Alphonse Bos, Glossaire de la langue d’oïl (xie-xive siècles), contenant les mots vieux français hors d’usage, leur explication, leur étymologie et leur concordance avec le provençal et l’italien
Alphonse Bos, Glossaire de la langue d’oïl (xie-xive siècles), contenant les mots vieux français hors d’usage, leur explication, leur étymologie et leur concordance avec le provençal et l’italien, Genève, Slatkine Reprints, 2013 [réimpression de l’édition de Paris, J. Maisonneuve, 1891], 466 p.
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Alphonse BosTexte intégral
1Certes, Alphonse Bos (1835-1913) n’est pas un perdreau de l’année, et il est regrettable de rendre compte de son Glossaire quelque cent vingt-quatre ans après sa publication. Ce délai, sans doute un peu long – mais, grâce aux éditions Slatkine, une nouvelle chance nous est donnée de parler de cet ouvrage – permet toutefois d’attirer l’attention sur l’intérêt qu’offrent encore les vieux manuels de philologie, dépassés sans doute dans leurs méthodes et leurs présupposés théoriques, mais non dans leurs intuitions et leur connaissance intime de la langue. Cette chronique, du reste, ne prétend que rappeler ce que les historiens de la philologie, Ursula Bähler, André Corbellari, Frédéric Duval, Charles Ridoux, pour n’en citer que quelques-uns, nous ont appris depuis un certain temps déjà, savoir qu’il est toujours intéressant de se plonger dans l’histoire de sa discipline et l’examen de ses fondements.
2Alphonse Bos, donc, qui ne lira cette recension qu’au ciel des philologues, prenait place dans une lignée déjà longue de lexicographes français et occitans, lorsqu’il entreprit la confection de son glossaire ; on citera pour mémoire quelques-uns des plus connus d’entre les ouvrages de ces précurseurs, et qui font étape (j’en abrège les titres, souvent interminables) : Pierre Borel, Trésor de recherches et antiquités gauloises et françoises, 1655 ; La Curne de Sainte-Palaye, Dictionnaire historique de l’ancien langage françois, dont la publication commença du vivant de l’auteur dès 1769 mais ne fut achevée, pour sa plus grande partie, qu’en 1882 par Léopold Favre ; Jean Baptiste Roquefort, Glossaire de la langue romane, 1808 ; François-Just-Marie Raynouard, Lexique roman ou dictionnaire de la langue des troubadours, 1836-1844 ; Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue et de tous ses dialectes du ixe au xve siècle, 1881-1902.
3Je voudrais dire deux mots de l’introduction d’Alphonse Bos, modeste mais intelligente (p. V-XX). Son objectif est de permettre aux « jeunes humanistes » (p. VI) de connaître la « jeune langue française » aussi bien qu’ils connaissent celle des anciens : « il n’est pas concevable qu’un Français lettré, comprenant Homère et Virgile, ne sache pas lire la Chanson de Roland et Joinville » (ibid.). Passons sur le fait qu’en matière de culture humaniste, depuis l’époque d’Alphonse Bos, les choses ont pas mal changé, pour ne retenir que le fait qu’il n’est pas totalement stupide, en effet, de souhaiter que les élèves français aient une connaissance, même approximative, de la langue des anciens textes, car, dit-il « on ne connaît bien une langue, une littérature, comme une plante, un animal, que lorsqu’on en a étudié le développement de la naissance au complet épanouissement, du gland au chêne, de l’œuf à l’organisme adulte, de la Chanson de Roland à Victor Hugo » (p. VI). Qui dit mieux ? Et n’est-ce pas là une phrase à mettre sous tous les yeux, en particulier ceux des autorités universitaires qui ne semblent pas convaincues que l’on fait toujours du neuf avec du vieux ? Alphonse Bos reproche à Malherbe et à ses affidés d’avoir accrédité l’opinion que la langue et la littérature française avaient commencé sous leur règne de grammairiens barbus, bien armés de sécateurs et de toute sorte de désherbants, ou pour user, comme fait l’auteur, d’une autre métaphore, d’une baguette et d’un chapeau pointu : « comme par enchantement, sous la baguette magique des écrivains du xviie siècle, ce baragoin, de grossier, obscur, informe qu’il était, serait devenu une langue policée, claire, parfaite » (p. V). Aussi veut-il corriger ce que cette illusion a d’injuste et d’improductif en proposant un lexique « portatif » (p. VII) qu’il estime suffisant pour lire la plupart des textes écrits en « notre vieille langue » (p. XVII). Et ses choix, compte tenu de son ambition modeste, sont bien fondés pour la plupart.
