Avant-propos. Occitanie, la part de l’eau
Plan
Haut de pageTexte intégral
1L’appel à communication l’appelait de ses vœux, le sommaire l’indique, la thématique de la revue l’impose, les auteurs le savent et l’écrivent : la part de l’eau en région Occitanie est imposante.
2Il fallait pour le confirmer ce numéro thématique au titre évocateur « ça coule de source ». Chaque mot compte. Le ça, pronom démonstratif neutre, reste générique. On met dans le ça presque tout ce que l’on veut. Le verbe couler rend compte de la dynamique des rivières, du cycle de l’eau et de la direction que cette dernière prend tandis que le terme de source renvoie à la première apparition de l’eau, à la première goutte. L’appel à communication, lancé le 8 février 2022 a permis de recevoir 19 propositions. Toutes n’ont pu être retenues. Les propositions choisies ne se ressemblent pas, chacune a sa part de l’eau, sa part d’histoire, sa part de territoire.
3L’ensemble constitue une jolie combinaison d’eau dormante, coulante, jaillissante, apaisante, venant de tous les territoires de la région, et dont les auteurs offrent des profils variés. Se lit ainsi une pluridisciplinarité presque exemplaire qui aurait pu s’ouvrir plus largement encore vers le monde de l’Environnement. Dans les institutions représentées, notons la participation importante des chercheurs de l’Inventaire en région (6 auteurs) ; des archéologues (6 auteurs) et historiens de l’art ou du monde des musées (5 auteurs). Les autres auteurs viennent du monde universitaire (2), du monde associatif. Un chercheur indépendant et un architecte complètent ce panel.
Un peu d’épistémologie
- 1 BEAUDOUIN, François, 1994 (mars), « Les chemins qui marchent : l’économie motrice nautique pré-méca (...)
- 2 BRAVARD (J.-P.). - Le Rhône du Léman à Lyon. Lyon, La Manufacture, 1987, 451p. (Collection L’Homme (...)
- 3 AMOROS, Claude, PETTS, Geffroy E, 1993, Hydrosystèmes fluviaux, Paris, Masson, coll. d’écologie, 24 (...)
4Longtemps axées sur le concept de continuum fluvial, les approches des cours d’eau, tant écologiques que géomorphologiques, archéologiques ou historiques, eurent longtemps un ton classique. Les débits, les profondeurs, les largeurs du cours d’eau ainsi que l’économie des échanges, la batellerie et son équipement associé furent abordés sous l’angle de sa fonction marchande tant en géographie qu’en histoire, la rivière étant perçue comme « un ruban d’eau », un « chemin qui marche1 ». L’ouverture conceptuelle proposée dès 1987 par J.-P. Bravard2 a ouvert le champ de la recherche et la parution de l’ouvrage d’Amoros et Petts3 en 1993 sur les hydrosystèmes fluviaux confirma les axes de la réflexion engagée. La rivière fut alors appréhendée sous une forme nouvelle. Sa liquidité, ses eaux, ses remous, courants et contre-courants, ses mouilles et ses seuils, ses berges, constituèrent autant d’entités à comprendre, à observer dans une lecture patrimoniale du paysage des cours d’eau, chaque structure d’exploitation, chaque équipement venant se poser dans cet espace liquide, produisant lui-même un nouveau paysage culturel.
5Dans ce numéro, nous voyons encore autre chose. Nous entrons dans un autre territoire de l’eau, où la masse liquide est conduite, puisée, canalisée, dispersée, épanchée, gardée, distribuée, travaillée. Cette eau travaillée fait paysage en Occitanie et fait de l’Occitanie un grand Territoire de l’eau.
Les territoires de l’Eau
- 4 Jean-Marc DOUGUET, Jérôme LONGUÉPÉE et Olivier PETIT, « Éditorial du dossier 6 « Les territoires de (...)
- 5 Ibid. supra, p. 2.
