Des pratiques plasticiennes de l’histoire
Guillaume Robert, en collaboration avec Nicolas Coltice, exposition Propagande, Maison Salvan, Labège, 2012
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Œuvres commentées :
Progagande – exposition (Guillaume Robert‚ en collaboration avec Nicolas Coltice‚ 2012)Plan
Haut de pageNotes de la rédaction
Guillaume Robert est artiste plasticien. Son travail s’est élaboré à partir d’une pratique vidéographique, pratique qui depuis quelques années s’ouvre à l’installation, à l’objet, au son, à l’écriture ou à la photographie. Ses projets artistiques convoquent des matériaux et des contextes spécifiques (historiques, architecturaux, géopolitiques, littéraires…).
Il s’emploie à scénariser des processus de création qui se résolvent via l’invitation lancée à un garagiste, un géophysicien, des interprètes (danseurs, comédiens), un forgeron, un éclairagiste, un musicien, un frère, un apiculteur, un plasticien sonore…
Expositions personnelles : Contre la méthode / contre un arbre (Galerie La Librairie, ENS de Lyon, 2013) ; Propagande (Maison Salvan, Labège, 2012) ; La paupière, le seuil (Centre d’art contemporain Les Églises, Chelles, 2011, avec le soutien du DICREAM (CNC), du Fonds [SCAN] (Région Rhône-Alpes), du département de Seine-et-Marne) ; This isn’t a poem (Galerie Françoise-Besson, Lyon, 2011, avec le soutien du CNAP) ; Angola (Centre d’art contemporain Passerelle, Brest, 2010) ; Nergal (Galerie Maisonneuve, Paris, 2006).
Expositions collectives : Parcours d’art contemporain en vallée du Lot : Lever une carte, Maison des arts Georges-Pompidou, Cajarc, exposition du projet Drina, avec le soutien de la région Rhône-Alpes, et l’Institut français / Ville de Lyon, 2012 ; Hors-Gel, Centre d’art de Lacoux, 2012 ; Plutôt que rien (démontage), Maison populaire de Montreuil, 2011 ; Nulle part est un endroit, CPIF, Pontault-Combault, 2010 ; Anachronismes et autres manipulations spatio-temporelles, 40mcube, Rennes, 2008…
Projections : Femis (pointligneplan) ; Galerie Duplex/10m2 (Sarajevo) ; Les Salaisons (Romainville) ; Cinéma L’Entrepôt (Paris) ; vidéothèque du FID Marseille…
Nicolas Coltice est professeur à l’université Claude-Bernard Lyon-I. Ses recherches en physique de la Terre portent sur l’évolution précoce des planètes et la tectonique des plaques. Depuis 2011 il est membre junior de l’Institut universitaire de France.
Il a notamment publié :
N. Coltice, T. Rolf, P. J. Tackley, S. Labrosse, « Dynamic Causes of the Relation Between Area and Age of the Ocean Floor », Science, no 149, 2012, p. 743-749.
N. Coltice, H. Bertrand, P. F. Rey, F. Jourdan, B. R. Phillips, « Global warming of the mantle beneath continents back to the Archaean », Gondwana Research, no 15, 2009, p. 254-266.
S. Labrosse, J. W. Hernlund, J. W., N. Coltice, « A crystallizing dense magma ocean at the base of the Earth’s mantle », Nature, no 450, 2007, p. 866-869.
Texte intégral
Guillaume Robert, en collaboration avec Nicolas Coltice, exposition Propagande, 2012

Maison Salvan, Labège
© Yohann Gozard
1Propagande offre à voir, à entendre et à lire un univers fictionnel qui convie une diversité de matériaux et formes (images, textes, son, mobilier).
- 1 Paul Feyerabend, Contre la méthode. Esquisse d’une théorie anarchiste de la connaissance, trad. de (...)
2Aux murs, les images. Elles proposent des cartographies thématiques étranges, des planisphères décoratifs qui rappellent les motifs de l’art optique. Une photographie est également présente. Elle montre le fameux ouvrage de Paul Feyerabend : Contre la méthode. Esquisse d’une théorie anarchiste de la connaissance1. Cet ensemble iconographique perturbe les repères du public. Il le situe dans une sorte de salle d’attente, hors temps et hors lieu. Dans l’espace, quatre tables sont aussi disposées. Elles offrent à la lecture le cœur de cette proposition artistique : un journal. Ce journal contient un ensemble d’éléments textuels et iconographiques surmontés d’un énoncé intrigant : Modèle dynamique de propagation des émeutes sur la Terre.
