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Histoires

De la pré-Histoire à la Préhistoire au Yémen

Des données anciennes aux nouvelles expériences méthodologiques
Rémy Crassard et Lamya Khalidi

Résumé

Grâce aux nombreuses recherches et fouilles entreprises, la période sudarabique, qui s’étend du IXe siècle av. J.-C. au IVe siècle ap. J.-C., est la mieux documentée de l’archéologie yéménite. Toutefois, nous savons encore peu de choses sur la Préhistoire dans cette région du monde, tout particulièrement en ce qui concerne sa chronologie. Il n’existe par exemple aucune preuve d’un contrôle de la nature ni d’une sédentarisation sur les sites dits néolithiques, ces éléments sont pourtant ceux qui habituellement caractérisent cette période. La pertinence de ce découpage chronologique est alors questionnée. Dans ce contexte, depuis quelques années, la recherche préhistorique au Yémen se développe et tente, pour faire face au manque de données et de moyens, d’employer des expériences méthodologiques innovantes.

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Texte intégral

1LE YÉMEN a attiré depuis des siècles les explorateurs en quête d’aventure, d’émerveillement et de trésors fabuleux abandonnés aux sables du désert derrière le passage de la reine de Saba. De nombreux récits de voyageurs, puis des études scientifiques ont donc assez naturellement donné une place importante à l’archéologie.

2L’Histoire au Yémen commence au début de la période proto-sudarabique, au XIIe siècle av. J.-C., et voit l’apparition des premières formes d’écriture, matérialisées par quelques lettres sur de rares tessons de céramique1. Grâce aux nombreuses recherches entreprises, la période sudarabique, qui s’étend du IXe siècle av. J.-C. au VIe siècle ap. J.-C., est la mieux documentée de l’archéologie yéménite. L’avènement des temps historiques au Yémen se manifeste notamment par un corpus épigraphique considérable qui, s’enrichissant au fur et à mesure des fouilles, permet d'approcher au plus près l’organisation économique et sociale des cultures sudarabiques.

3L’essor de l’archéologie historique au Yémen a incité à rechercher les occupations « pré-historiques » : l’âge du bronze, encore mal défini, puis le Néolithique, toujours mal connu. On adopta donc de manière automatique la terminologie chrono-culturelle européenne et proche-orientale, mal adaptée aux connaissances acquises pour le Yémen et la péninsule Arabique en générale. En conséquence, le terme néolithique, conservé dans la littérature scientifique, est systématiquement mis entre guillemet dès qu’il se réfère au Yémen, alors qu’il n’existe quasiment aucune donnée socio-économique qui justifient une telle appellation. Le Néolithique est en effet caractérisé par la maîtrise de l’agriculture et / ou de l’élevage (économie de production), la plupart du temps dans un contexte sédentaire et caractérisé par des industries lithiques particulières (façonnage bifaciale à la pression, typologie précise d’armatures de flèches…). Or, malgré des indices allant dans le sens d’une caractérisation néolithique au Yémen (surtout par analogies typologiques des industries lithiques avec d'autres régions du monde), il n’existe aucune preuve d’un contrôle de la nature ni d’une sédentarisation2 sur les sites dits néolithiques. Dans l’attente de nouvelles recherches paléoenvironnementales3 et anthropologiques, dans des contextes stratifiés, il conviendrait de ne plus appeler « néolithique » ces types d’occupations archéologiques, mais plutôt d’appliquer la nomenclature géologique, momentanément plus sûre, en employant les termes Holocène ancien et moyen (10000 4000 av. J.-C.). La sédendarisation n’est attestée qu’à la période dite de l’« âge du bronze » que nous préférerons appeler ici Préhistoire récente à défaut d’une justification de l’emploi du terme Âge du bronze au Yémen. L’étude des périodes anciennes (Paléolithique archaïque, inférieur, moyen et supérieur, correspondant au Pléistocène, le début de l’ère quaternaire dans la dénomination géologique) se développe lentement dans la région. Quelques chercheurs s’y sont attelés avec toutefois peu de résultats probants4 : la carte archéologique de l’Arabie est mal connue au Pléistocène, puisque aucun site daté n’a pu être découvert.

