Le problème de Jésus (Raoul Francé)
Texte intégral
- 1 Raoul Francé, Der Weg zu mir, Leipzig : Alfred Kröner Verlag, 1927 p. 12. Des recherches généalogiq (...)
- 2 R. Francé, op. cit., p. 22‑23.
- 3 R. Francé respecte son anonymat en le désignant par l’initiale de son nom M.
- 4 R. Francé, op. cit., p. 52‑56.
- 5 Voir Hanns Fischer, Raoul. H. Francé. Das Buch eines Lebens, Leipzig : Voigländer Verlag, 1924, p. (...)
1Qui est Raoul Francé ? Il est né à Vienne le 20 mai 1874. Son acte de naissance indique qu’il se nomme Rudolph Franzé (avec un z) et qu’il est catholique. C’est donc à la suite d’un choix délibéré que l’ensemble de son œuvre est connu sous le nom de Raoul Francé. Dans son autobiographie il justifie ce choix par une grande admiration pour la culture française et une supposée ascendance française qui remonterait aux guerres napoléoniennes1. Son père était originaire des Sudètes et sa mère de Slovaquie. Sa petite enfance se déroule à Vienne dans le confort bourgeois d’une famille plutôt conventionnelle. Fonctionnaire de la Banque Impériale Austro‑hongroise, son père est muté à Budapest en 1884 et le jeune homme doit apprendre le hongrois pour poursuivre ses études. Passionné par les sciences naturelles, Raoul s’oppose à la volonté de son père qui voulait le diriger vers une carrière dans la finance. Ses professeurs encouragent sa vocation et lui proposent divers emplois dans leurs laboratoires pour financer ses études. Dans son autobiographie, il précise que ses parents n’étaient pas pratiquants et qu’ils lui laissèrent dans ce domaine une totale liberté2. Des rencontres marquantes ont pu éveiller son intérêt pour le fait religieux, que nous retrouverons bientôt. En se rendant auprès de sa famille en Slovaquie (branche maternelle), à Hadrisch près de Napajdl (aujourd’hui Napajdla), il fit la connaissance d’un rabbin3 qui non seulement partageait son goût pour la nature, mais lui fit aussi découvrir la Thora4. En 1893, à l’occasion d’une mission d’études sur les micro‑organismes du lac Balaton (Plattensee), il séjourna trois mois à l’abbaye bénédictine de Tihany5.
- 6 R. Francé, Der Wert der Wissenschaft, Dresden : Carl Reissner, 1900. L’ouvrage connaîtra cinq réédi (...)
- 7 De leur union naîtra Walter, l’unique enfant de R. Francé.
- 8 Proche de Rudolph Steiner, Max Seiling fit partie de la Société allemande de théosophie. Il est l’a (...)
- 9 Hanns Fischer, Raoul.H.Francé. Das Buch eines Lebens, Leipzig : Voigländer Verlag, 1924 ; René Roma (...)
- 10 Hélène Racowitza (née Dönniges), devenue veuve en 1865, partit pour Berlin et devint actrice. Son r (...)
- 11 On sait que R. Francé habite partir du 20 septembre 1908 au 54, Kurfürten-strasse, à deux pas du sa (...)
- 12 Il fait sa rencontre en 1916 (étant exempté pour myopie). Rapidement elle devient une collaboratric (...)
- 13 W. Herzog, Menschen, denen ich begegnete, Bern : Francke, 1959, p. 58.
- 14 Institut privé de recherche sur la biologie des sols dont l’objet était l’étude de la formation de (...)
