355 | 2024
Faire court
Sous la direction de Delphine Gleizes et Laurent Demanze
Si les esthétiques de la brièveté ont donné lieu à de nombreuses études, les processus d’une écriture du court ancrés dans une culture médiatique de l’instantanéité n’ont pas encore été analysés dans leur variété. Souci de l’actualité, proximité à la publicité, dispositifs numériques, mais aussi économie de l’attention infléchissent en profondeur les modes d’écriture et les pratiques de lecture.
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Introduction [Texte intégral]
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De la maxime morale à la note journalière [Texte intégral]Brièveté et exercice de la pensée
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D’osmazômes en notations [Texte intégral]Remarques sur la terminologie critique du poème en prose fin de siècle
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Poésie-bouffe et stratégies des désirs [Texte intégral]
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Les modalités du court dans l’écriture flaubertienne [Texte intégral]
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Un récit sur rien [Texte intégral]
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Éditer court [Texte intégral]Le cas des Éditions Rue Saint Ambroise
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Vagabondages de la pensée [Texte intégral]Les « petites formes réflexives » entre modernité et littérature contemporaine
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Faire « un peu moins court » dans l’aphorisme poétique contemporain [Texte intégral]
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Traduire court, traduire moderne [Texte intégral]Étude de deux traductions de « L’Infinito » (Leopardi) par Sicca Venier
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Faire court avec 2666 ? [Texte intégral]Réflexions sur une adaptation scénique de J. Gosselin et une réécriture dramatique d’E. Cormann
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Poétique de l’arrière-plan [Texte intégral]
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Ogre & humble [Texte intégral]
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Recension
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Paule Petitier, La pensée sorcière, Michelet 1862, CNRS Éditions [Texte intégral]
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