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Comptes rendus

David Townsend, éd. — An Epitome of Biblical History : Glosses on Walter of Châtillon’s « Alexandreis » 4.176-274 [edited from London, British Library, MS. Aditional 18217]

Anne Grondeux
p. 499-503
Référence(s) :

David Townsend et Gautier de Châtillon, An Epitome of Biblical History : Glosses on Walter of Châtillon’s « Alexandreis » 4.176-274 [edited from London, British Library, MS. Aditional 18217], Toronto, Pontifical Institute of Mediaeval Studies, 2008, VI-93 pp. (Toronto Medieval Latin Texts, 30).

Texte intégral

1Comptant parmi les succès les plus immédiats et les plus durables de la littérature médiolatine, l’Alexandréide de Gautier de Châtillon (vers 1171-1181) retrace la vie d’Alexandre le Grand en une épopée de quelque 5 500 vers, écrite dans les cercles humanistes gravitant autour de Guillaume aux Blanches-Mains (et non « des Blanches-Mains », comme le porte une coquille de la p. 2). D. Townsend édite ici, dans la collection d’accès large des Toronto Medieval Latin Texts, un commentaire autonome portant sur les vers 176 à 274 du livre iv, contenu dans le ms. Londres, British Library, Add. 18217, daté de la fin du xiv  Rappelons qu’il s’agit des vers célèbres qui décrivent, avec force détails et effets de réel, le tombeau élevé sur ordre d’Alexandre pour la femme de Darius et décoré par Apelle ; le pourtour du tombeau retrace l’histoire sainte depuis la création du monde, et fait appel à une riche iconographie puisée dans l’Ancien Testament. L’édition elle-même (p. 25-90) est précédée d’une introduction (p. 1-16), d’une bibliographie (p. 17-19) et d’une liste de manuscrits relatifs à l’Alexandréide (p. 20-22), qui parcourt toute la gamme des relations possibles entre un texte et ses gloses, de la glose peu abondante au commentaire autonome.

2L’Alexandréide a très tôt été perçue, lue et utilisée comme un texte scolaire, comme rappelé en introduction (même si le poème n’est pas mentionné par Evrard de Béthune comme fautivement indiqué p. 2, mais par Evrard l’Allemand, donc quelque trente ans plus tard). La phrase bien connue d’Henri de Gand atteste amplement la rapidité avec laquelle le poème a acquis ce statut : « Dans les écoles de grammaire, l’Alexandréide est si estimée qu’on en vient à négliger à son profit la lecture commentée des poètes anciens. » C’est dire si la question des commentaires, de leur parenté et de leur diffusion, est primordiale pour apprécier la réception de l’œuvre.

3D. Townsend rappelle à ce propos très judicieusement l’historiographie du sujet, en commençant par L. Bellanger, qui a été le premier à signaler en 1877 leur importance, dans la formation des esprits, par la diversité et la richesse des informations qu’ils véhiculent ; puis R. De Cesare dans les années 1950, qui s’est intéressé à leurs aires géographiques ; puis M. Colker qui a identifié en 1959 la partie commune de ce matériel comme étant l’œuvre de Geoffroy de Vitry, sur la base d’un distique trouvé dans un manuscrit d’Oxford, Corpus Christi College 211, et dans celui de Zurich, Zentralbibl. Rh. 98 : « sicut Alexandri superabit gloria tempus,/ uiuet Gaufridi Vitriacensis opus », avant d’éditer en 1978 l’Alexandréide accompagnée en annexe de quatre commentaires ; puis P. Stotz, qui a décrit en 1996 le ms. de Zurich et appelé à une édition critique qui serait fondée sur ce ms. ; puis C. Kellermann, qui a attiré en 1998 l’attention sur le fait que la relation entre l’œuvre de Geoffroy de Vitry et le commentaire standard n’était pas très claire (on se permettra d’ajouter à cette bibliographie A. Grondeux, « L’Alexandréide dans le cursus grammatical médiéval », Poesia Latina Medieval, 2005, p. 825-850, étude centrée sur la place faite à l’Alexandréide par les maîtres de grammaire).

4Il existe en effet un problème avec la notion de « standard » et par conséquent pour l’établissement d’un éventuel stemma, dans la mesure où les mss. survivants reflètent en réalité davantage des procédés complexes de sélection et d’adaptation opérés par des maîtres conscients de leur travail plutôt que des erreurs mécaniques. Le traitement des variantes ne saurait en conséquence être le même.