4Son parti chronologique est simple : il se limite à l’époque où la déclinaison bi-casuelle est encore possiblement usitée (nous savons qu’elle survit jusqu’au xive siècle dans les textes septentrionaux). Comme il ne prétend pas fournir un inventaire complet de la langue médiévale d’oïl, il élimine les mots dont le sens n’a pas changé (tels pain, vin, etc.). Beaucoup de dictionnaires bilingues de langues modernes devraient s’inspirer de ce principe, qui s’encombrent de mots absolument transparents dans les deux langues. Est-ce par exemple utile, dans un minidictionnaire franco-italien (Le Robert et Collins, 1992) de gloser filantropia, filatelia, filarmonica, filosofia, etc. ? Ce choix comporte néanmoins des inconvénients, lorsqu’il s’applique sans discrimination aux mots polysémiques ; ainsi, en éliminant des verbes comme devoir, monter ou prendre, A. Bos élimine du même coup de nombreux tours phraséologiques, tels que que doit ‘à quoi tient, pourquoi ?’, monter a aucun ‘être utile, servir à qqn’ ou prendre a ‘commencer’. Non moins gênant, il élimine les mots qui ont survécu, mais dont le sens a changé (avaler, choisir, courtois, fier, ostel, pis, pucele, etc.), en songeant que « le plus souvent le lecteur remontera du sens actuel au sens perdu » (p. VII), ce qui est faire preuve de beaucoup d’optimisme (ou n’avoir pas eu d’étudiants tels que nous avons), et cela concerne de très gros morceaux de la lexicographie médiévale, comme piece, que l’on cherchera en vain (mais l’on trouvera pieça, p. 369, sans explication). Il fait pourtant des exceptions, dont on contestera l’arbitraire, voire la pertinence, pour des mots tels que gentil (mais pas vilain), mestier, sergent, talent, etc. Son lexique, donc, à part « quelques rares exceptions […] ne contient que les mots complètement morts », il n’est « qu’un catalogue nécrologique en commémoration des mots trépassés » (p. VII). Il délaisse à juste raison aussi « les mots techniques qui n’étaient point entrés dans l’usage commun » (il s’agit, ne l’oublions pas, d’un manuel pour lecteurs d’anciens textes littéraires, et pas de chartes ou de réceptaires), ce qui écarte les mots savants du droit ou de la médecine, mais non tous ceux de la zoologie (jamble ‘crabe, écrevisse de mer’, p. 278) ou de la botanique (jarris ‘espèce de houx ou de chêne’, p. 278) et laisse place à quelques mots non spécialisés usités dans le droit (essoigne ‘excuse en justice, délai légal’, p. 195) ; de même, les mots savants, hormis les plus anciens d’entre eux (semi-savants en général, tel apostoile ‘pape’) ; les adverbes en ‑ment, récupérables à partir de leurs adjectifs ; les dérivés d’un mot dont le sens est clairement récupérable par ce mot ; les diminutifs ; les mots préfixés, notamment lorsque leur sens ne diffère pas sensiblement de celui du mot simple (fouler/defouler ; amer/aamer), si ce n’est par une nuance intensive ou inchoative, par exemple (précisons qu’il consacre des notices à ces préfixes, ce qui suffit à éclairer le sens de beaucoup de composés) ; de même pour les mots suffixés, lorsque leur sens ne diffère guère du mot simple (aatie, aatine, aatison, aatisement), que l’auteur regroupe sous celui-ci. Il exclut encore les mots « qui vivent encore, mais sous une autre forme, légèrement modifiée, ordinairement abrégée » (p. X), tels seürté, serement, verté, et bien d’autres qui ne diffèrent des mots du français moderne que par une voyelle en hiatus, une prétonique par la suite amuïe, une graphie relatinisée ou tout autre trait mineur qui ne fait pas obstacle à leur compréhension. Là aussi, il fait des exceptions, tels abitacle, pichier (‘pichet’, p. 368), qui donne lieu à un long commentaire étymologique, ou pois (‘poids’, p. 374), prétexte à souligner la parenté étymologique de peser, penser et panser. Sont également exclus « tous les mots qui pouvaient, même de loin, offenser la pudeur » (p. XVII), comme il va de soi (pour l’auteur) dans un ouvrage destiné aux jeunes gens. La lecture des farces et autres fabliaux quelque peu lestes n’est donc pas la priorité de notre auteur.
