Bibliographie
Sources
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César, La guerre civile. Tome 2 (Livre III), trad. P. Fabre, Paris, CUF 1936.
Pseudo-César, Guerre d’Alexandrie, trad. J. Andrieu, Paris, CUF, 2002 (1954).
Références
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DE GIORGIO Jean-Pierre (éd.), avec COGITORE Isabelle, COUDRY Marianne, LEFEBVRE Sabine & WYLER Stéphanie, César, Guerres : guerre des Gaules & guerre civile, Paris, Les Belles Lettres, coll. « Editio Minor », 2020.
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TLL = Thesaurus linguae latinae, en ligne sur <www.thesaurus.badw.de/en/about-the-tll/history.html>.
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Notes
De Giorgio (éd.) et al. (2020). Ce collectif est désigné par le terme Groupe César dans cet article. Nous avons choisi de donner toutes les mesures selon nos unités de mesures actuelles, kilomètres, heures, etc.
César, La guerre civile, Tome 1 (Livres I et II) et Tome 2 (Livre III), Paris, 1936.
Pour plus de détails sur la méthode de travail, voir Cogitore et al. (2020).
À de très rares exceptions, comme pour imperator à quatre reprises. Cf. Cogitore et al. (2020, ix-xxxv).
Il ne s’agit évidemment pas ici de reprendre l’ensemble du dossier, mais de proposer une rapide synthèse destinée à éclairer les choix de traduction.
Tarpin (2000).
Sur l’origine du mot, voir les propositions de Servius, ad Aeneid, IX, 605 : Quatit oppida bello oppidum quidam a uico castelloque magnitudine secernunt : alii locum muro fossaue aliaue qua munitione conclusum : alii locum aedificiis constitutum, ubi fanum comitium forum et murus sit ; alii oppidum ab oppositione murorum ; uel quod hominibus locus esset oppletus ; uel quod opes illo munitionis gratia congestae sunt.
Gaffiot (1934).
Lewis & Short (1962).
Tarpin (2000, 28).
Ibid.
Thesaurus Linguae Latinae (TLL), IX-2, p. 754-759 (1976) ; parmi les sens du mot, on peut noter, col. 754 : sedes ciuitatis, urbs, entre autres, chez Pline l’Ancien, Histoire naturelle, III, 7.
Cicéron, De Republica, I, 41 : quam cum locis manuque saepsissent, eius modi coniunctionem tectorum oppidum uel urbem appellauerunt, delubris distinctam spatiisque communibus.
Varron, De Lingua Latina, V, 143 : Oppida condebant in Latio Etrusco ritu, ut multa, id est iunctis bubus, tauro et uacca interiore, aratro circumagebant sulcum. Hoc faciebant religionis causa die auspicato, ut fossa et muro essent muniti. Terram unde exculpserant, fossam uocabant et introrsum iactam murum.
Tite-Live, XLII, 36 : Per idem tempus legati ab rege Perseo uenerunt. Eos in oppidum intromitti non placuit, cum iam bellum regi eorum et Macedonibus et senatus decresset et populus iussisset.
Tite-Live n’utilise pas le terme de ciuitas quand il parle des Gaulois cisalpins du iiie siècle av. J.‑C., dont il juge sans doute les institutions comme étant trop « embryonnaires » ; cf. Peyre (1979, 56 ; pour les oppida, 59-62).
Tite-Live, XXII, 11 : Edictoque proposito ut, quibus oppida castellaque immunita essent, ut ii commigrarent in loca tuta.
Voir, par exemple, Beltrán Lloris (1999).
Peyre (1979, 59).
Polybe, III, 69, 1 : πόλιν Κλαστίδιον.
Tite-Live, XXI, 48, 9 : ad Clastidium uicum.
Tite-Live, XXXII, 29, 7 : Oppida Clastidium et Litubium, utraque Ligurum. Clastidium contrôlait le défilé de Stadella, stratégique, car il ouvrait sur l’Émilie.
César, Bellum Gallicum, V, 21, 3-4 : Oppidum autem Britanni uocant, cum siluas impeditas uallo, atque fossa munierunt, quo incursionis hostium uitandae causa conuenire consuerunt. 4 : Eo proficiscitur cum legionibus : locum reperit egregie natura atque opere munitum.
