Instructions aux auteurs
Plan
Haut de pageForme de l’envoi
La Revue accueille toutes les contributions de qualité, et non pas seulement les articles dits « de fond ». Il est recommandé toutefois de ne pas dépasser 36 pages imprimées (2440 signes, blancs compris, par page d’article ou de Notes critiques ; 3240 signes, blancs compris, par page de notes infrapaginales – une fiche de calibrage précis peut être fournie à l’auteur sur demande), sauf si l’intérêt de la contribution autorise une exception. La Revue se réserve de publier en plusieurs livraisons les très longs articles.
Pour toutes les contributions, le texte doit être dactylographié en Word (police Times New Roman 12 pour le texte principal, 10 pour les notes, sans tabulation – sauf tableaux –, sans coupure de mots en fin de ligne) et envoyé par courrier électronique. Le texte doit être saisi dans la dernière version de Word disponible. Attention de bien sélectionner la « Langue » dans laquelle le texte est rédigé (voir « Outils », puis « Langue »). Si le texte comporte des signes diacritiques, envoyer impérativement les polices numérisées correspondantes (obligatoirement en Unicode). Il est cependant recommandé aux auteurs de préférer un système de transcription simplifié à l’emploi de polices spéciales.
Nous demandons aux auteurs d'utiliser la feuille de style à télécharger sur cette page (voir ci-dessous "Document annexe") pour mettre aux normes leur texte.
La première page de l’article est une page de présentation : elle ne contient que le nom de l’auteur (en MAJUSCULES et corps 14), son appartenance institutionnelle (corps 10, en italique), le titre de l’article (corps 16, en romain minuscule gras), les résumés en français (de moins de 800 signes, espaces compris) et en anglais (un paragraphe pour chacun, corps 11, en italique – le résumé en anglais précédé du titre traduit en anglais, dans le même corps mais en romain minuscule gras). Après quoi un saut de page conduit à la deuxième page où commence véritablement le texte de l’article. Pour des raisons esthétiques et techniques, on veillera à ce que le titre de l’article ne soit pas trop long : 120 signes maximum (espaces compris). La Revue souhaite des titres explicites, c’est-à-dire donnant un minimum d’indications sur le thème traité, l’aire géographique ou culturelle concernée, ainsi que la période. Si le titre est long, il gagnera à être divisé en titre et sous-titre (ce dernier en corps inférieur : 14).
Le texte principal est en corps 12. Tout à la fin de l’article doit figurer une adresse à l’intention des lecteurs (en corps 10) : un courriel, suivi ou non d’une adresse postale (professionnelle ou personnelle). Les éventuels exergues sont en romain maigre corps 11, calés à droite. Ne jamais utiliser les tabulations pour commencer un paragraphe (retrait d’alinéa) : paramétrer l’alignement de la première ligne à 0,5 cm (dans le menu déroulant « Format », rubrique « Paragraphe », ou dans la « Palette de mise en forme », il s’agit de l’Alignement et espacement de la première ligne).
L’espacement des lignes et paragraphes ne doit pas être modifié, il doit donc être « simple » et « continu ».
Les appels de notes figureront dans le texte en numérotation continue. Le texte principal contenant le discours, la fonction des notes est de contenir des références. Ces dernières peuvent être introduites par de courtes phrases, mais en aucun cas les notes ne sauraient contenir un discours parallèle.
Les notes, en corps 10, figurent en bas de page, en numérotation continue. Les appels de notes sont placés avant les signes de ponctuations (points, virgules), donc après le guillemet fermant d’une citation, ex. : « Pourquoi le Filioque serait-il légitime »1. Seule exception : le cas évoqué ci-dessus de ponctuation forte, ex : « Pourquoi le Filioque serait-il légitime ? »1
Éviter de citer intégralement en note un texte résumé ou paraphrasé dans le corps de l’article.
Dans les références, les noms des auteurs sont à indiquer en minuscules (avec majuscule à l’initiale) et sont précédés des prénoms des auteurs (c’est-à-dire dans l’ordre naturel où on les lit sur la couverture ou la page de titre d’un ouvrage).
Il est demandé aux auteurs d’articuler leur texte grâce à des intertitres. On peut utiliser jusqu’à trois niveaux. Le premier niveau est indispensable (il permet de faire apparaître la structure de l’article) : ces intertitres sont en petites capitales romaines, en corps 12 et en gras. Les intertitres de niveau 2 sont en minuscules romaines, en gras ; ceux de niveau 3 sont en minuscules italiques, en gras.
