Bibliographie
MMM = Cumont, F., Textes et monuments figurés relatifs aux mystères de Mithra, 2 tomes, Bruxelles, 1896-1899.
CIMRM = Vermaseren, M. J., Corpus Inscriptionum et Monumentorum Religionis Mithriacae, La Haye, 1956-1960.
Bruhl, A., 1964, Dyo, Gallia, XXII-2, p. 423, fig. 20-21.
Clauss, M., 1992, Cultores Mithrae, Stuttgart.
Clauss, M., 2000, The roman cult of Mithras (trad. R. Gordon), New York.
Comte de Caylus, 1759, Recueil d’Antiquités, t. III, Paris.
Cumont, F., 1902, Les mystères de Mithra, Bruxelles.
Cumont, F., 1927, Bas-relief de Mithra trouvé à Dieburg près Darmstadt, CRAI, p. 41-2.
Devauges, J. B., 1988, Entrains gallo-romain, Entrains.
Espérandieu, E., Recueil général des Bas-reliefs, Statues et Bustes de la gaule Romaine, 16 volumes, 1907-1966.
Faider-Feytmans, G., 1974, Les bronzes mithriaques d’Angleur, Bulletin des Musées royaux d’Art et d’Histoire, 46, p. 71-91.
Fizenne (von), F., 1896, Das Mithräum zu Saarburg in Lothringen, Annuaire de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Lorraine, VIII, Metz, p. 119-175.
Gaidon-Bunuel, M. A., 1991, Les mithraea de Septeuil et de Bordeaux, Revue du Nord, LXXIII, 292, p. 49-58.
García y Bellido, A., 1967, Les religions orientales dans l’Espagne romaine, EPRO 5, Leyde.
Gordon, R., 1978, The date and significance of CIMRM 593, JMS II-2, p. 150-174.
Guillaume, P., 1894, Objets archéologiques découverts à la Bâtie Montsaléon de 1801 à 1830 et surtout du 21-12-1804 au 8-02-1805, Bulletin de la Société d’Etudes des Hautes-Alpes, p. 66-101.
Harris, E. et J. R., 1965, The oriental cults in roman Britain, EPRO 6, Leyde.
Hatt, J.-J., 1958, Fouilles à Mackwiller et à Metz (1957), CRAI, p. 94-101.
Leroy-Campbell, A., 1968, Mithraic iconography and ideology, EPRO 11, Leyde.
Millin, A. L., 1807 et 1811, Voyage dans les départements du midi, t. II et IV, Paris.
Montfaucon (de), B., 1719, L’Antiquité expliquée et représentée en figures, t. I (1-2), t. II (1-2), Paris.
Mourrin, D., 1997, La station du mithraeum des Bolards, à Nuits-Saint-Georges (Côte d’Or) : nouvelles observations, RAE, p. 261-278.
Sattler, C. F., 1764, Allgemeine Geschichte Würtenbergs und dessen angränzender Gebiethe und Gegenden. Band I, Francfort et Leipzig.
Schwertheim, E., 1974, Die Denkmäler orientalischen Gottheiten im römischer Deutschland, EPRO 40, Leyden.
Turcan, R., 1975, Mithras platonicus, EPRO 47, Leyde.
Turcan, R., 1976, The date of the Mauls relief, JMS I-1, p. 68-76.
Turcan, R., 1992, Les cultes orientaux dans le monde romain, Paris (2e éd.).
Turcan, R., 1993, Mithra et le mithriacisme, Paris (2e éd.).
Ulbert, C., 2004, Das Mithraeum von Bornheim-Sechtem bei Bonn : Baubefunde und Fundumstände, dans M. Martens et G. de Boes (éd.), Roman Mithraism, the evidence of the small finds, Bruxelles, p. 81-88.
Walters, V. J., 1974, The cult of Mithras in the roman provinces of Gaul, EPRO 41, Leyde.
Wiblé, F., 1998, Forum Claudii Vallensium, Dossiers d’Archéologie, 237, p. 76-83.
Wightman, E. M., 1986, Pagan Cult in the Province of Belgica, ANRW, 18-1, p. 542-589.
Will, E., 1950, Le bas-relief mithriaque de Strasbourg-Koenigshoffen, RA, XXV, p. 68-85.
Will, E., 1955, Le relief cultuel gréco-romain, BEFAR 183, Paris.