César, Bellum Gallicum, VII, 68-69 et 84.
César, Bellum Gallicum, I, 38 : Cum tridui uiam processisset, nuntiatum est ei Ariouistum cum suis omnibus copiis ad occupandum Vesontionem, quod est oppidum maximum Sequanorum, contendere, triduique uiam a suis finibus profecisse. Id ne accideret magnopere sibi praecauendum Caesar existimabat. Namque omnium rerum quae ad bellum usui erant summa erat in eo oppido facultas, idque natura loci sic muniebatur ut magnam ad ducendum bellum daret facultatem, propterea quod flumen [alduas] Dubis ut circino circumductum paene totum oppidum cingit ; reliquum spatium, quod est non amplius pedum M sexcentorum, qua flumen intermittit, mons continet magna altitudine, ita ut radices montis ex utraque parte ripae fluminis contingant. Hunc murus circumdatus arcem efficit et cum oppido coniungit. Huc Caesar magnis nocturnis diurnisque itineribus contendit occupatoque oppido ibi praesidium conlocat.
Fichtl (2005, 11).
Fichtl (2005, 15).
Cicéron, 2 Verrines, IV, 72, xxxiii : Segesta est oppidum peruetus in Sicilia.
Goudineau (1981, 14-15).
Déchelette (1927). Cf. Gardes (2017).
Je résume ici les propos de Fichtl (2005, 11-24).
César, Bellum Gallicum, I, 6, 3 : Extremum oppidum Allobrogum est proximumque Heluetiorum finibus Genua.
Tite-Live, XXII, 11.
Fichtl (2005, 13) ; Moret (2017, 173-190), qui remet en cause l’évolution historique supposée avoir amené l’apparition des oppida ; Moret (2018).
Fichtl (2005, 12).
Je renvoie pour une présentation historiographique plus ample à Fichtl (2005, 17-20). On peut aussi évoquer le bilan historiographique de Salač (2012), dans lequel l’auteur propose d’envisager aussi bien des oppida de hauteur que des oppida de plaine.
Kruta (2000, 762-763).
Fichtl (2005).
Fichtl (2004).
Fichtl (2005, 11-40).
Dehn (1962).
Guillaumet (1984).
Fichtl (2005, 11-16).
Fichtl (2005, cartes p. 20 et 22-23 pour l’extension de la civilisation des oppida).
Tarpin (2000, 27) : « Le même site peut être désigné comme urbs et comme oppidum. Les deux termes sont donc interchangeables. »
Fichtl (2005). On peut ajouter plus récemment Fichtl (2012).
Aulu-Gelle, Nuits attiques, XVIII, 7, 5 : “ciuitatem” et pro loco et oppido et pro iure quoque omnium et pro hominum multitudine.
La traduction de ciuitas dans le Bellum Gallicum a entraîné une discussion au sein du Groupe César.
Lefebvre (2011, 154).
Pour la période préromaine, voir Fichtl (2012, 238) : « Plusieurs oppida sont connus pour cette ciuitas. » Dans cet ouvrage, il analyse plusieurs termes (ciuitas, pagus, natio, finis, regio) mais pas oppidum.
Fichtl (2005, 16).
Fichtl (2005, 15).
Il l’est moins quand il évoque l’oppidum des Parthini (BC, III, 41, 1) sous la forme qu’il emploie souvent dans la guerre des Gaules (oppidum + le nom d’un peuple). En effet, il ne mentionne pas de ville relevant de ce peuple qui est toujours mentionné comme un groupe humain : cf. BC, III, 11, 3 ; 42, 4 et 5 ; Tite-Live, XXIX, 12, 3 : Parthinosque et propinquas alias gentes motas esse ad spem nouandi res ; 13 : ut Parthini et Dimallum et Bargullum et Eugenium Romanorum essent ; Suétone, Diuus Augustus, 19 : item Asini Epicadi ex gente Parthina ibridae. Le Groupe César a choisi pour ce cas particulier de traduire oppidum par « place forte », la présence d’une ville au sens romain du terme n’étant pas attestée. Il existe néanmoins une ville, Parthus, mentionnée par Étienne de Byzance (505 : Πάρθος, πόλις Ἰλλθρική), mais qui à l’époque de César n’avait sans doute pas encore une physionomie suffisamment urbaine pour être ainsi considérée, tout comme les deux forteresses d’Eugenium et de Bargulum mentionnées par Tite-Live.