6Les territoires de l’Eau sont aujourd’hui, on le sait, des paysages fortement mobilisateurs. L’actualité du changement climatique, la force de l’aménagement du territoire pour un tourisme vert ou bleu, l’engagement des collectivités vers un développement durable témoignent de la qualité patrimoniale de ces espaces historiques. L’expression « Territoires de l’Eau » a été créée en mars 2004, à l’occasion d’une journée d’études à l’Université d’Artois, Arras, par deux géographes4. Leur définition renvoyait à deux dimensions complémentaires. La première s’attachait à la question de l’emprise territoriale de la gestion et des politiques de l’eau. La seconde étudiait l’espace d’influence du secteur de l’eau dans les politiques territoriales. C’est donc par la géographie de la gestion et des politiques publiques de l’eau que le terme est entré. Et la nature de ces enjeux a conduit les auteurs à s’interroger sur l’existence de « territoire(s) pertinent(s) pour cette ressource5 ».
- 6 La Convention de Ramsar est un traité intergouvernemental qui sert de cadre à l’action nationale et (...)
7La définition que nous proposons aujourd’hui des Territoires de l’eau diffère. L’appellation regroupe des espaces où l’eau – stagnante, courante, haute, basse, douce ou saumâtre – apparaît comme l’élément structurant du paysage. On y regroupe les zones humides, les lacs, les rivières (à toutes leurs échelles), les fleuves dans toutes leurs composantes (urbaines ou rurales, bras morts, chenaux secondaires, chemin de halage…), les espaces drainés, irrigués, inondés, inondables, mouillés – au sens commun du mot – humides, comme le fait le terme de wetlands de la Convention de Ramsar6. Les territoires de l’eau rassemblent donc des espaces fortement anthropisés, urbains (les ports, les fronts fluviaux...), ruraux (irrigation et drainage, ...) ou en réseau (les canaux), porteurs d’un patrimoine bâti construit en fonction de la présence (naturelle ou artificielle, permanente ou temporaire) d’une eau maitrisée, nourricière, énergétique ou menaçante. Les constructions de l’eau attachées à ces territoires sont nombreuses, modestes ou d’envergure et marquent par leur diversité, leur rythme et leur pérennité l’ensemble du territoire national.
- 7 Voir article dans ce numéro : « L’utilisation de la pierre pour la construction et la réfection des (...)
8Les auteurs de ce numéro nous proposent justement de découvrir ces formes des constructions de l’eau en Occitanie. En premier lieu, le patrimoine bâti sous de multiples formes. Autour du « grand » canal, par exemple : le canal d’irrigation, de navigation, les ouvrages de rejet, les épanchoirs, les déversoirs de surface, de fond, rigole de fuite, le tuyau, les écluses et les maisons éclusières, bollards, bajoyers, portes busquées à vantelles, les ouvrages d’évitement, aqueducs et ponts, les limnimètres, bornes de distances, repères de nivellement et les chemins de halage. En second lieu, des paysages agricoles décrits par les termes catalans de regadiu et de seca7, les canaux d’irrigation ; « véritables monument d’irrigation gravitaire » dans le Haut Adour, les canaux d’arrosage avec leur mur de soutènement, les agau. Mais aussi les réservoirs, citernes, fontaines, lavoirs, collecteurs et résurgences ; le moulin et ses infrastructures associées, le béal et la paissière, les gourges, les petits barrages, les clavades…
9Le puits domestique et ses éléments de puisage offrent un vocabulaire et un langage architectural précis : tambour enrouleur, poulie, pompes à bras, repose-seau, balancier, manège, noria, bief…
10Tous ces ouvrages conduisent l’eau, la rejettent, l’encerclent, l’écartent et construisent par leur seule présence, un territoire aménagé dont les équipements fonctionnent en combinaison savante tant géomorphologique que culturelle.