L'émergence de la recherche préhistorique au Yémen

4Pionnière de la recherche préhistorique yéménite, G. Cathon Thompson 5a révélé au monde scientifique l’existence d’une « pré-Histoire » au Yémen. Ses premières missions, principalement dans le Hadramaout, avait déjà permis de définir l’existence de débitages Levallois, mais aussi d’industries lithiques variées, parmi lesquelles une à microlithes géométriques sur obsidienne, alors associée à l’époque sudarabique. Progressivement, la « pré-Histoire » est devenue Préhistoire. Le Yémen a commencé à être considéré par quelques chercheurs comme un terrain privilégié, car vierge de toutes études paléoenviron­nementales ou palethnologiques6, compte tenu de la position stratégique du sud de la péninsule Arabique entre les continents africain et asiatique, il possédait également une forte potentialité scientifique dans les domaines paléoanthropologiques7. Au Yémen, M.-L. Inizan a mené une étude approfondie des industries attribuées au Paléolithique et au Néolithique. Ces dernières sont largement définies par des armatures de pointes de flèches, pour la plupart bifaciales, voire tri-faciales, mises en forme par la technique de la pression. Cette préhistorienne s’est aussi penchée sur les industries traditionnellement typiques des périodes plus anciennes (industries acheuléennes du Paléolithique inférieur et levalloisiennes du Paléolithique moyen). Les études effectuées constituent encore aujourd’hui la base de réflexion la plus complète8. Elles s’inscrivent dans une approche anthropologique culturelle, courant influencé par la recherche française9, qui contribue à définir des traditions préhistoriques, et plus particulièrement des techniques du débitage et du façonnage des roches dures (technologie lithique) des sociétés à industries lithiques. Les résulats des recherches effectuées par des équipes soviétiques, notamment dans les provinces du Hadramaout et du Mahra, à l’est du pays, apparurent comme exceptionnelles puisque des sites ont été interprétés comme étant des occupations très anciennes, datées à 700 000 ans10. Ces résultats sont cependant controversés.

5Le Hadramaout a été choisi ces dernières années par plusieurs équipes, telle la Mission archéologique française dans le Jawf-Hadramaout 11ou le RASA Project12. Ces projets ont donné lieu à des découvertes prometteuses qui seront développées ci-après.

6Le long des côtes de la mer Rouge, des prospections et des sondages dans la région de la Tihâma ont été menés par M. Tosi et son équipe en 1985 et 198613. Ces études ont fourni des données préliminaires sur les cultures côtières dites néolithiques. De nombreux amas coquillés ont été individualisés, dont la majorité était constituée de Terebralia palustris (famille des mollusques), en association notamment avec des industries lithiques et des restes fauniques caractéristiques. Des sondages effectués sur le site d’al-Shumah, situé sur la rive nord du wâdî Rima‘, ont été datés au radiocarbone du 7ème millénaire av. J.-C., d’après des échantillons de coquilles marines14. Les travaux initiés par les équipes du CAMROM Project dans la région de Zabîd, toujours en Tihâma, ont permis de découvrir des occupations de la Préhistoire récente, comme le site mégalithique de al-Midamman qui représente sur plus de 8 km² l’un des sites de référence pour cette partie de la Tihâma15.

7L’art rupestre a également été identifié dans la région de Sa‘da, au nord du pays, grâce aux prospections et sondages entrepris par M. Garcia et M. Rachad16. La diversité des thèmes picturaux atteste d’une présence soutenue de populations de l’Holocène ancien et moyen et comportent les premiers indices qui conforteraient l’idée d’un mode de vie néolithique.

8Dans les Hautes-Terres, le travail précurseur de l’équipe d’A. de Maigret à Khawlân al-Tiyâl a permis d’individualiser pour la première fois un « âge du bronze »17 et d’apporter de nouvelles données pour le  « Néolithique »18. Des études pluridisciplinaires permirent de pro­poser des modalités d’occupations préhistoriques, grâce à des observations paléoenvironne­mentales, complétées par l’établissement de typologies céramiques et lithiques. Depuis 1994, grâce à de plus amples prospections des régions montagneuses, dans le cadre du Dhamar Survey Project, sous la direction de T. Wilkinson, la recherche s’attache à définir les interac­tions homme-paysage, une perspective novatrice, propice à la reconstitution de la Préhistoire, et utilisée pour la première fois au Yémen19.

Une nouvelle étape : confronter des données archéologiques anciennes à de nouvelles expériences méthodologiques

9Deux exemples de recherche seront ici présentés. Le premier est fondé sur une méthode de prospections systématiques assistée par l'outil SIG (système d'information géographique) entamé en 2003. Le deuxième privilégie la fouille de sites stratifiés repérés en prospection, depuis 2002.

