Claire Serrano (dir.), Une demeure pour les morts. La nécropole mérovingienne d’Andilly-en-Bassigny (Haute-Marne)
Claire Serrano (dir.), Une demeure pour les morts. La nécropole mérovingienne d’Andilly-en-Bassigny (Haute-Marne), Bulletin de la Société archéologique champenoise 114, n° 3-2021, 2021, 308 p.
Texte intégral
1Cet ouvrage de 308 p. constitue la publication de la nécropole mérovingienne d’Andigny-en-Bassigny, fouillée entre 1961 et 1992 sous la direction de Pierre Ballet puis de Thérèse Zeyer, et de manière très ponctuelle entre 2016 et 2018 dans le cadre de la publication de la villa antique préexistante. À partir de données disparates et lacunaires, Claire Serrano, accompagnée d’une équipe de spécialistes, s’attelle à une tâche ardue mais ô combien indispensable, celle de rendre compte à la communauté archéologique autant qu’au grand public d’un site funéraire majeur du haut Moyen Âge dans un département où l’archéologie de cette période souffre d’un manque de données.
2Le livre s’articule en deux grandes parties. La première constitue la synthèse (un tiers du volume), avec une contextualisation du site (historiographie et historique des recherches, aperçu de l’occupation mérovingienne à l’échelle du département), suivie de l’étude proprement dite de la nécropole. La seconde partie (deux tiers du volume) correspond au corpus de preuves et aux annexes. Après une préface (p. 6), les remerciements de l’auteur (p. 7) et le sommaire (p. 8-11), l’ouvrage se compose de huit parties de longueurs inégales (de 10 à 98 p.) : I. Le contexte (p. 13-38), II. La nécropole (p. 39-65), III. Le mobilier (p. 67-115), IV. Chronologie et développement (p. 117-127), V. Catalogue des tombes (p. 129-211), VI. Planches du mobilier (p. 223-270), VII. Annexes (p. 271-298) et Bibliographie (p. 299-308).
3Dans la première partie, l’auteure dresse un panorama des recherches sur le haut Moyen Âge en Haute-Marne et présente d’une manière générale la nécropole et les fouilles réalisées des années 1960 aux années 1990. Quelques 150 lieux ayant livré des indices d’occupation mérovingienne très probables sont recensés dans le département (cf. annexe et carte p. 17, sur laquelle on aurait aimé voir figurer quelques noms de villes ou de cours d’eau afin de mieux se repérer). Ces vestiges restent toutefois assez mal connus, les découvertes étant anciennes, les données lacunaires et les datations par conséquent incertaines. On conserve des « traces écrites » (c’est-à-dire une documentation archéologique dans son acception la plus large) pour seulement une trentaine de sites fouillés (p. 16), dont un faible nombre avec des données et un enregistrement exploitables. À ce titre, les ensembles funéraires de Saint-Dizier font figure d’exceptions.
4La nécropole est située à 35 km au sud-est de Chaumont (préfecture de la Haute-Marne), à l’extrême nord du territoire burgonde, et se développe au pied d’un versant humide au substrat marneux, à l’emplacement d’une villa gallo-romaine alors en ruines. Comme toutes les nécropoles de la région, seule la pratique de l’inhumation a été observée, dans des contenants variés (coffrages de blocs de pierre, caveaux maçonnés, cercueils en bois, sarcophages) employés successivement ou de manière contemporaine. La question de la visibilité des tombes (stèles, couvercles de sarcophages affleurant, tertres) et celle du (non-)recoupement des tombes entre elles sont par ailleurs abordées. Du fait de la faiblesse des données à Andilly, on retrouve tout au long de l’ouvrage un souci de comparaison afin d’étayer les interprétations par des exemples proches mieux documentés. La partie s’achève sur la présentation et la critique de la documentation existante et mobilisée dans le cadre de cette publication : archives et documents publiés ou inédits, mobilier et collection ostéologique. L’auteure ne manque pas d’expliquer la manière dont ces données ont été — ou n’ont pu être — exploitées ou réétudiées.
