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AccueilClio. Histoire‚ femmes et sociétés35Actualité de la rechercheÉcrits féminins catalans

Actualité de la recherche

Écrits féminins catalans

Bilan et perspectives
Eulàlia Miralles et Verònica Zaragoza
p. 177-190

Texte intégral

Cette contribution s’inscrit dans l’axe de recherche des projets CIRIT, 2009 SGR 808, et MCeI, FFI2009-09630. Merci à Laia de Ahumada, Maria Toldrà et Pep Valsalobre pour leur collaboration.

  • 1 Tavera 2009.

1L’intérêt pour l’écriture féminine antérieure à la fin de l’Ancien Régime va grandissant de façon significative dans l’aire linguistique catalane, en Catalogne, mais aussi dans la Communauté Valencienne et aux Îles Baléares, au moment où l’histoire des femmes se développe et se renforce1. Avant les années 1980, nous savions peu de choses des femmes qui avaient accès à l’éducation et décidaient de prendre la plume ; nous en savons un peu plus aujourd’hui, même s’il reste encore un long chemin à parcourir.

2Pour approcher l’univers des écrivaines féminines médiévales et modernes, nous disposons de différents instruments. Certains d’entre eux sont proprement catalans ; d’autres relèvent du domaine hispanique et recensent principalement des Catalanes qui ont écrit en langue castillane. Dans l’aire linguistique catalane, les langues en usage pour l’écriture sont multiples : celle de la culture est le latin ; celle propre au territoire, le catalan ; et enfin, celle de la monarchie reste le castillan. Nous procèderons à un état de la recherche sur l’ensemble des écrivaines de l’espace territorial catalan, indépendamment de leur langue véhiculaire, en nous concentrant sur leurs écrits ordinaires.

  • 2 Espargaró & Gassó 2006 ; Fuente 2009.

3Avant d’approfondir la question de la littérature personnelle, notons l’existence de sites web, de dictionnaires, catalogues et collections indispensables pour une première approche de l’univers des femmes écrivains. Deux dictionnaires de littérature récents (ndlc62, ndlec), ainsi qu’un dictionnaire biographique de femmes, le Diccionari biografic de dones (dbd) (http://www.dbd.cat/​), se développent sur internet et présentent des biographies succinctes de Catalanes, écrivaines notamment. Le dbd dépend du portail de l’Institut Catalàn de les Dones [Institut Catalan des Femmes] (http://www.gencat.cat/​ icdona/), portail institutionnel de la Generalitat de Catalunya qui propose des portraits de femmes ayant marqué l’histoire de leur pays. Par ailleurs, quelques ouvrages de vulgarisation mettent certaines femmes en lumière, parmi lesquelles de grandes écrivaines, des mécènes, et des intellectuelles telles Isabel de Villena, Juliana Morell, Germana de Foix ou encore Mencía de Mendoza2.

  • 3 Différents portails de l’aire hispanique fournissent des informations sur les écrivaines catalane (...)
  • 4 Otero 1989 ; il existe des traductions françaises et anglaises.

4Mentionnons également les efforts du Centre Dona i Literatura [Centre Femme et Littérature] (http://www.ub.edu/​cdona/​), groupe de recherche de l’Université de Barcelone, à l’initiative de la collection d’essais « Mujeres y culturas » [« Femmes et Cultures »] et éditeur de la revue Lectora. Revista de dones i intertextualitat. Un autre groupe de recherche est rattaché à cette même université, le groupe Duoda. Centre de recerca de les dones [Duoda. Centre de recherche sur les femmes]. Né dans les années 1980, ce groupe publie une revue éponyme et nourrit une bibliothèque de textes et d’images (ixe-xviiie siècle), la Biblioteca Virtual Duoda (bvd), en ligne sur le site http://www.ub.edu/​duoda3. Duoda (ixe siècle), comtesse de Barcelone et duchesse de Septimanie, a rédigé un manuel de vie en latin à destination de son fils aîné Guillem. L’œuvre de Duoda a été publiée en catalan dans la collection « Clàssiques Catalanes » de la maison d’édition La Sal4. L’initiative de La Sal a permis de mettre à la disposition d’un grand nombre de lecteurs des écrits de Catalanes de toutes périodes, des moins connues comme Duoda, Estefania de Requesens ou Anna Murià, jusqu’aux déjà célèbres Isabel de Villena, Caterina Albert (qui signait du pseudonyme Víctor Català) ou Mercè Rodoreda. L’ensemble des textes publiés dans la collection des « Clàssiques Catalanes » a été repris dans les années 1990 par la collection « Espai de dones » [« Espace de femmes »] des éditions de l’Eixample, qui ont publié quelques textes mémorialistiques contemporains. Cet élan se poursuit aujourd’hui à travers une collection consacrée à l’univers féminin, « Capsa de Pandora » [« Boîte de Pandore »], à l’initiative conjointe du Centre d’Estudis Interdisciplinaris de la Dona [Centre de Recherches Interdisciplinaires sur la Femme] de l’Université de Vic et de la maison d’édition Eumo Editorial.

