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AccueilNuméros200Aux racines d’Études rurales

Aux racines d’Études rurales

Retour sur les fondateurs de la revue
Anne Both
p. 18-25

Texte intégral

  • 1 La VIe section (Sciences économiques et sociales) a été créée en 1947 par Charles Morazé, Lucien F (...)
  • 2 Décret n°75-43 du 23 janvier 1975 portant application de la loi d’orientation de l’enseignement su (...)

1Quand au printemps 1961, paraît le premier numéro d’Études rurales, la VIe section1 de l’École pratique des hautes études (EPHE) traverse littéralement une période d’euphorie éditoriale. En effet, quelques mois avant, paraissait la revue L’Homme. Revue française d’anthropologie, dirigée par Émile Benveniste, Pierre Gourou et Claude Lévi-Strauss, et un an plus tôt Les Cahiers d’études africaines. Toutes trois affichent un programme scientifique ambitieux, enthousiaste et stimulant à l’image de l’effervescence intellectuelle qui règne dans cette section qui deviendra, en 19752, l’actuelle École des hautes études en sciences sociales (EHESS).

  • 3 G. Duby est un fervent admirateur de F. Braudel ainsi que de G. Dumézil, à qui il rendra hommage d (...)
  • 4 Mouton est un petit éditeur scientifique dont les sièges se situent à New York, à La Haye et à Par (...)

2En 1958, Fernand Braudel3, son président, déplore l’absence de recherches sur les sociétés rurales [Chiva 1997 : 15-20] et lance, en 1959, l’idée d’un périodique ruraliste. La revue trimestrielle d’histoire, géographie, sociologie et économie des campagnes sortira des presses à peine deux ans plus tard, en coédition avec Mouton4. À l’époque, l’abonnement (quatre numéros) pour la « Communauté, Entente, Maroc, Tunisie, Guinée, Indochine » coûte 25 nouveaux francs. Le premier numéro comporte déjà des photos, des cartes, des articles à proprement parler, des comptes rendus, des notes bibliographiques et une chronique scientifique. Son sommaire atteste de sa volonté éditoriale d’ouverture pluridisciplinaire avec des textes adoptant une approche économique, historique ou psychologique, comme annoncé dans l’avertissement de Georges Duby et de Daniel Faucher : « la revue Études rurales fera donc appel aux historiens, aux géographes, aux économistes, aux sociologues et aux psychologues, aux ethnologues, aux agronomes eux-mêmes. Elle voudrait être ainsi fidèle à l’esprit de ce qui a été heureusement poursuivi par Lucien Febvre et Marc Bloch, dans le domaine des études proprement historiques » [1961 : 5].

3En 1961, le comité de rédaction compte une dizaine de personnes, dont une seule femme l’ethnologue Mariel Jean-Brunhes-Delamarre (musée des Arts et Traditions populaires), trois membres du Collège de France (l’anthropologue Jacques Berque, l’historien Fernand Braudel et l’économiste Alfred Sauvy), un professeur à la Sorbonne (le médiéviste Roger Boutruche), deux directeurs d’études à l’EPHE (les économistes Pierre Coutin et Joseph Klatzmann), un agronome de l’Institut national agronomique (en la personne de René Dumont), un ethnologue (Marcel Maget du Laboratoire d’ethnographie française) et un géographe de la Faculté de lettres de Strasbourg (Étienne Juillard). Si l’on ajoute à cette énumération les deux directeurs (le médiéviste G. Duby et le géographe Daniel Faucher) et le secrétaire de rédaction (l’anthropologue Isac Chiva), ce premier numéro d’Études rurales présente, exception faite de l’agronomie, une parfaite parité disciplinaire avec autant d’anthropologues (ou ethnologues), de géographes, d’historiens que d’économistes.

  • 5 La revue Études rurales est d’ailleurs toujours accueillie dans les locaux de ce laboratoire avec (...)

