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Informations aux auteurs

À propos

Fondée en 1975, Communication est une revue avec comité de lecture (expertise en double aveugle) et se situe dans le champ de la communication médiatique ou médiatisée. Elle se veut une revue généraliste, un carrefour de diffusion des recherches faisant référence à différentes traditions scientifiques des sciences de l’information et de la communication sur les rapports décloisonnés entre les processus de production et les contenus dans les médias, traditionnels et marginaux et leurs appropriations individuelles et collectives sur les plans sociopolitiques et socioculturels.

Communication est reconnue par le Conseil national des universités (CNU) comme étant une revue qualifiante du champ des sciences de l’information et de la communication (SIC) – 71e section du CNU.

Communication est publiée avec le soutien du Département d’information et de communication de l’Université Laval et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) du Canada.

Depuis janvier 2011, les numéros de la revue sont publiés exclusivement en version électronique sur la plateforme d’édition numérique Revues.org.

Les noms des index et des agrégateurs qui citent la revue : DOAJ (Directory of Open Access Journals) ; Base (Bielefield Academic Search Engine) ; EZB (Elektronische Zeitschriftenbibliothek) ; Google Scholar ; Journal TOCs ; Mir@bel ; New Jour ; Sudocé WorldCat (OCLC). Elle est également visible dans les bases de données utilisées en bibliothèques : AtoZ (EBSCO) ; 360 Core (Serials Solutions) ; SFX (Exlibris) ; LinkSolver (Ovid) ; Repere; Communication & Mass Media Complete ; Communication Abstracts ; Current Abstracts ; Political Science Complete ; SocINDEX with Full Text ; CSA Sociological Abstracts (Cambridge Scientific Abstracts) ; CSA Worldwide Political Science Abstracts ; Professional ProQuest Central ; ArticleFirst ; CSA Linguistics and Language Behavior Abstracts ; CPI.Q (Canadian Periodical Index) ; InfoTrac Custom. Ainsi que dans les outils de découverte : EBSCO Discovery Service ; Summon (Proquest) ; Primo Central (Exlibris) ; Swetswise (Swets).

Droit d’auteur

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Les textes publiés sur le site de la revue Communication sont sous la licence Creative Commons Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Pas de modification (CC BY-NC-ND). En d’autres mots, les auteurs gardent la paternité de leur œuvre et n’en autorisent ni la commercialisation ni la modification.

Les internautes utilisant publiquement les documents accessibles sur le site de Communication s’engagent à respecter les obligations suivantes :

  • Citer le nom de l’auteur original de la manière indiquée par l’auteur de l’œuvre ou le titulaire des droits qui confère cette autorisation ;

  • Ne pas utiliser cette création à des fins commerciales ;

  • Ne pas modifier, transformer ou adapter les contenus, y compris sous forme de traduction.

Autorisation à publier

Puisque les textes sont diffusés sous la licence Creative Commons, une autorisation à publier doit être dûment signée (un courriel dûment identifié pouvant en faire foi) et envoyée à la revue avant publication.

Cette entente stipule notamment que :

  • Le comité de rédaction respecte la paternité de l’auteur de l’œuvre, la non-commercialisation sans autorisation préalable ;

  • L’auteur s’engage à ne publier ce document sous aucune autre licence que celle précisée plus haut : Creative Commons (CC BY-NC-ND) ;

  • L’auteur garantit que son texte est inédit, exception faite des extraits empruntés à d’autres œuvres ou illustrations pour lesquels les autorisations de reproduction ont été obtenues ;

  • L’auteur confirme par ailleurs que son texte ne viole aucun droit d’auteur, ni celui d’aucune personne et qu’il ne contient aucune matière scandaleuse, diffamatoire ou confidentielle susceptible d’enfreindre la loi ;

  • L’auteur s’engage à tenir les membres du comité de rédaction indemnes de tous frais, dommages ou autres, découlant de poursuites à ce sujet ;

  • Compte tenu des caractéristiques de la revue, il est convenu que le comité de rédaction pourrait apporter des aménagements à la contribution de l’auteur, sous réserve que ceux-ci lui soient soumis et que le comité de rédaction ait l’accord de l’auteur.

