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Notes
R.-M. Ferré, « Échec et mat ! Les sculpteurs Pietro da Milano et Francesco Laurana au service d’Alphonse d’Aragon et du roi René », dans É. Crouzet-Pavan et J.-C. Maire Vigueur (dir.), L’Art au service du prince. Paradigme italien, expériences européennes (vers 1250-vers 1500), Rome, Viella, 2015, p. 307-320. Voir aussi H. W. Kruft, Francesco Laurana, ein Bildhauer der Frührenaissance, Munich, Beck, 1995, notamment p. 67-81, 390-301 ; N. Bock, « René d’Anjou et la diplomatie artistique en Italie », dans F. Bouchet (dir.), René d’Anjou, écrivain et mécène (1409-1480), Turnhout, Brepols, 2011, p. 159-177.
Selon l’hypothèse de Christoph Luitpold Frommel, le dessin de Bonoms da Ravenna conservé au musée Boymans Van Beuningen de Rotterdam aurait été réalisé d’après une première maquette en bois peut-être de Pietro da Milano. Voir C. L. Frommel, « Alberti e la porta trionfale di Castel Nuovo a Napoli », Annali di architettura, no 20, 2008, p. 13-36. Selon Renata Novak Klemenčič, seule la grande allégorie de la Justice lui est attribuable de manière certaine (R. Novak Klemenčič, « Pietro di Martino da Milano », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 83, 2015, en ligne sur <http://www.treccani.it/enciclopedia/pietro-di-martino-da-milano_(Dizionario-Biografico)/> [consulté le 11 février 2020]).
L. Maxe-Werly, « Un sculpteur italien à Bar-le-Duc en 1463 », Comptes rendus des séances de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 40, no 1, 1896, p. 54-62.
Archives départementales de la Meuse, B 502, fo 141vo-142, cité dans Ibid., p. 59.
Archives départementales de la Meuse, B 502, fo 159, cité dans Ibid., p. 60-61.
Paulette Choné, La Renaissance en Lorraine. À la recherche du musée idéal, Ars-sur-Moselle, Domini, 2013, p. 199-202.
« Sovvent avient quen combatant
Chien mordv remord le mordant
Car par bien le mordant remordre
Fait len cesser mordeurs de mordre »
Ce quatrain exprime la nécessité d’user de la violence pour se défendre contre un agresseur et la paix qui naît paradoxalement de cette violence. Ce pourrait être une allusion au conflit entre les Aragon et les Anjou.
Sur les médailles, voir les références citées en note 10 ci-dessous. La médaille la plus célèbre, portant le millésime 1461, présente sur l’avers le buste de René de profil tourné à droite accompagné de l’inscription « renatvs · dei · gracia · ihervsalem · et · sicilie rex · ecetera. Au revers est figuré un poids suspendu par quatre cordes portant les initiales R et I — pour René et Jeanne — avec la devise « en vn » et la signature du médailliste : « opvs petrvs de mediolano ». Pietro en réalisa aussi à l’effigie du couple René/Jeanne de Laval, de Ferry de Vaudémont et de Marguerite d’Anjou. Sur la symbolique, voir entre autres M. Chaigne-Legouy, « Titres et insignes du pouvoir des duchesses de la seconde Maison d’Anjou. Une approche diplomatique, sigillaire et emblématique de la puissance féminine à la fin du Moyen Âge », Mélanges de l’École française de Rome – Moyen Âge, no 129-2, 2017, en ligne sur <http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/mefrm/3790> (consulté le 21 octobre 2018). Pour élargir la perspective, voir aussi L. Hablot, « L’emblématique du roi René : outil de pouvoir et de gouvernement », dans J.-M. Matz et N.-Y. Tonnerre (dir.), René d’Anjou (1409 1480) : pouvoirs et gouvernement, Actes du colloque (Angers, 26-28 novembre 2009), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2001, p. 327-337.
M. Chiarini, Francesco Laurana, Milan, Fabbri, 1966.
A. Armand, Les médailleurs italiens des quinzième et seizième siècles. Essai d’un classement chronologique de ces artistes et d’un catalogue de leurs œuvres, Paris, Plon, 1879, p. 22-24 ; A. Heiss, Les médailleurs de la Renaissance, vol. II : Francesco Laurana. Pietro da Milano, Paris, Rotschild, 1882.
