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Jeux des vers et de la prose

Tromper un gabelou en se faisant passer pour un taoïste

Une histoire du Dupian xinshu 杜騙新書 (Nouveau livre pour en finir avec la tromperie)
Cécile Reverdy

Texte intégral

Présentation de l’œuvre

  • 1 Deux titres plus longs sont présentés à l’intérieur de l’ouvrage : Dingke jianghu lilan dupian xins (...)
  • 2 Il s’agit d’un exemplaire manuscrit, semble-t-il unique, conservé aux Archives nationales du Japon.
  • 3 Voir The Book of Swindles, traduit par Christopher Rea et Bruce Rusk. New York : Columbia Universit (...)

1 L’histoire ici traduite est tirée d’un recueil intitulé Dupian xinshu 杜騙新書 (Nouveau livre pour en finir avec la tromperie1), écrit sous les Ming, très probablement sous l’ère Wanli 萬曆 (1563-1620), par Zhang Yingyu 張應俞, Kuizhong 夔衷 de son nom social, auteur dont on ne sait rien sinon qu’il est originaire la province du Zhejiang. Sont conservées aujourd’hui deux types d’éditions originales, quasiment identiques : une sans préface dont il existe quelques exemplaires, et une présentant une préface signée de Xiong Zhenji 熊振骥, datée de la quarante-cinquième année de l’ère Wanli, soit 16172. Le titre fut plus tard abrégé sous le nom de Pianjing 騙經 (Traité de la tromperie), ou Fangpianjing 防騙經 (Traité pour se protéger de la tromperie). L’ouvrage est partiellement traduit en anglais3 et nous travaillons actuellement à sa traduction en français.

  • 4 Eugène-François Vidocq, Mémoires. Les voleurs. Paris : Robert Laffont, 1998, p. 679.

2 De manière encyclopédique, l’auteur classifie différentes catégories (lei ) de tromperies, selon les modes opératoires, les contextes ou les types d’individus. Ce recueil serait le premier du genre en Chine. Ainsi, deux siècles avant Vidocq qui, en 1837, publie sous forme de dictionnaire Les Voleurs, « Physiologie de leurs mœurs et de leur langage. Ouvrage qui dévoile les ruses de tous les fripons, et destiné à devenir le Vade Mecum de tous les honnêtes gens4 », Zhang Yingyu propose un manuel de protection contre, selon le terme consacré, la délinquance astucieuse. Le recueil recense vingt-quatre catégories de longueur inégale, et compte en tout quatre-vint-quatre histoires, récits de faits divers colportés en leur temps où interviennent des gun , terme que nous traduisons selon les cas par escroc, bandit, filou, malfrat ou gredin, tous ces termes se conjuguant également au féminin (notamment dans une catégorie consacrée aux tromperies féminines). Ces récits nous plongent dans la vie quotidienne des Ming à travers les différentes facettes de la société, le monde interlope des rivières et des lacs traversé par des marchands, des moines itinérants, le monde de la paysannerie, mais aussi l’univers urbain des lettrés, des familles riches, de l’administration, des lupanars et des tripots. La production de cette œuvre semble symptomatique de son époque, la Chine connaissant alors des bouleversements dus au développement de l’économie marchande et à l’introduction massive du métal argent sur son territoire. Plusieurs lettrés contemporains de l’auteur partagent avec lui une indignation face à la perte de certaines valeurs confucéennes, battues en brèche par l’esprit de lucre gagnant la société. Cependant, dans les commentaires moralisateurs qui clôturent la plupart des récits, l’auteur s’en prend souvent plus à la naïveté et à l’imprudence des victimes qu’il ne condamne la ruse, fruit d’une intelligence stratégique héritée des maîtres de l’antiquité tel l’Art de la guerre de Sunzi ou l’anthologie plus tardive des Trente-six stratagèmes.