2En 1900, Francé publie Der Wert der Wissenschaft, un premier ouvrage dans lequel, sous l’influence de Nietzsche notamment, il développe ses idées sur la science, l’art et la vie6. En 1901, il épouse Caroline Moser7 et le couple quitte la Hongrie pour Brunswick en Basse‑Saxe, mais l’écrivain Ludwig Reinhard (1847‑1918) et le professeur Max Seiling (1852‑1928)8, enthousiasmés par son livre, l’attirent à Munich, où il s’installe finalement en septembre 1902. A Munich, Francé fréquente des cercles de libres‑penseurs et de théosophes. Du côté de la libre‑pensée, il fait la rencontre d’Heinrich Molenaar (1870‑1965) qui dirige la revue Die Religion der Menschheit dans le but de diffuser en Allemagne la pensée d’Auguste Comte. Du côté des théosophes, occultistes et spiritistes, ses biographes9 mentionnent Rudolf Steiner (1861‑1925), que Francé apprécie sans partager toutes ses orientations ; le pittoresque publiciste Friedrich Arnd (1839‑1911), converti à l’islam sous le nom d’Omar al‑Rachid Bey, et son épouse la nouvelliste Hélène Böhlau (1859‑1940) ; la princesse Hélène Racowitza (1843‑1911), très connue depuis que le comte Racowitza tua en duel Ferdinand Lassalle (1825‑1864)10, et, parmi les amies de celle‑ci, la féministe anglaise, libre‑penseuse et théosophe, Annie Besant (1847‑1933). Francé s’immerge dans la vie culturelle bouillonnante et avant‑gardiste du quartier Schwabing, où il rencontre le peintre Gino Parin (1876‑1944), le portraitiste Fritz Bergen (1857‑1941), le zoologiste Karl Heider (1856‑1935), le graveur Sigmund Lipinsky (1873‑1940), le peintre animalier Walter Heubach (1865‑1923), et le dramaturge engagé Frank Wedekind (1864‑1918), un des chefs de file de l’expressionnisme, qui monte à Munich des pièces d’August Strindberg (1849‑1912). Dans ce haut lieu de la bohème littéraire qu’est Schwabing, il fréquente également le salon du Dr Artur Ludwig11, où se réunissent Frank Wedekind, l’essayiste Hans Brandenburg (1885‑1968), l’écrivain d’extrême‑gauche Erich Mühsam (1878‑1934), l’historien pacifiste Wilhelm Herzog (1884‑1960), la romancière et poétesse Annie Harrar (1886‑1971) qui allait devenir la compagne de Francé12 et le leader pacifiste Kurt Eisner (1867‑1919), cofondateur (en 1917) du Parti social‑démocrate indépendant d’Allemagne. Francé se lie d’amitié avec Herzog et Eisner. Pendant la Grande Guerre, Herzog échafaude, en collaboration avec Wilhelm Foerster (1869‑1966), Heinrich Mann (proche de Mühsam), Kurt Eisner et Raoul Francé, un projet d’encyclopédie sur le modèle de l’Encyclopédie de Diderot13. Mais le projet échoue. On le voit, l’entourage de Francé était constitué de personnalités très engagées. Aussi se trouva‑t‑il pris, un peu malgré lui, dans la tourmente politique de la fin de la guerre. En 1918, Eisner participa au renversement de Louis III et proclama la République libre de Bavière. Le 21 février 1919, il fut assassiné et un mouvement de panique s’ensuivit. Francé, craignant alors pour sa vie, fut contraint de quitter la ville et d’abandonner son Institut de Biologie fondé en 190914.
- 15 Collection privée Pierre Francé.
3Raoul Francé à Munich (c’est‑à‑dire dans la période qui va de 1902 à 1919) peut être décrit comme un savant engagé. De 1902 à 1907, il consacre une partie de son temps à démystifier le texte des Evangiles en s’inspirant du courant le plus critique, celui qui remet en cause l’existence historique de Jésus. Son intérêt pour la question est tel qu’il s’inscrit à l’université pour suivre des cours de théologie en même temps qu’il perfectionne sa technique du dessin à l’Académie des Beaux‑Arts. Il s’exprime sur la question dans des textes et conférences. Au début de l’année 1903, il publie pour l’association des libres penseurs de Munich (Freidenkervereinigung München) une brochure sur « la personnalité historique du Christ » (Die geschichtliche Persönlichkeit Christi). Le contenu de cette brochure aujourd’hui introuvable est résumé dans le premier article que nous publions, « Le problème de Jésus », (Das Christusproblem), paru en mai 1903 dans la revue positiviste de Molenaar, Die Religion der Menschheit. Le 6 juin 1903, Francé tient devant l’association des libres‑penseurs une conférence richement documentée sur la naissance du christianisme (Die Entstehung des Christentums)15 que nous publions à la suite.
