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1« Que nous réserve Internet dans un proche avenir ? » titrait Claude Lafleur dans Le Devoir du 12 avril 1998. Suivait une information « fraîche » : « [Une gamme d’applications révolutionnaires permettra] notamment d’implanter la télé-classe sur Internet, c’est-à-dire, le fait qu’on pourra étudier chez soi en suivant des cours sur Internet. » Pendant ce temps, COM‑20596 Communication visuelle : l’alphabet en est à son quatrième trimestre de fonctionnement avec plus de 500 inscrits.
2L’enseignement du vocabulaire de base du langage plastique a été — jusqu’à l’implantation de ComViz par Internet — sous la responsabilité des artistes visualistes. À cause de la forte tradition du travail en atelier qui est la leur, l’enseignement de cette matière a toujours été dispensé selon la formule maître-apprentis ; on enseigne le langage graphique à de petits groupes de 20 ou 25 étudiants. Il s’ensuit que chaque étudiant présent à une séance de 3 heures ne reçoit au mieux que 5 à 10 minutes de commentaires de son professeur chaque semaine.
3Une autre caractéristique de l’enseignement de cette matière est la transmission de connaissances selon l’approche essai-erreur qui remonte aux ateliers des maîtres de la Renaissance : l’étudiant aborde un problème de composition en proposant une ou quelques esquisses sur papier, et le maître, en classe-atelier, corrige ses élèves un à un : « C’est mauvais ; essayez de nouveau » ou « C’est bien ; essayez de faire mieux. » Cette approche tient peu compte des connaissances scientifiques accumulées sur le langage visuel au cours des ans ; cette méthode met en lumière un aspect ridicule ?) : obliger chaque étudiant à redécouvrir lui-même « le bouton à quatre trous ».
L’idée d’un cours par Internet
4Francis Masse, communicateur et programmeur, et Claude Cossette, professeur — qui était alors directeur du programme de communication graphique — ont imaginé de monter un cours entièrement par Internet. C’est devenu ComViz/Communication visuelle : l’alphabet.
5Ils s’étaient fixé les objectifs suivants :
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diminuer les coûts en augmentant le ratio professeur/étudiants ;
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augmenter, pour les étudiants, les possibilités de réaliser un nombre accru d’essais de composition en allégeant les contraintes qu’imposent le papier, le tire-ligne ou la gouache ;
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rendre plus explicites les critères d’évaluation des compositions plastiques.
6Claude Cossette, dans une réflexion prospective alors qu’il présentait son projet aux autorités universitaires, affirmait : « Nous allons transmettre, en recourant à l’ordinateur et aux réseaux d’information, les connaissances scientifiques disponibles, et nous allons développer les habiletés en composition graphique. La technologie nous permet de construire des exercices dynamiques, de fournir à l’étudiant un feedback rapide, complet et personnalisé. »
Outils pédagogiques retenus
7Les deux pédagogues étaient par ailleurs convaincus d’une chose : c’est d’abord l’étudiant qui apprend et, ensuite seulement, le professeur qui enseigne — et ils en avertissent leurs étudiants dans le Plan de cours : « La méthode primordiale utilisée dans ce cours est l’initiative et le travail personnels de l’étudiant ; dans cette optique, le tuteur (ou le site du cours) n’est qu’une ressource parmi d’autres pour inciter à ce travail personnel. »
8L’apprenant est alors disponible à l’apprentissage puisqu’il choisit lui-même le moment et le lieu de son apprentissage, le cours étant structuré selon une méthode d’auto-apprentissage. Par ailleurs, cette méthode est exigeante : l’étudiant doit être fortement motivé, il doit être capable de bien gérer son temps, il doit avoir du souffle.