5Les différents aspects topographiques et funéraires de la nécropole sont présentés dans la deuxième partie. Toute la difficulté de publier les fouilles d’Andilly — et plus largement les fouilles anciennes — est rappelée dans la première phrase : « Les [premiers] fouilleurs du site d’Andilly n’avaient pas de connaissances spécifiques en anthropologie et ils ont mis au jour les tombes en notant leurs observations sans méthode particulière » (p. 40), tandis que les méthodes de fouilles et la manière de conserver les ossements ont endommagé le matériel osseux. La fig. 25 en donne un aperçu édifiant : sur un cliché de 1965, on peut voir la partie supérieure d’un squelette au crâne fraîchement cassé, au milieu de ce qui s’apparente davantage à un cratère qu’à un sondage… Malgré tout, la collection ostéologique d’Andilly « garde un intérêt ne serait-ce que par la rareté de la conservation des restes osseux de nécropoles mérovingiennes fouillées avant les années 1990 en Haute-Marne, proche du néant » (p. 40).
6La nécropole se développe sur environ 80 m du nord au sud, et 66 m d’est en ouest. Ses limites exactes ne sont pas connues, mais l’étendue dégagée correspond globalement à la forme habituelle (un quadrilatère très allongé) des nécropoles mérovingiennes de la région. La densité de sépulture, variable, n’est pas pour l’auteure « le signe d’un manque de place, mais plutôt la volonté d’un regroupement à côté de tombes préexistantes » (p. 43-44). Comme souvent, le niveau de circulation n’a pas été reconnu ou n’était pas conservé, mais il devait se situer au niveau de l’érosion des vestiges antiques au sein desquels la nécropole a été installée.
7Les inhumations ont presque toutes été pratiquées dans des fosses, mal connues et qui sont repérées surtout grâce aux coffrages de pierre qu’elles contiennent, sous la forme d’un entourage de blocs calcaires bruts grossièrement empilés sur un ou deux niveaux, avec parfois des tuiles. Quelques-unes présentent un aménagement en matériaux périssables. Environ 40 % des tombes sont dépourvues d’aménagement interne. Au moins deux sarcophages — non conservés — sont mentionnés dans la documentation : l’un est un « cercueil de pierre » vu en 1838, tandis que l’autre a pu être observé sous la forme de fragments remployés dans le comblement de la tombe 80. Si la position exacte du défunt n’a pas toujours pu être identifiée ou restituée, il est certain que la décomposition des corps s’est faite en espace vide, quel que soit le type de tombe.
- 1 Sur la question, voir l’ouvrage récent d’Astrid Noterman : Noterman A. 2021, Approche archéologique (...)
8À l’issue d’une démonstration sans doute un peu longue (peut-être parce que trop prudente ?), on comprend que la moitié environ des tombes a fait l’objet de pillages, sans doute dès l’époque mérovingienne1. Le mot n’est d’ailleurs utilisé que tardivement, avant d’être longuement développé comme une évidence — à juste titre — dans les deux sous-parties suivantes (« II.3.5.4. Modalités d’une pratique interdite et pourtant répandue », p. 58-60 ; « II.3.5.5. Pour quel motif ? », p. 60) qui aurait d’ailleurs pu être réunies. Les ossements manquants, la préservation des os longs, le peu de fragmentation ou de dispersion du mobilier « suggèrent que les réouvertures ont eu lieu avant le comblement complet des tombes, sur os sec ou sur des corps encore maintenus en partie par des connexions » (p. 59). La visibilité et l’accessibilité des tombes constituent deux critères importants dans la pratique du pillage, la reconnaissance des tombes étant facilitée par l’organisation en rangées. Les os manquants dans les sépultures ont pu être prélevés en même temps que le mobilier en vue d’un tri ultérieur ou être dispersés en surface autour des tombes. Certains amas d’ossements retrouvés en fouille pourraient d’ailleurs témoigner du souci de certains membres de la communauté de replacer ensemble les ossements de leurs aïeuls. Par définition, il est difficile de dire quels objets ont été emportés. Dans deux cas seulement, des traces d’oxydes cuivreux permettent d’affirmer que des objets sont bien manquants.
