Une maison close à Grenade (Haute-Garonne) en 1915
Résumés
Découverts en décembre 2016, les graffitis portés à la mine de plomb sur les murs des deux pièces d’une modeste maison de Grenade (Haute-Garonne) révèlent la destination de cet édifice. Il servait, de janvier à septembre 1915, de maison close, probablement clandestine, et recevait les militaires du centre d’instruction proche. Les inscriptions et les dessins recensés témoignent des mentalités et des mœurs de jeunes hommes qui ont pour la plupart quitté, cinq mois après le début du conflit, leur foyer pour la première fois. Les inscriptions montrent leurs réactions, plus ou moins retenues, face au désir. Les dessins (représentations humaines, animalières….) attestent d’une grande habileté manuelle qu’on retrouve dans cet « art des tranchées ». Exemples rares, les graffitis de Grenade ne devraient pas résister aux travaux à venir.
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1En décembre 2016, de nombreux graffitis sont découverts dans une maison par une équipe de l’INRAP, lors de fouilles préventives effectuées dans une petite cour attenante. Son responsable alerte, entre autres, le service de la connaissance du patrimoine de la région Occitanie, à venir examiner l’intérêt des œuvres.
2L’entrée de l’édifice se fait par la rue Hoche. Un couloir de 11 mètres de long dessert deux petites pièces situées au fond à gauche de la parcelle et aboutit à la petite cour étudiée. L’ensemble doit être détruit. La première pièce, de dimensions fort modestes (2,74 × 1,75 m), équipée d’une cheminée et d’un puits de jour, comporte sur les quatre murs noircis, des peintures polychromes fortement altérées laissant apparaître, dans les parties écaillées, des graffitis réalisés à la mine de plomb. Les peintures sont postérieures aux graffitis. La deuxième, une pièce d’habitation à peine plus grande (3,78 × 3,14 m), avec une fenêtre sur la cour, présente sur chacun des quatre murs et sur le manteau de la cheminée d’angle, des dessins, de même nature que précédemment, également réalisés à la mine de plomb (caricatures, scènes de la vie moderne ou galantes, scènes animalières) et accompagnés d’inscriptions (signatures, poèmes, chansons, noms de personnes…). Les graffitis des deux pièces sont réalisés sur une mince couche d’enduit, probablement du plâtre, dressée contre des murs en galets ou des cloisons en briques pleines. Les auteurs sont nombreux et les écrits et dessins sont majoritairement situés entre 1,30 m et 1,80 m de hauteur. Seule la partie du mur à droite de la fenêtre ne porte aucune trace.
Fig. 1.
Grenade (Haute-Garonne), petite maison cadastrée 2012 OC03 1092, plan schématique des lieux
P. Roques © région Occitanie
Une maison close
3En 1915, les deux pièces semblent être destinées au même usage : elles servaient à la prostitution comme il est indiqué dans la deuxième « Fait et clos au boxon / N° 9 » au bas d’une chanson écrite sur le mur. De plus, la porte en bois peint de cette pièce comporte à la craie « 16me Chasseurs / Au / Salon / Petite / Chambre ». Sur l’enduit du couloir le profil gauche d’une femme fumant la pipe est accompagné de l’inscription « madame Marguerite / sept 1915 » qui donnerait l’identité de la belle de nuit. Enfin, « Vive les marlous », porté dans la deuxième pièce, indiquerait la présence d’un proxénète qui pourrait être représenté par deux dessins, celui peint en rouge d’un profil gauche réalisé dans le couloir ou celui au crayon dans la petite pièce : ressemblant à la prostituée, il porte une moustache. La petite pièce devait servir à la dame, l’autre avec les nombreux graffitis, de salle d’attente.
- 1 Archives départementales de la Haute-Garonne, 1 D 10 : registre de délibérations, 1915-1930.
4Par ailleurs, « le boxon » étant le numéro 9, d’autres maisons closes auraient été en activité à Grenade en 1915. En effet, les dates extrêmes relevées dans cet édifice partent de « janvier 1915 » et aboutissent à « sept 1915 ». Grenade, qui compte 3 302 habitants au recensement de 1911, accueille en 1915 « 3 000 hommes de troupe » qui obligent la municipalité, comme l’expose son maire le 21 février de cette année, à engager une dépense de 150 francs pour « l’installation d’urinoirs provisoires »1. Une deuxième somme de 150 francs est également votée pour doter le « prix de tir », somme « offerte à M. le colonel commandant le centre d’instruction de Grenade ». Septembre 1915 doit probablement être la date à laquelle ferme la maison close soit par décision des autorités (les archives de la police sont malheureusement inexistantes) soit parce que le centre d’instruction cesse alors ses activités comme nous l’avons relevé dans d’autres villes.