- 16 Selon les spécialistes actuels, « Mc apparaît comme un récit vivant et concret, qui laisserait supp (...)
- 17 La thèse de Wrede sera contestée ou corrigée par R. Bultmann, E. Haenchen, E. Percy, G. Strecker, H (...)
4L’application systématique de la critique historique aux Evangiles remonte à la philosophie des Lumières. Dans un ouvrage qui fut longtemps jugé scandaleux, Reimarus (1694‑1768) dénonçait en Jésus un ambitieux politique et, dans ses disciples, des imposteurs. Au xixe siècle, l’étude critique prend une autre tournure, souvent en phase avec la théologie protestante libérale. Si David Friedrich Strauss voit encore dans le texte des Evangiles un tissu de mythes, la plupart des théologiens critiques cherchent désormais à dégager le christianisme de son armature dogmatique et à lui assurer un fondement positif, proprement historique. Mais d’autres recherches conduisent à une critique plus radicale. C’est ainsi qu’en 1901, William Wrede (1859‑1906), partant du fait que les évangiles synoptiques ne montrent jamais Jésus en train de revendiquer un des titres qu’on lui prête – que ce soit celui de fils de David, de Messie ou de fils de Dieu –, tente de prouver que le « secret messianique » qui domine l’Evangile de Marc n’est autre chose qu’un subterfuge par lequel l’Eglise aurait jeté le voile sur un fait embarrassant pour l’apologétique, à savoir que Jésus lui‑même ne se regardait pas comme le messie. Ainsi le document généralement présenté comme le plus solide historiquement serait‑il une construction de l’Eglise et non, comme on le croit généralement, une narration relativement fidèle16 (Le secret messianique dans les Evangiles : Das Messiasgeheimnis in die Evangelien, Göttingen : Vandenhoeck, 1901). La thèse fait grand bruit17 et, dans le même temps, un groupe de pasteurs engagés dans le réformisme social se constitue à Brême autour de la personnalité d’Albert Kalthoff (1850‑1906).
- 18 Le midrash est un ensemble de commentaires de la Torah, dont certains se veulent la mise en accompl (...)
- 19 Manuscrits et photographies, collection privée Pierre Francé.
5Francé adhère à la remise en question du Jésus historique et rattache Jésus à la tradition midrashique (une hypothèse que l’on commence seulement de nos jours à explorer méthodiquement18). Sans doute ne connaît‑il pas la position d’Auguste Comte, qui considérait Jésus comme un faux fondateur (le vrai fondateur du christianisme étant Paul), mais Molenaar complète l’article de Francé par une note signalant au lecteur cette proximité. On pourrait également rappeler que c’est un disciple de Comte, Emile Littré, qui traduisit en français la Vie de Jésus de D. F. Strauss (Paris : Ladrange, 1839‑1840). Il est frappant de constater que Francé, qui cite Wrede et Kalthoff dans son article, adhère à la ligue moniste allemande (Deutscher Monistenbund) dont le premier président (en 1906) est précisément Kalthoff (ce qui fit débat, car on se demandait si un pasteur était à sa place dans un mouvement créé pour propager les idées de Haeckel). Francé compte parmi les premiers adhérents du mouvement moniste et l’on sait qu’il rencontra Ernst Haeckel, qui exerça incontestablement une certaine influence sur sa pensée du vivant19.
- 20 Voir R. Francé « Jesuitische Entwicklungslehre », Zeitschrift für den Ausbau der Entwicklungslehre, (...)