Intertitre de premier niveau
Intertitre de deuxième niveau
Intertitre de troisième niveau
L’intertitre de premier niveau est précédé de deux lignes de blanc et suivi d’une ligne de blanc, les autres intertitres sont précédés et suivis d’une ligne de blanc.
Pas de point à la fin des intertitres.
Les citations : au-delà de trois lignes, les placer en retrait, corps 11 et sans guillemets, séparées du texte principal par une ligne de blanc avant et une ligne de blanc après ; retrait positif de 0,5 cm (avec un retrait supplémentaire de 0,5 cm pour la première ligne), soit le même que pour le début d’alinéa dans le texte principal.
Les citations dans le texte sont entre guillemets français, ouvrants et fermants (suivis et précédés d’espaces insécables), les guillemets anglais (collés au texte) étant réservés aux citations dans la citation : « citation principale “citation à l’intérieur d’une citation” citation principale ».
Le point final est toujours placé après le guillemet fermant, sauf le point d’exclamation et le point d’interrogation placés avant le guillemet lorsqu’ils appartiennent à la phrase citée.
Lorsqu’une citation est donnée sous deux formes (original et traduction), la traduction figure dans le texte principal afin de ne pas briser le rythme de la lecture et l’original est rejeté en note. En revanche, lorsque la citation dans sa langue originelle est précédée ou suivie d’un commentaire d’ordre philologique ou stylistique, il est normal que l’original se situe dans le texte principal, la traduction étant alors rejetée en note.
Toute intervention dans le texte cité est placée entre crochets droits, notamment pour signaler une coupure : « Texte cité […] texte cité ».
On évitera les citations trop longues.
Rappels :
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Lorsqu’on mentionne un nom de personne, le faire précéder du prénom au long à la première occurrence, abrégé à l’initiale (le point suivi d’une insécable) pour les occurrences suivantes.
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Recourir aux abréviations courantes (également suivies d’une insécable) : etc., apr. J.-C., av. J.-C., art., chap., cit., coll. (collection), col. (colonne), éd. (édition de, édité par), ex., fig. (figure), f. (folio), r (recto), v (verso), Mme, Mlle, M., MM., Mgr, n. (note), n°, p., § (paragraphe), pl. (planche), suiv. (suivant / suivante), suppl. (supplément), trad. (traducteur, traduction), v. (vers).
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Les siècles sont indiqués en chiffres romains : petites majuscules suivies de l’exposant puis d’une insécable avant la mention « siècle » (non abrégée).
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Les majuscules sont accentuées : Âge, Église, État, etc.
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Ligatures : on écrira œuvre et non pas oeuvre ; de même pour toutes les autres ligatures : Æ, æ, Œ.
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Les tirets utilisés dans le texte seront de ce type : – (semi-cadratin).
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Un mot dans une langue étrangère (citation isolée ou emprunt) est en italiques, conformément au Code typographique. Une citation plus longue, entre guillemets ou en retrait (voir supra), y compris en langue étrangère, sera donnée en romain.
En tout dernier lieu, avant l’envoi à la Revue du texte que l’auteur considère pour sa part comme définitif, il doit :
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vérifier que l’orthographe et la grammaire ne sont pas fautives, comme c’est trop souvent le cas, en se référant à Adolphe Thomas, Dictionnaire des difficultés de la langue française (Paris, Larousse, 2007), à Delphine Denis et Anne Sancier-Château, Grammaire du français (Paris, Le livre de poche, 1994), à Pascal-Raphaël Ambrogi, Dictionnaire du bon usage au service du sens et de la nuance, Paris, Honoré Champion, 2015, et plus largement à l’ouvrage classique et indispensable de Maurice Grévisse Le bon usage. On évitera les impropriétés (souvent des anglicismes importés dans notre langue) : « dédié à » (pour « consacré à »), « initié » (pour « lancé » ou « commencé »), « opportunité » (pour « occasion offerte » ou « possibilité »), « conséquent » (pour « substantiel » ou « important »), etc ;
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vérifier avec la fonction « recherche » que le texte et les notes ne comportent pas de doubles espaces ou, mieux, utiliser un logiciel d’édition ;
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vérifier que les règles ci-dessus ont été respectées, notamment les majuscules accentuées, les ligatures, la présence des espaces insécables, en principe placées automatiquement au bon endroit par le traitement de texte avant les signes de ponctuation double ( : ; ! ?), après le guillemet ouvrant et avant le guillemet fermant (« x ») ;
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vérifier les espaces insécables placées manuellement après toutes les initiales de prénoms, après les abréviations (chap. 3, t. 5, f. 2, n° 2, l. 17, fig. 24, 4 t., 25 cm) et notamment celle du mot « page » : p. 34 ; etc ;
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vérifier que toutes les notes de page se terminent bien par un point final ;
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veiller à ce que les trois points de suspension… ne soient pas seulement trois points finaux ajoutés... (en typographie française ces trois points de suspension sont une fonction automatique du traitement de texte). Ils sont collés au mot qui les précède. Plus largement, on utilisera Albert Doppagne, Majuscules, abréviations, symboles et sigles : pour une toilette parfaite du texte (4e éd., Bruxelles, De Boeck-Duculot, 2007).