Si le comité de rédaction soupçonne toute forme de plagiat, il se réserve le droit de refuser la publication du texte, de le retirer s’il est déjà publié et d’entreprendre les actions légales qu’il jugera appropriées.

Archives ouvertes

Les auteurs sont autorisés et encouragés à déposer leurs textes avec référence explicite à Communication dans HAL (utiliser le fichier PDF original fourni par la revue) https://hal.archives-ouvertes.fr/

Envoi électronique

Tous les textes (articles, notes de lecture) sont saisis sous Word (Mac ou Mac compatible, doc et docx) et envoyés à revue.communication@com.ulaval.ca. Une confirmation par courriel est retournée à l’auteur au plus tard 10 jours suivant la réception d’un texte.

Politique éditoriale

Tous les textes publiés par la revue Communication, qu’ils soient sollicités ou non, font l’objet d’une première évaluation par le comité de rédaction à l’une de ses quatre réunions régulières (mi-janvier, mi-avril, mi-juillet, mi-octobre). Le comité décide pour chaque soumission soit d’enclencher le processus long d’évaluation soit de retourner le texte à son auteur (demande de corrections mineures ou majeures, ou refus). Selon le cas de figure, il s’ensuit que les échéanciers pour la soumission d’une proposition (article, note de lecture ou dossier thématique) sont fixés

  • À la mi-décembre ;

  • À la mi-mars ;

  • À la mi-juin ;

  • À la mi-septembre.

Les auteurs reçoivent, dans le mois qui suit les réunions régulières, l’avis du comité de rédaction (publication avec ou sans modifications mineures ou majeures, ou refus).

Tous les textes acceptés pour publication sont soumis à une révision linguistique que l’auteur devra valider avant la mise en ligne définitive.

Les articles sont publiés en français et sont accompagnés d’un résumé en français, en anglais et en espagnol et de cinq mots-clés dans les trois langues.

La revue n’accepte pas de recevoir la traduction en français d’un texte déjà publié dans une autre langue. Une exception peut être accordée lorsque le comité de coordination d’un dossier thématique propose la traduction en français d’un texte classique dans le champ de recherche spécifique du dossier. Il faut dès lors obtenir la permission du comité de rédaction de la revue, ainsi que tous les droits de traduction et d’édition requis.

Sur avis favorable du comité de rédaction, la proposition d’article est évaluée en double aveugle par des lecteurs externes à la revue (comité de lecture) dont la réputation dans le domaine visé est reconnue.

L’anonymat est de rigueur : les lecteurs ne connaissent pas l’identité de l’auteur, ni l’auteur celle des lecteurs. La revue communique à l’auteur la décision motivée du comité de rédaction qui décide l’acceptation, demande des modifications, ou prononce le refus. Les fiches à l’aveugle du comité de lecture accompagnent la décision. Même si sa proposition est acceptée, l’auteur peut être conduit à apporter des ajustements (mineurs ou majeurs).

Le retour de la proposition d’article est accompagné d’un résumé en français (maximum, 500 signes ou caractères, espaces non compris), de cinq mots clés et des coordonnées de l’auteur ou des auteurs (fonction, nom du laboratoire, centre de recherche et/ou institution de rattachement, courriel). Une section de remerciements doit informer les lecteurs, le cas échéant, sur les sources de soutien, notamment les sources de financement ayant permis la réalisation de l’étude. Cette section sert aussi aux remerciements des collaborateurs non identifiés comme auteurs. En dernier ressort, le retour des propositions fait l’objet d’une validation par les membres du comité de rédaction.

La revue fait traduire les résumés et les mots-clés en anglais et en espagnol.