Sur Laurana et son œuvre en France, parmi la bibliographie abondante, voir notamment É. Mognetti, « Francesco Laurana, sculpteur du roi René en Provence », dans Le Roi René en son temps. 1382-1481, catalogue de l’exposition (Avignon, Musée du Petit Palais, 3 juillet-30 septembre 1981), Avignon, Musée du Petit Palais, 1981, p. 133-182 ; J.-P. Caillet, « Franjo Vranjanin — alias Francesco Laurana —, avant-coureur de la Renaissance en France », dans M. Jurković et P. Marković (dir.), Scripta in honorem Igor Fisković, Zagreb, University of Zagreb, 2015, p. 261-270 ; H. Chardon, Le tombeau de Charles d’Anjou à la cathédrale du Mans et le sculpteur Francesco Laurana, Paris, Champion, 1882.
Ainsi, l’hypothèse d’un séjour de Laurana en Lorraine n’est pas accréditée par R. Novak Klemenčič, « Laurana, Francesco », dans Dizionario bigrafico degli Italiani, vol. 64, 2005, p. 55-63, en ligne sur <http://www.treccani.it/enciclopedia/francesco-laurana_(Dizionario-Biografico)/> (consulté le 11 février 2020).
L. Maxe-Werly, « Francesco de Laurana, fondeur-ciseleur à la cour de Lorraine », Comptes rendus des séances de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 43, no 2, 1899, p. 257-268. Sur Bachot, voir J. Marasi, Le maître de Chaource, découverte d’une identité. Catalogue raisonné, Chaource, Centre de recherches et d’études Pierre et Nicolas Pithou, 2015.
Notamment sur les gisants de Giovanni Cossa à Tarascon ou de Charles du Maine au Mans.
G. M. Guidetti, « La cappella del cardinale del Portogallo a San Miniato al Monte », dans M. Bellini (dir.), Cappelle del Rinascimento a Firenze, Florence, Becocci, 1998, p. 59-68.
On en connaît d’autres exemples du xve siècle à Wierre-aux-Bois (Pas-de-Calais) ou au Musée départemental d’art ancien et contemporain d’Épinal (provenant de l’église de Girmont, Vosges).
Inv. 95.25.
L. Germain, « Deux statues équestres de saint Gengoulf », Lorraine artiste, 1903, p. 49-51.
Nous avons mis cette parenté en évidence dans R. Tassin, « Un exemple d’influence italienne dans la statuaire lorraine du xve siècle : quelques réflexions sur le saint Gengoult du Musée Lorrain », Le Pays lorrain, 110e année, vol. 94, no 1, mars 2013, p. 41-44.
A. Fémelat, « Des chevaux réels à un cheval idéal : naturalisme et idéalisation des chevaux des portraits équestres italiens des Trecento et Quattrocento », In Situ, no 27, 2015, en ligne sur <http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/insitu/12040> (consulté le 26 octobre 2018). Voir aussi A. Fémelat, « La cavalcade des rois guerriers : les effigies équestres des souverains de Naples au Quattrocento », Revue de l’art, no 1, 2016, p. 7-15.
R. de Vienne, « René II et Venise, 1480-1483 », Le Pays lorrain, 58e année, no 1, 1977, p. 135-145.
Elle était restée inachevée à sa mort en 1539. H. Lepage, « Quelques notes sur des peintres lorrains des xve, xvie et xviie siècles », Bulletin de la Société d’archéologie lorraine, t. 4, 1853, p. 20-21.
Cette œuvre est documentée par le dessin réalisé en 1881 par Charles Cournault, aujourd’hui conservé au Musée lorrain (Nancy).
On en connaît des copies précoces à Gaillon, à Troyes et même un exemplaire en tapisserie appartenant à François Ier. Voir L. Fagnart, « French Admiration for Leonardo da Vinci’s Last Supper », dans C. Pedretti (dir.), Leonardo da Vinci & France, catalogue de l’exposition d’Amboise (24 juin 2009-30 juin 2011), Amboise/Poggio a Caiano, Château du Clos-Lucé/CB Publishers, 2010, p. 107-112.
