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Notes
La liste la plus exhaustive de ces textes reste à ce jour encore celle dressée par H. Cherniss, Aristotle’s criticism of Plato and the Academy, Baltimore, Johns Hopkins Press, 1944, vol. 1, p. 1‑84.
Premiers Analytiques I, 31 ; Seconds Analytiques II, 5 ; 13.
Des Parties des animaux I, 2‑3.
Par exemple, Topiques (abrégé Top. dans la suite) IV, 1, 121a27‑32 ; 2, 122a4‑30.
Pour ne citer que quelques études importantes, c’est par exemple le cas de P. Pellegrin, art. cit., 1981, p. 173 ; D. Balme, « Aristotle’s use of division and differentiae », in A. Gotthelf et J. Lennox (dir.), Philosophical Issues in Aristotle’s biology, Cambridge, Cambridge University Press, 1987, p. 69‑89 ; M. Deslauriers, « Plato and Aristotle on Division and Definition », Ancient Philosophy, 10, 1990, p. 203‑219 (repris dans M. Deslauriers, Aristotle on definition, Leiden, Brill, 2007, p. 11‑42) ; A. Falcon, « Aristotle’s Theory of Division », Bulletin of the Institute of Classical Studies, 68, 1997, p. 127‑146 ; A. Falcon, « Aristotle, Speusippus and the Method of Division », The Classical Quarterly, 50, 2000, p. 402‑414 ; S. Delcomminette, « Division, dialectique et définition chez Platon et Aristote », Méthexis, 28, 2014, p. 25‑45 ; N. Zaks, « Les réflexions théoriques d’Aristote sur la méthode de division », in S. Delcomminette et R. Van Daele (dir.), La Méthode de division de Platon à Erigène, Paris, Vrin, 2020, p. 41‑57.
Métaphysique (abrégé Met. dans la suite) Z, 12, 1037b27‑29.
Met. Z, 14, 1039a26.
Pour ne citer que trois grandes études sur le sujet, voir M. Frede et G. Patzig, Aristoteles ‘Metaphysik Z’, Text, Übersetzung und Kommentar, vol. 1 et 2, Munich, Beck’sche Verlagsbuchhandlung, 1988 ; M.‑L. Gill, Aristotle on substance. The Paradox of Unity, Princeton, Princeton University Press, 1989 et M. Burnyeat, A Map of Metaphysics Zeta, Pittsburgh, Mathesis, 2001.
Par exemple, c’est le cas de Zaks, art. cit., 2020, p. 56‑57.
Met. Z, 12, 1038a19. Les traductions de la Métaphysique sont celles de Marie-Paule Duminil et Annick Jaulin (Aristote, Métaphysique, Paris, GF, 2008) : lorsqu’une traduction a été modifiée, nous l’avons indiqué en note. Le texte grec est toujours cité dans l’édition d’Oxford, sauf pour les Topiques, qui sont cités dans l’édition de Jacques Brunschwig.
Embarras dont fait état L. Castelli, Aristotle Metaphysics Book Iota, Oxford, Clarendon Press, 2018, p. 171 à propos du texte de Met. I, 8.
Pour d’autres affirmations de l’univocité de la notion d’εἶδος dans la Métaphysique, on consultera notamment M. Zingano, « L’ousia dans le livre Z de la Métaphysique », in M. Narcy et A. Tordesillas (dir.), La Métaphysique d’Aristote : perspectives contemporaines, Paris, Vrin, 2005, p. 104 ; A. Jaulin, Eidos et Ousia, De l’unité théorique de la Métaphysique d’Aristote, Paris, Classiques Garnier, 2015 [1999], p. 112 ; ainsi que S. Delcomminette, Aristote et la nécessité, Paris, Vrin, 2018, p. 437.
Met. Z, 12, 1037b28. Comme le suggèrent M. Frede et G. Patzig, op. cit., 1988, vol. 2, p. 223, on doit sans doute comprendre que le πρῶτον renvoie à l’importance de la division pour résoudre le problème de l’unité de la définition plutôt qu’à l’annonce d’un « premier » type de définition (ce qui supposerait la présence de l’examen d’autres types de définitions), d’où notre choix de traduction.
