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Communication télévisuelle et politique

Catherine Ghosn
p. 159-167

Texte intégral

1La télévision, comme objet d’analyse sur le média audiovisuel, s’étend sur un domaine d’activités large et riche en approches scientifiques. Mais limitée au champ de la communication télévisuelle et de la politique, elle demande à affiner le découpage conceptuel pour en relever les caractéristiques essentielles, sachant qu’on exclut ici le thème de la représentation de la ou du politique à la télévision.

2Trois ouvrages de référence constituent notre corpus d’étude pour définir la problématique, leur particularité résidant dans la méthodologie employée. Il s’agit des Informations télévisées de Marlène Coulomb-Gully (1995), Le journal télévisé d’Arnaud Mercier (1996) et L’État et les médias de Monique Dagnaud (2000), la première étant fédérée par une approche communicationnelle, la seconde étant reliée à un axe sociopolitique et la troisième à un axe à la fois sociologique et institutionnel, en raison de la double expérience dans ce domaine. Ils permettent de formuler l’interrogation suivante : quels sont les éléments pris en compte dans la déclinaison que connaît la télévision dans son évolution avec les instances politiques ?

  • 1 Le politique, d’après l’auteure, « désigne un mode d’exercice du pouvoir et le moyen d’assurer la l (...)

3Le terme « politique » a été décliné à divers modes. Coulomb-Gully définit la politique comme une acception renvoyant « à un ensemble de pratiques relevant du politique1 et se joue davantage sur le court terme » (2001 : 13). Dominique Wolton, pour qui la « politique est inséparable de la communication », tente une fusion de ces deux pratiques avec une définition qu’il qualifie lui-même de restrictive (1995 : 107). J. Mouchon appréhende lui aussi la « communication politique », mais dans les transformations qu’elle subit sur les débats publics. On pourrait encore continuer à conjuguer ces différentes approches pour montrer dans quel contexte, englobant ou sectoriel, la politique est abordée.

4Pour notre part, nous nous inscrivons dans une perspective purement institutionnelle, où les instances politiques et ceux qui les dirigent décident de la pratique structurelle de la communication télévisuelle.

5Il faut tout d’abord proposer une définition de la communication télévisuelle. On choisit de rapporter les termes de Guy Lochard et de Jean-Claude Soulages qui en dégagent trois traits distinctifs (1998 : 25). Tout d’abord, les paramètres techniques qui intègrent les nombreux dispositifs technologiques (importance des régies, liaison par satellites, etc.). Ensuite, les modalités de diffusion, et plus particulièrement le changement de temporalité induit par les possibilités du direct (accélération et synchronisation de la communication, ou des différentes communications selon un même rythme). Puis, la dimension esthétique et langagière du média audiovisuel qui permet d’étudier les procédés du discours audiovisuel et les élaborations dont il est l’objet.

6La communication télévisuelle a toujours été fédérée par une politique dont l’autorité s’est différemment faite ressentir au cours des années. La présence et la pression plus ou moins fortes de cette instance ont donné la couleur et la tonalité du paysage audiovisuel. La question qui porte sur la méthodologie empruntée fait apparaître trois principes différents dans le corpus étudié. Les orientations, significatives des divers angles par lesquels la communication télévisuelle a été abordée dans son rapport avec les contingences politiques, présentent un intérêt particulier.

7L’ouvrage de Coulomb-Gully choisit de rattacher l’histoire du journal télévisé à l’histoire en général de la télévision française, parce que l’auteure veut mettre en évidence le contrôle direct du politique et la mainmise sur les organes d’information. L’histoire de la télévision s’inscrit aux prises avec le pouvoir dans le temps, ce qui permet de mesurer le caractère indissociable existant entre le média et la politique. On privilégie ici deux angles majeurs. Tout d’abord les changements de nom et de fonction de ce qui auparavant s’appelait la RTF (Radiodiffusion Télévision Française), et un découpage par décennie où sont étudiés les divers soubresauts qu’a connus la télévision sous les différents mandats présidentiels.