- 2 Elles seront fermées en 1946 par la loi « Marthe Richard ».
- 3 BENOIT, Christian. Le soldat et la putain, éditions Pierre de Taillac, 2013, 695 p.
- 4 BIZARD, Léon Clément. Souvenirs d’un médecin de la préfecture de police et des prisons de Paris (19 (...)
5C’est en 1804 que les maisons dites de plaisir sont légalisées2. L’objectif était de soumettre les prostituées à des contrôles sanitaires réguliers afin d’éviter la propagation de maladies vénériennes. De tous temps, avec les militaires, la prostitution est une activité florissante car les soldats, loin de leur famille, sont en manque de compagnie féminine. Les maladies faisant des ravages au sein des troupes et aucun médicament n’existant alors, l’armée obtient, au XIXe siècle, la légalisation des prostituées par leur inscription auprès des autorités locales et l’interdiction du racolage sur la voie publique3. Dès le début de la Grande Guerre, le grand nombre de soldats rend de plus en plus sordide4 le quotidien des prostituées exerçant sur le front dans les nombreuses « maisons d’abattage ». À l’arrière, l’arrivée et le départ des troupes coïncident généralement avec l’ouverture et la fermeture de maisons closes, souvent autorisées mais parfois clandestines comme c’est probablement le cas à Grenade, lorsque 3 000 militaires arrivent fin janvier 1915.
Les inscriptions
6Beaucoup d’inscriptions sont effacées par le temps. Parmi celles qui sont lisibles, les plus nombreuses indiquent l’identité des soldats : les noms et prénoms sont écrits une seule fois comme « A Lan » après la date du « 5/2/1915 » ou plusieurs, deux fois de suite pour « Micoud Jules / Lacrambe Antonin » et quatre fois en suivant pour « Jean Ainé ». Parfois, l’identité du soldat est complète comme sur le mur est : « Jules Dannier / 11e chasseurs / Permissionnaire / Saint Gengoux / National / Saône et Loire ». D’autres fois, le témoignage du sentiment patriotique, habituel au début du conflit, précède les noms des soldats comme sur le manteau de la cheminée : « Vive la France / Jeunes soldats de Moissac / 1er janvier 1915 19 h 50 soir / Meillon Gatien / Remi Rousseau / Julien Sall ». Si le « Souvenir d’une bonne soirée, 12/2‑1915 » reste pour l’un d’eux, ce n’est pas le cas d’un autre anonyme qui souhaite « Vivement la fuite de Grenade » car il a fait « 22 j de prison ». Jean Pujol partage cet avis lorsqu’il écrit deux fois « maison de la Déche à Campagne ».
7Un autre exprime son opinion au sujet d’un gradé, « le roi des » au-dessus du profil gauche du militaire coiffé d’une casquette. Mais que penser de l’inscription suivante ? : « Sur ce trône merdeux / Dominant la fosse d’aisances / L’arme serait bien mieux / Que sur le trône de France ». Témoigne-t-elle d’un sentiment pacifiste en donnant une piètre place à l’arme plutôt qu’en la laissant aux mains du pouvoir ?
Fig. 2.
Grenade (Haute-Garonne), mur nord ; inscriptions au-dessus du profil gauche d’un militaire
P. Roques © région Occitanie
- 5 G. P. Philomneste, amusements philologiques ou variétés en tous genres, Paris, 1808, p. 120.
- 6 Le « vit » est le pénis et le « con » le sexe de la femme.
- 7 Une prostituée.