Inventaire et territoire de l’eau
11Dans le cadre de l’Inventaire général et de ses principes d’analyse scientifique, le patrimoine de l’eau est présent mais évoqué en ordre dispersé. Trois Vocabulaires lui réservent plusieurs entrées : le Vocabulaire des jardins avec les eaux décoratives et l’alimentation en eau (Benetière, 2000), le Vocabulaire de l’espace urbain avec l’analyse de la forme urbaine ; les voies ; les ouvrages de génie civil et de franchissement ; les cours d’eau et plans d’eau aménagés (Gauthiez, 2008) et le Vocabulaire de l’architecture déclinant les ouvrages d’art dans « Génie civil » et les bassins, fontaines et miroirs d’eau dans « Architecture des jardins et des eaux » (Pérouse de Montclos, 2012).
12Cent cinquante-quatre termes, descripteurs ou non, y sont retenus. Leur mention régulière et répétitive, les renvois d’un vocabulaire à un autre confirme la multitude des formes d’appréhension de l’eau (de l’ingénierie hydraulique à l’ornement en passant par arrosage et irrigation...). Cette densité lexicale demande un vocabulaire approprié, précis, adéquat pour un inventaire pertinent du patrimoine in situ que les chercheurs en charge de l’Inventaire général en région investis dans ces territoires, revendiquent.
13Mais on le voit et on le lit dans chacun des textes de ce numéro, le vocabulaire de ce patrimoine hydraulique, par sa grande précision, son épaisseur historique évoque savoirs, bâtis, sites et enchainements hydrauliques, bref tout un écosystème culturel et patrimonial occitan. Les termes vernaculaires collectés révèlent tout à la fois des savoirs faire, des technicités, des systèmes de pensée et des éléments bâtis. En Occitanie, la part de l’Eau se traduit aussi par un vocabulaire précis évoquant les formes géomorphologiques à l’œuvre, les noms des différents systèmes d’irrigation, les appellations des matériaux. Bref, un langage où le vocabulaire exprime la trame d’un territoire.
14L’ensemble de ce numéro au travers des articles représente un savoir organisé et transmissible qui a vocation aussi à répondre aux enjeux liés à la modification des territoires de l’eau, telle qu’elle s’organise aujourd’hui dans le cadre de la restauration de la continuité écologique des cours d’eau. Elles doivent pouvoir accompagner par une expertise appropriée les décisions prises sur les « effacements » de seuils de moulins par exemple.
15Dans ce cadre, le numéro de Patrimoines du Sud parvient à sa façon, à amorcer un recensement et une reconnaissance patrimoniale des Constructions de l’Eau dans une perspective chronologique longue, à apporter des éléments de réflexions sur les notions de savoirs de la résilience et mémoire des territoires de l’Eau. Se dessine ainsi une ligne de conduite patrimoniale vertueuse en Occitanie.
Patrimoine de l’eau et territoires, un lien indissociable
16« Ça coule de source ». La métaphore populaire suggère « c’est de l’évidence ». Encore faut-il préciser qu’il s’agit d’eau et, ici, de patrimoine. Son patrimoine – de l’eau – serait-il aussi d’évidence qu’il paraît de prime abord, à moins que l’expression n’invite à rechercher ses déclinaisons et ses traces les plus variées, d’autant… s’agissant de l’eau, que le terme source est quelque peu restrictif. L’eau se puise aussi.
17Évident le patrimoine de l’eau ? Il n’est pas inutile de l’examiner sur un territoire vaste : méridional, à l’occident du Rhône, composite puisqu’il additionne les hauteurs du Massif Central, les versants pyrénéens, les reliefs variés qui courent de la Méditerranée à l’Aquitaine via le seuil de Naurouze. De-là plusieurs bassins versants et réseaux hydrauliques qui en sont une des originalités, susceptibles d’exploitations et d’installations multiples, mais aussi des villes dont l’approvisionnement en eau est resté longtemps problématique.