Pour procéder à la correction typographique des textes, il est indispensable de révéler la mise en forme. Pour cela, il faut cliquer sur l’icône ¶ (pied de mouche), ou dans « Affichage », cliquer sur « Révéler la mise en forme ».
Des instructions plus complètes sont disponibles auprès de la rédaction. Elles sont disponibles sur simple demande. Elles seront transmises à l’auteur lorsque son texte aura été définitivement accepté.
Aspect de la page
Indiquer les grandes articulations du texte par des intertitres (trois niveaux au maximum, en caractères gras : niveau 1 en petites capitales, niveaux 2 et 3 en minuscules). Pas de retrait pour les intertitres (alignés au bord gauche de la justification). En revanche, marquer le début des paragraphes par un retrait net.
Caractères non latins
Identifier et fournir les polices numérisées pour les mots en caractères autres que latins (grec, etc.), dont il convient de ne pas abuser. Les signes phonétiques doivent être clairement identifiables (joindre une liste des signes utilisés, en précisant le système de transcription utilisé).
Illustrations
Les figures doivent être particulièrement nettes. Les planches seront fournies sur support numérisé ou, à défaut, sur papier couché. Joindre un état précisant le numéro d’ordre, la référence d’origine, les dimensions souhaitées et la situation dans le texte. Chaque image doit être dimensionnée au minimum au format souhaité et avoir dans ce format une résolution de 300 dpi. Pour éviter tout problème, privilégier des images avec un format de base plus grand et une résolution de 300 dpi dans ce format de base.
Épreuves
Une seule épreuve « en pages » est fournie aux auteurs par mail (fichier joint pdf). Les corrections dites « d’auteur » ne sont plus admises dès que le manuscrit a été remis à l’imprimerie. Les épreuves doivent être corrigées et retournées dans les plus brefs délais.
Tirés à part / Justificatifs des contributions
À dater du 1er janvier 2014, en lieu et place des traditionnels tirés à part sur papier, les auteurs d’articles et de « Notes critiques » reçoivent un fichier numérique (pdf) de leur contribution ainsi qu’un exemplaire du fascicule qui la contient. Les auteurs de recensions, seulement un fichier numérique (pdf) de leur contribution prélevé sur le site <cairn.info>.
Recensions
Nous demandons aux auteurs d'utiliser la feuille de style à télécharger sur cette page (voir ci-dessous "Document annexe") pour mettre aux normes leur recension.
Les ouvrages reçus et susceptibles d’être recensés font l’objet d’une proposition précise comportant toutes les références bibliographiques souhaitables. Si le recenseur pressenti n’est pas intéressé, il suffit qu’il ne donne pas suite. Les livres ne sont envoyés qu’après acceptation formelle et restent la propriété des recenseurs.
- 1 3 120 signes, blancs compris, par page de compte rendu.
Il est souhaitable que les comptes rendus soient critiques, substantiels et apportent des interprétations ou des données nouvelles. Il est admis cependant que, dans bien des cas, ils se bornent à être des notes bibliographiques, c’est-à-dire des notices plutôt courtes et de caractère informatif, mais comportant tout de même une appréciation sommaire (et fondée). La longueur des comptes rendus varie habituellement entre une et trois pages imprimées (voir ci-dessous, en note1, le calibrage des recensions : à titre indicatif, le maximum, désormais impératif, de 3 pages imprimées comporte 9360 signes, blancs compris). Les notes infrapaginales sont à proscrire dans les recensions courtes ; les références bibliographiques sont alors à incorporer au texte.
