Bibliographie
Abréviations
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Bibliographie
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Notes
Ce qui n’est pas faux, mais qui semble plutôt insuffisant pour interpréter ces sacrifices.
Cette notion du « chthonien » a besoin d’un travail d’approfondissement ; car elle est associée – et parfois par le même spécialiste, sans trop d’explications – tantôt à la terre et aux travaux agricoles, tantôt au monde d’en bas et aux morts.
Je reprends l’examen de ses interprétations dans un ouvrage en cours sur les sacrifices et purifications dans le monde grec, dont un des chapitres est consacré aux sacrifices des bêtes gravides. Il y a quelques années, j’ai essayé d’entamer la réflexion dans un article provisoire (Georgoudi, 1994). Cependant, aujourd’hui je ne formulerais pas de la même façon certaines idées générales sur les sacrifices grecs (concernant, par exemple, le sacrifice du cheval et du chien [p. 173] ou la soi-disant « déviation de la norme » [p. 175]). Par ailleurs, la « rareté » de ce type de sacrifices, soulignée souvent par les modernes, devrait sans doute être reconsidérée, à la lumière des restes archéozoologiques trouvés dans certains sanctuaires grecs : cf. provisoirement, Ekroth, 2014, p. 334.
Sur cette affirmation, souvent répétée, cf., plus récemment et à titre d’exemple, Scullion, 2007, p. 199 ; Paul, 2013, p. 56, 337.
Herzog, 1928, p. 20-25, n° 8 B, l. 37-44 ; LSCG, n° 154 B, l. 37-44 ; voir maintenant IG XII, 4, n° 72 B, l. 84-91 (ca. 240 av. notre ère).
Herzog, 1928, n° 8 B, l. 37-38 : … θεοῖς ἢ θεαῖς οἷσιν κυόεν|[τα θύεν ὅσιόν ἐστιν…]
Herzog, 1928, n° 8 B, l. 38-39 : …τὰν τιμὰν μὴ ἀπολαμβ]άνεν τῶν θυομένων ἱερείων ἅ κα [μὴ κυόεντα ἐφευρεθῆι]. Je n’entre pas ici dans d’autres détails et incertitudes de ce passage, concernant, par exemple, l’autorisation éventuelle d’emporter des parts sacrificielles ; cf. Paul, 2013, p. 337.
Cf. Sokolowski (LSCG, n° 154 B, l. 37-44), qui modifie légèrement, à la l. 38, la restitution de Herzog : [τα θύεν ὅσιον καὶ ἔθιμον…] ; Goldstein (1978, p. 330-331), qui donne aussi une traduction des lignes 37-44 ; Scullion (1994, p. 86, note 26), qui considère ce passage comme « the only text even to allow the possibility of pregnant victims for gods », et il ajoute que l’expression « gods or goddesses to whom » (θεοῖς ἢ θεαῖς οἷσιν) peut être « merely a stereotyped legal phrase » – comme si l’on voulait vider de son contenu cette expression ; Bremmer (2005, p. 156, note 5), qui suit Scullion.
Prudence exprimée par Paul (2013, p. 336-337), qui suit le texte des IG.
J’ai tenté d’explorer ce sacrifice « étrange » et de préciser le sens de l’épiclèse de Dionysos dans Georgoudi, 2011.
Macrobe, Saturnales, III, 11, 10. Ce sacrifice et, plus généralement, l’immolation de bêtes pleines à Cérès ou à Tellus, seront examinés dans l’ouvrage cité (supra, note 3).
Sur ce genos, je renvoie, à titre seulement indicatif, à l’étude de référence de Ferguson, 1938 ; à la synthèse substantielle de Parker, 1996, p. 308-316 ; à l’article suggestif de Leduc, 1998. Cf. aussi les références citées dans GHI, n° 37, p. 182.
GHI, n° 37, l. 93 (= LSS, n° 19, l. 92). Pausanias a vu un « temple » (ναός) d’Athéna Skiras au Phalère (I, 1, 4), et il précise plus loin (I, 36, 4), que c’était un devin du nom de Skiros qui « arriva de Dodone » et « fonda l’antique sanctuaire (τὸ ἀρχαῖον ἱερόν) d’Athéna Skiras au Phalère ». On a beaucoup disserté sur l’existence d’un « second sanctuaire d’Athéna Skiras » au « lieu dit Skiron », au bord de la Voie Sacrée qui conduisait d’Athènes à Éleusis (cf., à titre d’exemple, Calame, 19962, p. 339-344). Dans l’impossibilité de reprendre ici ce dossier, je me range à l’avis de Robert Parker (2005, p. 175 et note 82 ; cf. p. 214 et note 98), qui pense avec justesse qu’il s’agit, « in all probability », d’un « paper sanctuary », produit de multiples confusions.