9Cette partie s’achève sur la présentation des caractéristiques de la collection ostéologique conservée. Sur 86 sépultures primaires, seules 19 ont été retrouvées intactes et 46 n’étaient conservées qu’à 50 % au maximum. On recense 74 adultes et 13 immatures. Le sexe des défunts n’a pu être identifié que dans 24 cas : 8 hommes, 14 femmes et 2 fillettes.
10La troisième partie est dédiée à l’étude du mobilier, en distinguant les « objets personnels » des défunts des « dépôts funéraires », catégorisations arbitraires et artificielles comme le rappelle l’auteure, car « tout ce qui (…) pare et (…) accompagne [le défunt] est en quelque sorte un dépôt fait par les vivants, ce qui inclut même le corps du défunt » (p. 68). Ainsi, la première catégorie regroupe l’armement (p. 68-73), la parure (p. 73-80), les accessoires du vêtement (p. 80-89), les accessoires de toilette (p. 89-91), les instruments domestiques et artisanaux (p. 91-93) et les textiles et autres matériaux (p. 93-99) ; la seconde rassemble la céramique (p. 99-105), la verrerie (p. 106-108), des seaux (p. 108-109), les monnaies (p. 109-111) et la faune (p. 111-114). Le mobilier est présenté de manière très claire et complète, avec le renfort des textes littéraires et législatifs contemporains et de nombreuses comparaisons pour contextualiser certains usages et appuyer les datations proposées. Les illustrations sont nombreuses et de qualité, en particulier les restitutions et les schémas qui permettent de comprendre le fonctionnement, l’assemblage ou l’utilisation des différents objets, ou encore leur position dans les tombes. Tout cela rend bien compte de l’important travail de réexamen des collections réalisé par les différents spécialistes. On regrettera seulement que n’ait pas été rappelé, au début de la partie, le nombre d’objets par catégorie : le tableau en fig. 50 (p. 60) aurait ainsi été mieux situé ici.
11Les objets retrouvés dans les tombes rendent compte de la relative aisance d’une partie de la population. Les tombes féminines sont mieux dotées, et « la présence initiale de sarcophages et d’une tombe contenant une épée damassée indique également l’existence de quelques familles privilégiées » (p. 115). Le niveau de vie de la population reste toutefois délicat à appréhender. En effet, la raréfaction du mobilier funéraire n’est pas nécessairement due à un appauvrissement, mais peut résulter d’une modification du rituel funéraire. L’absence ou la présence d’objets « ne nous dit rien du statut économique des vivants. Les objets plus nombreux, considérés comme un critère de richesse, nous indiquent simplement qu’au moment où l’inhumation a eu lieu, il était important pour les vivants qu’ils soient dans les tombes » (p. 114).
12Le mobilier qui a survécu aux pillages témoigne de l’influence franque dans la région (pratique continue du dépôt funéraire en particulier), mais aussi de réseaux commerciaux actifs à l’échelle du royaume burgonde, depuis les rives du Rhin, la région parisienne ou beaucoup plus loin avec le commerce de l’ambre et de la cyprée.
13La quatrième partie, intitulée « Chronologie et développement », longue d’une dizaine de pages, est constituée de deux thèmes bien distincts.
- 2 Legoux R et Périn P. 1993, « De la « permutation matricielle manuelle » à la « permutation matricie (...)