18L’appel à contribution constituait une véritable gageure : serait-il possible d’obtenir un éventail de propositions aptes à rendre compte des spécificités d’un tel espace : question d’équilibre territorial, de diversité des usages et des ouvrages construits au fil du temps pour les satisfaire. Ils sont de tous types et dimensions, du plus humble, à peine décelables dans le paysage, faits avec économie, mais non sans solidité comme de modestes fontaines rurales, jusqu’aux ouvrages prestigieux érigés pour frapper l’imagination dont le Languedoc recèle quelques exemples fameux : le pont du Gard, section de l’aqueduc romain construit pour abreuver Nîmes, le canal des Deux-Mers qui inaugura un règne – celui de Louis XIV – où l’eau fut mise à contribution pour glorifier le prince, ou encore l’aqueduc Saint-Clément édifié au XVIIIe siècle à Montpellier pour alimenter la majestueuse fontaine de la place royale du Peyrou.
19Ces dernières réalisations, célébrées, visitées, dont le point commun est le captage et le transport de l’eau, ont suscité une ample littérature. Elles ne figurent pas dans ce dossier. Les contributeurs ont choisi d’attirer l’attention sur des ouvrages moins emblématiques, peu connus pour la majorité d’entre eux, dont la conservation est souvent aléatoire. D’où l’intérêt, voire l’urgence de s’intéresser à ce patrimoine diversifié, essentiellement rural, dont l’intelligence permet de mieux saisir l’évolution des territoires jusqu’à aujourd’hui. Peu de thèmes comme l’eau lient aussi étroitement le passé au présent, voire à l’avenir, ce qui ajoute à sa pertinence. On en sait l’actualité avec l’irrégularité et la faiblesse des précipitations dont les effets commencent à inquiéter en montagne comme en plaine.
20Or les propositions retenues composent un assortiment du meilleur aloi, de quelque manière qu’on l’aborde ou l’examine. Y figurent des sources, des fleuves et des rivières, des canaux, des puits… Des tentatives d’inventaire visant à l’exhaustivité, à l’échelle d’un territoire-château d’eau – « Lozère pays de sources » –, ou circonscrit à un espace moins étendu, consacré à un seul type d’ouvrage, comme les moulins à blé de sources et de rivières situés dans le piémont en arrière de Béziers, inutilisés aujourd’hui et en piètre état voire disparus depuis que le Midi s’est converti à la vigne. L’étude d’un seul édifice, ainsi l’imposant moulin fortifié de Canet, véritable château usine des archevêques de Narbonne situé sur la rive droite de l’Aude avant que le fleuve n’entre dans la basse plaine, édifié au début du XIIIe siècle et resté en activité jusqu’au début du siècle dernier, unique vestige de la puissante succession de moulins installée jadis jusque dans Narbonne. La force de l’eau employée sans grand aménagement ni investissement dans la haute vallée de l’Aude afin de convoyer par flottage le bois descendu de la montagne, ou intensément mise à contribution dans le modeste torrent du Sor, sur le flanc occidental de la Montagne Noire, où ont été installés en moins de 6 km près d’une quarantaine de moulins distants parfois d’à peine 200 mètres l’un de l’autre, ainsi que plusieurs manufactures à proximité. Un exemple du même type d’utilisation de l’énergie hydraulique en cascade était bien documenté sur le versant nord de la Montagne Noire, voué au délainage des peaux qui avait fait la prospérité de Mazamet. Le Sor donne à voir une suite rare d’activités puisque sur les mêmes sites sont attestés au XIIIe siècle des moulins à blé et foulons, au XVe siècle les premiers moulins à métal ou martinets, à partir du XVIIe siècle des martinets spécialisés dans le travail du cuivre. L’eau disciplinée : canaux d’arrosage en Cerdagne dans la montagne pyrénéenne dont les réseaux sont parfois difficiles à identifier lorsqu’on ne dispose pas d’un œil exercé ; canal latéral à la Garonne, de beaucoup moins grande notoriété que le canal des Deux-Mers dont il est le prolongement, … et même, par le biais de médailles gravées, exemple de la célébration dont ce dernier fut l’objet dès sa création. Les villes enfin, sous différents aspects également : des puits dans les villes creusés pour satisfaire la consommation domestique en eau avant le XIXe siècle, largement sous-estimés et difficiles à documenter car situés principalement dans des espaces privés – « L’eau dans la maison » à Toulouse –, la conquête municipale de l’eau au XIXe siècle dans des bourgades proches du Rhône par le biais « classique » d’aqueducs, l’eau thermale dont les propriétés thérapeutiques ont suscité la fondation d’organismes urbains dès l’Antiquité, à l’attractivité périodiquement remise en question et à restaurer, ou comment, à Bagnères de Bigorre, faire d’un riche patrimoine lié à l’eau un instrument de politique publique.