Cette prescription, dit Robert Parker (2005, p. 418), « runs scandalously, “For Athena Skiras a pregnant sheep” ». Car – s’interroge-t-il – « What has Athena, most virginal virgin of Attica as she has been called, to do with a pregnant sheep ? ». Et il ajoute qu’on ne saurait non plus faire attribuer à Athéna des fonctions agricoles sur la base « of this anomalous minor offering in the calendar of a subgroup ».
GHI, n° 37, l. 8-10 (prêtrise), l. 50-52 (décrets).
DELG, s. v. ὄσχη (ou ὤσχη ; ou encore, au masculin : ὦσχος ⁄ ὦσχοι). Cf. Bekker, Anecdota graeca, 1, 318, 23 : ὠσχοφόροι· οἱ ταῦτα (sc. les branches de vigne) τῇ Σκιράδι ᾽Αθηνᾷ προσφέροντες.
GHI, n° 37, l. 47-50.
Cf., Mikalson, 1975, p. 68-69 ; Parker, 1996, p. 315-316 ;
Deubner, 1932, p. 142-147 (toujours précieux pour ses références) ; Calame, 19962, passim, en particulier, p. 143-148, 324-327.
L’interprétation « initiatique » n’est pas si « récente », comme on le pense parfois : cf. surtout Jeanmaire, 1939, p. 344-363 (sur les « rites de passage clôturant un cycle de rites d’adolescence ») ; Séchan et Lévêque, 1966, p. 333, où les auteurs parlent de « travestissement » et de « rite de passage », tout en considérant « qu’à l’origine, on a affaire avec les Oschophories à une liturgie agraire ». Sur la fête et ces deux tendances interprétatives, cf. Parker, 2005, p. 211-217.
Cf. Plutarque, Thésée, 23, 4, où les Oschophories sont associés à « la récolte des fruits » (συγκομιζομένης ὀπώρας).
Et, de ce point de vue, je suis d’accord avec Scullion, lorsqu’il met en rapport ce sacrifice avec le concept de fertilité (2007, p. 199) : « It seems possible that Athena Skiras, as special goddess of Salamis or of the clan, might be associated with the prosperity of the fruits of the earth ». Mais je pense que Ferguson (1938, p. 40), va trop loin quand il attribue à cette Athéna un rôle, je dirais, d’« accoucheuse » : « she helped the flocks to safe and abundant deliverance in the critical time when their young were born ».
Que Columelle préférait à ceux de printemps, pour que les brebis mettent bas « après la récolte des vignes » (VII, 3, 11) ; cf. Chandezon, 2003, p. 113. Voir aussi Ferguson, 1938, p. 28 : « in the lambing season ».
Ces sacrifices étaient payés par les Salaminiens avec l’argent de la location d’une terre près du sanctuaire d’Héraclès (l. 83-84, 94-95) ; cf. Ferguson, 1938, p. 45, 68.
GHI, n° 37, l. 93 : Σκίρωι οἶν. Cet ois n’est pas qualifié expressément de « male », mais son prix, plus élevé que celui des femelles sacrifiées d’habitude aux déesses, est un indice de son sexe. Certes, il pourrait s’agir d’un male castré (cf. van Straten 1995, p. 181-184), mais cela veut dire aussi qu’il était auparavant un reproducteur.
GHI, n° 37, l. 93 : ξύλα ἐπὶ τὸν βωμόν ; il s’agirait, dans ce cas, de l’autel de la déesse dans son sanctuaire du Phalère (cf. Ferguson, 1938, p. 18, 28). Voir aussi, sur ce point, Rosivach (1994, p. 41, note 83), qui élève cependant Skiros au rang divin, sans raison valable.
LSCG, 151 A ; GHI, n° 62 A ; voir la nouvelle édition dans les IG XII 4, n° 278, traduite et commentée avec compétence par Stéphanie Paul (2013, passim).
Paul, 2013, p. 57 avec la note 158.
IG XII 4, n° 278, l. 48-49 : sacrifice à Zeus Polieus (ἰκάδι· βοῦς ὁ κριθεὶς θύεται) ; l. 57-59 : sacrifice à Athéna Polias. Pour le nom du mois Batromios, en relation avec le choix du bœuf de Zeus, voir IG XII 4, n° 274 (LSCG, 151 B = GHI, n° 62 B), l. 12.
Comme le remarque justement Paul, 2013, p. 56, 338.
Voir les analyses, dans ce sens, de Bremmer, 2005, surtout p. 161-163.
Sur ces points, voir les réflexions justes de Paul, 2013, en particulier, p. 275, 338-339. Cf. aussi Brulé, 1987, p. 71.
Cf. Paul, 2013, p. 338, note 56 ; 382, avec références bibliographiques.