9Le cours ComViz propose des lectures, des exercices, des simulations interactives, des forums de discussion, etc., pour atteindre les objectifs du cours. Le professeur et le programmeur ont opté pour un certain nombre de choix :
Auto-apprentissage par module
10Globalement, la méthode pédagogique privilégiée est l’auto-apprentissage par module : l’étudiant doit compléter 10 modules, chacun axé sur un sujet principal qui constitue une notion importante de la matière. L’étudiant parcourt chaque module à son propre rythme ; il n’y a pas de cheminement hiérarchisé forcé, sinon que le professeur encourage les étudiants à les compléter dans l’ordre — l’étudiant comprend rapidement qu’il est plus facile d’aborder un nouveau module quand il a parcouru les précédents. En tout cas, l’étudiant doit avoir complété les 5 premiers modules avant de pouvoir accéder à l’un ou l’autre des modules 6 à 10.
Textes à lire
11L’étudiant a accès en ligne à tous les textes à lire et à toutes les images à analyser : il n’y a pas de manuels ou de cahiers d’exercices à acquérir.
12Pour apprendre sur Internet, les outils ne sont pas nécessairement différents des outils utilisés pour enseigner dans une classe traditionnelle. Par exemple, dans ComViz, la matière la plus importante est dispensée par le biais de lectures, bien sûr, mais aussi de démonstrations, d’exercices et d’échanges, ce qui, présenté de cette façon, n’a rien de tellement différent d’un cours traditionnel (outre l’économie de papier !). Même s’il existe un ordre de lecture pour un apprentissage optimal (celui choisi par le professeur), les lectures peuvent être complétées dans n’importe quel ordre.
Dessin en ligne
13L’étudiant peut exécuter des images sans besoin de logiciel spécialisé : le fureteur Netscape permet de satisfaire à toutes les exigences du cours ; un petit plug-in permet d’exécuter des exercices de composition d’images diversifiés — comme sur la table à dessin. L’étudiant est non seulement invité à l’action mais, la plupart du temps, il est poussé à agir de son propre gré, à essayer ; l’interactivité des exercices de simulation permet de recommencer à l’infini.
Échanges avec les camarades
14L’étudiant est aussi invité à partager ses réflexions ou ses questionnements avec ses camarades de classe par le biais d’un Forum ou du courrier électronique. Il n’a qu’à cliquer sur un bouton pour faire connaître ses opinions ou faire part de ses critiques : chacun reçoit automatiquement dans sa boîte de courriel les messages affichés par ses collègues ou par les enseignants.
15Il est ainsi facile de progresser et, s’il y a lieu, de partager cette nouvelle acquisition de connaissances avec les autres étudiants. On constate en outre que les participants s’imposent très peu de censure : certains se permettent occasionnellement de corriger le professeur… ainsi, c’est le professeur qui devient le plus vulnérable.
16Tout au cours de la session, les étudiants soutiennent leurs points de vue par des extraits de lecture ou en rappelant des interventions précédentes ; toutes les interventions demeurent accessibles, tout un chacun peut instantanément les consulter, répliquer avec d’autres arguments, ainsi de suite. Ces expériences critiques semblent motiver l’étudiant à en savoir plus que son voisin de classe réelle.
Tuteur à un clic de distance
17Un bouton, présent à chaque page, permet à l’étudiant de communiquer par courriel avec son tuteur assigné : l’étudiant peut demander des compléments d’explication, contester une correction, etc. avec l’assurance qu’il recevra une réponse en moins de 48 heures (il reçoit ordinairement ce feedback en moins de 8 heures).
18L’étudiant est évalué pour sa participation à ce Forum. Le nombre d’échanges est d’environ sept messages par session et par étudiant. Certains étudiants interviennent aussi souvent que 30 ou 50 fois pendant un trimestre.
19En réalité, l’étudiant dispose non pas d’un mais de six boutons cliquables qui sont présents à chaque page : Matières, Plan du module, Partage en ligne, Tuteur, Forum par courriel et Votre dossier. À tout moment, l’étudiant peut cliquer sur l’un de ces boutons pour obtenir la page concernée et l’information désirée.