8La RTF se voit confier en 1945 par l’État ce qui touche aux télécommunications, mais subit un premier changement en 1964. La radio et la télévision passent alors de « l’autorité du Ministre » à sa « tutelle », et devient l’ORTF (Office de Radiodiffusion Télévision Française). Mais,

l’autonomie dont jouirait l’Office par son nouveau statut est démentie par son contenu même : les directeurs et directeurs adjoints sont nommés par le gouvernement (se succèdent à ce poste ceux de la « bande à Peyrefitte »), le conseil d’administration n’est pas élu et a des moyens d’action à la fois flous et faibles (1995 : 25).

9L’évolution des conseils, des lois et des règlements qui balise l’histoire de la télévision est bien sûr étroitement reliée à la personnalité même de l’homme politique en place à ce moment-là. Le général de Gaulle y laisse notamment le premier sa marque, en raison de la mise en place d’un nouveau régime et de la « question algérienne ». Estimant que la presse lui est défavorable, il s’approprie le média télévisé pour y placer les plus proches de ses collaborateurs.

10Le ministre de l’Information, Alain Peyrefitte, instaure en 1963 le SLII (Service de Liaison et d’Information Interministériel). Si celui-ci est censé coordonner les services de presse des différents ministères et régulariser les informations à l’intention des autres médias, il est davantage évoqué en termes de censure et de contrôle. Par contre, les années 1970 voient, sous le mandat de George Pompidou et du premier ministre Jacques Chaban-Delmas, une détente, une « ouverture », avec une nouvelle configuration du paysage audiovisuel. En effet, le statut de l’ORTF change en se trouvant sous la responsabilité du premier ministre, ce qui a pour effet de supprimer la fonction de ministre de l’Information. Avec Valéry Giscard d’Estaing, l’ORTF éclate en plusieurs sociétés marquant une progression vers la « libéralisation de l’audiovisuel », qui connaît un aboutissement riche en changements dans les années 1980. L’arrivée de la gauche au pouvoir amène la mise en place de la création d’une instance de régulation extérieure, le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA), et la fin du monopole de l’État. Le nouveau gouvernement fait jouer les intérêts privés qui vont donner naissance à quatre chaînes privées : Canal+ (1984), la Cinquième et la Sixième chaînes (1986), et la privatisation de TF1 (1986).

11Le caractère particulier de l’étude réside dans la méthodologie employée, puisque est privilégiée ici une analyse thématique — l’évolution et les changements de fond ou de forme dont le journal télévisé a été l’objet, aux prises avec les présidents de la République — d’après une perspective historique, suivie de manière chronologique (des années 1950 aux années 1980). Les principaux points traités, outre ceux relatifs au journal télévisé durant les différents mandats, se rattachent aux aspects suivants :

Tableau 1. La télévision sous les mandats présidentiels

Tableau 1. La télévision sous les mandats présidentiels

12Mise en forme selon cet axe classique, la télévision apparaît ainsi comme l’une des préoccupations centrales du pouvoir parce qu’elle représente l’organe essentiel de diffusion de l’information, média le plus apte à sensibiliser un large public. C’est ainsi que le rapport politique/communication télévisuelle, plus ciblée encore par le filtre du journal télévisé, a pu être appréhendé pour mettre en évidence la mainmise politique et son évolution. La structure analytique constitue une des méthodes les plus significatives de la médiatisation des politiques, dans la forme et dans le fond. Elle permet de développer une double perspective, unifier l’étude de la télévision (sous l’angle du journal télévisé) d’une part, et en proposer une caractérisation synthétique d’autre part.

13Cette première orientation se déploie davantage selon la perspective Arène–Territoires, pour reprendre la typologie de André Gosselin (1995 : 17), soit selon un axe vertical.

