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Comptes rendus

Christian Oertel, The Cult of Saint Erik in Medieval Sweden. Veneration of a Royal Saint, Twelfth-Sixteenth Centuries

Corinne Péneau
p. 422-425
Référence(s) :

Christian Oertel, The Cult of Saint Erik in Medieval Sweden. Veneration of a Royal Saint, Twelfth-Sixteenth Centuries, Turnhout, Brepols (Acta scandinavica, 5), 2016.

Texte intégral

1Christian Oertel étudie le culte de saint Éric dans un ouvrage qui mêle synthèse et étude approfondie des sources connues, aussi bien textuelles qu’iconographiques, ce qui n’avait pas été réalisé depuis l’ouvrage collectif dirigé par Bengt Thordeman en 1954. La rareté de la documentation, en particulier pour les époques les plus anciennes, oblige l’historien à considérer toutes les traces disponibles, de l’hagiographie, en particulier la première Vie de saint Éric, datant de la fin du xiiie s., aux datations au bas des chartes – la première mentionnant la Saint-Éric date de 1291 – aux sceaux et aux monnaies. Le catalogue du Riksantikvarieämbete permet une étude des sculptures et des peintures murales suédoises.

2L’étude commence par une mise en perspective du culte des rois saints dans le cadre de la christianisation de la Scandinavie. La dimension sacrée du pouvoir chez les païens et la volonté des missionnaires de promouvoir des cultes locaux jouèrent un rôle important dans l’essor des cultes de saints rois en Scandinavie. Le lien entre la royauté sacrée païenne et la sainteté royale est interprété par C. Oertel comme un « pont » établi par les missionnaires pour faciliter l’adoption du christianisme. Il s’appuie en particulier sur les travaux de Gábor Klaniczay sur la sainteté royale en Europe et sur ceux de Gro Steinsland sur la royauté sacrée dans le paganisme nordique. Un argument en faveur de la sacralité des rois païens est la mention de la divinisation d’un roi des Svear dans une source rédigée 150 ans avant saint Olav (p. 54). Or, affirmer l’intérêt des sources hagiographiques pour l’historien, comme le fait très justement l’a. dans son introduction, ne signifie pas les lire sans précaution et sans interprétation. La proposition de la divinisation est mentionnée dans la Vie d’Anschaire de Rimbert. Il s’agit d’un discours « rapporté » par Rimbert à la première personne, comme un exemple de l’opposition que suscita l’arrivée d’Anschaire à Birka. Un homme, qui affirmait avoir pris part au « synode des dieux », déclara que ces derniers étaient hostiles à l’introduction d’un « dieu étranger », mais qu’ils voulaient bien accueillir un dieu nouveau : « si, jugeant que nous ne vous suffisons pas, vous désirez élargir le nombre de vos dieux, c’est le roi Éric, qui régna jadis sur vous, que nous désignons d’une seule voix pour être de notre divine assemblée » (Rimbert, Vie de Saint Anschaire, J.-B. Brunet-Jailly [trad et annot.], Paris, Cerf [Sagesses chrétiennes], 2011, p. 103.)

3Le discours est inventé par Rimbert pour montrer l’opposition à Anschaire et pour souligner très fortement la différence entre le paganisme, où les hommes deviennent des dieux, au christianisme, où Dieu se fait homme. Cet exemple ne peut donc constituer une preuve formelle de l’existence d’une royauté sacrée scandinave. De plus, le problème n’est pas tant celui de la sacralité que de situation du pouvoir royal en Scandinavie avant le xie s. La royauté et le christianisme furent deux nouveautés introduites concomitamment dans le Nord de l’Europe. Leur implantation respective s’explique par un essor dialectique, le christianisme ayant tout un arsenal idéologique pour soutenir un pouvoir royal de type occidental, pouvoir lui-même nécessaire pour soutenir l’effort de christianisation des vastes espaces scandinaves.

