Notes
Voir J.‑C. Arnould (dir.), Les Histoires tragiques du xvie siècle. Pierre Boaistuau et ses émules, Paris, Classiques Garnier, 2018. Ce volume contient trois études consacrées à Poissenot : V. Cordiner, « Se sauver de la fortune en “courant le monde”. L’“Éloge des voyageurs” dans la quatrième histoire de Poissenot », p. 155‑172 ; I. Ben Zaied, « Femmes soumises, femmes héroïques dans les Nouvelles Histoires tragiques de Bénigne Poissenot (1586) », p. 223‑234 ; P. Mounier, « Humour et récit noir. Interventions comiques du conteur chez Bénigne Poissenot (Nouvelles Histoires tragiques, IV) », p. 317‑338. Voir aussi B. Poissenot, « De l’indignation personnelle comme outil de propagande », dans C. Biet et M.‑M. Fragonard (dir.), Tragédies et récits de martyres en France (fin xvie-début xviie siècle), Paris, Classiques Garnier, 2009, p. 1177‑1179 ; P. Boaistuau, Histoires tragiques, R. A. Carr (éd.), Paris, STFM, 2008 ; F. de Belleforest, Continuation des histoires tragiques, extraites de l’italien de Bandel, mises en langue Françoise par François de Belle-Forest Commingeois, Paris, Gilles Robinot, 1559 ; V. Habanc, Nouvelles histoires tant tragiques que comiques, J.‑C. Arnould et R. A. Carr (éds), Genève, Droz, 1989.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, J.‑C. Arnould et R. A. Carr (éds), Genève, Droz, 1996.
Voir E. Ziercher, « Histoires tragiques et formes narratives au xvie siècle », Réforme, Humanisme, Renaissance, no 73, 2011, p. 9‑21.
La Croix du Maine, Les Bibliothèques françoises, Rigoley de Juvigny (éd.), Paris, 1772, t. II, p. 254, cité par R. A. Carr, « Introduction » à P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité, p. x.
A. de La Borderie, « Pierre Boaistuau », Revue de Bretagne et de Vendée, t. VII, 1870, p. 359‑371.
R. A. Carr, « Introduction » à P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité, p. xii‑xiv.
P. Boaistuau, Le Theatre du monde [1558], M. Simonin (éd.), Genève, Droz, 1981.
Cf. P. Boaistuau, Le Theatre du monde, cité par R. A. Carr, « Introduction » à P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité., p. xxv.
Voir R. A. Carr, « Introduction » à P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité.
Ibid., p. xliii.
M. Campanini, « “Remettre en nouvelle forme”. Métamorphose et recréation du modèle dans les Histoires tragiques de Pierre Boaistuau », dans Les Histoires tragiques du xvie siècle. Pierre Boaistuau et ses émules, ouvr. cité, p. 103.
P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité, p. 5.
Ibid., p. 4.
P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité, p. 6‑7.
E. Ziercher, « Histoires tragiques et formes narratives au xvie siècle », art. cité, p. 9.
B. Méniel, « Le tragique et la rhétorique judiciaire dans les Histoires tragiques de Belleforest », dans Les Histoires tragiques du xvie siècle. Pierre Boaistuau et ses émules, Paris, Classiques Garnier, 2018, p. 267.
P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité, p. 7.
J.‑C. Arnould, « L’impasse morale des histoires tragiques au xvie siècle », Bulletin de l’Association d’étude sur l’humanisme, la réforme et la renaissance, vol. 57, 2003, p. 93‑108.
F. de Belleforest, « Advertissement au lecteur », dans Le Troisième tome des histoires tragiques […] par François de Belle-Forest Comingeois, Paris, G. Buon, 1568. Cf. M. Campanini, « “Remettre en nouvelle forme”. Métamorphose et recréation du modèle dans les Histoires tragiques de Pierre Boaistuau », art. cité, p. 103‑120.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 52.
J. Yver, Le Printemps d’Yver, P.‑L. Jacob (éd.), Genève, Slatkine Reprints, 1970.
Ibid., p. 52‑53.
M. Campanini, « “Remettre en nouvelle forme”. Métamorphose et recréation du modèle dans les Histoires tragiques de Pierre Boaistuau », art. cité, p. 120.
Ibid., p. 106. Voir aussi J.‑C. Arnould, « L’impasse morale des histoires tragiques au xvie siècle », Bulletin de l’Association d’étude sur l’humanisme, la réforme et la renaissance, vol. 57, 2003, p. 93‑108.
Voir N. Le Cadet, « Les “piteuses histoires” de L’Heptaméron et les histoires tragiques du xvie siècle », Réforme, Humanisme, Renaissance, no 73, 2011, p. 23‑39.