Repères de contenu
20Une Table des matières détaillée est accessible par un bouton. Cette table lui permet de visualiser les pages parcourues et à parcourir pour l’ensemble du cours ComViz.
21De plus, pour chaque Module, une Table des matières détaillée est présente en bandeau tout au cours de ses lectures. Cette table comporte toujours les mêmes éléments :
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Le mot du prof : un petit mot d’encouragement, parfois sonore et avec image animée.
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Dans ce Module : décrit les objectifs d’apprentissage.
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Que savez-vous ? Propose un petit autotest qui permet de susciter l’intérêt chez l’étudiant.
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Augmentez vos connaissances ! C’est le cœur du module : là sont rassemblées toutes les connaissances à acquérir.
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Développez vos habiletés ! Propose quelques exercices à exécuter.
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Élargissez votre culture ! Propose des liens externes vers d’autres lectures, des compléments de connaissance, des jeux, des éléments un peu ésotériques, etc.
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Échéances : Résume les travaux à acheminer en vue de l’Évaluation.
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Vous avez appris ? C’est la partie évaluation proprement dite du Module.
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Exergue : une citation pour susciter la réflexion.
Liens externes
22Un grand nombre de liens permettent à ceux qui le désirent d’élargir leurs connaissances et leur culture générale. Les pointeurs externes sont en soi un nouvel outil mis à la disposition du professeur et même des étudiants. L’hyperlien est l’essence même d’InternetW3. Un cours dispensé par Internet bénéficie de ce puissant outil d’apprentissage.
23Par exemple, par ComViz, plusieurs musées branchés sur le W3 le sont aussi avec le cours. Quoi de plus pédagogique que de voir instantanément ce dont on parle, qu’il s’agisse d’images d’art ou d’images scientifiques. Le pointeur extérieur permet au professeur une économie de temps et d’énergie puisque ce n’est pas lui qui a besoin de publier sur Internet… les chefs d’œuvre du Louvre ou la démonstration du Triangle de Penrose faite par le CalTech.
Dossier accessible par l’étudiant
24Une autre caractéristique fort appréciée des étudiants est la possibilité de consulter leur dossier en ligne, dossier qui est mis à jour automatiquement à chaque notation. Le dossier fait état des sections complétées, lui donne sa moyenne, lui prédit la note finale présumée (« si la tendance actuelle se maintient ») et la meilleure note possible compte tenu de ce qui reste à compléter.
Trois préalables informatiques
25Une page d’accueil d’allure publicitaire permet à tout visiteur de prendre connaissance des conditions d’inscription à ce cours. Ce visiteur peut même parcourir entièrement l’un des Modules (mais sans pouvoir obtenir les résultats de l’évaluation en ligne).
26Sur le plan informatique, les concepteurs ont fixé trois préalables :
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L’étudiant doit maîtriser les rudiments d’Internet dont le courrier électronique et le navigateur Netscape 3.0 ou mieux (nous ne garantissons pas le résultat avec Internet Explorer).
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L’étudiant doit pouvoir accéder au réseau Internet avec un ordinateur personnel ou à partir d’un laboratoire d’informatique.
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L’étudiant doit aussi posséder une adresse de courrier électronique personnelle et permanente dans laquelle son nom figure.
27Un avis est publié sur le site : « Ce cours n’est pas un cours pour apprendre à naviguer sur Internet mais un cours sur la communication visuelle (accessible par Internet). Les professeurs sont des enseignants spécialisés en communication visuelle. Leur tâche est donc de répondre à des questions relatives au contenu. Si un étudiant a des problèmes d’informatique, il doit recourir à d’autres sources de dépannage : son fournisseur, les techniciens d’un labo, des amis, des collègues... »
Évaluations
28L’évaluation de l’étudiant comporte quatre types d’évaluation :
Les évaluations de module
29Une évaluation de connaissances est présentée à chacun des modules. Chacune de ces évaluations est corrigée automatiquement et elle compte pour 5 points, pour un total de 50 points.