4Comme saint Olaf, saint Éric fut l’objet d’un culte sans avoir été officiellement canonisé. Le roi danois Knut fut le seul roi scandinave à être officiellement canonisé par la papauté. Saint Olaf, qui christianisa rudement la Norvège, mourut lors de la bataille de Stiklestad en 1030. Membres de sa famille, anciens alliés comme ennemis, assurèrent la promotion d’un culte destiné à favoriser la royauté norvégienne et l’église de Nidaros, qui devint le siège de l’archevêché norvégien en 1153. Lorsque le culte de saint Éric se développa en Suède dans la seconde moitié du xiie s., le culte de saint Olaf y était déjà solidement établi.

5C. Oertel présente le développement du culte de saint Éric en quatre étapes : la première, de 1160 à 1250, fut celle des premiers développements, puis de 1250 à 1319, il observe une phase d’intensification, suivie sous le règne de Magnus Eriksson et de ses successeurs, de 1319 à 1389, par une période de stagnation. En revanche, la période de l’Union de Kalmar, jusqu’en 1520, correspond à un important renouveau du culte de saint Éric.

6Erik Jedvardsson (saint Éric) est très mal connu. Il fut roi vers le milieu du xiie s. après Sverker l’Ancien. Ces deux rois furent les ancêtres des deux dynasties concurrentes qui alternèrent sur le trône jusqu’en 1222, lorsque le dernier descendant de Sverker mourut sans héritier et que lui succéda Erik Eriksson, dernier représentant de la lignée issue d’Erik Jedvardsson.

7Très peu de documents éclairent le règne d’Erik Jedvardsson. Une charte du roi Knut, le fils d’Erik, qui régna de 1167 à 1196, mentionne son père dans la liste des rois qui l’ont précédé, mais sans mentionner sa sainteté. Rien n’est connu sur le règne d’Erik en dehors de ce qui apparaît tardivement dans sa Vita : ce roi juste aurait mené une existence ascétique. Il aurait participé à une expédition pour christianiser la Finlande avec saint Henri. Il aurait été tué le 18 mai 1160 (jour que la légende affirme, à tort, être celui de l’Ascension). Alors qu’il venait d’assister à la messe dans l’église de la Sainte Trinité d’Östra Aros (nom de l’actuelle ville d’Uppsala, où la cathédrale fut transférée en 1273), il aurait été attaqué par le prince danois Magnus Henriksson. Il mourut décapité. La liste des rois insérée dans le manuscrit de l’Ancienne Loi du Västergötland, v. 1220, mentionne la mort du roi et le fait que ses reliques, à Uppsala, ont révélé « des signes de la grâce divine ».

8Il est dommage que l’étude de C. Oertel n’est pas pu profiter des conclusions d’une équipe de scientifiques, qui ont étudié les reliques de saint Éric, conservées dans la cathédrale d’Uppsala : il apparaît que les 23 os conservés dans le reliquaire sont bien ceux d’un homme de 35 à 40 ans mort v. 1160. Il mesurait 1,71 mètre. Il avait passé la dernière décennie de sa vie dans le Västergötland. Il était bien nourri et en bonne condition physique, malgré une ou deux blessures guéries au niveau du crâne. Sa nourriture principale était composée de poissons de rivière, ce qui semble indiquer, chez ce membre de l’aristocratie, un désir de mener une vie ascétique, détail conforme à la légende. Les blessures trouvées principalement au niveau des jambes et la vertèbre tranchée ne contredisent pas la légende qui mentionne que le roi, déséquilibré, subit les coups de ses adversaires, puis qu’il fut décapité (Sabine Sten, « Erik den heliges skelett », Fornvännen, 111, 2016, p. 27-40).

9Il semble que le culte de saint Éric ait été organisé par le chapitre de la cathédrale d’Uppsala. (Gamla) Uppsala devint siège de l’archevêché suédois nouvellement créé en 1164. Il n’y a pas trace, dans les sources, de la mise en avant de la sainteté d’Éric, alors qu’elle aurait pu constituer un argument en faveur de la légitimité de ses descendants face aux descendants de Sverker l’Ancien (ce qui est pourtant souvent affirmé dans l’historiographie de cette période et que l’a. dément de manière convaincante). Le culte d’Éric a tardé à se développer dans le Götaland. C. Oertel y voit une explication : les rois ne pouvaient se réclamer d’un saint inconnu. Mais on pourrait tout aussi bien y voir une conséquence : les rois n’ont pas jugé bon d’y promouvoir eux-mêmes le culte de saint Éric.