Les notes de lecture font la recension ou la critique d’un ouvrage. Il s’agit de faire comprendre au lecteur les limites et l’intérêt d’un ouvrage. Les auteurs doivent se montrer critiques à l’égard des ouvrages, sans crainte d’entrer dans la polémique.

Règles de présentation d’un article

Les articles sont des textes inédits et originaux qui présentent et discutent les résultats significatifs d’un travail de recherche de grande qualité, à caractère théorique et/ou empirique, qu’il soit de facture quantitative ou qualitative. L’approche peut être de nature disciplinaire ou interdisciplinaire. Des formes variées de texte de recherche sont acceptées, que leur style soit plus conventionnel en regard de la tradition scientifique ou qu’il travaille autrement la diffusion du savoir par une écriture plus performative, réflexive ou créative. En ce qui concerne le contenu de l’article, il présente en introduction une problématique qui comprend le but et les objectifs de recherche, pour ensuite exposer une recension des écrits sur le phénomène à l’étude, une présentation des concepts clés qui sous-tendent l’analyse, une description de la méthodologie, une présentation des résultats et une discussion sur leur contribution à la connaissance de même que sur les forces et les limites de l’étude.

La revue n’accepte comme article de fond ni dossier journalistique, ni document de vulgarisation, ni chapitre d’une thèse ou d’un ouvrage.

Nombre de signes (espaces, résumé et références bibliographiques non compris) : 40 000 à 60 000. Les tableaux (par exemple, Excel ou Word) et les illustrations (par exemple, capture d’écran et image en format PNG) sont regroupés dans un fichier annexé. L’auteur indique dans le corps de son article l’emplacement des tableaux et des illustrations.

Ces règles valent tant pour les articles réunis sous un thème que pour les articles « hors thème ».

Règles de présentation d’une note de lecture

Les notes de lecture sont de brefs textes inédits et originaux qui présentent de manière factuelle et descriptive un ouvrage théorique, empirique ou méthodologique récent. À la manière d’un compte rendu critique, la note de lecture se voit bonifiée par une évaluation critique argumentée des forces et faiblesses de la publication recensée, notamment en regard de l’un ou l’autre des critères de pertinence, de cohérence, d’actualité, d’originalité ou d’apport au champ de recherche.

La note de lecture est chapeautée par la référence de l’ouvrage recensé et par les coordonnées de l’auteur de la note (fonction, nom du laboratoire, centre de recherche et/ou institution de rattachement, courriel).

Nombre de signes (les espaces, résumé et références bibliographiques non compris) : 6 000 à 9 000.

Numéro thématique

Bien que le comité de rédaction ne prenne pas en charge les dossiers thématiques, il reçoit et examine avec intérêt tout projet de numéro thématique qui lui est soumis. Sur demande, le comité envoie les informations nécessaires à la préparation d’un projet à soumettre. Si le projet est accepté par le comité de rédaction, se déclenche alors un processus aux responsabilités partagées.

Il revient aux coordinateurs du dossier en collaboration avec leur comité scientifique :

  1. De préparer un appel à contribution, pour lequel ils doivent obtenir l’aval du comité de rédaction ;

  2. De recevoir les propositions (résumés) d’articles, d’en faire une sélection et d’informer les auteurs choisis, dans un délai convenu, une copie de leurs articles directement à la revue.

Il revient au comité de rédaction :

  1. De constituer un comité de lecture pour chaque article soumis ;

  2. De préparer, à la lumière des fiches d’évaluation, un projet d’avis éditorial pour chaque auteur ;

  3. De soumettre aux coordinateurs les projets d’avis ainsi que les fiches d’évaluation.

Il revient aux coordinateurs en collaboration avec leur comité scientifique de donner leur aval aux projets d’avis et d’en informer le comité de rédaction.

