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Notes
Je remercie John Scheid de ses généreux conseils.
Par commodité, j’adopte la forme Pallantion pour la bourgade d’Arcadie et celle de Pallantium pour l’installation du Latium. Denys emploie le même vocable Παλλάντιον pour les deux établissements.
Denys d’Halicarnasse, I, 31, 3-4 (traduction Fromentin [2006]). Pour ces étymologies, voir V. Fromentin, p. 244-245. L’étymologie proposée par Denys, qui apparaît pour la première fois ici, est encore celle qu’adopte Pausanias (VIII, 44, 5).
Sur le projet de Denys d’Halicarnasse, voir Delcourt (2005), p. 105-114 et 139-156; Fromentin (2006), p. 8-32.
Ces études émanent surtout d’ « Hellénistes », tandis que les « Romanistes » refusent d’emblée l’idée d’un transfert : Delcourt (2005), p. 153.
Immerwhar (1891), p. 38 (Poséidon), 105 (Déméter), 224 (Niké).
Stiglitz (1967), p. 68-70.
Pausanias, VIII, 44, 5.
Voir ci-dessous, p. 114.
Mylonopoulos (2003), p. 120-122; Lo Monaco (2009), p. 422 (elle omet en revanche Déméter et Niké).
Athènes, MN 13209. Voir Kourouniotis (1904), col. 190-192 (le lituus aurait été apporté par Évandre en Italie)
Gruppe (1906), I4, p. 203-204.
Bayet (1920), p. 73-74.
Voir Musti (1985), p. 437-445; Delcourt (2006), p. 829-833, avec la bibliographie de la note 3. Dans la lignée de Gruppe, on ajoutera Capdeville (1993), p. 167 et 169, qui parle, pour les Lupercalia, « d’usages provenant de Grèce » et de « transposition au Latium d’une fête arcadienne ».
Poucet (1985), p. 131.
Voir Østby (1995), p. 53-93.
Mavrogiannis (2003).
Mavrogiannis (2003), p. 125.
On peut arguer, en faveur de Lykosoura, de ce que Denys ne parle pas explicitement de cultes importés de Pallantion; il conclut (I, 33, 3) que « les cérémonies qui subsistent encore aujourd’hui témoignent assez des coutumes jadis en usages chez les Arcadiens ».
Pausanias, VIII, 37, 1-11 et voir Jost (1985), p. 172-178.
Pour d’autres détails, sans écho dans le texte de Denys dont je traite, voir Mavrogiannis (2003), p. 127.
Jost (1985), p. 198.
Delcourt (2005), p. 152-153.
Denys d’Halicarnasse, I, 80, 1.
Varron, cité par Augustin, Cité de Dieu XVIII, 17; Ovide, Fastes II, 433-435; Virgile, Énéide VIII, 343-344; Plutarque, Vie de Romulus, 21, 4; Plutarque, Étiologies Romaines 68; Servius, Comm. à Virgile, Géorg. I, 16.
Ovide, Fastes II, 413-421; Plutarque, Vie de Romulus, 21, 4-5.
Tite-Live, I, 5.
Ogilvie (1965), p. 52 : « The similarity of the Luperci to the cult of Zeus Lukaiosin Arcadia facilitated the construction »; Delcourt (2001), p. 832, parle de « l’étroit parallèle entre Lupercalia et Lykaia ».
Seule Lo Monaco (2009) aborde brièvement (p. 140-141) la comparaison entre les rites des Lykaia et ceux des Lupercalia, sans toutefois soulever la question du destinataire du culte. Ses remarques sur la date des deux fêtes et sur leur recrutement social ne me paraissent pas fondées, étant donné le caractère incertain des données arcadiennes (voir Jost [1985], p. 208, pour la date, et p. 267 pour l’interprétation initiatique avec classes d’âge).
Pausanias, VIII, 38, 4 et 6.
Pour Lycaeus, voir Virgile, Énéide VIII, 343-344; Tite-Live, I, 5; Justin, XLIII, 1, 6; Servius, Comm. à Virgile, Géorgiques I, 17.
Voir Jost (1985), p. 249-269.
Fromentin (2006) p. 55-56.
Voir ci-dessous, p. 121.
Le prêtre de Pan est nommé en alternance avec celui de Zeus comme éponyme dans les listes de Lykaioniques du ive s. Mais son rôle est secondaire : le dieu figure au revers des monnaies de la Confédération arcadienne qui portent Zeus au droit (voir Jost [1985], p. 475).
Denys d’Halicarnasse, I, 32, 3; Virgile, Énéide VIII, 343-344.
Tite-Live, I, 5. Inuus est, semble-t-il, un surnom de Faunus.