4Si le projet éditorial est celui de F. Braudel, sa réalisation repose essentiellement sur G. Duby, D. Faucher et I. Chiva. Les trois hommes se rencontrent pour la première fois en 1958, à Paris, à l’occasion d’un colloque organisé par I. Chiva, à la demande de F. Braudel et de son adjoint, Clemens Heller, sur l’assolement triennal en France. I. Chiva explique que parmi tous les participants figurent « deux êtres d’exception, deux “princes”, comme les décrivit Fernand Braudel : un homme jeune, simple, vif, déjà célèbre grâce à sa thèse sur le Mâconnais, Georges Duby ; et un vieux monsieur, sage, savant, généreux et vivant, le doyen Daniel Faucher » [Chiva 1997 : 16]. De ce colloque, naquit l’idée d’une revue française sur l’étude scientifique des campagnes. La rédaction est d’abord localisée au 20 rue de la Baume à Paris (8e arr.), siège de toutes les revues de la VIe section, puis elle est hébergée dès 1965 par le Laboratoire d’anthropologie sociale (11, place Marcelin-Berthelot)5. Elle repose sur trois personnes, un historien, un géographe et un anthropologue, dont les parcours sont ici très brièvement rappelés.

Georges Duby (1919-1996), l’historien du monde rural

  • 6 Voir la bibliographie exhaustive comprenant articles, préfaces, direction et rédaction d’ouvrages, (...)

5Quand Georges Duby est sollicité pour codiriger Études rurales avec Daniel Faucher, il est alors professeur d’histoire du Moyen Âge à la Faculté des lettres d’Aix-en-Provence. Âgé d’à peine quarante ans, ce médiéviste héritier de Marc Bloch et de Lucien Febvre a soutenu sa thèse le 21 juin 1952 en Sorbonne intitulée La société aux xie et xiie siècles dans la région mâconnaise et publiée l’année suivante. En 1958, il s’attelle déjà à ce qui deviendra le Temps des cathédrales [1976]. En 1959, sa bibliographie compte presque une centaine de publications, sur les 7006 que totalisera sa carrière d’historien. Des sujets ressortent de cette vertigineuse production : l’histoire rurale [1962 ; Duby et Faucher 1975], l’imaginaire médiéval [1967], les structures sociales et les valeurs qui les animent [1973a], la parenté [1973b, 1981], la culture de l’esprit chevaleresque [1973b, 1988a, 1988b] ou la sociologie de la création artistique [1976]. L’analyse de ses archives déposées à l’Imec (Institut mémoires de l’édition contemporaine) montre l’extrême rigueur de ses méthodes de travail. Florian Mazel [2015 : 81] souligne son méticuleux travail de dépouillement des sources pour la réalisation de sa thèse notamment avec des fiches, des tableaux, des cartes, des plans thématiques… G. Duby n’aura de cesse de s’appuyer sur une documentation variée : archives, cartes, graphiques, images, objets archéologiques, suivant en cela l’héritage des fondateurs des Annales. Lucien Febvre n’écrivait-il pas : « l’image aussi, et la carte, c’est de l’histoire » [1950 : 216 n1] ?

Portrait de Georges Duby

Portrait de Georges Duby

Illustration : Annie Pennanec'h

  • 7 Ce projet, explique I. Chiva, « reflète l’évolution suivie par la recherche historique, en prise c (...)
  • 8 Voir le numéro d’Études rurales daté de 1997, consacré à G. Duby et dirigé par Philippe Braunstein (...)

6G. Duby portera le projet intellectuel7 d’Études rurales, dans laquelle il a écrit huit articles publiés entre 1975 et 19888. Nous savons qu’il réside à Aix-en-Provence, qu’il peine à quitter [Le Goff 1997 : 201], et que ce n’est qu’à partir de 1970 et jusqu’en 1991, qu’il passera les hivers à Paris pour dispenser ses douze leçons annuelles au Collège de France dans le cadre de sa chaire d’histoire des sociétés médiévales. Il sera néanmoins un des codirecteurs de la revue pendant trois décennies, son nom apparaissant dans l’ours jusqu’au numéro 121-124, daté de janvier-décembre 1991. À ses côtés, se succéderont Daniel Faucher, puis Isac Chiva à partir du 1971, et enfin Joseph Goy, Pierre Lamaison et Gilles Sautter dans un comité de direction élargi à cinq membres. Avant d’être une équipe aussi étoffée, la rédaction de la revue repose, en 1961, essentiellement sur trois personnes.