8Les écrits à caractère sexuel sont nombreux, parfois moqueurs tel ce quatrain d’octosyllabes, « Ci git Mouton Coiffeur cocu / Dont la femme sans enseigne / Gagna bien plus avec son cu / Que le barbier avec son peigne », d’autres fois on encourage son compatriote « Vas-y / Ernest ! / c’est pas ta mère ». Parce que l’avenir est incertain, quelques-uns n’ont aucune retenue face au désir : « Souvenir de Garcia Jean-Marc / Jeunne (sic) Soldat au 83e d’Infanterie / Encules (sic) des femme (sic) vive les / Pute (sic) et les çu (sic) des femmes ». D’autres, plus subtils, usent du rebus5 « tu ou tu / pas tu pas / mal tu mal / o tu q ». Jean Prat à Toulouse préfère assouvir son désir sous forme d’un poème qu’il écrit deux fois : « Je t’aime la belle / Veux n’aimer que toi / Mettre de moi-même / Mon cœur ici bas / Vit dans l’espérance / Dans ce monde ici bas / ton cœur balance / Con6 ais-tu cela » en précisant qu’il faut « Lire les premiers mots / De chaque ligne ». Un inconnu exprime ses sentiments à travers une chanson paillarde, révélant par ailleurs l’inconscience des jeunes soldats face aux maladies vénériennes mais aussi ralliant une des autorités locales, le curé : « Attention par ici / La première garde que j’ai monté ! bis / C’est à la porte du quartier – bis – / Une mouquère7 vint à passer – bis – / Petit youyou veux-tu monter – bis – / Et au bordel je fus tirer – bis – / Cinq à six coups sans débander – bis – / La castapiane j’ai attrappé (sic) – bis – / Et la vérole par dessus le marché – bis – / A l’hôpital fallait aller – bis – / La queue en quatre on m’a coupé – bis – / Et tous les poils du cu rasés – bis – / Pour faire une moustache au curé – bis – / Et un bata ( ?) à l’infirmier – bis – / Fait et clos au boxon / N° 9 le 2 février / 1915 ».
9Enfin, une portée de musique, peu lisible, et des nombres, certains incompréhensibles, d’autres servant à des inventaires « 22 ?orc? , 8 draps », « 2,00 Bon, 1,80 », « 31 paquets » ou bien concernant peut-être les dimensions d’une échelle – « Echelle / Marche 026 / 050 / Hauteur 021 / Longueur 195 / 005 / 003 » – sont encore visibles.
10Les soldats identifiés proviennent du 14e régiment d’infanterie basé à Toulouse (« Vive le 14e » est une des rares inscriptions gravées), du 11e, celui stationné à Montauban et Castelsarrasin proches, et, plus surprenant, car son casernement est à Labry (Meurthe-et-Moselle), du « 16e chasseurs » comme indiqué sur la porte.
Les dessins
11Les représentations recensées sont humaines (vingt hommes dont six militaires, et huit femmes), animalières (vingt chiens, chats et cochon) et une poire, un casque à pointes et une portée de musique font partie du corpus. Humains, en pied ou en buste, et animaux sont généralement dessinés de profil gauche, sauf un des danseurs, la personne coiffée d’un casque à pointe face au monsieur devant un lampadaire et le visage dessiné de face. Une représentation humaine est inachevée, deux autres sont à l’état d’ébauche et un personnage en buste n’a pas de tête. Deux dessins de chiens sont seulement esquissés.
- 8 DEVYNCK, Danièle. Toulouse-Lautrec, éditions Jean-Paul Gisserot, 2003, p. 28. En 1886, il présente (...)
12Quelques personnes sont mises en scène comme le couple de danseurs dessiné avec grand soin et le souci du détail : l’homme à la fine moustache, porte une boucle d’oreille, est coiffé d’un sombrero, habillé d’un gilet et d’un pantalon moulant, chaussé de souliers avec des éperons. Les détails sont également nombreux chez cette personne portant un casque à pointe faisant face à un homme, un lampadaire en arrière-plan. C’est aussi une femme qui est mise en scène, seule, sur un trottoir, à l’angle d’un édifice. Dans un quatrième dessin, un dandy suit une femme portant un sac avec l’inscription « MODES », scène de vie moderne. Ce dandy, de belle facture, est reproduit sur le mur sud avec, entre lui et une femme, la signature « Segroeg » portée deux fois. Anagramme de « Georges », cette signature interroge car elle a été utilisée à la fin des années 1880 par Henri de Toulouse-Lautrec (1864‑1901) originaire d’Albi (Tarn). Il participa à l’exposition des « Arts Incohérents » de 1886 sous le nom de « TOLAV-SEGROEG, hongrois de Montmartre, [qui] a visité le Caire et demeure chez un de ses amis, [et qui] a du talent et le prouve ». Puis, à celle de 1889, il signa « TOLAV-SEGROEG, Rue Yblas, sous le 1er bec de gas à gauche. Elève de Pubis de Cheval. Spécialité de portraits de famille à fond jaune en simili-pastel »8. Aussi, est-il vraisemblable qu’un de ses admirateurs a alors dessiné à la manière du célèbre peintre, comme en témoignent le dandy à la démarche élancée, la femme à côté aux douces courbes harmonieuses qu’on retrouve dans l’affiche de Jane Avril (1899), le profil gauche de l’homme croqué de manière à révéler son fort caractère, dessiné à droite de la porte d’entrée, ou les chats dans le médaillon sur le manteau de la cheminée qui rappellent la compagnie du Chat Noir dont le succès est en grande partie dû à ceux qui fréquentaient les lieux, comme Toulouse-Lautrec. Les œuvres recensées à Grenade font preuve de modernité dans la tenue vestimentaire des personnages, leur attitude, leur allure, leur physionomie… D’autres dessins (les trois Allemands, des animaux, le couple de danseurs…) pourraient lui être attribués.