Haut de page
Notes
Royal-Athena Galleries de New York, Art of the Ancient World, vol. XI (27 janvier 2000).
À Carnuntum (Bad Deutsch Altenburg), en Pannonie, une dédicace à Mithra de C. Sacidius Barbarus, centurion de la XVe légion Apollinaris, date de la fin du premier siècle ; CIL III, 4418 ; MMM, II, n° 378, p. 148.
À Rome, le premier groupe mithriaque daté a été dédicacé par un esclave de Tiberius Claudius Livianus, préfet du prétoire en 101 : CIMRM, I, 593 ; Gordon, JMS, II, 2, 1978, p. 155 ; Turcan, 1992, p. 203. À Heddernheim (Nida), le centurion C. Lollius Crispus a laissé une inscription sur un autel, datée de la fin du ier siècle : CIL XIII, 7362 ; MMM, II, 434 ; CIMRM, II, 1098 ; Clauss, 1992, p. 21.
MMM, II, 273; CIMRM, I, 965; von Fizenne, 1896, p. 119.
Will, 1950, p. 69; CIMRM, I, 1340.
Hatt, 1958, p. 95.
Devauges, 1988, p. 54-55.
Espérandieu, III, 2277-78.
Espérandieu, III, 2275, 2277, 2279.
MMM, II, 248; CIMRM, 1053-54; Schwertheim, 1974, p. 50.
Le mithraeum de Martigny (Suisse) présentait un modèle composé de pièces de bronze assemblées sur un panneau, Wiblé, 1998, p. 78. On a aussi trouvé de semblables figures de bronze à Bingerbrück (Allemagne) et à Angleur (Belgique) : CIMRM, II, 1035 ; Faider-Feytmans, 1974, p. 71. À Sechtem (Allemagne), le mithraeum possédait un panneau cultuel composé de figures en sigillée : Ulbert, 2004, p. 81. Il s’agit dans tous les cas de supports beaucoup plus rares.
Sur le relief de Timziouin, près de Saïda (Maurétanie) : CIMRM, I, 148, fig. 43 ; MMM, II, 283, fig.328. À Rome : CIMRM, I, 607, fig. 174 ; MMM, II, 60 ; et sur le relief du mithraeum de Capra, en Italie : CIMRM, I, 172, fig. 47 ; MMM, II, 95, fig. 87.
MMM, II, 241; Schwertheim, 1974, p. 203.
CIMRM, II, 1289; Schwertheim, 1974, p. 183.
CIMRM, II, 1247; Schwertheim, 1974, p. 160; Cumont, 1927, p. 42.
CIMRM, I, 34; Leroy Campbell, 1968, pl. IV.
MMM, II, 54; CIMRM, I, 334, fig. 91.
Sur un groupe trouvé sur l’Esquilin à Rome, le serpent est seul présent : MMM, II, 17. Sur une plaque de Lanuvio, en Italie centrale, le chien est l’unique animal représenté : CIMRM, I, 207.
On connaît une exception sur le relief de Mannheim, en Germanie, où le chien est relégué dans l’angle inférieur droit, mais l’ensemble de cette représentation est par ailleurs atypique : MMM, II, 244 ; CIMRM, II, 1275 ; Schwertheim, 1974, p. 177.
De manière non exhaustive, on trouve cette configuration sur les reliefs de Sarrebourg, Heddernheim (1 et 3), Gross-Krotzenburg, Osterburken, Neuenheim, Fellbach : MMM, II, 273 ter, 251, 247, 246, 245, 241, CIMRM, I, 979, 1149, 1292, 1289. Sur un seul bas-relief de terre cuite trouvé à Rome, le lion apparaît mais sans le cratère : MMM, II, 70.
MMM, II, 267; CIMRM, I, 810; Harris, 1965, p. 7.
MMM, II, 220, fig. 192; CIMRM, II, 1472.
CIMRM, I, 985, fig. 237.
MMM, II, 274, fig. 223; CIMRM, II, 1149.
MMM, II, 106, fig. 99.
Turcan, 1992, p. 224
Une redondance des sept étoiles ou sept planètes correspondant aux sept divinités des jours et aux grades initiatiques marque l’iconographie mithriaque, à travers les représentations de sept autels, sept lampes, sept arbres ou sept astres : Turcan, 1992, p. 219.
Il existe des variantes où parfois Mithra regarde son geste (cf. le bas-relief du Capitole : MMM, II, 6) ou fait face au spectateur (cf. Heddernheim : MMM, II, 251).