Met. Z, 12, 1037b27.
Le chapitre 12 a souvent été lu, depuis au moins W. Jaeger, Studien zur Entstehungsgeschichte der Metaphysik des Aristoteles, Berlin, Weidmannsche Buchhandlung, 1912, p. 53‑54, comme une interpolation au sein du livre Z. Il nous semble que l’inclusion dans le livre Z fait peu de doute en raison de son importance revendiquée pour l’enquête sur la substance ; la question de savoir s’il est à sa place entre les chapitres 11 et 13 dépasse quant à elle largement les limites de ce travail. Notons toutefois que de nombreux commentateurs défendent, pour des raisons variées, l’idée que c’est le cas (par exemple : A. Jaulin, op. cit., 2015 [1999], p. 166‑169 ; S. Menn, « Metaphysics Z 10‑16 and the argument-structure of Metaphysics Z », Oxford Studies in Ancient Philosophy, 21, 2001, p. 183‑234 ; M.‑L. Gill, « Unity of Definition in Metaphysics H.6 and Z.12 » in J. Lennox et R. Bolton (éds.), Being, Nature and Life in Aristotle. Essays in Honor of Allan Gotthelf, Cambridge, Cambridge University Press, 2010, p. 97‑121).
Sur l’importance de cette identification, voir A. Jaulin, op. cit., 2015 [1999], p. 108‑113.
Met. Z, 7, 1032b2.
Notons que Met. Z, 5, 1031a10‑11 établit que l’être-ce-que-c’est est à strictement parler le seul objet de définition.
Met. Z, 6, 1032a4‑6.
Met. Z, 10, 1035b33 et passim.
En effet, Aristote insiste régulièrement sur le fait que toute définition est un λόγος, c’est-à-dire qu’il contient plusieurs termes par eux-mêmes signifiants. Voir notamment Seconds Analytiques, II, 10, 93b29‑32 ; Top. I, 5, 101b38‑102a2 ou Poétique, 20, 1457a25‑32. Cet état de fait est clairement rappelé en Met. Z, 10, 1034b20‑24.
Met. Z, 12, 1037b8‑9.
Ce point fait l’objet d’un véritable débat, dans lequel nous n’entrerons pas ici. Pour le dire rapidement, M. Peramatzis, Priority in Aristotle’s Metaphysics, Oxford, Oxford University Press, 2011, avec d’autres, prétend que les parties de l’eidos sont également les parties matérielles du composé. La lecture que nous proposons, qui nous semble plus prudente, se range derrière l’interprétation traditionnelle de ces passages, avancée par exemple par D. Ross, Aristotle’s Metaphysics, Oxford, Clarendon Press, vol. 2, 1924, p. 198.
Met. Z, 10, 1035b33‑34, trad. modifiée.
Ce qui correspond à la lecture de S. Menn, art. cit., 2001.
Met. Z, 12, 1037b11‑12.
Aristote parle ici des ensembles d’extension inférieure au genre premier obtenus lors des étapes intermédiaires de la division.
Met. Z, 12, 1037b27‑1038a4, trad. modifiée.
Voir les trois affirmations de Met. Z, 12, 1038a19‑20 ; 25‑26 ; 28‑30.
Met. Z, 13, 1038b8‑9.
Par exemple : Met. Z, 2, 1028b13‑24.
Met. Z, 14, 1039a25‑26.
Met. Z, 14, 1039a33‑34.
Met. Z, 14, 1039b7.
Met. Z, 14, 1039b9.
Nous ne reviendrons pas sur le texte du chapitre 3 (1043b4‑14), qui est loin d’être le plus clair sur notre question. Il doit toutefois bien être rattaché à l’enquête sur la relation entre le genre et l’eidos, comme l’ont montré par exemple P.‑M. Morel, Aristote, Métaphysique Eta, Paris, Vrin, 2015, p. 137‑139 ou S. Seminara, Materia senza materialismo, Naples, Instituto Italiano per gli studi filosofici, 2022, p. 285‑288.