21On perçoit l’étendue spatiale et thématique des exemples traités – il faudrait encore ajouter l’irrigation de la plaine proche de Montpellier à l’aide de puits à roue et de norias construits à partir du XVIe siècle et menacés aujourd’hui par l’urbanisation galopante, l’eau employée pour inonder les vignes en plaine afin de prévenir les attaques du phylloxera, etc. Ils forment un dossier particulièrement consistant assorti de bibliographies substantielles ainsi que de riches annexes cartographiques et photographiques. Une attention particulière est accordée aux techniques ainsi qu’au vocabulaire, moins connu et souvent difficile à maîtriser car il concerne aussi bien les lieux, les ouvrages, que les matériaux employés, la manière de les disposer et de les utiliser. Une géographie linguistique fine s’esquisse, dont la pérennité est peut-être aussi fragile que celle du patrimoine monumental.
22Au-delà de la substance de chaque contribution, leur mérite est de mettre en relief, s’il était besoin encore, la contribution déterminante des installations hydrauliques à la structuration des territoires, depuis les XIIe et XIIIe siècles jusqu’au début du siècle dernier notamment. Il était bienvenu de procéder à des inventaires sur des espaces précisément circonscrits afin de révéler la cohérente densité des équipements, malaisée à déceler de prime abord, même en parcourant les lieux. On voit là combien la mise en exergue d’ouvrages emblématiques tend parfois à occulter la diversité et la richesse du patrimoine hydraulique. Celle-ci ne « coule pas forcément de source »…
Notes
1 BEAUDOUIN, François, 1994 (mars), « Les chemins qui marchent : l’économie motrice nautique pré-mécanique », Neptunia, p. 1-14.
2 BRAVARD (J.-P.). - Le Rhône du Léman à Lyon. Lyon, La Manufacture, 1987, 451p. (Collection L’Homme et la nature).
3 AMOROS, Claude, PETTS, Geffroy E, 1993, Hydrosystèmes fluviaux, Paris, Masson, coll. d’écologie, 24, 300 p.
4 Jean-Marc DOUGUET, Jérôme LONGUÉPÉE et Olivier PETIT, « Éditorial du dossier 6 « Les territoires de l’eau » », Développement durable et territoires [En ligne], Dossier 6 | 2006, mis en ligne le 10 février 2006, consulté le 21 août 2013. URL : http://developpementdurable.revues.org/3320.
5 Ibid. supra, p. 2.
6 La Convention de Ramsar est un traité intergouvernemental qui sert de cadre à l’action nationale et à la coopération internationale pour la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources. La Convention adopte une optique large pour définir les zones humides qui relèvent de sa mission, à savoir marais et marécages, lacs et cours d’eau, prairies humides et tourbières, oasis, estuaires, deltas et étendues à marée, zones marines proches du rivage, mangroves et récifs coralliens, sans oublier les sites artificiels tels que les bassins de pisciculture, les rizières, les réservoirs et les marais salants.
7 Voir article dans ce numéro : « L’utilisation de la pierre pour la construction et la réfection des canaux d’arrosage de Cerdagne… ».
Haut de pagePour citer cet article
Référence électronique
Virginie Serna et Gilbert Larguier, « Avant-propos. Occitanie, la part de l’eau », Patrimoines du Sud [En ligne], 17 | 2023, mis en ligne le 01 mars 2023, consulté le 13 janvier 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/pds/12050 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/pds.12050
Haut de pageDroits d’auteur
Le texte seul est utilisable sous licence CC BY-NC-ND 4.0. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
Haut de page