nuées : les espaces aberrants de Kurosawa
Résumés
Le château de l’araignée de Kurosawa, transposition de Macbeth, invente un espace aussi éloigné de la scène que d’une représentation réaliste, et qui ressortit d’un fantastique intrinsèque au cinéma et à l’évanescence de ses images. Ce labyrinthe de cauchemar oscille entre l’opacité de la forêt et la disparition de tous repères dans des limbes envahissants.
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Haut de pagePour citer cet article
Référence papier
Serge Chauvin, « Le labyrinthe et les nuées : les espaces aberrants de Kurosawa », Actes des congrès de la Société française Shakespeare, 16 | 1998, 31-35.
Référence électronique
Serge Chauvin, « Le labyrinthe et les nuées : les espaces aberrants de Kurosawa », Actes des congrès de la Société française Shakespeare [En ligne], 16 | 1998, mis en ligne le 01 novembre 2007, consulté le 05 décembre 2024. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/shakespeare/183 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/shakespeare.183
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