10Un document célèbre mérite particulièrement l’attention : il s’agit de la lettre Aeterna et incommutabilis adressée en 1171 ou 1172 par le pape Alexandre III à « K. illustri Sweorum et Gothorum regi ». Dans un paragraphe, devenu le décret Audivimus, intégré aux Décrétales en 1234, le pape interdit à ce qu’un culte soit rendu sans son autorisation à un homme, mort en état d’ébriété, et dont le culte s’était répandu dans le Götaland. Plusieurs chercheurs ont identifié cet homme, mort lors d’un banquet le jour de l’Ascension, comme saint Éric, en pensant que le roi K. était Knut Eriksson ou Kol, le fils de Sverker, qui aurait ainsi obtenu l’interdiction d’un culte organisé par la dynastie concurrente. D’autres identifications ont été faites : C. Oertel penche en faveur du roi danois Knut Magnusson, dont le culte est attesté dans le Götaland en 1156 (mais pas au Danemark). Aucune source ne permet en revanche d’attester l’essor du culte de saint Éric en dehors de l’Uppland à une date si précoce. En 1256, une lettre du pape Alexandre IV reconnaît le culte de saint Éric et des indulgences sont accordées pour les pèlerins qui se rendent près de ses reliques, ce qui est, selon l’a., la preuve indirecte que son culte s’était développé avant 1234 (après cette date, le culte n’aurait pas été reconnu par la papauté).

11La date de la mort d’Éric (v. 1160) et celle de la création de l’archevêché d’Uppsala (1164), coïncident presque : le nouvel archevêché permit le développement, dans la seconde moitié du xiie s., du culte d’un saint martyr qui était un peu l’équivalent de saint Olaf pour Nidaros, promut douze ans plus tôt. Le rôle central d’Uppsala dans l’ancienne religion peut expliquer le choix de ce lieu : en y plaçant le siège de l’archevêché, il s’agissait de souligner le triomphe du christianisme. Le fait que la cathédrale d’Uppsala possédait le corps entier d’Éric, qui était lui aussi un saint royal, a pu aussi jouer un rôle dans la volonté de concurrencer Nidaros. Toutefois, ce ne fut qu’avec la translation du siège archiépiscopal à Östra Aros, avec ses reliques, qu’Éric devint le saint patron de la cathédrale.

12Le culte connut un développement rapide à partir de la seconde moitié du xiiie s., principalement en relation avec l’arrivée au pouvoir des Folkungar (que C. Oertel nomme la dynastie de Bjälbo). Le roi Valdemar (1250-1275), fils de Birger Jarl, proclama, en premier, dans une charte de 1270, son lien avec saint Éric. Or, s’il était par sa mère, la sœur du roi Erik Eriksson, un descendant de saint Éric, le roi Valdemar était aussi, par son père Birger Jarl, un descendant du roi danois saint Knut (son arrière-arrière grand-mère était la fille de saint Knut) et de Sverker l’Ancien (sa grand-mère était l’arrière petite-fille de Sverker). Or, seul saint Éric fut mis en avant par les Folkungar. La Loi d’Uppland, promulguée en 1296, affirme le lien généalogique entre le roi Birger et saint Éric. Dans le Code de l’héritage de cette loi apparaît également une mention sur « les lois données par saint Éric » : jusqu’à la fin du Moyen Âge, le saint ne cessa d’être considéré comme un législateur, même pour des lois plus tardives.