14Le premier (IV.1 à IV.3) « présente [, au regard des données disponibles, davantage] des orientations chronologiques plus que des phases proprement dites » (p. 118). Malgré les 41 % de tombes non datables, l’occupation de la nécropole peut être envisagée entre le début du vie et le milieu du viie siècle, avec un maximum d’occupation à la fin du vie et au début du viie siècle. Cette proposition repose d’une part sur la datation des objets (MA2 à MR2, soit entre 520/530 et 660/670) et leur analyse par la méthode de la permutation matricielle2, d’autre part sur sept datations 14C (tombes 08, 43A, 89A et B, 110, 111 et 113), complétées récemment par quatre autres inédites transmises par l’auteure (tombes 66 A, B et C et ossements d’enfants mal contextualisés [fouille 1973, secteur G73, niveau 2]), qui sont cohérentes avec le mobilier funéraire. Le siècle qui sépare les deux individus de la tombe 89 pose la question du choix de réaliser une seconde inhumation à l’emplacement exact d’une autre beaucoup plus ancienne, alors même que la place ne manquait pas ; cela suggère que la première tombe était encore visible en surface et qu’un lien particulier devait exister entre les deux défunts. La sépulture 08, située à la limite sud-est de la nécropole, se singularise par une datation plus récente (viiie -xe siècles), ce qui pourrait indiquer une certaine continuité funéraire, bien que très ponctuelle, dans l’usage du site.
15Les grands traits d’une topo-chronologie du site sont proposés, même si celle-ci ne peut être que partielle et incertaine au regard des données disponibles : la fig. 123 (p. 123) est ainsi assez peu convaincante. L’auteure propose un possible développement périphérique autour d’un ensemble de tombes remontant au vie siècle (MA1-MA2), installées aux abords d’un grand bâtiment de la partie agricole de la villa gallo-romaine. Cette première phase est ensuite suivie d’un agrandissement de faible ampleur, sans changement dans l’orientation des tombes si ce n’est ponctuellement pour s’adapter au terrain (MA2-MA3). La période suivante (MA3-MR1) est quant à elle caractérisée par plusieurs petits groupes de tombes avec des espaces vides nombreux. La nécropole est plus clairsemée encore lors de la quatrième et dernière période identifiée (MR2-MR3), les tombes se retrouvant plus ou moins isolées tant au cœur qu’aux marges des ensembles des périodes précédentes.
16Le second thème développé (IV.4) est celui de « La question de l’habitat ». Les réflexions et les comparaisons sont intéressantes, en particulier celles relatives à la faible distance supposée entre la nécropole et l’habitat auquel elle se rattache (entre 50 et 600 m pour des exemples mieux documentés). Pour autant, il aurait été possible de passer plus rapidement sur les rares vestiges maçonnés ou en négatif, dont la nature autant que la datation restent plus qu’incertaines et n’apportent finalement pas grand-chose au propos.
17Le catalogue des tombes débute par un avertissement qui rappelle l’état de la collection ostéologique et les difficultés de son étude. Par ailleurs, l’auteure « garde une certaine prudence interprétative en parlant de ‘sépultures ou restes humains’ pour de nombreux ossements isolés qui peuvent provenir de réductions car dans certains cas il s’agit d’une sépulture secondaire, ou de perturbations humaines ou mécaniques » (p. 136). Ce sont ainsi 17 lots de restes humains non localisés qui sont d’abord décrits, puis 121 tombes dont 37 présentent plus d’une inhumation ou des restes surnuméraires. Un plan carroyé de la nécropole en double page permet le repérage des tombes à partir du catalogue. Pour chaque tombe, dans la mesure du possible et avec un développement plus ou moins long suivant la nature et l’état de conservation (et de fouilles) des vestiges, on retrouve : l’année de découverte, la localisation, l’altitude, l’orientation, la typologie de la tombe, la position du défunt, les données anthropologiques, le mobilier présent, la chronologie (ou plutôt la datation), un commentaire et une bibliographie. Les illustrations sont variées, et là encore dépendantes des sources disponibles : croquis de fouille, fiches anthropologiques ou photographies. Cette partie s’achève sur les trois fiches d’enregistrement anthropologique vierge (périnatal, immature et adulte) utilisées dans le cadre du réexamen du corpus ostéologique.