Les arènes de la communication politique sont constituées par l’ensemble des dispositifs, des formules, des cadres, des règles et des stratégies qui définissent les situations d’interaction où les discours des acteurs politiques peuvent se confronter, se diffuser publiquement et s’évaluer. C’est le domaine des activités politiques qui tendent vers l’agir communicationnel (1995 : 18).

14En effet, on est bien conscient ici que la prise en compte du média télévisuel par les politiques vise à toucher le territoire (dans le sens géographique ou sectoriel). La télévision se trouve dépendante des facteurs « organisationnels, structurels et contextuels » politiques.

15Si « l’axe horizontal », davantage relié aux notions d’action/réception, n’est pas développé, il apparaît davantage comme un composant fondamental pour d’autres types d’études. C’est l’approche que privilégie Mercier en favorisant une orientation plus critique sur l’objet télévisuel et sur les paramètres contextuels. Voulant étudier les logiques du traitement de l’information politique au journal télévisé, son analyse est motivée par un axe sociopolitique qui s’interroge sur les raisons remettant en cause le journalisme de télévision et sur la place de ce mode d’information devenu dominant dans le « fonctionnement démocratique ».

16La différence avec la première étude relevée se trouve dans l’intérêt accordé aux relations entre les journalistes et les hommes politiques à travers le « prisme des logiques professionnelles et axiologiques de recherche d’une légitimité collective ».

17Tout en suivant l’établissement du pouvoir sur la télévision par les politiques selon un axe chronologique s’étendant de 1949 à 1988, on est sensible à l’utilisation stratégique du média.

Par l’information en images et en son, le pouvoir politique espère retrouver des moyens d’action sur l’opinion qu’il avait perdus dans la presse écrite. L’ampleur du public touché en un seul message suffit aux gouvernements pour vouloir cet outil afin d’en faire leur moyen de communication privilégiée avec le peuple (1996 : 38).

18Le premier intérêt de son étude réside dans l’originalité de sa démarche. Elle consiste à mettre sur un même axe horizontal les procédures et les actions des hommes politiques, reliées non pas à un, mais à deux types de réception bien différentes. En effet, la première est d’ordre public, puisqu’il s’agit de l’audience et des téléspectateurs en général. Et la seconde est d’ordre professionnel, puisqu’elle concerne essentiellement les professionnels et les journalistes de télévision. La réception reste un outil fondamental dans la prise en compte de l’étude médiatique, parce que considérée de manière intrinsèque et détachée de son contexte de production, elle ne prend pas de réelle mesure. Même si la réception est évaluée de manière quantitative, elle représente pour nombre de chercheurs une référence non négligeable. Il s’agit en tout cas ici d’un argument majeur de l’évolution qu’ont connue les journalistes vis-à-vis des politiques, « en quête d’autonomie ». Le rapport confidentiel de mai 1971 par l’Institut SOFRES met en évidence les « obstacles à la présentation de l’information politique télévisée », et leurs raisons (Mercier, 1996 : 55). Les directions de la chaîne favorisent la culture de masse, et les journalistes adoptent cette stratégie, voyant dans « l’adoption de ces logiques d’audience le moyen d’aller vers une professionnalisation accrue et vers une certaine autonomisation vis-à-vis du pouvoir politique ». Par ricochet, l’attitude des politiques rebondit à la fois sur le public et sur les journalistes.

19Cette approche demande donc à traiter les « multiples contradictions » que rencontrent les journalistes, pris entre les feux croisés à la fois du public et des hommes politiques (ou de l’appareil étatique en général). On développe ici une double perspective. Tout d’abord, la notion de « gestion » relative au récepteur, à l’audience, et ensuite celle d’une perspective axiologique, traitant du travail du journaliste et de sa « mission » au service du public, tout comme de sa « neutralité idéologique ».