Ovide, Fastes V, 99-102. Voir aussi Plutarque, Étiologies romaines, 68, qui précise, pour les Lupercales : « le sacrifice se fait en l’honneur de Pan ».
Voir Schilling (1981), p. 400-401.
Pausanias, VIII, 1, 2. Pan ne porte pas l’épiclèse Lykaios en Arcadie (une occurrence épigraphique de Pan Lykeios à Tégée : IG V 2, 93).
Denys d’Halicarnasse, I, 32, 3.
Virgile, Bucoliques X, 26 et Géorgiques III, 392.
Voir Jost (2010), p. 243-244.
Denys d’Halicarnasse, I, 32, 4-5; voir aussi I, 79, 8. Cf. Coarelli (1996), p. 198-199 et Delcourt (2005), p. 150 n. 2.
Fabre-Serris (2008), p. 14.
Voir Jost (1985), p. 459-460.
Il est douteux que l’on doive parler d’ignorance : voir ci-dessus, p. 1, à propos du texte de Varron.
Pausanias, VIII, 38, 5. Voir Jost (1985), p. 267-268.
Plutarque, Vie de Romulus, 21, 6; Valère Maxime, II, 2, 9.
Valère Maxime, II, 2, 9. Suivait un curieux rituel (initiatique ?), rapporté par le seul Plutarque, Vie de Romulus, 21, 6-7.
Denys d’Halicarnasse, I, 80, 1; Tite-Live, I, 5; Plutarque, Vie de Romulus, 21, 7.
Plutarque, Vie de Romulus, 21, 7; cf. id., Vie de César, 61, 2-3. Plutarque ajoute qu’« une particularité de cette fête, c’est que les Luperques y sacrifient un chien », détail qui est repris dans les Étiologies romaines, 48.
Ovide, Fastes; Plutarque, Vie de Romulus, 21, 6. Pour les interprétations modernes des Lupercalia, voir la bibliographie donnée par Beard, North, Price (2006), p. 64, n. 140 (en particulier Ulf [1982], qui analyse les études antérieures). Voir Carandini (2006), p. 109-112, p. 348-356 et, p. 477-491, un appendice sur les Lupercalia par P. Carafa.
Dumézil, op. cit., p. 353.
Roscher (1984-1987), s.v. « Pan », col. 1350.
Théocrite, Idylles, VII, 106-108 et la scholie à ce passage. Pour le rituel des scilles, voir Borgeaud (1979), p. 107-114 et Jost (1985), p. 470-472.
Ogilvie (1965), p. 52-53; Fromentin (2006), p. 272.
Pausanias, VIII, 1, 2; Aristote, fr. 637 Rose; scholie à Euripide, Oreste, 1647.
Jost (2010), p. 249-151. Que Niké ait eu une place plus importante en Grèce que ne le suggère le silence absolu de Pausanias est une réalité que Denys peut avoir connue; il n’en découle pas que ce soit la cause de son choix pour Pallantium.
Voir ci-dessus, p. 106. Critique sur le reste du texte, j’avais imprudemment fait confiance aux dires de Denys sur Niké (Jost [1985], p. 197-198), en raison de la légende « arcadienne » qu’il rapporte; ce point de vue est à corriger.
Tite-Live, X, 23, 9.
Tite-Live, XXXV, 9, 6; voir Pensabene (1999), p. 150-151.
Scullard (1981), p. 169-170.
Scullard (1981), p. 166, 167, 170, 196.
Hésiode, Théogonie, 383-384.
Il ne s’agit pas nécessairement d’un Arcadien, comme je le disais : Jost (1985), p. 531.
Delcourt (2005), p. 151 et n. 8.
Denys d’Halicarnasse, I, 33, 1.
Parker (2005), p. 276-288.
Voir Déméter Thesmia, près du mont Cyllène (Paus. VIII, 15, 3-4) et une mention arcadienne, sans localisation précise, de Déméter Thesmophoros (Jost [1985], p. 325-326; Dubois [1986], p. 195-202, l’attribue à Phénéos en grande partie à cause du texte de Pausanias).
Pirenne-Delforge (2011), p. 137 et n. 128.
Coarelli (1993), p. 260-261.
Le Bonniec (1958), p. 112-114. Mavrogiannis (2003), p. 115, parle à tort des Ludi Ceriales.
Cicéron, Pro Balbo, 55. Voir aussi id., Verrines, 4, 114-115 et Verrines, 5, 187.
Festus, 86 L, s.v. graeca sacra. Voir aussi Le Bonniec (1958), p. 381-386, pour l’examen des textes de Cicéron et de Festus.