30Les évaluations de chaque module sont de type objectif (à choix multiples) ; elles utilisent des images à de nombreuses reprises ; elles sont corrigées immédiatement et automatiquement en ligne. Les notes sont compilées automatiquement et cumulativement par le système informatique du cours qui fournit, en plus, les explications nécessaires à la compréhension d’une question échouée (feedback).
31Pour chaque étudiant et à chaque module est construit un examen différent. Un programme choisit au hasard des questions dans une banque de questions. L’étudiant dispose de 60 minutes pour retourner le formulaire complété.
32Ces examens renferment évidemment un bon nombre d’images, ce qui serait à toutes fins utiles impossible à réaliser s’il s’agissait d’un examen en version papier.
33Une contre-vérification de cette évaluation est possible. Un avis en prévient l’étudiant : « Vous êtes susceptibles de recevoir à n’importe quel moment un appel téléphonique du professeur, pour contre-vérifier vos connaissances sur l’une ou l’autre des évaluations des modules que vous avez complétés. Pour chaque module, jusqu’à 5 % des étudiants inscrits peuvent faire l’objet de cette contre-vérification. Le choix des volontaires est fait au hasard. La note obtenue lors de cette contre-vérification remplacera la note obtenue par correction automatisée. »
Des exercices
34Deux exercices sont évalués. Ces exercices consistent à composer des images en ligne. Dans un cas, la composition est un panneau-réclame dans lequel l’étudiant joue avec trois éléments avant de les mettre en place ; dans l’autre, cela consiste à équilibrer une composition de pastilles que l’on peut faire varier en couleur et en grosseur.
35Ces exercices sont comptabilisés pour 10 points chacun ; le premier se situe au Module 3 et le deuxième au Module 8.
Un petit essai
36Un petit essai critique est aussi comptabilisé pour 20 points. Cet essai se situe au Module 6. Comme les exercices, il est corrigé par le tuteur.
37L’essai est acheminé par l’étudiant grâce à un formulaire. Dans une banque d’images fournie à même le formulaire, l’étudiant sélectionne trois images qu’il analyse selon certains critères. Il rédige alors son texte dans le champ prévu à cet effet. Une fois le formulaire complété, il clique et son travail est déposé sur le serveur où le correcteur peut le récupérer après en avoir été avisé automatiquement.
La participation au Forum
38La participation au « Forum par courriel » compte pour 10 points. Il faut avoir fait au moins 10 messages pour pouvoir atteindre la note maximale. Le critère de base est toutefois la qualité. La qualité est présente lorsque l’étudiant s’exprime sur la matière du cours. Plusieurs types d’intervention peuvent se dessiner :
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une perspective complémentaire aux connaissances présentées dans le cours ;
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une réaction à un point spécifique tel que suggéré dans une des sections d’un Module ;
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une opinion personnelle solidement défendue ;
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une répartie consistante à une intervention d’un camarade.
39Le professeur s’explique : « Un message de qualité comportera une idée clairement exprimée et avec suffisamment d’arguments pour constituer une intervention de niveau universitaire : par exemple, elle citera un auteur avec des passages verbatim suivis du jugement critique de l’étudiant, elle fera état d’une expérience personnelle dans des mots bien choisis, elle présentera de nouvelles sources documentaires (éventuellement trouvées sur Internet) avec les références exactes, ainsi de suite. »
40L’ensemble totalise 100 points.
Et le professeur là-dedans ?
41Le professeur reste un agent des plus importants. Son intervention doit être continue, voire, quotidienne. Chaque jour, il lui faut prendre connaissance des dizaines de messages et y répondre.