Le doyen Daniel Faucher (1882-1970)

Portrait de Daniel Faucher

Portrait de Daniel Faucher

Illustration : Annie Pennanec'h

  • 9 Néanmoins, à sa retraite, il quittera la Haute-Garonne pour vivre dans la Drôme. Il publiera en 19 (...)

7Doyen de l’équipe et de la Faculté des lettres de Toulouse, ce géographe agraire est âgé de 79 ans quand paraît le premier numéro de la revue. D. Faucher peut, en 1961, se targuer d’avoir passé un demi-siècle à comprendre ce monde rural, qu’il affectionne tant. Observateur appliqué des progrès techniques [1954] et des mutations économiques [1949, 1952], il découvre « la géographie nouvelle, celle qui s’apprend sur le terrain et au contact des hommes » écrit Louis Papy [1971 : 385]. S’il a consacré sa thèse aux Plaines et bassins du Rhône moyen entre Bas-Dauphiné et Provence [1927], ce natif de Romans a mené l’intégralité de sa carrière [1962] à Toulouse9, où il créa, en 1926 l’Institut de géographie. Il y lança, en 1930, la Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest (RGPSO) et la dirigea jusqu’en 1964. D. Faucher fut l’artisan de la diffusion d’une géographie moderne, « d’obédience vidalienne » [Marconis 2011 : 179] dans le grand Sud-ouest, en se rapprochant de ses collègues bordelais et espagnols. La géographie qu’il pratique est sociale, « attentive aux réalités du terrain et aux conditions de vie des “petites gens” » [ibid. : 180]. Ancien résistant, militant de la Ligue des droits de l’Homme et de la Ligue de l’enseignement, D. Faucher est, après guerre, très impliqué dans l’aide matérielle aux étudiants. En 1961, quand paraît le premier exemplaire d’Études rurales, il est vice-président du Centre des œuvres universitaires et scolaires de Toulouse, la première cité étudiante de la Ville rose qui porte son nom depuis le 21 octobre 1966.

Le jeune anthropologue, Isac Chiva (1925-2012)

8Le benjamin de la rédaction, Isac Chiva, est à peine âgé de 34 ans quand l’idée est lancée de créer une revue dédiée au monde rural. En 1959, ce jeune juif roumain qui a échappé à un progrom, comme il le racontera plus tard [2003], est chef de travaux à l’École pratique des hautes études après l’obtention d’une licence libre à la Sorbonne et un poste d’ethnologue ruraliste au musée des Arts et Traditions populaires pour lequel il mène des enquêtes en Sologne, en Touraine et en Corse [Chiva et Goy 1958]. C. Lévi-Strauss, dont il est proche, vient d’être élu au Collège de France et s’apprête à créer le Laboratoire d’anthropologie sociale. I. Chiva en assurera la sous-direction de 1960 à 1982. Sa première fonction au sein d’Études rurales consiste à assurer le secrétariat de rédaction (réception des textes, relectures…). En 1969, il sera remplacé dans cette fonction par l’ethnologue Françoise Zonabend et il devient rédacteur en chef de la revue. Sous-directeur d’études à l’EPHE en 1962, puis directeur d’études, il créera en 1973 l’Association des ruralistes français avec le sociologue Henri Mendras et le géographe Bernard Kayser, tout en poursuivant ses recherches notamment sur le patrimoine culturel rural [1994] et Les baronnies des Pyrénées [1982]. Au sein de la revue, sa contribution est notable : dès le premier numéro, il signe de ses initiales des comptes rendus, puis de son nom complet presque une dizaine d’articles sur les places marchandes dans le monde rural [1980], l’architecture rurale [Chiva et Dubost 1990] ou encore la grammaire du paysage agraire [1991].