20Le second intérêt de cette étude réside dans la déclinaison de l’acception « politique ». En effet, si elle est conjuguée de manière tout à fait formelle, chronologique, dans la mise en évidence des dates-clés reliées aux événements majeurs de la télévision (la politique officielle telle qu’on la connaît), elle prend en compte un paramètre moins traité par ailleurs. Soit la politique telle qu’elle est officieusement pratiquée dans les coulisses de la télévision, entre les journalistes et les hommes politiques. Ces deux types de professionnels entretiennent une logique de procédure, parce qu’ils visent un même objectif, sensibiliser un large public en termes de sympathisants ou d’audimat, par le même média. La « nécessaire coopération » dans laquelle ils sont engagés apparaît comme incontournable et repose sur des principes tacites et officieux bien précis. Il ressort de leur « contrat » implicite plusieurs traits distinctifs qui se déclinent en ces termes. Outre la coopération incontournable qu’ils doivent opérer, ils cherchent tous deux à consolider leur notoriété. Le politique, en essayant d’être médiatisé pour être reconnu comme tel dans le paysage institutionnel, le journaliste en invitant sur la chaîne une personnalité.

21Si leurs rapports s’énoncent ainsi, ils sont aussi dictés par des « règles tacites ». Le respect de la vie privée fédère en partie l’orientation des interviews, et le journaliste ne dépasse normalement jamais cette limite. L’absence « d’apostrophes personnelles » guide les échanges, car si une familiarité quelconque trahissait leurs « relations personnelles », elle les discréditerait tous deux et dans leur fonction, et dans leur représentativité.

22La particularité de ce travail se trouve donc dans la double déclinaison des points centraux.

Tableau 2. Les axes de réflexion

Tableau 2. Les axes de réflexion

23L’étude met davantage en lumière les procédés professionnels et stratégiques qui se jouent dans les interactions journalistes/politiques, sans encore en souligner toutefois la valeur décisionnelle. Cette partie se retrouve dans l’analyse qu’a menée Dagnaud (2000).

24Le filtre avec lequel l’auteure aborde la politique pratiquée dans le monde audiovisuel s’inscrit dans une dynamique complémentaire à celle que nous venons de présenter. L’orientation relève à la fois de la sociologie et de la pratique institutionnelle. Dagnaud occupait jusqu’en 1991 un poste de chercheur en sociologie, travaillant sur le monde du pouvoir et de l’audiovisuel, au CNRS. Elle remplit la fonction de membre du CSA de 1991 à 1998. L’intérêt et l’originalité de cet ouvrage résident dans la double approche : la sociologue se « confond avec son objet de recherche » et livre sa double expérience. Elle pose la question de la gestion de l’activité télévisuelle au regard des instances économiques et politiques, et explore cette fois les procédés et les mécanismes qui aboutissent à des décisions dont les enjeux sont politiques et économiques. En partant du contexte politico-culturel et du « modèle de régulation » qui caractérise ce domaine, un éclairage plus révélateur se fait sur l’idée de normalisation qui rattache les « élites françaises », ainsi que sur leurs arrêtés, pour en appréhender les conséquences sur « l’offre télévisuelle ». La question est clairement posée sur la manière dont s’opère la confrontation entre les dirigeants des médias et les dirigeants politiques, administratifs dans la mise en place de la politique publique.

25Une telle réflexion basée sur les instances de régulation et de médiatisation ne peut se faire non plus sans une vision plus globale, au sens économique du terme, dans la mesure où les instances pratiquent elles-mêmes leur travail en fonction d’une économie mondialisée. Les hommes travaillant dans ce « milieu dirigeant » agissent aussi comme des gestionnaires aux commandes d’une industrie complexe où ils rivalisent de pouvoir. Leurs intérêts croisés motivent des alliances ou des conflits successifs, mais se jouent dans un espace tellement serré qu’ils contribuent à la création d’un « univers endogame ». Ainsi, journalistes et politiques tissent un rapport particulier suffisamment développé chez Mercier, mais possèdent aussi un impact décisionnel particulier. On le voit précisément lors de l’affaire houleuse concernant Jean-Pierre Elkabbach avant sa démission, et Jean-Luc Delarue, qui touche à des points aussi importants que la chaîne publique (avec France 2), les contrats du service public, la mise en cause d’un système politique audiovisuel, le cahier des charges des chaînes publiques… l’histoire ayant été largement couverte par la presse, trouvant là un sujet sensible. Jean-Pierre Elkabbach, Jean-Luc Delarue figurent, parmi d’autres personnalités, comme des cibles répréhensibles peut-être, mais en tout cas récupérées par les instances politiques de la télévision, quel que soit le cours des événements.