3 La valeur historique de cette œuvre requiert un esprit critique, car il s’agit de retranscription de récits oraux dont la véracité est peu vérifiable. Sa valeur documentaire réside dans l’emploi de certains modes opératoires, dans la profusion de détails relatifs à l’organisation sociale de l’époque, ainsi que sur l’imaginaire collectif et la prégnance de la pensée magique.
L
’œuvre présente une grande diversité de cas de figures dont certains furent une source d’inspiration pour le théâtre et la littérature. Les tentatives de tromperies ne réussissent pas toujours, quelques-unes se voyant déjouées par un plus malin ou par un sage serviteur. Certaines histoires sont cruelles, entraînant parfois la mort de la, voire des victimes, le pire des cas allant jusqu’à l’anthropophagie. D’autres sont drôles et charmantes, comme l’histoire ici présentée.

  • 5 Voir le 26e récit du Jingshi tongyan 警世通言 (Propos éclairés pour avertir le monde), « Tang jieyuan y (...)

4Elle met en scène un célèbre lettré, peintre et poète de la dynastie Ming, Tang Yin 唐寅 (1470-1524), plus connu sous le nom de Tang Bohu 唐伯虎. Jeune prodige originaire de Suzhou, il est reçu premier aux examens préfectoraux à l’âge de seize ans. Il sera premier également aux examens provinciaux à vingt-huit ans. Se présentant aux examens de la capitale, il se trouve impliqué dans une affaire et accusé d’avoir eu les sujets à l’avance. Provisoirement emprisonné, il est démis de son titre et rétrogradé au statut de fonctionnaire subalterne. Rejeté par sa femme et par le milieu lettré (hormis quelques fidèles comme Wen Zhengming 文徵明 (1470-1559) dont il est question dans l’histoire ici traduite), il noie son amertume dans l’alcool et vit en vendant ses peintures. Symbole du lettré dont les talents n’ont pu être exploités au service d’une carrière mandarinale, il devient une figure populaire dont va s’emparer rapidement la littérature et le théâtre. La légende la plus célèbre le concernant est une histoire d’amour apparaissant dans diverses œuvres d’époque Ming, dont la plus connue est la version de Feng Menglong 馮夢龍 (1574-1645)5 parue en 1624 : Tang Bohu tombe amoureux d’une servante qui lui a souri. Il la suit et se fait employer comme précepteur chez ses maîtres. Chronologiquement proche du récit de Feng Menglong, l’histoire ici traduite est tirée de la treizième catégorie recensée par Zhang Yingyu, intitulée « Tromperies poétiques » (Shicipian 詩詞騙). C’est le talent du lettré et de ses compagnons de boisson qui sert à tromper un fonctionnaire. C’est aussi la seule histoire du recueil où les valeurs sont inversées, la tromperie étant qualifiée par l’auteur de bonne (shan ), de positive, s’attaquant à une institution réputée corrompue.

5Le choix de cette traduction est motivé par le fait que Jacques Pimpaneau se plaisait à raconter les histoires de Tang Bohu, surtout l’épisode où le lettré travaillait comme employé dans une grande famille pour être auprès de son aimée. Cette personnalité alliant le talent, l’humour et l’excentricité, se payant comme nous allons le voir la tête des autorités, semble assez lui correspondre.

Tromper un gabelou en se faisant passer pour un taoïste

  • 6 Dans la sous-préfecture de Wu, dépendant de la préfecture de Suzhou.
  • 7 Wen Zhengming 文徵明 (1470-1559), originaire de Suzhou, issu d’une grande famille de lettrés. L’auteur (...)
  • 8 Zhu Yunming 祝允明 (1461-1527), lui aussi originaire de Suzhou, pratiquant le style cursif.
  • 9 « Employé au costume noir » (zaoli 皂隸), les clercs occupaient des postes subalternes au yamen (cent (...)
  • 10 Il s’agit ici d’escargots de rivière (luosi 螺螄).