Il revient au comité de rédaction :

  1. De faire suivre les avis aux auteurs ;

  2. De recevoir, le cas échéant, les versions modifiées ; 

  3. De transmettre aux coordinateurs une copie de la version modifiée et un comparatif (un document affichant les modifications apportées à la version originale).

Il revient aux coordinateurs en collaboration avec leur comité scientifique de transmettre à la revue leur décision concernant chaque nouvelle version (retour à l’auteur pour nouvelles modifications ou publication). 

Il revient au comité de rédaction :

  1. De donner suite à la décision des coordinateurs et d’en informer les auteurs ;

  2. De soumettre les articles ayant reçu l’aval du comité de coordination à la réviseure linguistique ; 

  3. De procéder à la traduction des résumés et des mots-clés ;

  4. De transmettre aux auteurs la version révisée (linguistique) pour approbation et autorisation à publier ;

  5. De procéder à la mise en ligne des textes (publication).

Consignes rédactionnelles

Les règles générales

Les manuscrits doivent être rédigés dans le traitement de texte Word (ou compatible). L’intégralité du texte doit être rédigée en style Normal.

Le corps de l’article doit être écrit en Times New Roman 12, interligne un et demi, non justifié et les notes de bas de page en Times New Roman 11, interligne simple, non justifié. Ne pas dépasser trois niveaux de subdivision en style Normal (Titre 1, Titre 2, Titre 3).

Aucun retrait ni à gauche ni à droite. Pas de retrait de première ligne. Pas de modification d’espacement avant et après le paragraphe.

Tous les mots d’une langue autre que le français, ou sur lesquels l’auteur veut mettre l’accent, sont mis en italiques (les caractères gras et les soulignés ne sont pas acceptés).

Tous les éléments visuels (schéma, graphique, figure, capture d’écran) d’un texte sont titrés et numérotés au dessus et, s’il y a lieu, la source ou une légende est/sont indiquée(s). Ces éléments sont traités sous forme d’image de type JPEG et sont envoyés dans un fichier séparé. Les graphiques et figures seront transmis par fichier au format JPEG avec une résolution minimale de 600 dpi. Les tableaux sont présentés sous forme de fichier Word (ou compatible) et sont transmis dans un fichier séparé. L’auteur est prié d’indiquer dans le texte leur lieu d’insertion (images et tableaux).

Communication se réserve le droit de refuser la publication d’une figure, d’une image ou d’un tableau qui ne serait pas exempt des droits de reproduction.

Il convient, autant que faire se peut, de limiter le nombre des éléments visuels ainsi que le nombre et la longueur des notes de bas de page et de choisir des titres et des sous-titres courts.

En dehors des bibliographies, les noms propres des personnes sont en lettres minuscules et non en capitales ainsi que les titres de journaux (en italique).

Les citations

  • Elles seront en caractères standards (droits) et entre guillemets dans le corps du texte. Utiliser les guillemets « à la française ». Pour un mot ou un ensemble de mots entre guillemets à l’intérieur d’une citation on utilisera les guillemets “à l’anglaise. Par exemple : « Crab est un personnage “insaisissable, “flou et “trouble : en un mot : nébuleux ».

  • Ne pas utiliser l’italique ni le gras (sauf si le texte original de l’auteur est en italique ou en gras).

  • Citations de trois lignes ou moins toujours entre guillemets français (« … ») et insérées dans le corps du texte. Si la citation dépasse trois lignes, on place la citation en retrait après un retour de chariot sans les guillemets français à l’ouverture et à la fermeture de la citation.

  • Le point final vient après le guillemet fermant.

  • Toute citation dans une langue autre que le français ou l’anglais doit être traduite en note de bas de page, suivie de la mention entre parenthèses (traduction de l’auteur).