  • 5 Herrero 2009 ; Zaragoza 2010. Il faut aussi prendre en compte des catalogues plus généraux touchant (...)

5Ces dernières années, des répertoires d’écrivaines de l’époque moderne5 ont vu le jour, période traditionnellement laissée de côté par l’historiographie littéraire catalane, mais aujourd’hui exhumée de l’oubli. Cette époque coïncide, de surcroît, avec l’accès généralisé des femmes aux lettres et l’on y trouve un nombre important d’écrivaines ecclésiastiques qui suivent les traces de sainte Thérèse, ainsi que de nombreuses poétesses de circonstance qui ont participé aux concours littéraires, particulièrement en Catalogne.

  • 6 Pinyol 2010.
  • 7 Herrero 2007, 2009, 2010.
  • 8 Escartí 2002.
  • 9 Martí 2004.
  • 10 McNerney, Castillejo & Ortega Trota 2004.

6Concernant les panoramas de l’aire linguistique catalane, signalons l’étude de Pinyol6 dont le point de départ est le poème de la Reine de Majorque et qui présente une grande partie des références connues sur la littérature féminine médiévale et moderne pour ensuite explorer plus précisément le xixe siècle. La communauté valencienne a été un objet d’étude privilégié dans les études générales : outre les travaux d’Herrero7, mentionnons ceux d’Escartí8 et de Martí9. La synthèse de ce dernier traite non seulement des écrivaines – et consacre un paragraphe à l’écriture privée –, mais aussi du contexte culturel dans la communauté valencienne, de la cour de Germana de Foix et de son cénacle, ainsi que d’autres cercles littéraires valenciens antérieurs auxquels participaient des femmes comme Tecla de Borja et Isabel Suaris. Par ailleurs, pour l’île de Majorque, nous disposons d’une approche générale10 dans laquelle est présentée la littérature féminine du début du Moyen Âge à nos jours et qui, bien qu’elle manifeste une préférence pour les xixe et xxe siècles, contient des informations intéressantes sur des femmes ayant écrit entre les xive et xviiie siècles.

7Les écrits ordinaires féminins qui nous intéressent ici sont variés : mémoires personnels et conventuels d’une part, épistolographie, de l’autre. Dans la sphère catalane, les femmes qui décident d’écrire des mémoires personnels sont rares et apparaissent encore moins nombreuses si l’on se risque à une comparaison avec les mémoires masculins. Si l’on élargit les registres scripturaires, on relève d’autres genres, comme les autobiographies spirituelles, parfois dictées et généralement écrites sur ordre du confesseur, ou les éloges funèbres, écrits également dans un environnement conventuel et non rédigés, eux non plus, par leurs protagonistes.

  • 11 Martí 2000 ; Compte 1993.

8Ainsi ne connaît-on que très peu de mémoires personnels féminins, et rares sont ceux qui ont fait l’objet d’études11. De même, les manuels d’éducation, genre pratiqué en majeure partie par des femmes, ont très peu été explorés ; ils contiennent des renseignements autobiographiques et ont été écrits pour un usage exclusivement privé : le cas de Duoda, cité plus haut, en est un bon exemple.

  • 12 Ahumada 2010.
  • 13 Poutrin 1995 ; Álvarez Faedo 2005.

9L’immense majorité des femmes qui prennent la plume pour raconter leur vie et leurs souvenirs avant la fin de l’Ancien Régime, écrivent dans la cellule de leur couvent : ce sont des religieuses – femmes de haute lignée – qui ont accès au privilège de l’éducation et à la pratique de l’écriture12. Plusieurs travaux décrivent le vaste éventail des genres scripturaires où s’épanouit l’écriture féminine religieuse ; ils ont permis de nourrir la connaissance des pratiques et usages en la matière13.