Notons que c’est sans doute là ce qui explique le caractère disséminé des remarques d’Aristote : l’objet du livre H est précisément d’explorer la nature de l’hylémorphisme en général, dont la division est un cas particulier. Il est normal que la division apparaisse de cette manière.
Met. Z, 17, 1041a7.
Met. Z, 17, 1041a9‑10.
Met. Z, 17, 1041a28.
Met. Z, 17, 1041b7‑8.
Sur cette question, la littérature est abondante. Voir, en particulier, les études éclairantes et récentes de G. Galluzzo, « Are Matter and Form Parts? Aristotle and Neo-Aristotelian Hylemorphism », Discipline Filosofiche, 28, 2018, p. 64‑86 ; D. Quarantotto, « Aristotle on the Difference in Material Organisation Between Spoken and Written Language: An Inquiry into Part-Whole Relations », Elenchos, 2019, 40, p. 333‑362 et E. Berti, « Métaphysique Z 17 », Aristotelica, 1, 2022, p. 29‑51.
Met. Z, 17, 1041a26‑27 ; b7‑9.
F. Mié, « Explaining Substance: Aristotle’s Explanatory Hylomorphism in Metaphysics Z.17 », Rhizomata, 8, 2020, p. 59‑82.
Met. H, 2, 1042b9‑11.
S. Delcomminette, « Métapihysique H, 6 : unité de l’ousia, unité de l’eidos », Elenchos, 25, 2014, p. 89‑125.
Met. Δ, 26, 1023b2. Cette occurrence désigne bien le genre, comme le soulignent R. Bodéus et A. Stevens, Aristote, Métaphysique Delta, Paris, Vrin, 2014, p. 192 et non la matière sensible, comme le pense M. Peramatzis, op. cit., 2011, p. 54‑55.
Met. H, 6, 1045a34‑35.
Met. Z, 10, 1036a9‑12 et 11, 1036b32‑1037a5.
Thomas d’Aquin, Commentaire à la Métaphysique d’Aristote, VIII, 5, n. 6‑7, affirme que l’expression « matière intelligible » signifie la seule extension spatiale des objets mathématiques, ce à quoi de nombreux commentateurs s’opposent. Pour une synthèse des positions pro et contra, voir C. Helmig, « Aristotle’s Notion of Intelligible Matter », Quaestio, 7, 2007. Il nous semble prudent de considérer que le sens de la notion est sans doute équivoque entre ces occurrences, comme le fait P.‑M. Morel, op. cit., 2015, p. 196. Il nous paraît clair que la présence des occurrences de Met. Z, 10 et 11 ne doit pas déformer la lecture du texte de Met. H, 6, comme y insiste S. Delcomminette, art. cit. p. 106‑110.
Met. H, 6, 1045a33‑35, modifiée.
Depuis au moins D. Ross, op. cit., vol. 2, 1924, p. 199‑200.
Met. Δ, 28, 1024a36‑b3.
Met. Δ, 28, 1024b8.
Met. Δ, 28, 1024b3‑4.
À propos de la prédication hylémorphique, voir l’important article de J. Brunschwig, « La Forme, prédicat de la matière », in P. Aubenque (dir.), Études sur la Métaphysique d’Aristote, Paris, Vrin, 1979, p. 131‑158.
Met. Δ, 28, 1024b8‑9.
Par exemple, voir la démonstration de Met. H, 1, 1041a32‑b6.
Met. I, 8, 1057b37.
Met. I, 8, 1057b37, trad. modifiée.
Sur ce point difficile, voir le commentaire éclairant dans L. Castelli, op. cit., 2018, p. 198‑208. Voir également les commentaires du chapitre dans D. Quarantotto, « Dalla Diversità per specie alle condizioni di possibilità dell’essenza, Aristotele, Metaphysica, I, 8, 9, 10 », Méthexis, 17, 2004, p. 25‑53 et D. Quarantotto, « Metaphysica Iota 8‑9: le cose diverse per specie et lo status dei principi » in B. Centrone (dir.), Il Libro Iota (X) della Metafisica di Aristotele, Berlin, Academia Verlag, 2005, p. 171‑186.