Ibid., p. 37.
J.-J. Lionnois, Histoire des villes vieille et neuve de Nancy depuis leur fondation jusqu’en 1788 […], tome 1, Nancy, Haener, 1805, p. 112.
H. Lepage, « Mansuy Gauvain, biographie artistique », Bulletins de la Société d’archéologie lorraine, vol. 2, 1851, p. 51-60.
H. van Hees, « De la collaboration probable de Mansuy Gauvain au tombeau de Hugues des Hazards à Blénod-lès-Toul », Le Pays lorrain, 58e année, no 2, 1977, p. 177-186.
La paternité de Gauvain est attestée par un registre transcrit par H. Lepage, « Le palais ducal de Nancy », Bulletins de la Société d’archéologie lorraine, t. 1, 2e édition, 1853, p. 103-104 : « Payé par ledict Receveur audict Mansuy ymageur pour […] le pourtrait de Monseigneur qui est à cheval sur le portal de ladicte maison sur la grant Rue. » Le dessin de Pollaiuolo (1482-1483) est conservé au Metropolitan Museum de New York ; les esquisses de Léonard appartiennent aux collections royales anglaises du château de Windsor.
P. Choné, La Renaissance en Lorraine, ouvr. cité, p. 93.
Sur les trophées militaires et leur usage en France et en Italie, voir S. Frommel et R. Tassin, « Les décors militaires en Italie et en France du xve siècle au primo Cinquecento : un ornement polysémique », dans P. Caye et F. Solinas (dir.), Les cahiers de l’ornement, vol. 2, Rome, De Luca, 2016, p. 45-66 (en part. p. 56-57, 61-62).
G. Bresc-Bautier, « Le défunt et son cadre : la mise en valeur de l’image du défunt en France au xvie siècle », dans M. Barrucand (dir.), Arts et culture : une vision méridionale, Paris, Presses Paris Sorbonne, 2001, p. 20.
M.-C. Burnand, « Un nouveau regard sur le tombeau de Hugues des Hazards », Annales de l’Est, no 2, 2005, p. 315-328.
Archives départementales de la Meurthe-et-Moselle, B 1008. Voir aussi H. Lepage, « Sur l’origine et le véritable nom de la Croix-Gagnée », Journal de la Société d’archéologie lorraine, 1re année, 1852, p. 121-123.
S. Frommel, « L’art de bien bâtir », dans M.-C. Heck (dir.), L’art en France de la Renaissance aux Lumières, Paris, Citadelles & Mazenod, 2011, p. 59.
P. Julien, « Des imagiers aux sculpteurs », dans M.-C. Heck (dir.), ouvr. cité, p. 149.
S. Frommel, « Vers l’architecture monumentale : les travaux pour Charles de Guise (1550-1559) », dans S. Frommel (dir.), Primatice architecte, Paris, Picard, 2010, p. 115-117.
Archives départementales de la Meurthe-et-Moselle, B 1078, fo 130ro-vo ; B 1082, fo 83ro.
R. Tassin, « Les premiers architectes italiens en Lorraine et le rôle fondamental de la Franche-Comté espagnole », Société d’émulation du Jura. Travaux 2012, 2013, p. 217-230.
Sur la duchesse, voir É. Duvernoy, Chrétienne de Danemark, duchesse de Lorraine, Nancy, Humblot, 1940.
Le rôle d’Antonio a été mis en évidence précocement par L. Mougenot, « Recherches sur le véritable auteur des fortifications de la Ville-Neuve de Nancy », Mémoires de la Société d’archéologie lorraine, 1860, p. 181-254.