  • 14 Amelang 1990, 1998 et 2005 ; Ahumada 2008.
  • 15 Ahumada 2011b ; Miralles 2010 ; Gras 2010.

10Comme dans le reste de l’Europe, on trouve en Catalogne un nombre important d’autobiographies spirituelles à partir du modèle de sainte Thérèse. Les premières remontent à la fin du xvie siècle et il s’agit, insistons sur ce point, de récits dictés ou rédigés sur commande, loin du caractère strictement privé des mémoires personnels14. À l’intérieur du couvent, les mémoires conventuels sont des œuvres à usage collectif et non privé, même si la collectivité qui y a accès peut être comparée à une famille et le texte qui en résulte à ce que l’on nomme des « livres de famille » ; actuellement, la recherche de ces documents est systématique15.

  • 16 Cahner 1968 ; Vilar 1988 ; Batllori 1998 ; Caballé 2004 ; Anton 2005.
  • 17 Matas et al.  2002.

11Autre champ à prendre en compte et pour lequel fleurissent quelques travaux novateurs, celui des correspondances. Évoquons les lettres privées et non les épîtres littéraires ou de fiction, ces dernières ne constituant pas le cœur de notre propos. Tout comme les mémoires, les lettres ont été assez souvent utilisées comme source historique. Les missives privées contiennent des matériaux biographiques intéressants et expliquent des expériences ponctuelles ; cependant, nous avons parfois la chance de conserver des collections épistolaires plus complètes qui permettent de composer un vrai récit de vie. Ces lettres de femmes sont éditées dans des anthologies de toutes sortes16. Par ailleurs, des fonds épistolaires familiaux contenant des lettres de femmes ont également été inventoriés et étudiés : c’est le cas des très importants fonds de l’Arxiu de Palau des Requesens ou de la correspondance de la famille Torres Amat conservée à la Bibliothèque de Catalogne, mais aussi d’autres fonds plus modestes comme celui des familles Roger et Rosés de Palafrugell17.

  • 18 Vinyoles 1993, 1996, 2000, 2003a, 2003b.
  • 19 Batlle & Vinyoles 2002 ; Vinyoles 2005b.

12Reines, citadines privilégiées (nobles et bourgeoises) et religieuses ont été les premières à avoir accès à la culture écrite. L’historiographie distingue les lettres personnelles de celles qui ont un caractère public. Pour l’univers des missives féminines au Moyen Âge et à la Renaissance, on ne peut ignorer les études de Vinyoles18 qui a exhumé des lettres des familles royales, celles de Serena de Tous, rédactrice à la fin du xive siècle de plusieurs missives à son mari absent, ou bien encore celles de Sança Ximenis de Foix, Violant de Recs et Beatriu de Cabrera, au xve siècle. Vinyoles est l’auteure d’études fondamentales pour comprendre le rôle des femmes dans la Catalogne médiévale19.

  • 20 Bratsch-Prince 2002, 2006.
  • 21 Riquer 1994, Ponsich 2005 ; Piera 2008 ; pour les préoccupations intellectuelles des reines catalan (...)

13La production épistolaire de la reine Violant de Bar, d’origine française, qui a reçu une éducation française et écrit en français, mais aussi en aragonais et en catalan, a attiré l’attention des chercheurs. Les études de Dawn Bratsch-Prince20 sont à cet égard essentielles, même s’il faut en mentionner d’autres consacrées à la personnalité de cette femme21.

  • 22 Batllori 1998.
  • 23 Sanchis Sivera 2001.
  • 24 Gregorovius 2007.
  • 25 Amorós 1982.
  • 26 Pons 1995.
  • 27 La Parra 2002.
  • 28 Morte 2008-2009.

14Sur l’univers des Borja, l’anthologie de Batllori22 peut être complétée en partie par les travaux de Sanchis Sivera23, même si nous devrons attendre l’ensemble du recueil, actuellement en cours d’édition, pour accéder aux missives des femmes de cette influente famille (http://www.elsborja.org/​biblio.php). Sur Lucrecia, il est utile de se reporter à l’édition de Gregorovius24 et, pour les religieuses de Gandía des xvie et xviie siècles, aux études d’Amorós25, Pons26 et La Parra27 ; sur la « sainte duchesse » Lluïsa de Borja, la contribution récente de Morte28 s’impose.

  • 29 Éditions de Guisado 1998 et Ahumada 2003.
  • 30 Ahumada 2001, 2004, 2007, 2009.