Cf. Chandezon, 2003, p. 113.
Sur ce calendrier des cultes, l’ouvrage de Stéphanie Paul est indispensable (2013, passim).
IG XII 4, n° 278, l. 61 : οἶς τέλεως καὶ τελέα κυέοσα.
IG XII 4, n° 274, l. 3 : Ῥέαι οἶς κυεῦσα. Bien qu’on attribue donc au mois de Karneios les célébrations mentionnées dans cette inscription – qui constitue l’une des quatre stèles portant sur le calendrier des cultes de la cité (cf. Paul, 2013, p. 328-329) –, le nom de Batromios qu’on arrive à déchiffrer au tout début de ce fragment (l. 1) laisse perplexe.
Cf. Loraux, 1981, p. 58-59. Nonnos (Dionysiaques, XIII, 174-175) qualifie de παιδοκόμος (« qui prend soin des enfants »), cette « vierge », cette παρθένος, qui « a nourri de son sein viril » Érechthée (appelé plus souvent Érichthonios).
Sur la définition de ce mot, voir les analyses pertinentes de Pirenne-Delforge, 2004.
Même la Terre, cette « mère » par excellence, n’avait pas un culte en tant que Mêtêr (cf. Georgoudi, 2002).
Βαδύς = Ƒᾱδύς = ἡδύς, « qui plaît » (DELG, s. v. ἥδομαι).
Pausanias, V, 3, 2 (CUF, trad. de J. Pouilloux, un peu modifiée). Je note qu’au début, les femmes s’adressent à la déesse Athéna tout court, une Athéna non qualifiée par une épiclèse.
Cf. Pirenne-Delforge, 2005, p. 134. Sur le « bouillonnement du désir », cf. Pironti, 2007, p. 164-168.
Pirenne-Delforge, 2005, p. 134-136. Dans une bonne étude sur l’aspect maternel d’Athéna, surtout dans la littérature, Vincent Cuche (2015), propose aussi une comparaison entre l’Athéna des Éléens, l’Athéna d’Athènes, et l’Athéna poliade de la Chronique de Lindos. Par rapport à Athéna Mêtêr, je note seulement qu’aucun indice ne nous permet de situer le sanctuaire fondé par les femmes « au lieu dit Badu… probablement dans la campagne élidienne » (Cuche, 2015, p. 15). Le texte de Pausanias ne laisse pas entendre un tel emplacement.
Sur cette Aphrodite et la localisation de son enceinte, de son peribolos, dont parle Pausanias (I, 27, 3), voir Pirenne-Delforge, 1994, en particulier, p. 48-66.
Apollodore (III, 14, 6) dira qu’Héphaïstos : εἰς ἐπιθυμίαν ὤλισθε τῆς Ἀθηνᾶς, littéralement « il a glissé dans le désir pour Athéna » ; cf. aussi Rudhardt, 1990, p. 383.
Pausanias, VI, 19, 12 ; 25, 2.
« Ce qui est appelé βαδὺ ὕδωρ par les gens du pays (ὑπὸ τῶν ἐγχωρίων) ».
Athénée, XIII, 565f-566a et 609f-610a ; l’auteur se réfère à Théophraste, à Dionysios de Leuctres et à Myrsilos.
Sur le sens de ce mot : DELG, s. v. θύω (2, A 3).
Pirenne-Delforge, 2005, p. 135-136.
Diodore de Sicile, IV, 79, 7-80, 2.
van Straten, 1995, p. 77, fig. 79 (Athènes, Musée de l’Acropole) ; Palagia, 1995, pl. 114.
Cf., cependant, Kontoleon (1970, p. 16-17, pl. IV), qui parle bizarrement d’un « porcelet » ! Quant à Maria Brouskari (1974, p. 53, n° 581, fig. 94), auteur du Guide du Musée de l’Acropole, elle ne se compromet pas : elle écrit χοῖρος qui, en grec moderne, désigne, en général, le porc.
Cf., par exemple, le décret des Salaminiens, GHI, n° 37, l. 88-89 : « En Hekatombaiôn, aux Panathénées, une truie, 40 drachmes » ; l. 89-90 : « En Metageitniôn… à Athéna Agelaa, un porcelet, 3 drachmes, 3 oboles » ; Tetrapolis de Marathon, IGII2 1358, A col. 1, l. 55 : « à Athéna Hellôtis, un porcelet, 3 drachmes » (avec la révision du texte et le commentaire de Lambert, 2000, p. 57).
Cf., entre autres, van Straten (p. 77 et 289 R 58), qui reconnaît aussi une autre truie gravide sur une loutrophore attique à figures rouges (525-500 av. notre ère), un animal que la famille (?) représentée aurait destiné aussi à Athéna, sur l’Acropole (p. 26 et 205 V 67, fig. 20).
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