42Le professeur doit stimuler ses troupes, relancer le débat, rectifier les erreurs répétées sur le Forum, fabriquer de nouveaux exemples visuels, rédiger de nouveaux éclaircissements, ainsi de suite. Son rôle comme motivateur est indispensable pour que les étudiants cheminent, se sentent supportés, encadrés. Il faut encourager les moroses, féliciter les protagonistes exceptionnels, bref, il lui faut jouer à fond son rôle de pédagogue.
43Mais une classe de 300 personnes n’est-elle pas moins efficace qu’une classe de 30 étudiants ? La vraie question dans l’environnement universitaire actuel est : une section de 300 étudiants en salle est-elle plus efficace qu’une classe virtuelle de 1 000 personnes ? Je réponds « non ».
44Pour me soutenir dans mon enseignement, j’ai besoin, comme pour un cours en salle, d’assistants pour les corrections, et comme dans un laboratoire, de tuteurs. Mais j’ai aussi un important besoin d’un assistant informatique pour assurer entretien du serveur, gestion de l’espace disque, back-up, conciliation des fichiers, mise à jour des liens, correction des bogues relevés en cours d’activité, remise à zéro des CGI, etc.
45Mais à tout moment, je peux obtenir une image de la progression de la classe : combien d’étudiants ont complété chacun des modules, combien ont acheminé leur exercice, etc. avec la note moyenne de la classe pour chaque évaluation. Bref, dans ComViz, le professeur dispose d’un meilleur suivi de la progression de sa classe que dans une salle.
Qu’en pensent les étudiants ?
46Le cours est évalué chaque trimestre par des questions fermées mais en laissant place à des commentaires.
47Une jeune fille : « J’ai terminé le Module 10 et par le fait même le cours ComViz. Je dois dire que je ne regrette pas mon expérience et que j’ai adoré cette manière de fonctionner. Selon moi, plusieurs cours devraient être donnés ainsi. C’est vrai, pas besoin de se rendre à l’université. On va à notre rythme. Si on a besoin de précisions, on peut contacter le professeur. Je ne vois que des avantages à ce cours. De plus, on a notre évaluation immédiatement. »
48Un garçon : « Je crois que c’est le seul cours où j’ai vu les étudiants faire part de leurs commentaires aussi ouvertement. C’est très enrichissant et divertissant que de communiquer aux autres des informations nouvelles. »
49Un jeune homme : « J’aimerais vous dire que j’aime beaucoup ce cours. Le contenu est intéressant, enrichissant et très bien structuré. De plus, je me surprends à aimer la formule “Internaute”. Je crois que c’est une formule qui a de l’avenir, qu’on le veuille ou non. »
50Une jeune femme de l’extérieur : « La formation à distance est très avantageuse lorsque l’on habite dans des régions éloignées et que nous sommes attachés par un travail et des enfants. »
51Si on fait la synthèse des évaluations de l’enseignement, on retrouve chaque trimestre deux points clairement exprimés par les étudiants :
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Le professeur est plus disponible qu’en salle.
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Je connais mes camarades mieux que je ne les connais dans les cours dispensés en salle.
52À la fin du cours, les étudiants sont heureux (et surpris !) de se voir offrir leur attestation de succès, en ligne et avec leur nom y inscrit. Et nombreux sont ceux qui s’amusent à en sortir une copie couleur sur leur imprimante. Enseigner par Internet, c’est une nouvelle manière de créer un milieu d’apprentissage plus proche de l’enseignement tel que l’entendait Socrate. Et qui nous éloigne d’autant de l’enseignement des universités actuelles, supermarchés de diplômes « en cannes ».
Pour citer cet article
Référence papier
Claude Cossette et Michel Tremblay, « ComViz », Communication, vol. 19/1 | 1999, 161-169.
Référence électronique
Claude Cossette et Michel Tremblay, « ComViz », Communication [En ligne], vol. 19/1 | 1999, mis en ligne le 01 août 2016, consulté le 19 mars 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/communication/6204 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/communication.6204
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