  • Renvois bibliographiques dans le texte : entre parenthèses le patronyme du ou des auteurs, virgule, année de publication et, éventuellement, le numéro de page (Bosredon, 1997, p. 27), (Bachimont et Crozat, 2004, p. 65), (Morel et al., 1992, p. 78-79). Ou bien, si le patronyme est syntaxiquement engagé, procéder de la même manière en n’indiquant pas le patronyme entre parenthèses.

  • Toute modification d’une citation (suppression, adjonction, remplacement de mots ou de lettres) par l’auteur du texte est signalée par des crochets droits [...].

  • Dans le texte et dans la note de bas de page, la référence se place entre parenthèses (Nom, année, page). Par exemple, « établir avec le public une communication totale inspirée par la communication interpersonnelle » (Marcotte, 2008, p. 12). Ou encore, « Pour la présente étude, ni l’approche de l’innovation (Akrich, 1992a, 1992b, 1993 ; Callon, 1992 ; Vitalis, 1994) dont les intérêts scientifiques sont centrés sur l’objet technologique […] ».

Les appels de notes de bas de page

  • Utiliser l’appel de notes automatique disponible dans les traitements de textes. Dans le texte, l’appel de note de bas de page se place immédiatement après le mot ou le groupe de mots auquel il se rapporte. L’appel de note précède donc toujours le signe de ponctuation. En fin de phrase, il est suivi du point final. En fin de citation, il se place avant le guillemet fermant.

  • Les notes doivent être numérotées en continu. Éviter la surabondance des notes, soit en nombre, soit en longueur. Les notes de bas de page doivent être utilisées pour des compléments d’informations sur le contenu de la phrase et non pour référencer un article ou un rapport.

  • Utiliser impérativement les chiffres arabes.

  • Supprimer les sauts de paragraphes entre deux notes et au sein d’une même note.

  • Veiller à ce que les appels de notes ne contiennent pas de mise en forme locale.

La typographie

  • En typographie française, il n’y a pas d’espace avant le point et la virgule. Par contre, il y a une espace insécable avant les signes doubles : ( : ) ( ; ) ( ! ) ( ? ) ( $ ) ( % ) ( € ) ( — ). Il y a une espace insécable avant et après les signes doubles ( / ), ( = ) ( - ) et ( + ). Sauf en langue anglaise : (: ) (; ) (!) (?) ($ ) (% ) (€).

  • Les nombres peuvent s’écrire en chiffres ou en lettres. Dans le corps d’un texte, on écrit généralement en toutes lettres ce qu’on appelle communément les nombres ronds, c’est-à-dire les nombres entiers se terminant par un ou plusieurs zéros (cinquante, cent, trois cents, mille, etc.). On écrit aussi en lettres les nombres inférieurs à dix, à condition que l’essentiel du texte ne porte pas sur des données chiffrées. On écrit donc en lettres les nombres de un à neuf ; les autres nombres s’écrivent en chiffres. Toutefois, lorsqu’on cite deux nombres dans une même phrase, dont l’un devrait normalement s’écrire en chiffres, et l’autre, en lettres, on écrit les deux en chiffres. Exemple : « La recherche montre que 7 des 10 personnes interrogées font partie du groupe cible ».

  • Il est préférable d’écrire en lettres la portion d’un nombre qui comporte plusieurs zéros. En fait, ces zéros représentent les noms million et milliard. Exemple : « Le nombre 20 000 000 s’écrit 20 millions ». On doit éviter de commencer une phrase par un nombre écrit en chiffres. On écrit en chiffres les nombres qui sont liés à l’âge, à la date, à l’adresse, aux poids et mesures, à la pagination, aux pourcentages, fractions et nombres décimaux, aux sommes d’argent1.

  • Conformément aux règles du système international des unités (SI), on sépare par une espace insécable les nombres en tranches de trois chiffres, tant dans la partie des entiers que dans celle des décimales : par exemple, 1 000 ; 10 000 ; 100 000 ; 5 890 000.

  • Ne pas oublier l’espace insécable après le p. (p. ).