13Les premières images conservées de saint Éric peuvent également être datées de cette époque : dès 1275, le saint figure, sous les traits d’un roi en majesté avec couronne, sceptre et globe, sur le sceau du chapitre d’Uppsala, et, à partir de 1289, sur celui des archevêques. Parfois, à partir de 1296, le globe est remplacé par un livre, que C. Oertel propose d’interpréter comme le livre des lois, que saint Éric est censé avoir donné aux Suédois.

14Le culte s’est diffusé dans un milieu clérical et aristocratique étroit : contrairement à Olav, Éric ne fut pas un saint populaire. Les quelques familles qui ont laissé les traces de leurs dévotions au saint appartiennent à la haute aristocratie et sont étroitement liées aux chanoines d’Uppsala. Le prénom Erik ne se diffusa pas. Il resta confiné à la famille royale, sans doute en raison de son étymologie (Erik, comme l’atteste le mot eriksgata, tour du royaume du roi nouvellement élu, signifie « le puissant chef »).

15Magnus Eriksson (1319-1364), qui était aussi roi de Norvège, s’inspira du modèle de saint Olav pour faire de saint Éric le saint de la royauté suédoise. Dans une charte de 1342, le roi Magnus demande à ce que la Saint-Éric soit célébrée au plus haut degré (totum duplex) dans la chapelle royale d’Oslo. L’a. rappelle en particulier que cette volonté a déjà été soulignée dans les études faites sur les testaments suédois (1346) et norvégien (1347) du roi et de la reine Blanche. Le premier indique qu’un autel doit être dédié à saint Olav et saint Éric dans l’église du monastère de Vadstena, que devait fonder sainte Brigitte. Le second prévoit la création d’un autel dédié à saint Olav et saint Éric dans la cathédrale de Nidaros. Il s’agissait probablement de lier ses deux royaumes à travers le culte croisé de ses saints patrons. L’a. rejette toute idée de compétition, mais souligne le rôle différent qui leur est assigné dans le cadre de la double monarchie suéco-norvégienne.

16Le dernier chapitre, sur « Saint Éric et l’Union de Kalmar » est probablement un des plus riches du volume. D’un saint dont le culte fut longtemps réservé à des cercles étroits et dont la figure fut assez peu utilisée par les rois, Éric devint au xve s. le rex perpetuus suédois et son culte connut un essor sans précédent. Marguerite Ire avait réussi à unifier les trois royaumes scandinaves au nom de son fils Olav, puis, en son nom propre après sa mort. Elle consolida cette union en lui donnant un roi, son petit-neveu Bogislav. L’enfant fut rebaptisé Erik, sans doute en raison de saint Éric. Ce nom permettait de mieux relier le roi à la dynastie des Folkungar, dont il descendait par les femmes. Ajoutons que le choix s’imposa peut-être, car ce nom était un des rares à être traditionnellement porté par les rois dans tous les royaumes scandinaves.

17Le culte de saint Éric s’étendit rapidement au-delà des cercles aristocratiques : dès les années 1380 des donations de membres du Conseil de Stockholm sont même attestées. Le saint ne devint toutefois un symbole politique que lors de la révolte d’Engelbrekt Engelbrektsson, en 1434. Les révoltés affirmaient vouloir revenir au temps du roi saint Éric, temps où les impôts n’étaient pas si lourds. En 1436, au moment de la déposition définitive d’Erik de Poméranie, le Conseil du royaume utilisa un sceau nouveau, celui du royaume (le riksklämma). Le premier exemplaire connu date de 1439 : y figure saint Éric sous les traits non plus d’un roi en majesté, mais d’un chevalier en armure, tenant une bannière et un écu sur lequel figurent trois couronnes, symbole du royaume apparu sous le règne d’Albert de Mecklembourg.

18Karl Knutsson, qui fut roi à partir de 1448, avait fait représenter sur les bannières de son armée saint Erik et saint Olav, pour rappeler qu’il était roi de Suède et qu’il avait aussi été couronné roi de Norvège en 1449. Pour justifier son élection en tant que roi de Suède, face au roi danois, Karl fit rédiger un nouveau prologue à l’Erikskrönika, une chronique rédigée un siècle plus tôt, dans lequel il apparaît comme le descendant de saint Éric, ce qui est une fiction. Plusieurs éléments de la légende faisaient d’Éric le symbole de la résistance au roi danois de l’Union : le saint, élu par les Suédois, fut un bon roi tué par un Danois. La légende affirmait de plus que les étrangers ne devaient pas régner en Suède.