Comprendre l’occupation préhistorique dans la Tihâma : la relation homme-paysage

10De nouvelles prospections dans la plaine de la Tihâma ont récemment été menées20, en relation avec les recherches effectuées dans les zones de moyenne altitude et dans les Hautes-Terres de l’ouest du pays afin de clarifier les variabilités et les continuités culturels inter- et intra-régionales. Grâce à une méthode de prospection systématique, le Tihamah Coastal Project a établi des modèles préliminaires qui rendent compte des interactions homme / paysage à l’échelle micro- et macro-régionale. Les prospections ont été effectuées entre deux systèmes de wâdî, le wâdî Zabîd et le wâdî Rima‘, et entre la côte et les contreforts montagneux, afin de définir la diversité des terrains exploités pendant la période préhistorique. Ce travail a aussi pour but de déterminer la taphonomie (processus de dégradation) des sites, en parallèle au paléoenvironnement régional.

11Le Tihamah Coastal Project a suivi de manière systématique des unités de pros­pection matérialisées par des bandes est-ouest et nord-sud, callées sur une grille UTM. Ces unités, de 6 à 11 kilomètres de longueur, ont couvert plus de 30 km2. 126 sites ont été découverts, dont la plupart sont des amas coquillés et des monticules de tessons céramiques.

12Les amas coquillés sont de grandes concentrations, parfois assez élevés, de restes de coquilles marines dont la plupart viennent d’un type disparu au Yémen, le Terebralia palus­tris, un mollusque vivant dans un environnement de mangroves denses. Cette espèce de coquillage n’a pu exister en telle quantité que lors de périodes plus humides, comme au cours de l’Holocène ancien et moyen. Ces sites étaient vraisemblablement habités par des pêcheurs-cueilleurs et / ou de chasseurs-cueilleurs dont le régime alimentaire était essentiellement basé sur la consommation de coquillages et de poissons. La découverte d’ossements d’équidés en grand nombre suggère la chasse de ces animaux à des fins alimen­taires et / ou un possible élevage21. Les industries lithiques retrouvées essentiellement en surface des amas coquillés, sont caractérisées par des pointes de flèches bifaciales en matières variées (jaspoïdes, calcédoine, plus rarement en obsidienne…) façonnées par pression et caractérisées pour la plupart par des pédoncules « déjetés » et des petits ailerons. De rares armatures ne présentent pas d'ailerons (« à pédoncule simple ») ou sont de simples foliacées. Une autre variété de petite pointe de flèche bifaciale, également caractérisée par un pédoncule à section courbe, mais systématiquement en obsidienne, est répandue dans la région du wâdî Rima‘. Ce type est inédit dans le corpus d'armatures connues au Yémen. Il se retrouve en surface d’amas coquillés présentant une plus grande diversité d’espèces de coquillages et une culture matérielle plus variée (céramiques très érodées, fragments de bronze...).

13Les monticules de céramiques semblent quant à eux être des sites plus récents et permettent de supposer l’existence d’une économie, au moins partiellement, sédentaire. En effet, les surfaces des sites sont considérablement plus grandes, et apparaissent plus organisées. La présence d’ossements de Caprinés et l’absence de coquilles en masse indiquent également une transformation de l’acquisition alimentaire. Les industries lithiques subissent aussi un changement technologique important avec la prédominance de microlithes géométriques et de pièces esquillées quasi-exclusivement en obsidienne22. Ces objets sont associés aux sites datant du 3ème au début du 1er millénaire av. J.-C. qui ont connu une phase mégalithique suivie par une deuxième phase de bâtiments monu­mentaux, comme par exemple al-Midamman23 et Kashawba‘24 Cinq autres sites décou­verts dans la Tihâma présentent les mêmes caractéristiques de cette culture mégalithique localisée en des points stratégiques, le long des principaux wâdîs25.

14Toutes ces nouvelles données, associées aux études géomorphologiques de chaque géosystème et à la culture matérielle, sont mises en parallèle avec les données publiées26 et ont permis de clarifier les changements intervenus depuis l’Holocène ancien et moyen jusqu’à la Préhistoire récente (du 1er millénaire au IXe siècle av. J.-C.). En utilisant des méthodes systématiques fondées sur les relations entre l'homme et son environnement naturel et construit, ces prospections préliminaires ont permis de modéliser les occu­pations humaines pour chaque micro- et macro-région, en relation avec les industries lithiques. Ces études ont permis d’établir une première base de données sur la préhistoire de la Tihâma27.

Peuplements préhistoriques et sites stratifiés : quelles préhistoires dans le Hadramaout ?