Le Bonniec (1958), p. 390-396. Cf. Cicéron qui rapporte que les prêtresses du culte étaient généralement originaires des colonies grecques de Naples et de Vélia dans le Sud de l’Italie; Spaeth (1996), p. 11-12. Dans le texte de Cicéron, adsumpta de Graecia peut, selon Le Bonniec et Spaeth, désigner la Grande Grèce.
Cicéron, Lois II, 21 (texte traduit ci-dessous).
Le Bonniec (1958), p. 420.
Cicéron, Pro Balbo, 55. Voir aussi Valère Maxime, I, 1, 1.
Le Bonniec (1958), p. 397; Spaeth (1996), p. 104.
Cicéron, Verrines, 4, 99.
Le Bonniec (1958), p. 399.
Voir Parker (2005), p. 276 et n. 27 (avec la bibliographie). Ajouter R. Osborne, « Women and Sacrifice in Classical Greece”, CQ 43 (1993), p. 392-405 [= R. Buxton (éd.), Oxford Readings in Greek Religion, Oxford, 2000, p. 294-313] qui nuance le point de vue.
Cicéron, Lois II, 21.
Tite-Live, XXII, 56, 4-5; cf. XXXIV, 6, 15.
Festus, p. 86 L, s.v. Graeca sacra.
Cicéron, Verr. II, 4, 99.
Valère Maxime I, 1, 15. Pour les divergences entre Tite-Live et Valère Maxime sur les mesures prises après la défaite de Cannes, voir Le Bonniec (1958), p. 400-402.
Spaeth (1996), p. 107-108.
On cite, en faveur de néphalia pour Déméter, la conduite de Métanire refusant le vin (ci-dessus, p. 114) et le sacrifice aux Despoinai d’Olympie (Pausanias, V, 15, 10), mais il faut alors supposer toute une série d’« exceptions » aux néphalia pour la déesse (voir Farnell III [1907], p. 102). Notons d’ailleurs, la mention par V. Pirenne-Delforge (2011), p. 144-145, n. 155, de deux inscriptions athéniennes, où l’on voit des mentions explicites de sacrifices à Déméter, sans qu’ils soient qualifiés de néphalios, alors que le terme apparaît pour d’autres dieux dans ces documents.
Le Bonniec (1958), p. 417.
Ibid.
Plaute, Aulularia, 354-355.
Ovide, Amores III, 10, 47-48.
Le Bonniec (1958), p. 416.
Denys d’Halicarnasse, I, 33, 2.
Jost (1985), p. 292; Capdeville (1993), p. 167.
Voir ci-dessus; Bernstein (1997), p. 425; Mylonopoulos (2003), p. 121.
Tertullien, Spectacles IX, 2.
Servius, Comm. à Virgile, Énéide, VIII 635. Voir aussi Jean le Lydien, I, 30.
Tite-Live, I, 9.
Strabon, V, 3, 2. Même chose chez Polyen, VIII, 3, 1.
Denys d’Halicarnasse, I, 33, 2. Voir ci-dessous, p. 121.
Denys d’Halicarnasse, II, 31, 2-3. L’autel était à l’extrémité sud-est de la spina du Circus Maximus : voir Ciancio Rossetto (1993), p. 322.
Voir aussi Jean le Lydien, Des magistratures, 30, 1 : « C’est un dieu caché et souterrain, et, comme le disent les poètes, ‘ébranleur de la terre’ (Enosigaios) et ‘ébranleur du sol’ (Enosichthon) ».
Plutarque, Vie de Romulus, 14, 3-4.
Plutarque, Étiologies romaines, 48.
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Dumézil (1969), p. 292.
Pausanias, VIII, 10, 1. Voir Jost (1985), p. 290.
Dumézil (1969), p. 299-301. Contra, Ernout, Meillet (1967), s.v. ‘Consus’.
Denys d’Halicarnasse, I, 33, 2; II, 30, 3 et II, 31, 2; Festus, p. 135 L, s.v. mulis. Les concours avaient lieu, semble-t-il, lors des deux fêtes : Scullard (1981), p. 178. Pour une lecture historicisante des trois mentions de la fête chez Denys, voir Capdeville (1993), p. 166-168; elles reflèteraient une évolution des Consualia avec l’accent porté successivement sur les jeux athlétiques, puis les courses de chevaux et enfin les défilés de quadrupèdes,
Voir Bernstein (1997), p. 436-437.
Voir la mise au point d’Ogilve (1965), p. 66-67.
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Bernstein (1997), p. 431-432.
Tite-Live, I, 9.
Tertullien, Les spectacles V, 4, 5.
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Voir aussi Polyen VIII, 3, 1.
Denys d’Halicarnasse, I, 33, 3. Voir aussi Delcourt (2005), p. 143-156.
Denys d’Halicarnasse, I, 11, 2.
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