Met. I, 8, 1058a3‑4.
La langue française prête en effet à confusion : on dit trivialement que ce qui diffère entre deux choses, c’est ce par quoi elles diffèrent. Le grec d’Aristote fait ici preuve d’une précision remarquable que notre langue gomme : le nominatif (ce qui diffère) désigne le sujet de la différence, c’est-à-dire ce qui est identique entre les termes différents, tandis que le datif (ce par quoi diffère ce sujet) désigne la cause de la différence, c’est-à-dire l’élément qui est différent entre ces termes. Le genre, parce qu’il est le substrat de la différence, est ce qui diffère entre deux espèces, au sens où il est le sujet (identique dans les deux termes) de la différence, tandis que la différence dernière est ce par quoi diffère le genre entre ses espèces. C’est en ce sens qu’Aristote affirme que le genre est ce qui diffère entre deux eidè.
Met. I, 8, 1058a23‑24.
Met. Z, 12, 1038a19.
« De sorte qu’il est manifeste que l’énoncé de définition résulte des différences (ὁ ὁριςμὸς λόγος ἐστὶν ὁ ἐκ τῶν διαφορῶν), et en particulier de la dernière d’entre elles (καὶ τούτων τῆς τελευταίας) », Met. Z, 12, 1038a28‑30.
Met. Z, 12, 1038a10‑15.
Met., Z, 12, 1038a16.
M. Crubellier et P. Pellegrin, Aristote. Le philosophe et les savoirs, Paris, Seuil, 2002, p. 104.
Met. Z, 12, 1037b8‑9.
Possibilité qui concerne notamment la définition obtenue par division, comme le montre Michel Crubellier dans sa contribution au présent dossier (« La question obscure et embrouillée du syllogisme de la définition »). Sur les liens entre Met. Z, 17 et Seconds Analytiques II, 8, voir notamment F. Mié, art. cit., p. 59‑82 et E. Berti, art. cit., p. 33‑37.
Seconds Analytiques II, 6, 92a27‑33.
Top. I, 6, 102a31‑3. Sauf indication contraire, la traduction des Topiques est celle de J. Brunschwig, Aristote, Les Topiques, Paris, Les Belles Lettres, vol. 1 et 2, 1967 et 2007 ; elle est ici légèrement modifiée.
Top. I, 6, 102a33.
Top. I, 6, 102a34.
Plusieurs passages du corpus envisagent en effet une définition approximative de certaines choses au moyen de leur matière. Voir par exemple Met. E, 1 1025b32‑1026a6 ; H, 2, 1043a14‑28 ou De anima, I, 1, 403a28‑b7.
Top. IV, 6, 128a23‑26, trad. modifiée.
La traduction de ποιόν par « qualification » plutôt que par « qualité » est celle de Jacques Brunschwig. Cette traduction souligne que le terme ne désigne pas un attribut relevant de la catégorie de la qualité, mais le caractère « attribué » de la différence, c’est-à-dire le fait qu’elle est un prédicat du genre. Voir la justification de cette traduction dans J. Brunschwig, op. cit., 1967, vol. 1, p. 81, n. 4.
Top. IV, 2, 122b16‑17, trad. modifiée.
Met. Δ, 24, 1024b5‑6, trad. modifiée.
Je remercie très chaleureusement mon ami et collègue Filippo Sirianni qui a pris le temps de relire patiemment une version préparatoire du présent article, et qui m’a fait part de ses remarques et de ses suggestions précieuses ; les erreurs, insuffisances et incohérences qui restent sont évidemment de mon seul fait. Je remercie également l’ensemble des participants et participantes des journées des 2 et 3 décembre 2022 pour les échanges précieux que nous avons eus et qui ont nourri ce travail.
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