19Contrairement à ce qu’affirme C. Oertel (p. 230), le saint ne représente pas deux entités séparées, le diocèse d’Uppsala d’un côté, et le royaume de l’autre. Uppsala est le siège de la métropole suédoise qui regroupe tout le royaume. Contrairement à ce qu’il affirme, il existe bien une « ecclesia regni suecie », révélée par la crise de 1432, lorsque le chapitre d’Uppsala refusa le candidat imposé par le roi (l’expression revient à plusieurs reprises au cours du débat, par exemple dans la lettre des évêques suédois au pape Eugène IV le 22 mars 1433). La mise en avant de la libertas ecclesiae se combine donc facilement, sur le terrain politique, avec la liberté du royaume.

20L’apogée du culte politique d’Éric doit être situé sous le règne des Sture, représentants du royaume à partir de 1470. En 1472, l’année après la victoire de Sten Sture l’Ancien à Brunkeberg, aux portes de Stockholm, le 10 octobre 1471, un autel fut fondé dans la cathédrale d’Uppsala. Son fondateur n’est pas connu, mais Sten Sture fit plusieurs dons à cet autel, surmonté d’un retable, connu seulement par des dessins du xviiie s., qui représentait treize scènes tirées de la légende d’Éric. Les bannières, les armoiries et les signes de reconnaissance, comme la paille attachée aux heaumes, renvoient à Sten Sture lui-même ou aux familles alliées des Sture. La lutte de ces familles contre le roi danois était ainsi identifiée aux combats du roi Éric. Le lien entre le saint et la victoire de Brunkeberg fut formulé dès le lendemain de la bataille par l’archevêque Jakob Ulvsson. Plus tard, la Sturekrönika rapporta même un miracle : le saint aurait agité son épée enflammée dans le ciel au-dessus des combattants.

21Saint Éric, désigné comme le saint patron du royaume, était aussi considéré à la fin du xve et au début du xvie s., comme le véritable roi de Suède : il prenait la place du roi absent, sur le sceau du royaume, mais aussi sur les pièces de monnaies frappées à cette époque. Les serments qui devaient être prêtés au roi l’étaient à saint Éric. Il est même possible d’ajouter que Sten Sture l’Ancien et Éric représentaient le royaume sans roi : Sten Sture gouvernait, tandis qu’Éric remplaçait symboliquement le roi absent et incarnait la dimension sacrée du pouvoir.

22L’ouvrage propose une excellente synthèse, prudente et argumentée, sur la figure du saint roi suédois. L’a., qui révise un grand nombre d’erreurs et d’approximations, montre de manière convaincante qu’Éric est avant tout le saint du siège archiépiscopal d’Uppsala, mais qu’il est devenu au fil du temps, avec une nette accélération dans les années 1430, un saint politique identifié au royaume tout entier. Les quelques nuances que l’on peut apporter à l’analyse, loin d’en affaiblir les conclusions, en montrent tout l’intérêt et toute la richesse.

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Pour citer cet article

Référence papier

Corinne Péneau, « Christian Oertel, The Cult of Saint Erik in Medieval Sweden. Veneration of a Royal Saint, Twelfth-Sixteenth Centuries »Cahiers de civilisation médiévale, 244 | 2018, 422-425.

Référence électronique

Corinne Péneau, « Christian Oertel, The Cult of Saint Erik in Medieval Sweden. Veneration of a Royal Saint, Twelfth-Sixteenth Centuries »Cahiers de civilisation médiévale [En ligne], 244 | 2018, mis en ligne le 01 décembre 2018, consulté le 24 mars 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/ccm/4424 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/ccm.4424

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Corinne Péneau

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