5Pas plus que la plupart des lexicographes (pensons à l’excellent Félix Gaffiot), il n’est toujours entièrement cohérent avec les choix qu’il énonce. Ainsi, l’entrée suivante (p. 121), où ni le sens ni l’étymologie ne sont assurés, paraît bien inutile dans un lexique scolaire : « Davedet s. m. vantard ? Et. ? » ; et que dire des longues ou très longues notices sur jart (‘poil long et dur dans la laine’, p. 279), lanier (‘espèce de faucon’, p. 289), randon (‘course rapide’, p. 396), rechaner (‘montrer les dents’, p. 399) ou sendra (‘seigneur’, p. 426), fort intéressantes mais peut-être déplacées dans un volume qui élimine tant de mots essentiels par économie (ce sont là des plats de choix pour le philologue mais pas forcément pour l’élève ou l’étudiant, pour lesquels il aurait été peut-être plus utile de savoir que tenir ostel n’a rien à voir avec le métier d’hôtelier). Conformément à ses principes, il aurait pu faire figurer gabeler ‘railler’ sous gaber (p. 226), plutôt que de lui consacrer une entrée spécifique, et supprimer dardeler (p. 121), aisément récupérable en contexte d’après darder (qui ne figure pas dans ce glossaire comme cela est normal) ; ainsi encore, navrer, qui semblait avoir été exclu (p. VII), figure néanmoins à la p. 343 ; et pourquoi donner ostage ‘otage’ ou oste ‘hôte’, mais non ostel ‘maison’ (p. 356), plus faux ami que les précédents ? Pourquoi trouve-t-on assez (p. 28) mais pas maintenant ou trop, qui ne sont pas moins faussement familiers ?
6Pour ce qui concerne la graphie des entrées (la lemmatisation), il choisit « la plus usuelle, et se rapprochant le plus de son origine, le latin » (p. XI) ; pour faciliter la recherche, A. B. fournit l’A.B.C. de la phonétique historique, en usant d’une terminologie certes peu recommandable (« les sons latins ont eu une tendance à s’obscurcir en Français (sic) » (p. XI), et, au vrai, son abrégé de phonétique historique, qui occupe une demi page, n’est pas d’un grand secours (la remarque la plus utile est qu’il convient de chercher les formes du type au- sous al-). Il adopte logiquement le principe d’une entrée au cas régime, tout en citant quelques cas sujets de troisième déclinaison (p. XI). Les signes diacritiques font aussi l’objet d’une remarque (tréma pour hiatus, accent aigu pour /e/ tonique, etc.) et, à cette occasion encore, il rappelle que « son but est de faciliter la lecture et l’intelligence du vieux français » (p. XII), non de faire dans la fidélité absolue aux formes manuscrites, pour laquelle, dit-il, il convient de photographier plutôt que d’imprimer (p. XII). Je me demande si cette observation n’est pas digne d’être méditée à l’heure où l’on traite les textes non comme des œuvres à lire, mais des sources ou des données dont il faut méticuleusement reproduire toutes les coutures. De même, il précise qu’il adopte les formes franciliennes et fournit quelques menus éléments de dialectologie (p. XIII-XIV).