3Propagande montre, et se donne à lire simultanément. L’exposition construit un rapport direct au présent qui apparaît dès les premiers mots du texte édité dans le journal : « L’émeute surgit, soudaine, spontanée… » Ici le printemps arabe – tout comme les différentes séquences d’émeutes urbaines qui agitent périodiquement la sphère médiatique – nous vient à l’esprit. Pour autant, ces références immédiates ne seront pas davantage explicites. Elles composent un soubassement à la mise en place d’une fiction pseudo-scientifique qui délire très rationnellement le surgissement et la propagation des émeutes. Leur historicité se dévoile vite incomplète et dirigée (primauté du marxisme, du positivisme, du scientisme), une historicité joueuse et fallacieuse (mécanisme explicatif du monde social à travers les principes de la thermodynamique), une historicité qui se compose manifestement selon un opportuniste butinage de références. Dans la construction de l’objet Propagande, en définitive, prime le choix esthétique des auteurs.
4Cependant, Propagande construit davantage qu’une accumulation de références rocambolesques. La constitution de ce territoire artistique fait penser le présent de façon inédite. À force de décentrement et de recouvrement, à partir de ce creuset acrobatique de références, la mise en espace du projet induit un vertige perceptif et conceptuel, elle compose un monde parallèle, fictionnalise la fabrication du présent. Propagande agit alors comme une uchronie au présent. Si l’expérience de l’exposition reconduit finalement le visiteur à la question précise de l’émeute, ce retour au présent ne trouve sa trajectoire qu’à travers le crible des éléments sensibles produits par l’artiste. Une forme complexe que Guillaume Robert conçoit comme une métaphore, comme un symptôme, non du réel même, mais de nos outils de connaissance du réel, de nos outils d’analyse du présent et de sa fabrication (science, philosophie, politique). Nous rejoignons ici la place faite à Feyerabend.
- 2 Paul Ardenne, « Intentions », Le Printemps de Septembre à Toulouse. 2012 : L’Histoire est à moi ! – (...)
5Le rôle de l’artiste plasticien n’est pas d’affirmer le réel ou le présent mais de permettre à tous de se le représenter un peu plus. Comme l’explique Paul Ardenne2, les artistes plasticiens qui souhaitent s’absoudre des postures idéologiques tout en s’emparant de la matière historique, proposent des microrécits esthétiques, des modelages élaborés selon des règles qui leur sont propres. Ils se saisissent de l’histoire comme d’un matériau qu’il s’agit de s’approprier, de faire sien. À l’exemple de l’exposition Propagande, cette écriture parcellaire, au singulier, « effrite le sens commun », faisant de l’artiste plasticien un contributeur au décryptage du présent.
⁂
Guillaume Robert et Nicolas Coltice proposent ci-dessous quelques extraits de l’article « Propagande », édité en juin 2012 pour l’exposition éponyme produite par la Maison Salvan à Labège.
⁂
6L’émeute surgit, soudaine, spontanée. L’émotion populaire se cristallise, la structure sociale se liquéfie, le soulèvement fait irruption. Il y a jaillissement, une inaccoutumance, un éblouissement qui empêche de bien y voir. Au premier regard donc, l’émeute demeure rétive à toute modélisation : comment modéliser ce qui vient faire événement ? Comment modéliser ce qui se compose par surprise, s’inventant depuis soi-même ? Comment simuler l’auto-engendré ?
[…]
Le modèle Propagande
Le modèle global de propagation
7L’émeute est un événement qui intervient à une position (θ, φ) et à un temps t. […]
8L’action à distance d’une émeute sur l’ensemble des points du globe s’effectue par la libération et la propagation de la conscience de classe lors de l’événement. La conscience de classe correspond à un travail de forces de pression qui permet à une onde de se propager le long de la surface du globe, excitant par résonance les vibrations propres de la planète. […] Cette pression peut alors par endroit devenir suffisamment intense pour bouleverser l’équilibre systémique local […] : l’Émotion cristallise et la Structure fond. Ce phénomène réversible est appelé émeute. Il correspond à une inversion des rôles de l’Émotion et de la Structure. [L’]émeute libère la conscience de classe accumulée au cours du temps dans la Structure. Cette libération produit à son tour une onde de pression qui participera à perturber les équilibres locaux distants. La connaissance correspond à l’énergie interne du système. Elle ne fait que croître au cours du temps sous deux formes distinctes : la conscience de classe d’une part (ici un travail de forces W), les conditions matérielles d’existence d’autre part (ici une chaleur Q).
[…]
Le modèle thermodynamique local
[…]
9Lorsque l’Émotion cristallise, elle libère une chaleur latente suffisante pour provoquer la fusion de la Structure (Fig. 1). L’Émotion devient donc solide et la Structure liquide. Conséquemment à l’inversion des densités, un nouvel équilibre gravitationnel se met en place. L’Émotion solide contient alors la Structure en fusion venue percoler aux joints des grains de la matrice émotionnelle (Fig. 1) […].