On peut noter dans Fichtl (2012) que sont évoquées les régions suivantes : la Gaule méridionale (93-104) ; les castra de la péninsule Ibérique (105-110) ; l’Europe centrale (115-122) et les îles Britanniques (123-130), mais en aucun cas l’Italie, la côte dalmate ou l’Afrique du Nord. De même, ces dernières régions ne figurent pas dans Pierrevelcin (2012).
Pour Salone, César évoque le site ; cf. BC, III, 9, 2 : oppidum oppugnare instituit (est autem oppidum et loci natura et colle munitum). Il s’agit d’une ville côtière.
Tarpin (2000, 27) : « La richesse du vocabulaire utilisé par les auteurs de langue latine pour désigner tout type d’agglomérations et de communautés qu’ils pouvaient rencontrer montre que l’on distinguait plusieurs catégories. »
Ils ont pourtant un rôle, étant souvent le siège du pouvoir local, le centre économique et religieux ; cf. Tarpin (2000, 29).
BC, III, 11, 1 : atque omnibus oppidis mutatis ad celeritatem iumentis ad Pompeium contendit.
Tarpin (2000, 29) : « Pour les érudits du temps, l’oppidum se caractérisait donc par la manifestation de la puissance, à la fois par la capacité de défense et par l’accumulation de richesse. »
BC, I, 12, 1 : oppidum munire.
BC, I, 12, 2 : diffisus municipii uoluntati. Cela est confirmé en BC, I, 12, 3 : confisus municipiorum uoluntatibus. Sur les décisions prises localement, voir aussi BC, I, 13, 1 avec les décurions d’Auximum.
Gentili (1955).
BC, I, 12, 3 : Quod oppidum Attius cohortibus introductis tenebat.
Sur le Picenum avant les Romains, voir Delplace (1993, 1-3), qui montre bien que la population n’est pas celtique, même si une influence gauloise (sénone) est à noter au ive siècle av. J.‑C. ; pour plus de précisions, voir Delplace (1993, 3, note 17).
L’enceinte daterait de 174 av. J.‑C.
Velleius Paterculus, I, 15.
BC, I, 13, 1 : oppido moenibusque prohiberi.
BC, I, 13, 2 : ex oppido educi ac profugit.
BC, III, 29, 1 : quod oppidum iis antea Caesar adtribuerat muniendumque curauerat.
BC, III, 9, 2 et 4 (voir plus bas).
BC, I, 38 (voir plus haut).
BC, I, 15, 3.
BC, I, 12, 3 ; 13, 1 et 2.
Voir plus bas.
On y trouve une enceinte : cf. Delplace (1993, 300).
BC, I, 18, 1 : quod oppidum a Corfinio vii milium intervallo abest […] ; qui id oppidum vii cohortium praesidio tenebant.
BC, II, 23, 4 : Id oppidum C. Considius Longus unius legionis praesidio tuebatur.
BC, II, 19, 3 : tuendi oppidi causa apud se retinuit ; II, 21, 1 : quod oppidum in sua potestate studuissent habere.
BC, III, 5, 1 : Hiemare Dyrrachii, Apolloniae omnibusque oppidis maritimis constituerat.
BC, III, 9, 8 : Iamque hiems adpropinquabat, et tantis detrimentis receptis Octauius desperata oppugnatione oppidi Dyrrachium sese ad Pompeium recipit.
BC, I, 16, 3 (voir plus bas).
BC, III, 9, 4 : Quorum cognita sententia Octauius quinis castris oppidum circumdedit. On trouve la même opposition à Sulmo, cf. BC, I, 18, 5 : Quorum aduentu altera castra ad alteram oppidi partem ponit.
BC, I, 18, 2.
BC, III, 11, 4.
BC, II, 11, 1 : Quo malo perterriti subito oppidani.
BC, I, 61, 5 : Id erat oppidum positum ad Hiberum miliaque passuum a castris aberat xx.
BC, III, 11, 1 (voir plus haut).
Delplace (1993, 35-38).
BC, I, 15, 3 : Id oppidum Lentulus Spinther X cohortibus tenebat.
BC, I, 15, 3 : profugit ex oppido.