7Le Glossaire fournit également de nombreuses indications étymologiques, en se fondant sur la meilleure source de l’époque, le dictionnaire étymologique de Friedrich Christian Diez (1794-1876), et il adopte, pour faciliter la comparaison entre les mots latins et français, le stratagème suivant : mettre en italiques, dans les mots latins, les « lettres qui dans le mot latin sont tombées pour devenir le mot français » (p. XV ; je reproduis fidèlement la syntaxe approximative de l’auteur), ainsi plenitatem pour plenté. Il prétend encore marquer, outre la filiation des mots, « leur parenté collatérale » (p. XV), en se limitant, pour des raisons de place, au provençal (je suppose qu’il désigne par là l’occitan), parce que « les langues d’oïl et d’oc sont jumelles » (p. XVI), et l’italien, parce que, de toutes les filles du latin, « c’est celle qui ressemble le plus à sa mère » (ibid.) et qu’elle sert de trait d’union entre le latin et les français (d’oc et d’oïl), dans un ordre de fidélité qui serait : latin, italien, « provençal », ancien français, français moderne. Ce qui lui paraît particulièrement intéressant dans le cas de l’italien, c’est que cette langue « a conservé encore aujourd’hui avec le sens qu’ils avaient en vieux français la plupart des mots qui ont disparu depuis longtemps de notre langue, en sorte que le plus souvent le mot italien moderne, correspondant au mot vieux français, en est la meilleure explication et le meilleur commentaire » (p. XVI). J’avoue que cette remarque me plaît assez ; elle révèle en tout cas un état d’esprit comparatiste dont nous gagnerions beaucoup à nous inspirer. Il donne de ces correspondances une petite liste bien choisie et tout à fait convaincante. Dans le même esprit, il signale les mots anglais vestiges de l’ancien français (plenty/plenté, etc.). En somme, ce dictionnaire est un petit abrégé de l’histoire de la langue. On peut cependant lui reprocher, d’un point de vue pédagogique, de ne pas signaler les locutions qui sont de vrais conservatoires de mots disparus : sans coup férir, avoir maille à partir, non signalés sous ferir, p. 209 ou partir, p. 362), voire des mots du français contemporain qui présentent, sous une forme altérée, un mot de l’ancien français disparu : forcené (non signalé sous fors, p. 218) ou aîné (non signalé sous ainz, p. 10).
8L’auteur reconnaît sa dette (c’est méritoire à lui) envers le dictionnaire de Frédéric Godefroy, alors en cours de publication (p. X), et dont il a utilisé tous les volumes déjà publiés. Comme Le Lexique de l’ancien français (1901), abrégé du Godefroy que l’on doit à Jean Bonnard et Amédée Salmon, les articles de ce glossaire ne comportent généralement pas d’exemples, ce qui est un inconvénient majeur, d’autant qu’il ne fournit pas non plus de source qui permettrait au moins une vérification de leçon. Il lui arrive de citer Plaute (dan), Pline (saön), Suetone (vaslet), Varron (mire), Venance Fortunat (harpe), La Chanson de Roland (navile, pont), Aye d’Avignon (pon), Brunetto Latini (grifaigne), Dante (acesmer), Robert Estienne (lanier) Henri Estienne (nons), Malherbe (navile), Bossuet (navile), La Fontaine (maisniée), et bien sûr j’en passe, mais il ne donne que rarement les références exactes de ses exemples. Notons qu’Alphonse Bos ne s’est pas non plus encombré d’une bibliographie des textes ou des ouvrages utilisés.