6De 1907 à 1910, Francé édite son propre périodique, la Revue pour l’extension de la théorie de l’évolution (Zeitschrift für den Ausbau der Entwicklungslehre), fondée dans le voisinage du mouvement moniste, comme l’atteste la présence au comité scientifique de Hans Driesch et Johannes Unold. Il y publie des articles polémiques dans lesquels il dénonce l’imposture des tentatives apologétiques pour réconcilier les concepts de la biologie moderne et la conception chrétienne du monde (Alfred Dippe, Erich Wasmann)20, prenant au passage la défense du monisme et du panthéisme.
7Francé fut l’introducteur, en 1911, du terme technique « édaphon » (adjectif : « édaphique »), qui désigne l’ensemble de tout ce qui vit dans le sol envisagé comme une communauté de vivants. Ce terme (du grec édaphon = le sol) fait pendant au mot « plancton » précédemment introduit par le zoologiste Victor Hensen. Tandis que l’écologue Karl Möbius (1825‑1908) affirmait que les organismes du sol sont unis par les mêmes conditions de vie, mais n’allait pas jusqu’à la reconnaissance d’une interaction entre les différences espèces, Francé fit un pas supplémentaire et réussit à mettre en évidence les interactions entre les éléments du biotope (influences réciproques de la faune et de la flore par exemple) ainsi que les équilibres dynamiques qui en résultent (biocénose). Il fut ainsi un des fondateurs de l’écologie des sols, qu’il faut distinguer de la classification zoologique des invertébrés ou même de la bactériologie des sols.
- 21 Parmi les pionniers de la « biotechnique », il faudrait citer Gustav Lilienthal (1849‑1933), le con (...)
8Francé fut également un précurseur de « la bionique » qui consiste à chercher dans les mécanismes naturels des solutions pouvant donner lieu à des applications techniques. Francé, qui utilisait à l’époque le terme de « biotechnique » (le mot « bionique » s’imposa vers 1960), contribua à développer cette science‑carrefour par la conviction qu’il existe une ingénierie des plantes et que les mêmes problèmes peuvent trouver des solutions analogues dans le monde naturel et dans le monde artificiel. Remarquant les avantages dont dispose la capsule de pavot, qui, grâce à son système de petites ouvertures, produit une bonne répartition des graines dès qu’elle est ballottée par le vent, il en tira un modèle de salière qu’il réussit à faire breveter, en 1919, malgré la réticence des autorités qui firent observer que « l’invention » existait déjà dans la nature21.
- 22 Les villes de Dinkelsbühl et de Munich, où vécut R. Francé, donnèrent son nom à une rue et tous les (...)
9Savant indépendant (il n’exerça aucune fonction académique) et auteur particulièrement fécond (soixante‑treize ouvrages et plus de trois cent cinquante études et articles), Francé est aujourd’hui connu en Allemagne, en Autriche et en Suisse pour ses découvertes sur les sols et sa conception de l’harmonie de la nature qui font de lui un pionnier de l’écologie22. En revanche, les articles publiés en marge de sa spécialité, notamment sur la question des Evangiles, attendaient encore d’être exhumés et traduits.
Notes
1 Raoul Francé, Der Weg zu mir, Leipzig : Alfred Kröner Verlag, 1927 p. 12. Des recherches généalogiques récentes ont démenti l’hypothèse d’une ascendance française.
2 R. Francé, op. cit., p. 22‑23.
3 R. Francé respecte son anonymat en le désignant par l’initiale de son nom M.
4 R. Francé, op. cit., p. 52‑56.
5 Voir Hanns Fischer, Raoul. H. Francé. Das Buch eines Lebens, Leipzig : Voigländer Verlag, 1924, p. 47.
6 R. Francé, Der Wert der Wissenschaft, Dresden : Carl Reissner, 1900. L’ouvrage connaîtra cinq rééditions.
7 De leur union naîtra Walter, l’unique enfant de R. Francé.
8 Proche de Rudolph Steiner, Max Seiling fit partie de la Société allemande de théosophie. Il est l’auteur de Goethe als Okkultist, Berlin : Johannes Baum Verlag, 1919 (réédition : J. Bohmeier, 2008).
9 Hanns Fischer, Raoul.H.Francé. Das Buch eines Lebens, Leipzig : Voigländer Verlag, 1924 ; René Romain Roth, R. H. Francé and the Doctrine of Life, First Book Library, 2000.