15Bien que les épistolières nobles soient nombreuses, rares sont celles qui ont obtenu autant de renommée que la Valencienne Hipòlita Roís de Liori et sa fille, la Barcelonaise Estefania de Requesens, qui ont rédigé leurs missives dans la première moitié du xvie siècle29. Ahumada30 a consacré différents travaux à ces deux femmes et à leur cercle familial immédiat ; elle attire l’attention sur la richesse documentaire du fonds de l’Arxiu del Palau cité plus haut (actuellement au Centre Borja, à Sant Cugat del Vallés, Barcelone).

  • 31 Serra 2007.
  • 32 Sanmartí & Sanmartí 2005.

16D’autres collections de lettres de famille ont également été consciencieusement analysées : celles de Joana Bardaxí i Gassol, membre d’une famille de Tremp, jouissant d’une bonne situation et de relations à la cour31, ou bien celles de la famille des riches commerçants Bardrich32.

  • 33 Ahumada 2011a.
  • 34 Bertran & Casas 1987.
  • 35 Maduell 2003.

17Les lettres écrites par des religieuses forment un autre groupe de correspondance. On peut y lire non seulement des références à leur vie spirituelle ou conventuelle, mais aussi à la manière dont ces femmes entretenaient leurs relations familiales. Récemment, ont été étudiées les lettres de la dominicaine Hipòlita de Jesús, du Monastir dels Àngels i Peu de la Creu de Barcelone33. Les missives de la sainte barcelonaise Joaquima de Verdruna sont, quant à elles, des lettres religieuses ou de famille (1967, 1969). Une vingtaine de lettres de famille de la sœur Maria Raimonda de Sant Josep, écrites en catalan, ont également été éditées ; elles reflètent la vie quotidienne de la famille et du couvent34. Une attention particulière a par ailleurs été prêtée aux lettres de contenu mystique et autobiographique de la capucine de Manresa, Marta Noguera i Valeri, qui écrit pour son confesseur et pour l’évêque de Barcelone35.

  • 36 Daufi et al. 1992, 1995 ; Vinyoles 2005a, 2008.
  • 37 Colesanti 2006.

18L’administration économique (familiale ou monastique) a également laissé des traces d’écrits féminins. Il s’agit majoritairement de documents administratifs où le fil narratif est très peu présent mais qui permettent de comprendre l’organisation et le fonctionnement des maisons et des couvents. Parmi les cas les plus remarquables et les mieux étudiés, figurent ceux de Sança Ximenis de Foix i Cabrera36 et de Caterina Llull37, toutes deux ayant écrit vers le milieu du xve siècle.

  • 38 Jornet 2007.
  • 39 Cusó 2009.

19Le chemin parcouru dans l’étude de la littérature féminine catalane – personnelle ou non – est donc, on le voit, déjà assez long, même s’il reste encore beaucoup à défricher. Il ne fait aucun doute que la recherche de terrain permettra d’élargir la liste des écrivaines médiévales et modernes et le répertoire des écrits privés, ce travail préalable s’avérant indispensable à leur étude et, dans certains cas, à leur édition. Nous sommes face à une tâche difficile, qui a déjà donné ses premiers fruits et en promet bien d’autres dans un avenir proche, à condition de systématiser une méthode de classement des fonds38, préalable essentiel à toute étude scientifique39.

20Les recherches doivent se poursuivre au-delà des fonds publics, ecclésiastiques et privés. Nous avons tout récemment reçu le catalogue de la salle des ventes Soler y Llach du mois d’avril 2011, qui proposait une étonnante collection épistolaire formée de 794 lettres en catalan adressées par différentes prieures du couvent des sœurs Jerónimas de Sant Bartomeu, à Inca (Majorque), entre 1795 et 1867, à leurs supérieurs respectifs. À travers ces missives, dont la thématique est essentiellement économique, les religieuses décrivent des situations quotidiennes et font part de leurs efforts pour assurer les besoins en nourriture de la communauté monastique à travers les années, à une époque où la survie n’était pas facile. Il s’agit là, à n’en pas douter, d’un matériau extraordinaire que, comme bien d’autres, nous devrons étudier.

21Un beau chantier est donc ouvert en Catalogne et la recherche s’annonce passionnante.

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—, 2000, Breve historia feminista de la literatura española (en lengua catalana, gallega y vasca), vol. VI, Barcelone, Anthropos.