15La Mission archéologique française dans le Jawf Hadramaout a entamé une étude régionale à long terme. Les prospections dans le wâdî Wa‘shah ont permis de documenter des occupations pré- et protohistoriques. Les données obtenues sont mises en parallèle avec les travaux menés par l’équipe du RASA Project dans le wâdî Sana. Le wâdî Wa‘shah et le wâdî Sana sont situés de part et d’autre du wâdî Masîla, dans une quasi-continuité nord­sud, sur une soixantaine de kilomètres de long. Ils offrent de nouvelles perspectives pour tenter de mieux comprendre l’occupation du Hadramaout, à différentes échelles.

16La fouille de trois sites28 en sommet de plateau dans le wâdî Wa‘shah (HDOR 419 et 561) et le wâdî Mihfar (HDOR 410) a permis de démontrer qu’il était non seulement possible de trouver des sites stratifiés dans ce milieu fortement érodé, à condition d’ori-enter les prospections dans ce sens, mais aussi qu’on pouvait obtenir des informations variées par la diversité des vestiges retrouvés. Ainsi, en plus d’industries lithiques en silex abondantes, il a été découvert des industries sur obsidienne en stratigraphie, des éléments de parure, et des restes anthracologiques qui permettront des datations au radiocarbone29. Des structures anthropiques témoignent aussi d’une activité pérenne sur les sites et de la bonne conservation générale de certains niveaux d’occupation. Toutes ces découvertes peuvent être interprétées, au premier abord, comme des types de sites dits spécialisés, c’est-à-dire dédiés exclusivement à la taille du silex. Or les fouilles effectuées ont montré qu’il n'en est rien puisque les vestiges des niveaux d’occupation suggèrent une activité bien plus diversifiée. Certes, l’installation de populations holocènes est sans conteste motivée par les gîtes de matière première à proximité directe, mais elle n’est pas exclusivement celle de spécialistes venus seuls. Les découvertes indiquent des occupations structurées, peut­être dans certains cas sur le moyen ou le long terme, d’après l’accumulationde niveaux anthro-piques à un endroit qui est toujours le même et où s’enchaînent des occupations successives.

17Les fouilles et les prospections systématiques et sélectives dans une partie du wâdî Wa‘shah ont livré des industries inédites au Yémen, comme le débitage Wa‘shah par exemple. Il s’agit d’un mode opératoire laminaire qui consiste à obtenir de manière prédéterminée des lames pointues. Celles-ci sont ensuite retouchées à leur base afin d’obtenir des pointes de flèches : les « pointes de Wa‘shah ». Il a également été trouvé des sites de surface spécialisés où il semblerait que le façonnage de pièces bifaciales foliacées ou de bifaces ait été privilégié, toujours à proximité de gîtes en matières premières lithiques très riches. La documentation d’industries levalloisiennes en surface constitue une étape significative dans l’élaboration d’un corpus typologique attribué provisoire­ment à des probables occupations du Paléolithique moyen, qui reste inconnu dans la péninsule Arabique.

18Les prospections de la mission française ont ainsi mis en lumière des sites stratifiés et de surface riches, nombreux et variés dans le wâdî Wa‘shah et dans les wâdîs situés dans la région du village de al-Sûm. La poursuite des travaux initiés dans ces secteurs à fort potentiel permettra, à n’en pas douter, d’apporter de nouveaux éléments de réponse aux nombreuses problématiques posées.

19Plus au Sud, dans le wâdî Sana, les prospections systématiques du RASA Project ont permis la découverte d’un site exceptionnel appelé Manayzeh. Une première campagne de fouille a été initiée en 200430. Les premiers sondages, agrandis en 2005, ont révélé une épaisseur stratigraphie inattendue31. Plus de soixante niveaux, sans perturbation majeure, ont été individualisés en coupe sur plus de 2,20 m d’épaisseur. Faute de temps, les niveaux les plus anciens n'ont pas encore été révélés. Jusqu’à présent, une stratigraphie de cette ampleur est un fait unique au Yémen, et constitue l’opportunité sans précédent de pouvoir enfin dater précisément des courants culturels et connaître davantage les contextes socio-éco-nomiques de populations supposées néolithiques. Les industries lithiques associées aux niveaux d’occupations (quasi-continus tout le long de la stratigraphie) ont été retrouvées en très grand nombre, sont variées et d’une grande qualité d’exécution, indiquant des savoir­faire complexes.

