Texte intégral
1L’aube de l’année 2020 voit donc paraître les quatorzièmes Cahiers de la Mémoire Contemporaine. Et une fois de plus, la matière ne leur a pas manqué en ce qui concerne l’essentiel de leurs orientations.
2Ainsi en va-t-il, sur le plan économique, de la participation des immigrés juifs à l’économie belge sous l’Occupation, ou encore du positionnement complexe d’une entreprise, entre collaboration avec la Wehrmacht et opportunité de survie pour ses ouvriers juifs.
3Les portraits que dressent les articles suivants permettent d’aborder d’autres types de trajectoires : d’abord celle d’une dénonciatrice juive à la solde de la Gestapo, puis celle d’une femme juive habitant Anvers, dont le cas permet d’exposer au niveau local les stratégies disponibles pour éviter la déportation.
4Focus culturels ensuite sur les salons Errera à Bruxelles (1890-1960) et sur le peintre Stéphane Mandelbaum tandis que des Notes de lecture viennent compléter les analyses qui précèdent.
5Bonne lecture.
Pour citer cet article
Référence papier
Albert Mingelgrün, « Avant-propos », Les Cahiers de la Mémoire Contemporaine, 14 | 2020, 9.
Référence électronique
Albert Mingelgrün, « Avant-propos », Les Cahiers de la Mémoire Contemporaine [En ligne], 14 | 2020, mis en ligne le 01 novembre 2020, consulté le 21 septembre 2024. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/cmc/866 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/cmc.866
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