Notes critiques
Les recensions particulièrement fouillées et d’une certaine ampleur (plus de cinq pages imprimées), abordant un problème au fond, débordant l’ouvrage considéré, à mi-chemin entre le compte rendu et l’article original, peuvent être présentées sous la forme de Notes critiques. On choisira, dans ce cas, un titre renseignant clairement sur le sujet traité, qui sera suivi du sous-titre : Notes critiques* (l’astérisque renverra à une note contenant les références bibliographiques de l’ouvrage recensé). Ces notes critiques seront précédées - comme les articles - de résumés.
Exemple : [Titre et sous-titre] De l’ambigüité en Islam. Notes critiques*. [Note infrapaginale] * À propos de Thomas Bauer, Die Kultur der Ambiguität. Eine andere Geschichte des Islams, Berlin, Verlag der Weltreligionen, 2011, 462 p., ISBN : 978-3-458-71033-2.
Chroniques
Les chroniques, enfin, donnent des informations sur les congrès, colloques et autres activités scientifiques récentes dont il n’existe pas encore de traces imprimées.
Positions de thèses
La Revue, soucieuse de faire connaître sans tarder les résultats de recherches académiques récentes, a une rubrique intitulée « Positions de thèses ». À la différence des articles, celles-ci ne comporteront ni notes ni bibliographies. En revanche, elles seront précédées des résumés traditionnels (en français et en anglais) et des indications indispensables sur la date et le lieu de la soutenance, l’identité du directeur de la thèse, la liste des membres du jury (avec leurs institutions de rattachement), la mention obtenue (exemple ci-dessous).
* Thèse de doctorat d’Histoire, sous la co-direction de MM. Michel Sot (Université de Paris IV Sorbonne) et François Dolbeau (École Pratique des Hautes Études) soutenue le 20 novembre 2006 (3 vol. , 1005 p.). — Membres du Jury : Mme et MM. les Professeurs Mayke de Jong (Université d’Utrecht), Dominique Iogna-Prat (Centre National de la Recherche Scientifique), Michel Lauwers (Université de Nice), Jacques Verger (Université de Paris IV Sorbonne). — Mention Très honorable avec les félicitations du jury.
Références bibliographiques
Dans les articles, développer le prénom des auteurs ainsi que les sigles des revues et des collections, au moins à la première occurrence.
En tête des comptes rendus, les références bibliographiques des ouvrages recensés seront données dans l’ordre suivant :
Prénom(s) - Nom de l’auteur [en petites capitales] - Titre de l’ouvrage [en italiques] - Lieu d’édition - Nom de l’éditeur - Collection, s’il y a lieu, et numéro dans la collection [le tout entre parenthèses, aussitôt après le nom de l’éditeur] - Date - Format - Nombre de pages - Prix - ISBN.
Exemple : Cédric Giraud, Per verba magistri, Anselme de Laon et son école au XIIe, Turnhout, Brepols (« Bibliothèque d’Histoire Culturelle du Moye Âge », 8), 2012, 632 p., 24 cm, 85 €, ISBN 978-2-503-53341-4.
Demandes d’ouvrages aux éditeurs
Les collaborateurs de la Revue qui désirent recenser des ouvrages parus récemment peuvent les demander à la Revue qui se les procurera auprès des éditeurs, mais il est bien entendu que toute demande adressée à la Revue équivaut à un engagement ferme de recenser ces ouvrages dans des délais raisonnables. Indiquer l’adresse de l’éditeur dans la demande adressée à la Revue.
Délai de remise des recensions
La Revue répugne à fixer des dates impératives pour la remise des recensions. Elle fait confiance à ses collaborateurs, dont elle n’ignore pas les charges. Certains abus dans le passé ont néanmoins conduit à fixer le délai maximum de remise des recensions à quatre mois : passé ce délai, des rappels seront adressés aux retardataires.
Correspondance
La correspondance postale est à adresser à la Revue de l’histoire des religions, Collège de France, 11 place Marcelin Berthelot, 75231 Paris Cedex 05.
Privilégier la correspondance par courriel : rhr@ehess.fr