Fig. 1 : Scénario du processus Émeute décrit par le modèle thermodynamique local (Exposition Propagande, 2012)

Sous l'effet d'un apport de conscience de classe, l'Émotion cristallise et libère suffisamment de chaleur latente pour faire fondre la Structure. Le changement d'état implique une inversion des densités qui conduit la Structure à percoler à travers la matrice cristalline de l'Émotion. La libération de conscience de classe permet le retour à l'état initial par la cristallisation de la Structure et la fusion de l'Émotion. C'est un cycle de compression-détente adiabatique. La conscience de classe se propage à la surface du globe sous forme d'ondes de pression. Les émeutes passées demeurent actives plusieurs mois à la surface du globe.
Résultats
10Il existe quatre paramètres qui régissent les résultats de nos simulations :
-
l’incrément annuel de conscience de classe (∆W)
-
l’incrément annuel des conditions matérielles d’existence (∆Q)
-
le temps de relaxation d’une émeute (τ)
-
la durée, exprimée en années, des périodes de récession (N).
11Plus d’une centaine de simulations numériques nous ont permis d’explorer le domaine de variabilité de ces paramètres. Chaque calcul a induit une dynamique de propagation spécifique aux valeurs des paramètres utilisés. Nous sommes alors parvenus à constituer une typologie du comportement dynamique de notre modèle. Nous avons distingué trois régimes dynamiques de fonctionnement : le régime de contention par aliénation, le régime d’oscillations immanentes et le régime de révolutions.
Le régime de contention par aliénation
[…]
Le régime d’oscillations immanentes
12Lorsque ∆W est grand devant ∆Q et quand τ est inférieur à 2 années, le déclenchement initial d’émeutes (lié à l’intensification globale de la conscience de classe) permet un déclenchement précoce de nombreux événements sur la planète pouvant atteindre un maximum de 5 000 émeutes en une année. Dans ce cas, les premières émeutes se produisent dans les localités en récession où la pression extérieure est forte. Nous observons ensuite que des émeutes se déclenchent, non plus seulement en des points aux caractéristiques équivalentes, mais aussi en des zones n’ayant pas encore subi de récession.
13Comme τ est petit, les émeutes déchargent rapidement la conscience de classe accumulée dans la Structure. Certaines localités perdent leur adiabaticité (diminution des conditions matérielles d’existence), ce qui, combiné à la propagation efficace de la conscience de classe, favorise le déclenchement d’émeutes nouvelles. Le nombre d’émeutes demeure alors constamment supérieur à un minimum d’une dizaine. Nous remarquons que l’évolution du nombre d’émeutes oscille alors constamment de manière quasi périodique entre des valeurs faibles (toujours supérieures à 10) et des valeurs très importantes de l’ordre de 2 000 (Fig. 2). La durée et l’intensité du cycle dépendent ici essentiellement du temps de relaxation de l’émeute τ. Plus sa valeur sera grande (dans une limite permettant les oscillations), plus les cycles seront longs. Dans nos simulations, la durée maximale atteinte d’un cycle est de 6 ans (Fig. 2). Ce régime est appelé régime d’oscillations immanentes, car le déclenchement d’émeutes y est auto-entretenu et quasi périodique.
Fig. 2 : Évolution du nombre d’émeutes au cours du temps dans 4 simulations différentes

Les simulations ponctuées de cercles sont caractéristiques du régime d'oscillations immanentes.
Les simulations ponctuées de carrés sont caractéristiques du régime de révolutions.
Nous ne faisons ici varier qu'un seul paramètre : le temps de relaxation des émeutes.
Temps de relaxation des émeutes :
Cercles pleins .6 mois
Cercles vides .11 mois
Carrés pleins .5 années
Carrés vides .6 années
Le régime de révolutions
14Lorsque ∆W est très grand devant ∆Q et que la durée de relaxation τ est importante, l’influence d’un événement se fait intense et perdure dans le temps. Dans ce cas, les émeutes initiales, en libérant une quantité importante de conscience de classe, provoquent à leur tour un très grand nombre d’émeutes (> 3 000 en une année). Le déclenchement d’émeutes est alors globalisé pendant quelques années. On voit des localités n’ayant subi aucune récession concernées par le phénomène.
15Le système retombe ensuite dans un état de contention inerte un long temps (> 5τ) avant que de façon massive et brutale des événements surviennent à nouveau (Fig. 2). L’épisode d’absence d’émeute dure dans nos simulations jusqu’à plus de 20 ans (Fig. 2). Ce régime est appelé régime de révolutions : les émeutes initiales conduisent à la création d’un cycle révolutionnaire. Sous ce régime de fonctionnement, des périodes d’apparitions globales et fulgurantes d’émeutes sont suivies de longs états de contention : une apparente léthargie qui permet au système de se recharger.