Fig. 5.
Grenade (Haute-Garonne), mur ouest ; scène de vie, une femme suivie d'un dandy
P. Poitou © région Occitanie
Fig. 6.
Grenade (Haute-Garonne), mur sud ; profil de femme. La signature « Segroeg » est portée à gauche de la femme, au niveau de son chapeau et au niveau de son manchon
P. Poitou © région Occitanie
13Les trois Allemands, dessinés sous l’inscription « LES PORCS », sont les caricatures du Kronprinz (prince héritier et fils de l’empereur allemand Guillaume II), de l’empereur Guillaume II, le Kaiser, et d’un troisième homme, probablement le prince Auguste-Guillaume ou une deuxième fois, le Kronprinz. Le premier personnage dans une attitude peu avantageuse, tout courbé, est coiffé d’une casquette difforme et porte l’épée au côté. Le deuxième, le Kaiser, coiffé d’un casque à pointe, est petit, trapu, enveloppé d’un grand manteau et le troisième, hautain, portant un monocle et fumant une cigarette, est coiffé du schapska des régiments de uhlans, de sinistre réputation.
Fig. 7.
Grenade (Haute-Garonne), mur ouest ; caricatures du Kronprinz, de l'empereur Guillaume II et du prince Auguste-Guillaume ou à nouveau du Kronprinz
P. Poitou © région Occitanie
14Enfin la représentation d’organes sexuels masculins est inévitable, limitée toutefois à deux, de part et d’autre du mur de la porte d’entrée et seuls les animaux sont dessinés s’accouplant : (coq sur une poule, lapin sur lapine, chien sur un autre…). Nombreux, les animaux représentés sont familiers : dix chiens, trois chats, deux lapins, trois coqs et poules… ainsi qu’un porc coiffé d’un haut de forme, portant un monocle et fumant le cigare : il est la caricature du capitaliste banquier ou du bourgeois. Parmi eux, la scène portée dans un médaillon fait contraste : sur un toit, au clair de lune, un chat fait la cour à une chatte.
Fig. 8.
Grenade (Haute-Garonne), manteau de cheminée ; scène animalière
P. Poitou Philippe © Région Occitanie
Fig. 9.
Grenade (Haute-Garonne), mur sud ; caricature de banquier ou de bourgeois
P. Poitou © Région Occitanie
Fig. 10.
Grenade (Haute-Garonne), manteau de cheminée ; chats au clair de lune
P. Poitou © Région Occitanie
15La maison close « nº 9 », sise à la rue Hoche, probablement clandestine, témoigne par les écrits et les dessins réalisés sur les murs dans les premiers mois de la Grande Guerre, des mentalités et des mœurs des hommes qui deviendront des soldats. Loin de leurs foyers, partis pour une guerre qu’ils pensaient encore brève, beaucoup réagissent avec plus ou moins de retenue face au désir. D’autres s’expriment par le dessin comme le feront au cours de la Grande Guerre les soldats dans les innombrables journaux de tranchées ou sur les murs d’édifices. Comme le pratiqueront également de nombreux autres soldats qui participeront à un véritable « art des tranchées », faisant ainsi preuve d’une grande créativité et d’habilité manuelle.
16Si la prostitution au cours de la Grande Guerre fait l’objet d’études dans son organisation, ses conditions – les autorités la considèrent alors comme un mal nécessaire qu’elles ne cesseront d’encadrer – on a peu d’exemple de représentations des soldats comme les graffitis uniques situés à Grenade. Tout indique malheureusement que ces témoignages exceptionnels vont disparaître à terme. L’édifice doit être démoli car son propriétaire projette la construction d’une piscine.