9Je ne veux pas passer en revue le détail des articles, que j’évalue à quelque mille et cinq centaines (en excluant les entrées qui ne sont que des renvois), qu’il faudrait confronter aux dictionnaires les plus récents (Tobler-Lommatzsch, DEAF, DMF), auprès desquels il ferait évidemment très pâle figure, et peut-être prêterait à rire : entrées fantômes, graphies hasardées ou curieusement choisies (vassal apparaît sous vasal, p. 458, graphie certes attestée mais bien plus rare que la première), sens aventureux, étymologies suspectes (prode, p. 382) ou mal fondées (mastin, p. 319, oir, p. 351, traire, p. 448), surtout lorsqu’il se fonde sur Littré, descriptions phonétiques erronées (ainsi, il appelle « euphonique », c’est-à-dire épenthétique, le -t- de chartre ‘prison’, p. 81). On trouve assurément tout cela, et plus encore, sans trop chercher, surtout peut-être à partir de remembrer, où l’auteur n’avait plus le secours du Godefroy (dont le t. VI, paru en 1889, s’arrête à remembrance, tandis que son t. VII, qui reprend à remembrant, est paru en 1892). On trouverait aussi des lacunes (ainsi donne-t-il talent, p. 440, mais non mautalent ou maltalent) et l’on se plaindrait légitimement du traitement réservé aux locutions, rarement mentionnées (chief, p. 196, estal, p. 196 font figure d’exception) ; enfin, même si peu nombreuses, on relève quelques coquilles (p. 449, sous tref, « Et. brabem », lire trabem).
10Je voudrais néanmoins recommander chaudement la lecture de ce lexique du docteur Alphonse Bos (ai-je dit qu’il était médecin ?), amateur très éclairé, qui me paraît, pour son temps, une intelligente réussite ; et la lecture de ses articles, que l’on ne manquera pas de confronter aux données plus récentes de la linguistique historique, me semble toujours, sinon d’actualité (n’exagérons pas), du moins intéressante et instructive, voire stimulante, avec ses parfois longues, en tout cas très nombreuses, discussions philologiques (voyez sous baron, gable, hanste, joevene, lambre, lampas, landon, laöste, lanier, requoi, etc.) et ses hypothèses personnelles, ses remarques morphologiques (sur les préfixes) et graphiques pleines d’intérêt (ainsi, pour les lettres x, y, z, ne se contente-t-il pas, comme font la plupart des lexicographes, de laisser vides les entrées correspondantes, mais il explique la valeur de ces lettres dans la graphie de l’ancienne langue ; il commente intelligemment le graphème w, p. 464-465 et le digramme qu, p. 386 ; il réserve deux pleines pages, p. 258-259, à la lettre h). De plus, loin de s’en tenir aux langues précitées (latin, occitan, italien), il fournit bon nombre de rapprochements avec d’autres dialectes romans (dialectes de l’italien, espagnol, pour ensalcier, p. 164, ladin, pour grigne, p. 247, etc.), de nombreuses langues germaniques (pour harpe, p. 265, l’ancien haut allemand, le norois, l’anglais, l’allemand moderne ; pour grif 1, p. 247, en plus des précédentes, le gothique, le néerlandais), et n’hésite pas à donner l’étymologie grecque lorsque celle-ci est pertinente (sous provoire, p. 383, grif 2, p. 247, etc.). Son parti, nettement pédagogique malgré la grande érudition déployée par son auteur, autant littéraire que linguistique, et qui se fonde sur les meilleurs outils philologiques disponibles de son temps, pourrait être une source d’inspiration pour les concepteurs modernes d’outils analogues.
Pour citer cet article
Référence électronique
Stéphane Marcotte, « Alphonse Bos, Glossaire de la langue d’oïl (xie-xive siècles), contenant les mots vieux français hors d’usage, leur explication, leur étymologie et leur concordance avec le provençal et l’italien », Perspectives médiévales [En ligne], 36 | 2015, mis en ligne le 01 janvier 2015, consulté le 03 décembre 2024. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/peme/8230 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/peme.8230
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