6Tang Yin, Bohu de son nom social, aussi appelé Ziwei, était originaire de Wuqu6 près de Nankin. En l’an 1498, il fut reçu premier aux examens provinciaux, mais, à la suite d’un scandale, fut démis de son titre. Il mena ensuite une vie libertine, se laissant aller aux plaisirs de l’alcool et de la chair en compagnie de courtisanes. C’était un grand poète et prosateur ainsi qu’un excellent peintre, ami de grandes célébrités comme le peintre Wen Zhengming7 et le calligraphe Zhu Yunming8. Ensemble, ils fréquentaient régulièrement les lupanars des quartiers de plaisirs de Nankin, s’amusaient de mots d’esprit et improvisaient des poèmes. Un jour, un clerc9 lui tend une feuille de papier et lui demande une peinture. Bohu, de son pinceau, dessine une dizaine de bigorneaux10 et écrit à côté un poème :

Ce n’est ni un crabe, ni un solen,
De tous les fruits de mer, il reste l’inconnu,
Il voudrait bien crier, mais aucun son ne sort,
Il attend pour cela qu’on lui tapote le cul.

7 Tout le monde éclata de rire. Un autre jour, il voit devant le yamen de la sous-préfecture un moine bouddhiste qui portait une cangue autour du cou. Les gens attroupés lui demandent de composer un poème pour le moine. Bohu s’enquiert des raisons du châtiment et, prenant son pinceau, écrit sur la cangue :

Le clerc est envoyé pour prélever l’impôt sur le thé.
Point d’argent, lui dit-on, faites-nous donc crédit !
Capturé, le moine est condamné à trente coups de bâton,
Et le voilà comme une pastèque livrée sur un plateau.

8 Le magistrat de la sous-préfecture accompagne quelqu’un à la porte du yamen, voit le poème et demande qui l’a écrit. Apprenant que c’était Tang Bohu, il relâche alors le moine. Ces quelques histoires montrent comment ce bel esprit était prompt à trouver de bons mots.

  • 11 Fonctionnaire préposé à récolter la gabelle, ancien impôt sur le sel.
  • 12 Il est possible que ce nom de temple soit inventé. Il est le titre d’une pièce de théâtre anonyme d (...)

9 Un jour, Bohu, Zhu Yunming et une dizaine d’amis se rendirent à Yangzhou, emportant dans leurs bagages divers costumes. Ils passaient leur journée au lupanar à boire et à prendre du bon temps avec les courtisanes. Au bout d’un mois, ils furent sans le sou. Yunming dit : « Plus une seule once d’or, quelqu’un a une idée ? ». Bohu répondit : « Pas de problème ! Aujourd’hui doit venir le gabelou11 ; ses caisses sont pleines d’argent. Toi et moi, on va se déguiser en moines taoïstes du temple de Dame-de-pureté12 et on va aller lui demander l’aumône ». Aussitôt dit aussitôt fait. Alors que le gabelou tenait audience, les deux moines vinrent se prosterner devant lui : « Bonjour votre Excellence, nous sommes des moines du temple de Dame-de-pureté ». Le fonctionnaire vociféra :

  • 13 Institution propre au gouvernement des Ming dont il existe des bureaux à l’échelon provincial et no (...)

10« Ignoriez-vous la rigueur des règles du censorat13? Quels sont ces moines qui osent de telles impudences ! ». Et il ordonna de les faire battre. Les deux hommes répondirent impassiblement : « Votre excellence pense peut-être que nous sommes de ces moinillons qui arpentent les routes à la recherche d’une pitance. Nous parcourons l’empire et ne fréquentons que de grandes célébrités. Tenez, par exemple, Tang Bohu, Wen Zhengming et Zhu Yunming, tous ces gens de Suzhou sont des amis qui nous tiennent en grande estime. Nous sommes capables de composer toutes sortes de quatrains, poésies, ballades et rhapsodies. Si vous en doutez, proposez-nous un thème et nous exercerons nos modestes talents ». Le gabelou pointa du doigt une pierre en forme de bœuf couché qui se trouvait devant le bâtiment et demanda aux deux hommes d’enchaîner un poème. Bohu, au pied levé, se mit à psalmodier :