18Suivent 40 planches de mobilier, 33 correspondant chacune à une tombe et sept à des objets isolés découverts hors stratigraphie ou n’ayant pu être reliés à une sépulture. Les objets décrits dans les planches 34 à 38 sont décrits ici, dans la mesure où ils ne le sont pas dans la troisième partie de l’ouvrage. Les planches 39 et 40 correspondent à divers objets d’époque romaine, représentés car ils « ont pu, parfois sans certitude, faire l’objet d’une récupération et d’un dépôt volontaire » (p. 269-270). La qualité des dessins et des photographies est excellente. On regrettera seulement l’absence d’échelle graphique associée à chaque objet, surtout pour les planches où les échelles de représentations sont variables ; celles-ci sont néanmoins données sous la forme de fraction dans la légende de chaque planche.
19Diverses listes (ou plutôt tableaux) viennent clore ces annexes, récapitulant les tombes (p. 272-274), avec quelques données spatiales, relatives au mobilier ou aux défunts, et chronologiques, le mobilier (p. 275-287) inventorié et celui qui est manquant, par catégories d’objets, les restes osseux animaux (p. 288-289), le mobilier céramique (p. 290), les critères codifiés pour la permutation matricielle (p. 291) et, enfin, les communes de Haute-Marne correspondant à la fig. 1 (p. 292-294), avec les occurrences d’occupation ou de vestiges funéraires du haut Moyen Âge dans le département.
20L’ouvrage s’achève par une bibliographie de dix pages, fort utile pour qui s’intéresse à l’archéologie mérovingienne — tout particulièrement funéraire — de la Haute-Marne.
21L’ouvrage est agréable à parcourir et a fait l’objet d’un certain soin éditorial, malgré quelques coquilles typographiques. On appréciera en particulier l’évocation (restitution dessinée) du pillage de la nécropole présentée en couverture et imprimée à nouveau au début de chaque partie avec en surbrillance le ou les éléments du thème développé.
22S’il faut saluer la manière dont le projet a été mené, les études spécialisées réalisées et la synthèse documentée et étayée qui en ressort, on peut néanmoins regretter le rappel trop fréquent de la médiocrité des données de base, ainsi que quelques redites. La première partie aurait pu être scindée en deux : d’une part, l’historiographie et le projet de publication, comprenant la présentation et la critique des données existantes ; d’autre part, le cadre naturel, historique et religieux. La quatrième partie aurait quant à elle pu n’être qu’une sous-partie de la deuxième, sauf peut-être le développement sur l’habitat qui aurait eu plutôt sa place dans la première.
23C’est avec une certaine modestie que l’auteure achève l’ouvrage, le présentant comme « un état des lieux provisoire qui a été retracé ici » (p. 127). La collecte des données de toutes natures, le retour ponctuel sur le terrain, les études spécialisées, la synthèse de l’ensemble constituent pourtant un travail d’envergure. On ne peut que souhaiter que d’autres équipes s’attellent à une tâche similaire pour d’autres nécropoles du département ou d’autres régions de Gaule.
Notes
1 Sur la question, voir l’ouvrage récent d’Astrid Noterman : Noterman A. 2021, Approche archéologique des réouvertures de sépultures mérovingiennes dans le nord de la France (vie-viiie siècle), Oxford.
2 Legoux R et Périn P. 1993, « De la « permutation matricielle manuelle » à la « permutation matricielle automatique » : application à la datation des sépultures mérovingiennes », Archéologie médiévale 23, p. 219-246.
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Référence électronique
Daniel Morleghem, « Claire Serrano (dir.), Une demeure pour les morts. La nécropole mérovingienne d’Andilly-en-Bassigny (Haute-Marne) », Frontière·s [En ligne], Comptes rendus, mis en ligne le 31 juillet 2024, consulté le 12 décembre 2024. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/frontieres/2758 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/12fqe
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