10 Hélène Racowitza (née Dönniges), devenue veuve en 1865, partit pour Berlin et devint actrice. Son remariage avec l’acteur autrichien Siegwart Friedmann (1842‑1916) fut suivi d’un divorce et elle épousa en troisièmes noces Sergej von Schewitsch, militant pour l’égalité des sexes et amateur de théosophie.
11 On sait que R. Francé habite partir du 20 septembre 1908 au 54, Kurfürten-strasse, à deux pas du salon du Dr A. Ludwig (6 Adalbertstrasse). Source : Archives de Munich.
12 Il fait sa rencontre en 1916 (étant exempté pour myopie). Rapidement elle devient une collaboratrice assidue et poursuit même ses recherches dans le domaine des fertilisants naturels des sols jusque dans les années 50, au Mexique.
13 W. Herzog, Menschen, denen ich begegnete, Bern : Francke, 1959, p. 58.
14 Institut privé de recherche sur la biologie des sols dont l’objet était l’étude de la formation de l’humus grâce aux actions des micro‑organismes de la faune et de la flore qui le composent. Fondé en 1909, cet institut vivait de dons privés et d’un financement public ; le matériel était fourni par la firme Zeiss de Iena.
15 Collection privée Pierre Francé.
16 Selon les spécialistes actuels, « Mc apparaît comme un récit vivant et concret, qui laisserait supposer un témoin oculaire des faits rapportés. En réalité, l’évangéliste emploie des stéréotypes qui donnent l’illusion du vécu ; il met ses talents de conteur à restituer à ses traditions la vivacité de l’histoire, la couleur locale, les détails précis » (Dictionnaire encyclopédique de la Bible, Turnhout : Brépols, 3e édition, 2002, p. 799).
17 La thèse de Wrede sera contestée ou corrigée par R. Bultmann, E. Haenchen, E. Percy, G. Strecker, H. J. Ebeling et E. Sjöberg.
18 Le midrash est un ensemble de commentaires de la Torah, dont certains se veulent la mise en accomplissement des Écritures. Selon l’hypothèse midrashique, actuellement développée par des spécialistes tels que Bernard Dubourg et Maurice Mergui, le christianisme serait né d’une transcription en grec d’originaux hébreux ayant conduit à transformer en personnage historique une idée midrashique dépendante de son contexte, au prix d’un immense malentendu. L’interprétation se fonde sur une « rétroversion » vers l’hébreu de divers passages du Nouveau Testament ainsi que sur l’usage de la gématrie. Voir B. Dubourg, L’invention de Jésus, Paris : Gallimard, 1987.
19 Manuscrits et photographies, collection privée Pierre Francé.
20 Voir R. Francé « Jesuitische Entwicklungslehre », Zeitschrift für den Ausbau der Entwicklungslehre, Stuttgart : Verlag des Kosmos/ Gesellschaft der Naturfreunde, 1907, p. 295‑298 ; « Theistische Naturphilosophie », ibid., p. 376‑377.
21 Parmi les pionniers de la « biotechnique », il faudrait citer Gustav Lilienthal (1849‑1933), le concepteur d’engins volants imitant l’oiseau, sans parler de Léonard de Vinci.
22 Les villes de Dinkelsbühl et de Munich, où vécut R. Francé, donnèrent son nom à une rue et tous les deux ans la « médaille Raoul Francé » récompense en Allemagne diverses personnalités ayant contribué au respect de l’environnement et au développement de l’agriculture biologique.
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Référence papier
Laurent Fedi et Pierre Francé, « Le problème de Jésus (Raoul Francé) », Les Cahiers philosophiques de Strasbourg, 35 | 2014, 313-319.
Référence électronique
Laurent Fedi et Pierre Francé, « Le problème de Jésus (Raoul Francé) », Les Cahiers philosophiques de Strasbourg [En ligne], 35 | 2014, mis en ligne le 14 décembre 2018, consulté le 16 février 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/cps/1110 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/cps.1110
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