20Elles permettent d’envisager l’élaboration d’une typologie fine des armatures de pointes de flèche qui amènera à dater et mieux comprendre les sites de surface, nombreux et de mieux en mieux documentés. L’emploi de techniques particulières comme le flûtage et le débitage Levallois est attesté pour la première fois en contexte stratigraphique dans la péninsule Arabique.

21La présence en masse de restes fauniques dans la quasi-totalité des couches archéo­logiques est également inédite au Yémen, et sera, après étude, un premier élément de réponse concernant le contexte économique des populations des périodes humides de l’Holocène ancien et moyen.

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Notes

1 ARBACH & AUDOUIN 2004 : 4.
2 Par exemple, les industries lithiques lourdes de al-Hawa 1 (Ramlat as-Sabatayn) cf. INIZAN et al. 1998 : 142.
3 Étude des climats (paléoclimatologie), de la faune (archéozoologie) et des végétaux anciens (archéo-botanique, palynologie, anthracologie, etc.).
4 WHALEN & PEASE 1992 ; AMIRKHANOV 1994a, 1994b, 1997 ; WHALEN & SCHATTE 1997 ; PETRAGLIA & ALSHAREKH 2003.
5 CATHON-THOMPSON 1938 ; CATHON-THOMPSON & GARDNER 1939.
6 Étude de l’organisation socio-économique des sociétés humaines paléolithiques et néolithiques par l’analyse de leurs cultures matérielles (anthropologie culturelle).
7 Étude des fossiles d’hominidés anciens (anthropologie physique).
8 INIZAN & ORTLIEB 1987 ; INIZAN 1997.
9 LEROI-GOUTHAN & BREZILLON 1972 ; LEROI-GOUTHAN 1983.
10 AMIRKHANOV 1994a : 222.
11 BODU et al. 2002.
12 MCCORRISTON et al. 2002.
13 TOSI 1985, 1986 ; CATTANI & BOKONYI 2002.
14 TOSI 1985 : 365 ; CATTANI & BOKONYI 2002 : 34.
15 KEALL 1998 : 140.
16 GARCIA et al. 1991 ; RACHAD 1994 ; GARCIA & RACHAD 1997.
17 FEDELE 1984 ; DE MAIGRET 1984, 1997, 2002 ; DE MAIGRET et al. 1985, 1990 ; DI MARIO 1987.
18 FEDELE 1990.
19 GIBSON & WILKINSON 1995; WILKINSON et al. 1997; EDENS & WILKINSON 1998; EDENS 1999; WILKINSON

& EDENS 1999 ; EDENS et al. 2000 ; EKSTROM & EDENS 2003 ; WILKINSON 1997, 2003a, 2003b.

20 KHALIDI 2005.
21 Les ossements sont en cours d’étude par Dr. Fiona MARSHALL (University of Washington, St Louis, Missouri).
22 RAHIMI 2001 ; KHALIDI 2005 ; CRASSARD en cours de publication.
23 KEALL 1998, 2000.
24 CIUK & KEALL 1996:11-12, 20-39 ; PHILLIPS 1998:235 ; KHALIDI 2005.
25 KHALIDI sous presse.
26 Voir par exemple : ZARINS 1979 ; ZARINS et al. 1979, 1981, 1983 ; ZARINS & ZAHRANI 1985 ; TOSI 1985, 1986 ; ZARINS & AL-BADR 1986 ; VOGT 1997 ; VOGT & SEDOV 1997, 1998 ; KEALL 1998, 2004 ; PHILLIPS 1998 ; BUFFA & VOGT 1999 ; KEALL et al. 2000 ; CATTANI & BOKONYI 2002 ; BUFFA 2002, 2003.
27 FEDELE 1984 ; DE MAIGRET 1984, 1997, 2002 ; DE MAIGRET et al. 1985, 1990 ; DI MARIO 1987.
28 CRASSARD & BODU 2004.
29 Échantillons en cours de préparation et d’étude par Jean-François SALIÈGE (Lodyc, CNRS).
30 CRASSARD 2004.
31 CRASSARD et al., en prépa.
32 BODU et al. 2002.
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Pour citer cet article

Référence électronique

Rémy Crassard et Lamya Khalidi, « De la pré-Histoire à la Préhistoire au Yémen »Chroniques Yéménites [En ligne], 12 | 2004, mis en ligne le 27 novembre 2006, consulté le 24 mars 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/cy/178 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/cy.178

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Auteurs

Rémy Crassard

Doctorant, Université Paris I / CEFAS

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Lamya Khalidi

Doctorante, Cambridge University / CEFAS

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