Un curieux rocher venu des cimes contre les nuages appuyées

11Et Yunming de répondre :

Fut abandonné ici il y a bien des années

12Bohu :

Les pluies l’ont recouvert d’une mousse touffue

13Yunming :

Le vent y a semé une glycine qui perce ses narines

14Bohu :

Jamais il ne broute l’herbe du bord des ruisseaux

15Yunming :

Jamais dans les champs il ne tire la charrue

16Bohu :

Aucun bouvier, d’impatience, de son fouet le rudoie

17Yunming :

Quand, au son du pipo, le soleil s’agrippe aux brumes du couchant.

18Le gabelou, dont le visage s’était détendu, leur dit : « C’est un beau poème ! Que désirez-vous messieurs ? ». « Depuis peu, le temple de Dame-de-pureté tombe en délabrement. Nous avons ouï dire que votre Excellence était bonne et généreuse. Si vous acceptiez de faire une donation, le temple pourrait être rénové et cette bonne action vous serait éternellement bénéfique ». Le visage du gabelou s’illumina de joie et il rédigea une lettre au vice-magistrat de la sous-préfecture de Wuxing, lui demandant de prendre cinq cents onces dans les coffres afin de leur remettre. Les deux hommes, munis de la lettre, prirent la nuit-même en toute hâte la route de Wuxing. Arrivés devant le vice-magistrat, ils prétendirent parler au nom des moines et résumèrent ainsi la situation : « Le préposé au sel a l’intention de financer la restauration du temple de Dame-de-pureté. C’est là une grande action. Il vous faut sans tarder remettre la somme indiquée dans la lettre ». Le vice-magistrat s’exécuta et remit l’argent. Une fois les lingots en poche, les hommes exultèrent en disant : « Qui n’a pas la malice d’aller sonder les profondeurs du lac ne trouvera jamais la perle du dragon ». Ils reprirent la route de Yangzhou, retrouvèrent la dizaine d’amis de la bande et renouèrent avec les plaisirs du lupanar, de la boisson et des spectacles, s’en donnant tous à cœur joie. En à peine dix jours, tout l’agent était parti en fumée. Plus tard, le gabelou fit un tour d’inspection à Wuxing. Il ajusta sa tenue pour se rendre au temple de Dame-de-pureté et s’aperçut qu’il était toujours délabré. Il convoqua le vice-magistrat pour le morigéner et celui-ci répondit : « Il y a quelques jours, Tang Bohu et Zhu Yunming sont venus de Yangzhou ; ils ont insisté en disant vous teniez à faire un don charitable pour la rénovation du temple. Votre humble serviteur a donc donné le montant inscrit sur la lettre ». Le gabelou fut fort désappointé d’apprendre que les deux hommes l’avaient dupé, mais, admirateur de leur talent, il n’engagea aucune poursuite.

19 Tang Bohu et Zhu Yunming étaient à l’époque des célébrités de notre empire. Cependant, n’ayant pu réaliser leurs ambitions, ils se sont réfugiés dans les plaisirs du monde des courtisanes. Chez les buveurs de bordels, tout le monde les connaissait. Sans leur immense talent et leur intarissable verve, comment auraient-ils pu émouvoir le gabelou ? Cette tromperie peut être qualifiée de positive. En effet, si l’on pense à tous ces grands mandarins sur leur trône en peau de tigre qui, de nos jours, ne pensent qu’à s’engraisser sur le dos des petites gens et à détourner de l’argent public, leur façon de s’enrichir lient contre eux une rancœur générale. N’est-ce pas là une manière de tromper le peuple ? Certes, l’un d’entre eux fut trompé par Tang Bohu et Zhu Yunming, mais que cela serve de leçon à tous ces fonctionnaires corrompus. Celui-ci n’engagea pas de poursuite à leur encontre, ce qui prouve son admiration pour les hommes de talent.