  • Les parenthèses et les crochets ne comportent intérieurement aucun blanc.

  • Les points de suspension remplaçant le début du texte sont suivis d’une espace ; tenant lieu d’une fin de phrase ou de mot, ils sont collés à la dernière lettre ; mis pour un mot unique, ils sont précédés et suivis d’une espace.

  • Les majuscules doivent être accentuées le cas échéant : À, É, È, Ë, Ê, Î, Ü, Ö.

  • Les caractères italiques sont réservés aux titres d’ouvrages, de revues, de journaux et aux mots étrangers, pour mettre en valeur quelques mots d’un texte et pour les abréviations et les expressions latines : sic, sq., in, id., ibid., op. cit., et al., i.e. Toutefois, laisser en romain : cf., a priori, a posteriori, a fortiori, a contrario.

  • Les sigles écrits en majuscules ne comportent pas de point entre les lettres (par exemple, SNCF au lieu de S.N.C.F.) ; lors de sa première apparition dans le texte, tout sigle doit être décliné.

  • Les sigles très répandus ou se prononçant aisément peuvent être composés comme des noms propres, en bas-de-casse (minuscule), avec une capitale initiale. Par exemple : Assedic, Onu, Unicef.

  • Les acronymes de quatre lettres ou plus se prononçant comme un mot sont déclinés la première fois qu’ils apparaissent et sont écrits en minuscules : les Tice (sans accord).

  • Toponymes : toujours au long (par exemple, Sainte-Hyacinthe et non Ste-Hyacinthe).

  • Titres honorifiques : sans majuscules la plupart du temps (par exemple, président, premier ministre, madame).

Références bibliographiques

Les références sont regroupées en fin d’article ou de note de lecture et classées par ordre alphabétique sous le titre « Références bibliographiques ». Seuls apparaissent les titres consultés dans le corps du texte. Si l’on réfère à deux ou plusieurs publications d’un même auteur d’une seule année, il faut les distinguer en utilisant des lettres minuscules (exemple, 2005a, 2005b, 2005c). Si l’on réfère à une réédition, il faut placer la date la plus récente en premier. Par exemple : ANGENOT Marc (1995/1982), La parole pamphlétaire, Paris, Payot.

En anglais, on ne met pas en majuscule la première lettre de chaque mot significatif d’un titre. Seule la première lettre du titre (et du sous-titre, si applicable) est en majuscule. S’il s’agit d’un ouvrage en français, seule la première lettre du titre sera en majuscule ; la première lettre du sous-titre demeure en minuscule. La seule exception concerne les titres de revues en anglais, qui conservent la plupart du temps la première lettre de chaque mot significatif en majuscule.

Jusqu’à sept auteurs, mentionner tous les noms d’auteur dans la référence en bibliographie et dans le corps du texte. À partir de huit auteurs, inscrire les six premiers, suivi de points de suspension, puis du dernier auteur cité.

Si la référence a déjà été donnée et se trouve à proximité dans le corps du texte ou dans la note immédiatement précédente, écrire ibid. suivi de la référence de la page. Par exemple, (ibid., p. 145). Si la référence a déjà été donnée et ne se trouve pas à proximité dans le corps du texte ou se trouve dans une note non immédiatement précédente, écrire le nom de l’auteur, op. cit. suivi de la page. Par exemple, (Sfez, op. cit., p. 168).

Article

NOM Prénom (année), « Titre de l’article », Titre du périodique, volume(numéro), pages.

  • PATRIARCHE Geoffroy (2008), « Publics et usagers, convergences et articulations », Réseaux, 1(147), p. 179-216.

  • DAMIAN Béatrice, Cégolène FRISQUE et Eugénie SAÏTTA (2009), « Le journalisme au prisme du genre, une problématique féconde », Questions de communication, 15, p. 111-127.

  • DAHLGREN Peter (2006), « Doing citizenship. The cultural origins of civic agency in the public sphere », European Journal of Cultural Studies, 9(3), p. 267-286.