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Notes

1 Tavera 2009.

2 Espargaró & Gassó 2006 ; Fuente 2009.

3 Différents portails de l’aire hispanique fournissent des informations sur les écrivaines catalanes :
BIESES. Bibliografía de escritoras espanolas (http://www.uned.es/bieses) ;
Escritoras españolas (http://bib.cervantesvirtual.com/portal/escritorasespañolas/);
et Escritoras y pensadoras europeas (http://escritorasypensadoras.com).

4 Otero 1989 ; il existe des traductions françaises et anglaises.

5 Herrero 2009 ; Zaragoza 2010. Il faut aussi prendre en compte des catalogues plus généraux touchant au domaine hispanique : Galerstein & McNerney 1986 ; Levine, Marson & Waldman 1993 ; McNerney & Enríquez 1994. Pour des modèles d’écriture féminine, voir Zavala 1993-1998 ; Palacios 2002 ; Caballé 2004 et Baranda 2005.

6 Pinyol 2010.

7 Herrero 2007, 2009, 2010.

8 Escartí 2002.

9 Martí 2004.

10 McNerney, Castillejo & Ortega Trota 2004.

11 Martí 2000 ; Compte 1993.

12 Ahumada 2010.

13 Poutrin 1995 ; Álvarez Faedo 2005.

14 Amelang 1990, 1998 et 2005 ; Ahumada 2008.

15 Ahumada 2011b ; Miralles 2010 ; Gras 2010.

16 Cahner 1968 ; Vilar 1988 ; Batllori 1998 ; Caballé 2004 ; Anton 2005.

17 Matas et al.  2002.

18 Vinyoles 1993, 1996, 2000, 2003a, 2003b.

19 Batlle & Vinyoles 2002 ; Vinyoles 2005b.

20 Bratsch-Prince 2002, 2006.

21 Riquer 1994, Ponsich 2005 ; Piera 2008 ; pour les préoccupations intellectuelles des reines catalanes qui ont suivi les traces de Violant de Bar, voir Sabaté & Soriano 2005.

22 Batllori 1998.

23 Sanchis Sivera 2001.

24 Gregorovius 2007.

25 Amorós 1982.

26 Pons 1995.

27 La Parra 2002.

28 Morte 2008-2009.

29 Éditions de Guisado 1998 et Ahumada 2003.

30 Ahumada 2001, 2004, 2007, 2009.

31 Serra 2007.

32 Sanmartí & Sanmartí 2005.

33 Ahumada 2011a.

34 Bertran & Casas 1987.

35 Maduell 2003.

36 Daufi et al. 1992, 1995 ; Vinyoles 2005a, 2008.

37 Colesanti 2006.

38 Jornet 2007.

39 Cusó 2009.

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Pour citer cet article

Référence papier

Eulàlia Miralles et Verònica Zaragoza, « Écrits féminins catalans »Clio, 35 | 2012, 177-190.

Référence électronique

Eulàlia Miralles et Verònica Zaragoza, « Écrits féminins catalans »Clio [En ligne], 35 | 2012, mis en ligne le 01 mai 2014, consulté le 04 octobre 2024. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/clio/10668 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/clio.10668

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Auteurs

Eulàlia Miralles

Eulàlia Miralles est spécialiste de la littérature catalane du xvie-xviiie siècles, professeure au Département de philologie catalane de l’Université de València. Elle a publié Sobre Jeroni Pujades (2011), l’édition critique de l’œuvre d’Antoni Viladamor (2007), les collectifs Del Cinccents al Setcents. Tres-cents anys de literatura catalana (2010), L’idil·li als segles xix i xx. Literatura, música i arts plàstiques (2010), Formes modernes de l’èpica (del segle xvi al segle xx) (2008), El cardenal Margarit i l’Europa quatrecentista (2008), entre autres, et una cinquantaine d’articles spécialisées.
eulalia.miralles@uv.es

Verònica Zaragoza

Verònica Zaragoza est boursière de doctorat à l’Institut de Llengua i Cultura Catalanes de l’Université de Girona. Elle a presenté son travail de master “Posà-la per ser humil en la muntanya més alta…” : La literatura femenina a l’edat moderna a Catalunya i a les Illes Balears, et travaille à una thèse sur la poésie féminine dans la Couronne d’Aragon à l’époque moderne, sous la direction de P. Valsalobre.
veronica.zaragoza@udg.edu

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