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Document annexe

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Notes

1 Deux titres plus longs sont présentés à l’intérieur de l’ouvrage : Dingke jianghu lilan dupian xinshu 鼎刻江湖歷覽杜騙新書 (Nouveau livre gravé sur un tripode pour se protéger des tromperies expérimentées à travers les rivières et les lacs), ainsi que ce même titre précédé non pas de « gravé sur un tripode » mais par « nouvellement gravé » (xinke 新刻)

2 Il s’agit d’un exemplaire manuscrit, semble-t-il unique, conservé aux Archives nationales du Japon.

3 Voir The Book of Swindles, traduit par Christopher Rea et Bruce Rusk. New York : Columbia University Press. 2018 qui propose quarante-trois histoires. Notre traduction intégrale devrait être disponible en 2024. On peut également en trouver une anecdote dans le numéro 5 d’Impressions d’Extrême-Orient : Pierre Kaser, « Chair humaine contre huile et viande », Impressions d’Extrême-Orient [En ligne], 5 | 2015, mis en ligne le 26 septembre 2015, l’URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/ideo/362

4 Eugène-François Vidocq, Mémoires. Les voleurs. Paris : Robert Laffont, 1998, p. 679.

5 Voir le 26e récit du Jingshi tongyan 警世通言 (Propos éclairés pour avertir le monde), « Tang jieyuan yixiao yinyuan » 唐解元一笑姻緣 (L’histoire d’amour de Tang, premier aux examens provinciaux, qui commence par un sourire) qui figure également en 33e position du Jingu qiguan 今古奇觀 et a donc été traduit par Rainier Lanselle sous le titre « Tang le lauréat se joue du monde et l’étonne » dans Spectacles curieux d’aujourd’hui et d’autrefois (Jingu qiguan). Paris : Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1996, pp. 1344-1368.

6 Dans la sous-préfecture de Wu, dépendant de la préfecture de Suzhou.

7 Wen Zhengming 文徵明 (1470-1559), originaire de Suzhou, issu d’une grande famille de lettrés. L’auteur énumère deux noms, Wen Zhengming et Wen Zhengzhong, qui désignent la même personne. Nous avons donc omis ce dernier nom.

8 Zhu Yunming 祝允明 (1461-1527), lui aussi originaire de Suzhou, pratiquant le style cursif.

9 « Employé au costume noir » (zaoli 皂隸), les clercs occupaient des postes subalternes au yamen (centre administratif), travaillant au service des fonctionnaires. À la différence de ceux-ci, ils n’ont pas passé les examens officiels.

10 Il s’agit ici d’escargots de rivière (luosi 螺螄).

11 Fonctionnaire préposé à récolter la gabelle, ancien impôt sur le sel.

12 Il est possible que ce nom de temple soit inventé. Il est le titre d’une pièce de théâtre anonyme d’époque Ming.

13 Institution propre au gouvernement des Ming dont il existe des bureaux à l’échelon provincial et notamment en charge de la gabelle. Yangzhou, situé à la rencontre du fleuve Yangzi et du grand canal, était une ville importante sur la route du sel. Elle comptait parmi ses notables de riches négociants en sel.

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Pour citer cet article

Référence électronique

Cécile Reverdy, « Tromper un gabelou en se faisant passer pour un taoïste »Impressions d’Extrême-Orient [En ligne], 16 | 2024, mis en ligne le 30 juin 2024, consulté le 17 janvier 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/ideo/3669 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/11z80

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Auteur

Cécile Reverdy

Cécile Reverdy a soutenu une thèse de doctorat sous la direction de Vincent Durand-Dastès intitulée « Les rires et sourires du Jingju et Kunqu. Contribution à l’analyse de la notion et de la représentation du rire dans le théâtre chanté chinois ». Elle a travaillé comme guide-conférencière en chinois à Paris depuis 1993.

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