NOM Prénom (année), « Titre de l’article », Titre du périodique, volume(numéro), http ou DOI, page consultée le (date et année).

  • BRESSON Maryse (2014), « La participation : un concept constamment réinventé. Analyse sociologique des enjeux de son usage et de ses variations », Sociologies. Revue de l’Association française de sociologie, http://socio-logos.revues.org/2817, page consultée le 4 décembre 2015.

NOM Prénom (année), « Titre de l’article », Titre du journal, date, pages.

  • BENESSAIEH Karim (2009), « Lock-out au Journal de Montréal. Quebecor durcit ses demandes », La Presse, 16 décembre, p. A14.

NOM Prénom (année), « Titre de l’article », Titre du journal, date, http. Ou DOI, page consultée le (date).

NOM Prénom (année), « Titre de l’article », Titre du magazine, date, numéro, pages.

  • SENDER Elena (2008), « Nouvelles découvertes sur le rêve », Sciences et avenir, juin, 736, p. 56-67.

  • CORNIOU Marine (2014), « Voyage au pays de l’abstrait », Québec Science, avril-mai, p. 30-33.

NOM Prénom (année), « Titre de l’article », Titre du magazine, date, http ou DOI, page consultée le (date).

Chapitre

NOM Prénom (année), « Titre », dans Prénom NOM, Titre de l’ouvrage, lieu, éditeur, coll. « titre », pages.

  • VEDEL Thierry (1994), « Sociologie des innovations technologiques et usagers : introduction à une socio-politique des usages », dans André VITALIS (dir.), Médias et nouvelles technologies. Pour une socio-politique des usages, Rennes, Apogée, p. 13-34.

  • BOYD Danah (2008), « Why youth social network sites: The role of networked publics in teenage social life », dans David BUCKINGHAM (dir.), Youth, Identity and Digital Media, Cambridge (MA), MIT Press, p. 119-142.

Livre et numéro spécial de revue

NOM Prénom (année), Titre de l’ouvrage, lieu, éditeur, coll. « titre » (s’il y a lieu).

  • ANGENOT Marc (2008), Dialogues de sourds. Traité de rhétorique antilogique, Paris, Mille et une nuits.

  • MARCHAND Pascal (1998), L’Analyse du discours assistée par ordinateur. Concepts, méthodes, outils, Paris, Armand Colin, coll. « U ».

  • BANAJI Shakuntala et David BUCKINGHAM (2013), The Civic Web. Young People, the Internet, and Civic Participation, Cambridge, MIT Press.

NOM Prénom (dir.) (année), Titre de l’ouvrage, lieu, éditeur, coll. « titre » (s’il y a lieu).

  • BONFILS Philippe, Philippe DUMAS et Luc MASSOU (dir.) (2015), TICE & multiculturalités. Usages, publics et dispositifs, Nancy, Éditions Universitaires de Lorraine, coll. « séries actes ».

NOM Prénom (coord.) (année), « Titre de l’ouvrage », Titre de la revue, volume(numéro).

  • BADOUARD Romain et Clément MABI (coord.) (2015), « Controverses et communication », Hermès, 73.

Traduction

NOM Prénom (année), Titre de l’ouvrage, traduit de (la langue) par Prénom NOM, lieu, éditeur, coll. « titre » (s’il y a lieu).

  • GOFFMAN Erving (2009/1973), La mise en scène de la vie quotidienne. Les relations en public, volume 2, traduit de l’anglais par Alain ACCORDO, Paris, Minuit, coll. « Sens commun ».

Mémoire et thèse

NOM Prénom (année), Titre de l’ouvrage de la thèse ou du mémoire, thèse/mémoire sous la direction de Prénom NOM, ville, nom de l’université.