Discussion
[…]
Origine des régimes de propagation des émeutes
16De manière générale, le progrès des conditions matérielles d’existence limite le déclenchement des émeutes. Avec le temps, les conditions matérielles d’existence s’améliorent et il devient de plus en plus difficile de cristalliser l’Émotion. On peut parler d’aliénation du système (l’aliénation y étant la conséquence directe du maintien d’un niveau de croissance trop important). En une pareille conjoncture, seule une période de grande récession combinée à une pression forte exercée depuis l’extérieur permettrait le déclenchement d’émeutes.
17Notre modèle montre d’autre part que si l’impact du déclenchement d’une émeute est durable (temps long de relaxation), alors le système favorisé est celui de la révolution. Après une période courte et intense d’activité, les conditions ne sont plus réunies pour que de nouvelles émeutes apparaissent. Du moins pas avant une ou plusieurs décennies, durée nécessaire au système afin qu’il puisse se recharger et redémarrer alors une période insurrectionnelle.
18La mémoire, la conscience du processus historique jouent ici (davantage encore que pour les régimes non révolutionnaires de fonctionnement) un rôle de premier plan. Elles sont garantes de la dynamique de la propagation, elles conservent vif le devenir révolutionnaire du système.
[…]
19En résumé, nous dirons donc que les conditions susceptibles de satisfaire aux données observées sur Terre se composent des croissances simultanées de la conscience historique et des conditions matérielles d’existence. On peut donc penser que la transition entre le régime d’oscillations immanentes et le régime de contention par aliénation pourrait produire une dynamique d’émeutes comparable aux observations. Cependant, les calculs préliminaires présentés indiquent que cette transition est particulièrement abrupte. Une exploration très approfondie de l’espace des paramètres deviendrait nécessaire afin de la caractériser finement.
[…]
Notes
1 Paul Feyerabend, Contre la méthode. Esquisse d’une théorie anarchiste de la connaissance, trad. de l’anglais par Baudouin Jurdant et Agnès Schlumberger, Éd. du Seuil, 1979 ; trad. de Against method. Outline of an anarchist theory of knowledge, Atlantic Highlands (N.J.), Humanities Press, 1975.
2 Paul Ardenne, « Intentions », Le Printemps de Septembre à Toulouse. 2012 : L’Histoire est à moi ! – History is mine !, <www.printempsdeseptembre.com/media/2012/guide_du_visiteur_2012.pdf> ; voir aussi <http://paulardenne.wordpress.com/2012/08/26/lhistoire-est-a-moi-history-is-mine/> et <http://paulardenne.files.wordpress.com/2012/08/intentions_paul_ardenne_edition_2012.pdf> ; cons 24 janv. 2013.
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Titre | Guillaume Robert, en collaboration avec Nicolas Coltice, exposition Propagande, 2012 |
Légende | Maison Salvan, Labège |
Crédits | © Yohann Gozard |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/elh/docannexe/image/306/img-1.jpg |
Fichier | image/jpeg, 192k |
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Titre | Guillaume Robert, Contre la méthode, 2012 |
Légende | Exposition Propagande, Maison Salvan, Labège |
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Titre | Fig. 1 : Scénario du processus Émeute décrit par le modèle thermodynamique local (Exposition Propagande, 2012) |
Légende | Sous l'effet d'un apport de conscience de classe, l'Émotion cristallise et libère suffisamment de chaleur latente pour faire fondre la Structure. Le changement d'état implique une inversion des densités qui conduit la Structure à percoler à travers la matrice cristalline de l'Émotion. La libération de conscience de classe permet le retour à l'état initial par la cristallisation de la Structure et la fusion de l'Émotion. C'est un cycle de compression-détente adiabatique. La conscience de classe se propage à la surface du globe sous forme d'ondes de pression. Les émeutes passées demeurent actives plusieurs mois à la surface du globe. |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/elh/docannexe/image/306/img-3.jpg |
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Titre | Fig. 2 : Évolution du nombre d’émeutes au cours du temps dans 4 simulations différentes |
Légende | Les simulations ponctuées de cercles sont caractéristiques du régime d'oscillations immanentes.Les simulations ponctuées de carrés sont caractéristiques du régime de révolutions.Nous ne faisons ici varier qu'un seul paramètre : le temps de relaxation des émeutes.Temps de relaxation des émeutes : Cercles pleins .6 moisCercles vides .11 moisCarrés pleins .5 annéesCarrés vides .6 années |
URL | http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/elh/docannexe/image/306/img-4.jpg |
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Pour citer cet article
Référence papier
Paul de Sorbier, « Des pratiques plasticiennes de l’histoire », Écrire l'histoire, 11 | 2013, 91-99.
Référence électronique
Paul de Sorbier, « Des pratiques plasticiennes de l’histoire », Écrire l'histoire [En ligne], 11 | 2013, mis en ligne le 15 mai 2016, consulté le 20 mars 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/elh/306 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/elh.306
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