Turcan, 1993, p. 48.
Cumont est le seul à voir dans l’attitude déterminée de Mithra une forme de contrainte : cf. 1902, p. 81.
Sur le rapport de la lune avec le taureau voir Turcan, 1975, p. 12 et 73-74 ; Leroy Campbell, 1968, p. 74.
Turcan, 1975, p. 58; Leroy Campbell, 1968, p. 225 et 336.
Leroy Campbell, 1968, p. 29 et 30.
MMM, II, 220, fig. 192. Au musée du Vatican, un relief montre la figure de Mithra taurophore insérée entre Sol en haut et le dadophore en bas, mais sur ce relief les positions de Cautès et de Cautopatès sont inversées. C’est Cautopatès, autre étrangeté, qui se trouve sous le soleil ; CIMRM, I, 556.
On peut noter qu’une représentation de Mithra taurophorus a été au moins une fois dédicacée en tant que telle en Pannonie, sur un relief isolé, montrant que cette figure n’était pas totalement annexe : CIMRM, II, 1494.
Leroy Campbell, 1968, p. 6.
MMM, II, 17, 28, 56, 64.
Des reliefs de ce type ont été notamment découverts à Sarrebourg (MMM, II, 273 ter, CIMRM, I, 966), à Strasbourg, (CIMRM, II, 1340), à Osterburken (MMM, II, 246 ; CIMRM, II, 1293), à Neuenheim, (MMM, II, 245 ; CIMRM, II, 1284).
Ladenburg en Germanie : Schwertheim, 1974, p. 188 ; Setubal, en Lusitanie : CIMRM, I, 798 ; García y Bellido, 1967, p. 36-37 ; mais surtout le relief pivotant de Rückingen, en Germanie, dont une face montre le sacrifice du taureau et l’autre le repas solennel : CIMRM, II, 1137 ; Schwertheim, 1974, p. 101.
Clauss, 2000, p. 62; Wigthman, 1986, p. 156; Turcan, 1993, p. 53-57.
Turcan, 1992, p. 209; Clauss, 2000, p. 54-56.
Turcan, 1992, p. 209; Will, 1955, p. 356.
Turcan, 1976, p. 68.
C’est par exemple le cas de Bordeaux en Gaule et de Mérida en Hispanie : Gaidon-Bunuel, 1991, p. 53 ; CIMRM, I, 772 à 796 ; García y Bellido, 1967, p. 26-33.
Les sites d’Eauze ou de Dyo, en Gaule, ont livré des figures très frustes pour lesquelles le terme de « style » est assez inapproprié : MMM, II, 281 bis, p. 404, fig. 326 ; CIMRM, I, 884 ; Walters, 1974, p. 57 ; Bruhl, 1964, p. 423, fig. 20 et 21.
Leroy Campbell, 1968 ; dans cet ouvrage d’inspiration cumontienne, si la partie idéologique est aujourd’hui à remettre en question, la partie iconographique, basée sur un catalogue iconographique précisément décrit et comparé, reste très utile.
Leroy Campbell, 1968, Intro., p. I-II.
Leroy Campbell, 1968, p. II-III.
Leroy Campbell, 1968, p. 30 ; Mouraire, 1997, p. 273 et 276.
Un mithraeum a été découvert au xve siècle à Rome, sous le palais Marignoli : MMM, II, 9 ; un autre au xvie siècle, entre le Quirinal et le Viminal : MMM, II, 10. Le relief de Mannheim, en Germanie, a été découvert en 1599 : MMM, II, 244 ; CIMRM, II, 1275 ; Schwertheim, 1974, p. 177.
Montfaucon, 1719, t. I-2, p. 370, pl. CCXV, 3 (Arles), t. I-1, pl. LXXXI (Rome) ; Comte de Caylus, 1759, t. III, p. 343-44, pls. XCIII-IV, 1 (Bourg St Andéol); Sattler, 1764, pl. XI (Fellbach); Millin, 1807, t. II, p. 116 (Bourg St Andéol), 1811, t. IV, p. 174 (La Bâtie Montsaléon).
Un groupe mithriaque découvert à la Bâtie Montsaléon en 1804-05, dont un dessin a été conservé, a ainsi disparu lors de son transport depuis la préfecture de Gap vers Paris : Guillaume, 1894, p. 66 ; MMM, II, 280.
Haut de page