  • MARCOTTE Philippe (2008), Le discours de légitimation des journalistes québécois : l’idéologie à l’œuvre, mémoire de maîtrise sous la direction de Jean CHARRON, Québec, Université Laval.

  • HUËT Romain (2008), Les dynamiques sociales entre acteurs ou organisations lors des processus d’engagement : le cas des chartes et codes de conduite, thèse de doctorat sous la direction de Pierre DELCAMBRE, Lille, Université Lille 3.

NOM Prénom (année), Titre de la thèse ou du mémoire, thèse/mémoire sous la direction de Prénom NOM, ville, nom de l’université, http, page consultée le (date et année).

  • SIMARD-HOUDE Mélodie (2015), Le Reporter, médiateur, écrivain et héros. Un répertoire culture (1870-1939), thèse de doctorat en études littéraires sous la direction de Guillaume PINSON et Marie-Ève THÉRENTY, Québec/Montpellier, Université Laval/Université Paul Valéry, http://www.theses.ulaval.ca/2015/31764/, page consultée le 8 mars 2016.

Encyclopédies et dictionnaires

NOM Prénom (année), « Entrée », Titre. Tome. Sous-titre, lieu, maison d’édition, coll. « » (s’il y a lieu), pages, http, page consultée le (date).

Rapport de recherche

De façon générale, on cite un rapport de recherche de la même façon qu’un livre, avec la distinction suivante : si le rapport possède un numéro spécifique, inscrire ce numéro entre parenthèses immédiatement après le titre qui n’est pas mis en italique.

Publication gouvernementale, institutionnelle ou organisationnelle

De façon générale, on cite une publication gouvernementale de la même façon qu’un rapport de recherche.

Wikipédia et autres wikis

Entrée consultée (année), Titre, http, page consultée (date).

Entrevue ou reportage audio ou vidéo en ligne

NOM Prénom (année), « Titre », Titre de l’émission, date en année de diffusion, durée, http, page consultée le (date et année).

Communications présentées à des congrès ou des conférences

NOM Prénom (année), « Titre de la communication », Actes du colloque Titre, organisme ou association, lieu, pages.

  • OLLIVIER Bruno (2012), « Limites des analyses conversationnelles dans les usages web. Des risques d’une naturalisation des technologies », Actes du colloque Organisations, performativité et engagement, 80e congrès international ACFAS, Montréal, Palais des congrès, p. 77-86.

  • BANDARI Roja, Sitaram ASUR et Brenardo HUBERMAN (2012), « The pulse of news in social media: Forecasting popularity », Actes du colloque ICWSM, http://www.aaai.org/ocs/index.php/ICWSM/ICWSM12/paper/download/4646/4963, page consultée le 2 mars 2015.

Films et enregistrements vidéo, vidéo en ligne

Les mentions de responsabilités principales pour les films incluent généralement les directeurs, les producteurs, les réalisateurs, les scénaristes et les écrivains.

NOM Prénom (producteur), Prénom NOM (réalisateur) et Prénom NOM(scénariste) (année), Titre du film [Type de contenu], Lieu de production, Studio ou compagnie cinématographique. 

  • BOUVAREL Alain, Richard MARTIN et Pierre H. TREMBLAY (réalisateurs) (2001), Les antidépresseurs : un entretien avec Henri Lôo [film documentaire], Montréal, CECOM.

  • PROVOST Gilles (reporteur) et Chantal Théorêt (réalisatrice) (2003), « Le sommeil et la mémoire » [reportage], Découverte, Montréal, Société Radio-Canada.

  • TVOPARENTS (2010), Why is bonding with baby important? [vidéo en ligne], http://www.youtube.com/watch?v=C6fY6RchNk4&feature=fvsr, page consultée le 9 mars 2016.

Notes

1 Adapté des règles présentées par la Banque de dépannage linguistique. [En ligne]. http://www.oqlf.gouv.qc.ca/ressources/bdl.html. Page consultée le 24 mars 2016.

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