César encercle ainsi la ville de Sulmo, cf. BC, I, 18, 6 : Reliquis diebus oppidum uallo castellisque circumuenire instituit. On peut aussi évoquer la menace pesant sur Brindes encore tenue par Pompée, cf. BC, I, 27, 3 : […] ne sub ipsa profectione milites oppidum inrumperent.
Otacilius, de Lissus : BC, III, 29, 1 : Otacilius sibi timens <ex> oppido fugit.
M. Aurelius Cotta chassé de Caralis, cf. BC, I, 30, 3 : nondum profecto ex Italia sua sponte Cottam ex oppido eiciunt.
À Apollonia, cf. BC, III, 12, 3 : Illi ad Caesarem legatos mittunt oppidoque recipiunt.
Voir plus bas.
BC, III, 21, 5 : quae proditionem oppidi appararet.
BC, III, 101, 3 : uix oppidum defenderetur […] ; 4 : Sed opportunissime nuntiis adlatis oppidum fuit defensum.
BC, III, 102, 7 : oppido ac portu recepti non erant.
BC, I, 15, 2 : quod oppidum Labienus constituerat. Cf. Delplace (1993, 69, note 187) : oppidum serait ici employé par César pour désigner une position géographique et n’a pas ici un contenu politique, comme dans la formule oppidum c. R. qui renvoie à un statut antérieur à celui de municipe ; p. 76-77 pour la notice sur Cingulum.
Caballos Rufino (2001 et 2012).
BC, II, 4 : Isdem diebus Carmonenses, quae est longe firmissima totius prouinciae ciuitas, deductis tribus in arcem oppidi cohortibus a Varrone praesidio, per se cohortes eiecit portasque praeclusit.
Nisard (1865).
Fabre (1936 et 1959).
Cogitore et al. (2020, xxxi).
Delplace (1993, 300).
BC, II, 1, 3 : Huius quoque spatii pars ea quae ad arcem pertinet loci natura et ualle altissima munita longam et difficilem habet oppugnationem.
BC, II, 5, 3 : Facile erat ex castris C. Treboni atque omnibus superioribus locis prospicere in urbem.
C’est ici la ville qui pourrait être opposée à la campagne, au territoire rural de la cité ; cf. Tarpin (2000, 28).
Utique est en effet à cette date une ville d’origine phénicienne, fondée vers le xe siècle av. J.‑C., comme comptoir commercial. Lors de la troisième guerre punique, elle se range aux côtés de Rome, y gagne le statut de cité (ciuitas) libre et immune, et devient la capitale de la nouvelle province. Les fouilles archéologiques, déjà anciennes, ne permettent pas de restituer beaucoup de monuments de la période républicaine.
On peut noter que César emploie le terme oppidum pour Octogesa, proche de l’Èbre et du champ de bataille d’Ilerda : BC, I, 61, 5 : Id erat oppidum positum ad Hiberum miliaque passuum a castris aberat XX. Sa localisation n’est pas encore confirmée par l’archéologie.
Lefebvre, Picard, Callegarin & Valérian (à paraître).
Bellum Hispaniense, XLII, 1 ; Velleius Paterculus, II, 43, 4 ; Suétone, César, VII, 1 : Quaestori ulterior Hispania obuenit ; Plutarque, Vie de César, V ; Dion Cassius, XXXVII, 52, 2. Il est alors le collègue du propréteur C. Antistius Vetus.
Suétone, César, VII, 1 : Gadisque uenisset. Cf. Lefebvre (2013, 29-60).
Cicéron, Pro Balbo, XV, 34. Cf. Rodríguez Neila (1980).
BC, II, 20.
Ce que nous avons aussi constaté pour Massalia.
Depuis les premières recherches archéologiques menées en 2008 par la Fondation Octopus, une porte dans le mur de fortification a été découverte.
BC, III, 80, 3.
C’est ce qui a été fait pour Massalia, voir ci-dessus.
Nicolet (2000).
Tarpin (1999 et 2002).
Pseudo-César, Guerre d’Alexandrie.
Dans le cas de la traduction du Groupe César, les choix ont été fait en fonction du lecteur, cible de notre version des Guerres de César.
Leptis Magna fut cité pérégrine, puis municipe latin sous Vespasien, puis colonie romaine sous Trajan.
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