Archives départementales de la Meurthe-et-Moselle, B 24 (registre des lettres patentes de l’année 1547). Voir D. A. Pelletier, Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, t. 1 : Les anoblis, Nancy, Thomas père & fils, 1758, p. 95. Lepage admet ne rien savoir de plus sur ce personnage (H. Lepage, « Quelques notes sur des peintres lorrains », art. cité, p. 48). Sans doute ne fait-il qu’un avec Francisque Buscaille, qui fut châtelain et gruyer du comté de Blâmont entre 1566 et 1586, et avait épousé Mabille, fille de Colin Olry, bourgeois de Blâmont. Il serait mort vers 1586-1587. Voir Archives départementales de la Meurthe-et-Moselle, B 3423 à 3450 (comptes de la gruerie de Blâmont) et H. Lepage, Inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790. Meurthe-et-Moselle. Archives civiles. Série B no 3311 à 7782. Tome Second, Nancy, N. Collin, 1875, p. 11-13.
F. de Dainville, « Les activités de l’ingénieur piémontais Ercole Negro en France (1566-1597) », Armi antiche. Bolletino dell’Accademia di S. Marciano, numero spéciale per il 6o Congresso dell’Associazione Internazionale dei Musei d’Armi e di Storia Militare (Zurich, 15-20 mai 1972), 1972, p. 133-204.
R. Tassin, « Introduction et généralisation du système bastionné en Lorraine : l’apport des ingénieurs italiens dans la seconde moitié du xvie siècle », dans L. Jalabert et V. Muller (dir.), Conflits et progrès scientifiques et techniques en Lorraine, Actes du colloque de Metz (17-18 octobre 2014), Moyenmoutier, EdHisto, 2015, p. 220-223.
Nous renvoyons à L. Mougenot, art. cité.
P. Choné, Emblèmes et pensée symbolique en Lorraine. « Comme un jardin au cœur de la chrétienté », Paris, Klincksieck, 1991, p. 181.
Archives départementales de la Meurthe-et-Moselle, B 1243 ; B 7353.
Archives départementales de la Meurthe-et-Moselle, B 1274 ; B 1328.
Nous renvoyons à R. Tassin, Giovan Betto (1642-1722) et les architectes italiens en Lorraine (fin xviie – début xviiie siècle), thèse de doctorat sous la direction de S. Frommel, EPHE, 2014, vol. 1, p. 54-60.
Citons entres autres exemples les traités de Giovanni Battista della Valle, Pietro Cataneo, Francesco De Marchi.
Nous renvoyons, pour une réflexion plus complète à R. Tassin, « Introduction et généralisation du système bastionné », art. cité.
S. Frommel, « Le traité de Sebastiano Serlio : œuvre d’une vie et chantier éditorial magistral du xvie siècle », Histoire et civilisation du livre, vol. 9, 2014, p. 101-127.
Notons que l’édifice est contemporain de l’édification de la chapelle Sainte-Croix dans la cathédrale Saint-Mammès de Langres sous l’impulsion du cardinal de Givry.
L. Mougenot, « De la conservation de la porte Saint-Nicolas de Nancy », Journal de la Société d’histoire de la Lorraine et du Musée historique lorrain, no 8-12, 1859, p. 279-295. Voir aussi R. Tassin, « Le livre d’architecture en Lorraine et son influence au xviie siècle : l’exemple de Vignole », dans S. Frommel et E. Leuschner (dir.), Architektur- und Ornamentgraphik der frühen Neuzeit: Migrationprozesse in Europa, Rome, Campisano, 2014, p. 251-260.
B. Adorni, Jacopo Barozzi da Vignola, Milan, Skira, 2008, p. 186-187.
Le premier projet est documenté par un dessin conservé au Musée lorrain, inv. 95.625.
J.-J. Lionnois, ouvr. cité, p. 138.
P. Sesmat, « La chapelle ducale », dans P. Martin (dir.), La pompe funèbre de Charles III, Metz, Serpenoise, 2008, p. 159-165.
S. Frommel, « L’architecture sacrée : la chapelle de Diane de Poitiers à Anet et la Rotonde des Valois », dans S. Frommel, Primatice architecte, ouvr. cité, p. 185-234.
G. Bresc-Bautier, « Henri IV au Pont-Neuf », In Situ, no 14, 2010, en ligne sur <https://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/insitu/6971> (consulté le 28 octobre 2018).
Nous signalons notre ouvrage à paraître : R. Tassin, L’architecte Giovan Betto (1642-1722) et le milieu italien en Lorraine à l’époque moderne, Rome, Campisano.
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