Portrait de Isac Chiva

Portrait de Isac Chiva

Illustration : Annie Pennanec'h

  • 10 Le fonds des archives des Éditions de l’EHESS (1950-2000) est consultable sur le site de Pierrefit (...)

9Le projet éditorial, qui avait jailli dans l’esprit de Fernand Braudel à l’automne 1958, s’est considérablement transformé, enrichi, modernisé tout en lui restant fidèle. Aujourd’hui, on ne peut qu’espérer que son histoire, qui mêle le parcours de brillants esprits, l’évolution du monde rural, le cheminement théorique tant empirique de plusieurs disciplines, la création de l’EHESS et l’évolution des techniques de l’édition fasse enfin l’objet d’une recherche. Les archives du service des éditions de la VIe section de l’EPHE et de l’EHESS (sur la période 1950-2000) ont été classées et versées aux Archives nationales10 fin août 2015. Gageons que ces quelque 56 mètres linéaires de documents susciteront l’intérêt des historiens…

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Bibliographie

Brandi, Felipe, 2015, « Bibliographie de Georges Duby », in P. Boucheron et J. Dalarun (dir.), Georges Duby, portrait de l’historien en ses archives. Paris, Gallimard/Fondation des Treilles : 417-472.

Braunstein, Philippe (dir.), 1997,« Georges Duby ». Études rurales 145-146.

Chiva, Isac, 1980, « Les places marchandes et le monde rural », Études rurales 78 (1) : 7-13. — 1982, Les Baronnies des Pyrénées. Anthropologie et histoire, permanences et changements. Paris, École des hautes études en sciences sociales. — 1991, « Pour une grammaire du paysage agraire », Études rurales 121 (1) : 21-26. — 1994, Une politique pour le patrimoine culturel rural. Rapport. Paris, ministère de la Culture et de la Francophonie. — 1997, « Georges Duby, le veilleur », Études rurales 145-146 : 15-20. — 2003, « Le progrom de Iaşi », Les Temps modernes 623 : 7-20.

Chiva, Isac et Françoise Dubost, 1990, « L’architecture sans architectes : une esthétique involontaire ?, Études rurales 117 (1) : 9-38.

Chiva, Isac et Joseph Goy (dir.), 1958, Les communautés rurales : problèmes, méthodes et exemples de recherches. Paris, Unesco.

Duby, Georges, 1953, La Société auxxie et xiie siècles dans la région mâconnaise. Paris, Armand Colin (« Bibliothèque générale de l’École des hautes études »). — 1962, L’Économie rurale et la vie des campagnes dans l’Occident médiéval (France, Angleterre, Empire, ixexve s. Essai de synthèse et perspectives de recherches). Paris, Aubier (« Collection historique »). — 1967, L’An Mil. Paris, Gallimard (« Archives »). — 1973a, Guerriers et Paysans. vii-xiie siècle, premier essor de l’économie européenne. Paris, Gallimard (« Bibliothèque des histoires »). — 1973b, Hommes et structures du Moyen Âge. Paris-La Haye, Mouton. — 1976, Le temps des cathédrales. L’art et la société (980-1420). Paris, Gallimard (« Bibliothèque des histoires »). — 1981, Le chevalier, la femme et le prêtre. Le mariage dans la France féodale. Paris, Hachette (« La force des idées »). — 1988a, La société chevaleresque. Paris, Gallimard (« Champs Histoire »). — 1988b, Seigneurs et paysans. Paris, Gallimard (« Champs Histoire »).

Duby, Georges et Daniel Faucher, 1961, « Avertissement », Études rurales 1 : 5-6.

Duby, Georges et Armand Wallon (dir.), 1975, L’Histoire de la France rurale. 4 vol. Paris, Le Seuil.

Faucher, Daniel, 1927, Plaines et bassins du Rhône moyen entre Bas-Dauphiné et Provence. Valence, Imprimerie Charpin et Reyne. — 1949, Géographie agraire : types de cultures. Paris, Librairie de Médicis, (« Géographie économique et sociale »). 1954, Le paysan et sa machine. Paris, Éditions de Minuit (« L’Homme et la machine »). — 1962, La vie rurale vue par un géographe. Toulouse, Institut de géographie de la Faculté des lettres. — 1968, L’Homme et le Rhône. Paris, Gallimard (« Géographie humaine »).