Épilogue : octobre 99, J.-P. Elkabbach est désigné par François Poncelet pour présider la chaîne parlementaire du Sénat […]. La mémoire de presse, et celles des responsables politiques, ont enterré l’hallali de 1996, le journaliste qui a repris sa place dans les journaux du matin d’Europe 1 n’est plus proscrit ; fin 1998, lors d’une cérémonie peuplée de dignitaires de tous bords et de l’élite du journalisme audiovisuel, il a reçu la légion d’honneur des mains d’Hubert Védrine […]. Par ailleurs, Jean-Luc Delarue présente sur France 2 un magazine à succès, Ça se discute. Il est toujours animateur et producteur (2000 : 56).

26L’approche critique appréhende d’abord le thème de l’État et des médias en les mettant de manière explicite sur un même paradigme institutionnel et interactif. Elle progresse de la communication télévisuelle à son cadre culturel et juridique, en examinant la question des contenus. Le pluriel est ici révélateur, dans le sens où il appuie sur la difficulté à réduire la télévision au seul fait de l’économie, de l’information ou de la fiction.

27Déroulée selon un axe vertical où est privilégiée une analyse thématique d’après une perspective historique (Coulomb-Gully), selon un axe horizontal motivé par une orientation politique (Mercier), ou encore d’après une approche « socio-institutionnelle » qui s’interroge sur la gestion de l’activité télévisuelle au regard des instances économiques et politiques (Dagnaud), l’étude sur la communication télévisuelle et la politique révèle un point particulier. Elle détermine une approche analytique plus contextuelle. L’évolution du contenu scientifique de la recherche est principalement due au mouvement suivant : du contrôle politique, la télévision passe à une libéralisation progressive que régissent désormais la privatisation et l’impératif concurrentiel. Du joug politique, l’audiovisuel passe au joug économique.

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Bibliographie

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GOSSELIN, André (1995), « La communication politique. Cartographie d’un champ de recherche et d’activités », Hermès, 17-18 : 17-33.

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LOCHARD, Guy et Henri BOYER (1998), La communication médiatique, Paris, Seuil.

LOCHARD, Guy et Jean-Claude SOULAGES (1998), La communication télévisuelle, Paris, A. Colin.

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SOULAGES, Jean-Claude (1999), Les mises en scène visuelles de l’information, Paris, Nathan.

VIALLON, Philippe (1996), L’analyse du discours de la télévision, Paris, Presses universitaires de France.

WOLTON, Dominique (1995), « Les contradictions de la communication politique », Hermès, 17-18 : 107-124.

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Notes

1 Le politique, d’après l’auteure, « désigne un mode d’exercice du pouvoir et le moyen d’assurer la longévité d’un ordre social » (2001 : 13).

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Table des illustrations

Titre Tableau 1. La télévision sous les mandats présidentiels
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Titre Tableau 2. Les axes de réflexion
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Pour citer cet article

Référence papier

Catherine Ghosn, « Communication télévisuelle et politique »Communication, Vol. 22/1 | 2003, 159-167.

Référence électronique

Catherine Ghosn, « Communication télévisuelle et politique »Communication [En ligne], Vol. 22/1 | 2003, mis en ligne le 08 janvier 2014, consulté le 15 mars 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/communication/4810 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/communication.4810

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Auteur

Catherine Ghosn

Catherine Ghosn est chercheure du Laboratoire d’Études et de Recherches appliquées en Sciences Sociales (LERASS), Toulouse. Courriel : ghosn@lerass.iut-tlse3.fr

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