F. de Caigny, Sénèque le Tragique en France (xvie-xviie siècles). Imitation, traduction, adaptation, Paris, Classiques Garnier, 2011.
Cf. K. P. Witold, Le tragique dans les nouvelles exemplaires en France au xvie siècle, Lódz, Presses universitaires de Lódz, 2006 (en particulier, chap. 1, p. 19‑48) ; Tragedia e sentimento del tragico nella letteratura francese del Cinquecento. Studi di Letteratura francese, vol. XVIII, 1992.
N. Le Cadet, « Les “piteuses histoires” de L’Heptaméron et les histoires tragiques du xvie siècle », Réforme, Humanisme, Renaissance, art. cité, p. 23‑24.
R. A. Carr, « Introduction » à P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité, p. li.
Ibid., p. 7.
M. Miotti, « La definizione di ‘tragedia’ in alcuni dizionari del Cinquecento », dans Parcours et Rencontres. Mélanges de langue, d’histoire et de littérature françaises offerts à Enea Balmas, Paris, Klincksieck, 1993, t. I, p. 489‑507.
L. de Baif, Tragédie de Sophocle intitulée Electra, Paris, Estienne Roffet, 1537, voir B. Weinberg, Critical Prefaces of the French Renaissance, New York, AMS Press, 1970, p. 73.
J. de La Taille, Tragédies. Saül le furieux, La Famine ou les Gabéonite, E. Forsyth (éd.), Paris, STFM, 1968, p. 2‑15 et aussi dans Théâtre français de la Renaissance. La tragédie à l’époque d’Henri II et de Charles IX, Ire série, vol. 4, L. Kreyder (éd.), Florence / Paris, Olschki / Presses universitaires de France, 1992.
T. De Bèze, Abraham sacrifiant, dans P. De Capitani (éd.), La tragédie à l’époque d’Henri II et de Charles IX, Ire série, vol. 1, Florence / Paris, Olschki / Presses universitaires de France, 1986, p. 18.
Des Masures affirme que la Bible lui a suggéré les sujets pour écrire « quelques tragiques vers » (v. 68) ; il écrit en effet en vers « des histoires tragiques / Qui serviront aussi pour instruire et former » (v. 90‑91) et porte sur scène un héros qui « joue une tragedie assiduelle et vraye » (v. 218), dans Au seigneur Philippe Le Brun, David combattant, Théâtre tragique du xvie siècle, E. Buron et J. Goeury (éds), Paris, Flammarion, 2020, p. 125‑257.
C’est R. A. Carr qui rappelle la définition d’Amyot, dans « Introduction » à P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité, p. li.
Cf. M. Simonin, Vivre de sa plume au xvie siècle ou la carrière de François de Belleforest, Genève, Droz, 1992, p. 13.
R. A. Carr, « Introduction » à P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité, p. xlvii.
G. Reynier, Le roman sentimental avant l’Astrée, Paris, Colin, 1908, p. 155‑168. Cette lecture a été revue et en partie corrigée par K. P. Witold, Le tragique dans les nouvelles exemplaires en France au xvie siècle, ouvr. cité, p. 49‑50.
R. A. Carr, « Introduction » à P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité, p. xlvii.
Cf. F. de Belleforest, « Dédicace » à la Continuation des tragiques, cité par R. A. Carr, « Introduction » à P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité, p. xlviii-xlix.
Voir M. Campanini, « “Remettre en nouvelle forme”. Métamorphose et recréation du modèle dans les Histoires tragiques de Pierre Boaistuau », art. cité.
Sur l’importance de l’Histoire au xvie siècle nous signalons, parmi les nombreuses études consacrées à ce sujet, P. Desan, Penser l’histoire à la Renaissance, Caen, Paradigme, 1993 ; J.‑C. Ternaux, Lucain et la littérature baroque en France. Citation, imitation et création, Paris, Champion, 2000 ; K. P. Witold, Le tragique dans les nouvelles exemplaires en France au xvie siècle, ouvr. cité, p. 51‑62.
Cité par K. P. Witold, Le tragique dans les nouvelles exemplaires en France au xvie siècle, ouvr. cité, p. 55.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 123.
P. Matthieu, Esther. Histoire tragique en laquelle est représentée la condition des Rois et Princes sur le théâtre de fortune [1585], dans M. Miotti (éd.), La tragédie à l’époque d’Henri III, IIe série, vol. 4 (1584‑1585), Florence / Paris, Olschki / Presses universitaires de France, p. 220.
Ibid., p. 220‑223.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 40.
Ibid., p. 39‑40.