Faucher, Daniel (dir.), 1952, La France. Géographie, Tourisme (tome I et II). Paris, Larousse.

Febvre, Lucien, 1950, « Un livre qui grandit : La Méditerranée et le monde Méditerranéen à l’époque de Philippe II », Revue historique t. CCIII : 216-224.

Le Goff, Jacques, 1997, « Georges Duby (1919-1996) », Cahiers de civilisation médiévale 158 : 199-209.

Marconis, Robert, 2011, « La Revue Géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest, de 1930 au début des années 1970 » Géocarrefour 96 (3-4) : 179-188.

Mazel, Florian, 2015, « La thèse : comment l’idée vient à Georges Duby », in P. Boucheron et J. Dalarun (dir.), Georges Duby, portrait de l’historien en ses archives. Paris, Gallimard/Fondation des Treilles : 63-89.

Papy, Louis, 1971 « Daniel Faucher (1882-1970) », Annales de géographie 440 (80) : 385-396.

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Notes

1 La VIe section (Sciences économiques et sociales) a été créée en 1947 par Charles Morazé, Lucien Febvre et Fernand Braudel.

2 Décret n°75-43 du 23 janvier 1975 portant application de la loi d’orientation de l’enseignement supérieur à l’École des hautes études en sciences sociales, publié le 25 janvier 1975 au Journal officiel.

3 G. Duby est un fervent admirateur de F. Braudel ainsi que de G. Dumézil, à qui il rendra hommage dans son discours d’intronisation à l’Académie française le 28 janvier 1988.

4 Mouton est un petit éditeur scientifique dont les sièges se situent à New York, à La Haye et à Paris. Il sera racheté en 1977 par le géant allemand Walter de Gruyter.

5 La revue Études rurales est d’ailleurs toujours accueillie dans les locaux de ce laboratoire avec qui elle entretient des liens privilégiés.

6 Voir la bibliographie exhaustive comprenant articles, préfaces, direction et rédaction d’ouvrages, établie par Felipe Brandi [2015].

7 Ce projet, explique I. Chiva, « reflète l’évolution suivie par la recherche historique, en prise croissante avec les autres sciences de la société et ayant une vue de plus en plus globale, synthétique, d’une société faite à la fois d’aspects matériels, d’institutions, de formes de sociabilité, de cultures, de systèmes symboliques » [1997 : 18].

8 Voir le numéro d’Études rurales daté de 1997, consacré à G. Duby et dirigé par Philippe Braunstein.

9 Néanmoins, à sa retraite, il quittera la Haute-Garonne pour vivre dans la Drôme. Il publiera en 1968 un livre consacré au Rhône, fleuve sauvage discipliné par l’Homme.

10 Le fonds des archives des Éditions de l’EHESS (1950-2000) est consultable sur le site de Pierrefitte-sur-Seine (cote : Archives nationales, 20150623).

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Table des illustrations

Titre Portrait de Georges Duby
Crédits Illustration : Annie Pennanec'h
URL http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/etudesrurales/docannexe/image/11659/img-1.jpg
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Titre Portrait de Daniel Faucher
Crédits Illustration : Annie Pennanec'h
URL http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/etudesrurales/docannexe/image/11659/img-2.jpg
Fichier image/jpeg, 252k
Titre Portrait de Isac Chiva
Crédits Illustration : Annie Pennanec'h
URL http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/etudesrurales/docannexe/image/11659/img-3.jpg
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Pour citer cet article

Référence papier

Anne Both, « Aux racines d’Études rurales »Études rurales, 200 | 2017, 18-25.

Référence électronique

Anne Both, « Aux racines d’Études rurales »Études rurales [En ligne], 200 | 2017, mis en ligne le 16 mars 2018, consulté le 20 janvier 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/etudesrurales/11659 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/etudesrurales.11659

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