Notes
1 Archives départementales de la Haute-Garonne, 1 D 10 : registre de délibérations, 1915-1930.
2 Elles seront fermées en 1946 par la loi « Marthe Richard ».
3 BENOIT, Christian. Le soldat et la putain, éditions Pierre de Taillac, 2013, 695 p.
4 BIZARD, Léon Clément. Souvenirs d’un médecin de la préfecture de police et des prisons de Paris (1914‑1918), Grasset, 1925, 237 p.
5 G. P. Philomneste, amusements philologiques ou variétés en tous genres, Paris, 1808, p. 120.
6 Le « vit » est le pénis et le « con » le sexe de la femme.
7 Une prostituée.
8 DEVYNCK, Danièle. Toulouse-Lautrec, éditions Jean-Paul Gisserot, 2003, p. 28. En 1886, il présente sous le numéro 232, le tableau portant le titre « Les Batignolles trois ans et demi avant Jésus Christ. Peinture à l’huile sur papier Emeri » et en 1889, le tableau « Portraits de deux membres d’une malheureuse famille atteinte de la petite grelure » numéroté 350. « Pubis de Cheval » est en référence au peintre Pierre Puvis de Chavannes.
Haut de pageTable des illustrations
Titre | Fig. 1. |
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Légende | Grenade (Haute-Garonne), petite maison cadastrée 2012 OC03 1092, plan schématique des lieux |
Crédits | P. Roques © région Occitanie |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/docannexe/image/2359/img-1.jpg |
Fichier | image/jpeg, 220k |
Titre | Fig. 2. |
Légende | Grenade (Haute-Garonne), mur nord ; inscriptions au-dessus du profil gauche d’un militaire |
Crédits | P. Roques © région Occitanie |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/docannexe/image/2359/img-2.jpg |
Fichier | image/jpeg, 140k |
Titre | Fig. 3. |
Légende | Grenade (Haute-Garonne), chanson sur le mur ouest |
Crédits | S. Decottignies © Région Occitanie |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/docannexe/image/2359/img-3.jpg |
Fichier | image/jpeg, 540k |
Titre | Fig. 4. |
Légende | Grenade (Haute-Garonne), mur est ; couple de danseurs |
Crédits | P. Poitou © région Occitanie |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/docannexe/image/2359/img-4.jpg |
Fichier | image/jpeg, 304k |
Titre | Fig. 5. |
Légende | Grenade (Haute-Garonne), mur ouest ; scène de vie, une femme suivie d'un dandy |
Crédits | P. Poitou © région Occitanie |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/docannexe/image/2359/img-5.jpg |
Fichier | image/jpeg, 308k |
Titre | Fig. 6. |
Légende | Grenade (Haute-Garonne), mur sud ; profil de femme. La signature « Segroeg » est portée à gauche de la femme, au niveau de son chapeau et au niveau de son manchon |
Crédits | P. Poitou © région Occitanie |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/docannexe/image/2359/img-6.jpg |
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Titre | Fig. 7. |
Légende | Grenade (Haute-Garonne), mur ouest ; caricatures du Kronprinz, de l'empereur Guillaume II et du prince Auguste-Guillaume ou à nouveau du Kronprinz |
Crédits | P. Poitou © région Occitanie |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/docannexe/image/2359/img-7.jpg |
Fichier | image/jpeg, 276k |
Titre | Fig. 8. |
Légende | Grenade (Haute-Garonne), manteau de cheminée ; scène animalière |
Crédits | P. Poitou Philippe © Région Occitanie |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/docannexe/image/2359/img-8.jpg |
Fichier | image/jpeg, 108k |
Titre | Fig. 9. |
Légende | Grenade (Haute-Garonne), mur sud ; caricature de banquier ou de bourgeois |
Crédits | P. Poitou © Région Occitanie |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/docannexe/image/2359/img-9.jpg |
Fichier | image/jpeg, 120k |
Titre | Fig. 10. |
Légende | Grenade (Haute-Garonne), manteau de cheminée ; chats au clair de lune |
Crédits | P. Poitou © Région Occitanie |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/docannexe/image/2359/img-10.jpg |
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Pour citer cet article
Référence électronique
Patrick Roques, « Une maison close à Grenade (Haute-Garonne) en 1915 », Patrimoines du Sud [En ligne], 6 | 2017, mis en ligne le 01 septembre 2017, consulté le 15 janvier 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/2359 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/pds.2359
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