Ibid., p. 43
M. Simonin, Vivre de sa plume au xvie siècle ou la carrière de François de Belleforest, ouvr. cité, p. 7.
Ibid., p. 14.
Cf. M. Simonin, Vivre de sa plume au xvie siècle ou la carrière de François de Belleforest, ouvr. cité, p. 22.
Dans le sens que Boaistuau avait expliqué dans son « Advertissement au lecteur », cf. supra.
M. Simonin, Vivre de sa plume au xvie siècle ou la carrière de François de Belleforest, ouvr. cité, p. 28.
Ibid., p. 29. Cf. L’Esté, p. 72.
Les fameux vers de Lucrèce « Suavi mari magno turbantibus aequora ventis / E terra magnum alterius spectare laborem ; / non quia vexari quemquam et jucunda voluptas, / sed quibus ipse malis careas quia cernere suave este » (De natura rerum, II, 1‑4) ont eu une longue fortune ; voir H. Blumenberg, Naufrage avec spectateur. Paradigme d’une métaphore de l’existence, Paris, L’Arche, 1994 ; M. Delon, « Naufrages vus de loin : les développements narratifs d’un thème lucrétien », Rivista di letterature moderne e comparate, vol. 41, no 2, 1988, p. 91‑119 ; A. Compagnon, « Suave mari magno. L’inflexion moderne d’un lieu commun », dans Y. Chevrel et C. Dumoulié (éds), Le mythe en littérature. Essais offerts à Pierre Brunel à l’occasion de son soixantième anniversaire, Paris, Presses universitaires de France, 2000, p. 305‑318.
On peut citer le sonnet xxxiv des Regrets de J. Du Bellay, Les Regrets suivis des Antiquités de Rome et du Songe, F. Roudaut (éd.), Paris, Le Livre de Poche classique, 2002, p. 73, ou l’Hymne à la Philosophie de Ronsard, Les Hymnes, dans Œuvres Complètes, P. Laumonier (éd.), t. VIII, Paris, STFM, 1973, p. 99‑102.
E. Ziercher, « Histoires tragiques et formes narratives au xvie siècle », art. cité, p. 17. Cf. aussi l’étude de S. Cappello, « La tentation du roman dans les Histoires tragiques de François de Rosset », dans B. Conconi (éd.), Les Histoires tragiques de François de Rosset, Bologne, I libri di Emi, 2014, p. 105‑140.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 45.
Ibid., p. 46.
Ibid., p. 11.
Ibid., p. 46.
Ibid.
J. Yver, Le Printemps d’Yver, ouvr. cité.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 49.
Ibid., p. 48.
Ibid., p. 49.
Voir n. 65.
T. Peach, Conter le crime. Droit et littérature sous la Contre-Réforme. Les histoires tragiques (1559‑1644), Paris, Champion, 2000, p. 91 et suiv.
I. B. Zaïed, « L’hypotypose dans les Nouvelles Histoires tragiques de Bénigne Poissenot », Acta Universitatis Lodziensis Folia Litteraria Romanica, no 11, 2016, p. 89‑102.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 49.
Ibid., p. 49.
Ibid.
R. A. Carr, « Introduction » à P. Boaistuau, Histoires tragiques, ouvr. cité, p. lxxvi.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 55.
Ibid., p. 41‑42.
Dédicace à Françoise de La Baume, cité par M. Simonin, Vivre de sa plume au xvie siècle ou la carrière de François de Belleforest, ouvr. cité, p. 110.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 55.
Ibid., p. 55.
Ibid., p. 56.
Ibid., p. 33.
Ibid., p. 25.
N. Le Cadet, « Les “piteuses histoires” de L’Heptaméron et les histoires tragiques du xvie siècle », Réforme, Humanisme, Renaissance, no 73, 2011, p. 34.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 55.
Ibid., p. 123.
Sonnet de P. De Chasteaubrun Turonensis, l’un des trois amis de l’Esté, B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 43.
E. Ziercher, « Histoires tragiques et formes narratives au xvie siècle », art. cité, p. 20.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 45.
E. Ziercher, « Histoires tragiques et formes narratives au xvie siècle », art. cité, p. 11.
Voir S. Cappello, « La tentation du roman dans les Histoires tragiques de François de Rosset », art. cité.
B. Poissenot, Nouvelles histoires tragiques, ouvr. cité, p. 49.
Voir G. Gros, « La Semblance de la verrine. Description et interprétation d’une image mariale », Le Moyen Âge, t. 97, 1991, p. 217‑257 ; P. Chiron, « Phébus par la verrière », dans X. Bonnier (dir.), Le Parcours du comparant. Pour une histoire littéraire des métaphores, Paris, Classiques Garnier, 2014, p. 389‑410.
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