5Le choix d’éditer le commentaire du ms. Brit. Lib., Add. 18217 (analysé et comparé à d’autres codices de la British Library qui contiennent aussi des commentaires sur l’Alexandréide : Burney 312, Add. 30017 et Add. 20009) se justifie par ses particularités, au nombre desquelles sont à noter la date et la provenance du ms., établies par plusieurs mentions dans le ms. qui l’attribuent à un certain Thomas de Nimaze, écolier de Saint-Lambert de Liège en 1359.

6D’autre part, tandis qu’un nombre important de mss. survivants incluent une version du grand commentaire sur le passage du livre iv en glose interlinéaire et marginale, le ms. sélectionné a choisi de réserver aux vers 176-274 du livre iv un traitement à part. Le ms. contient en effet aux f. 5-117 le texte glosé de l’Alexandréide ; y figurent donc normalement aux f. 56v-58 les vers 176-274 du livre iv, mais ils sont à cet endroit accompagnés d’assez peu de gloses interlinéaires et marginales. Le commentaire sur la longue digression qui dépeint le tombeau vient immédiatement à la suite de l’Alexandréide, aux f. 118-132v. À cet endroit a été copié un commentaire autonome du passage décrivant le tombeau.

7Le statut de ce morceau détaché n’est d’ailleurs pas très clair, et il faut en outre soigneusement distinguer ce qui relève du texte, de son commentaire et de la copie de celui-ci dans le ms. édité. Pour ce qui est du texte de base, ce passage du poème était apparemment apte à constituer une entité autonome, ce qui suggère la possibilité d’une lecture indépendante du passage en question, un point de vue soutenu par des parallèles fournis par des passages de l’Alexandréide ayant acquis un statut similaire (p. 7).

8Pour ce qui est du commentaire en tant que tel, et non du témoin dans lequel nous le lisons, l’opinion de l’éditeur paraît être que le commentaire lui-même formait une entité autosuffisante. D. Townsend indique ainsi, vers le début de l’édition, à propos de la phrase « similiter de Corinto, de quo supra habuimus » : « probably a residual reference to a gloss on Alex. 1, 203 […] in an earlier stage of commentary on the full poem ». Il est bien évident que cette mention vient d’un commentaire portant sur l’ensemble du poème. Mais la qualification de « résiduelle » n’est-elle pas un peu aventurée ?

9Dans cette perspective, le maître qui voulait composer son propre commentaire en s’aidant de travaux antérieurs aurait repris et recopié cette mention quasiment par inadvertance, alors qu’elle ne lui serait d’aucune utilité puisque seule l’intéressait la description du tombeau. Cette étourderie évidemment envisageable est-elle vraiment compatible avec les processus de sélection soigneuse des gloses qui ont été mis en lumière par Colker, De Cesare et Killermann, et rappelés par D. Townsend (p. 5-6) ?

10D’autre part nous sommes ici dans les premières lignes du texte, donc dans un passage où le scribe n’est pas encore lassé de son travail et enclin à la copie irréfléchie. Il me semble que l’on pourrait donc envisager aussi la possibilité que l’auteur de ce commentaire ait volontairement offert aux maîtres chargés de lire l’Alexandréide le choix entre un commentaire minimal (celui qui figure à la place attendue en regard immédiat du texte dans le ms.) et le commentaire copieux, résumé d’histoire biblique et morceau d’anthologie dans sa description approfondie d’un monument imaginaire. C’est en tout cas ce que laisse penser la phrase initiale du commentaire (et là il est encore moins licite de soupçonner le maître de n’avoir pas médité ce qu’il faisait) : Interea (Alex. iv, 176) : « dum supradicta agerentur a Dario, Macedo, id est Alexander, condivit… » Il est manifeste que le commentaire est ainsi libellé pour venir s’insérer à la suite d’un commentaire qui a porté sur les événements supradicta, racontés plus haut. L’éditeur indique d’ailleurs que sa copie à la suite de l’Alexandréide, dans le ms. Brit. Lib., Add. 18217, troisième point à prendre en considération, a dû être pensée comme un supplément au texte du commentaire (p. 12).

11D. Townsend souligne judicieusement que dans le mss. les blocs de glose précèdent le texte commenté, signe de l’importance relative attachée aux deux textes : le texte principal, par son volume et sa place initiale, est clairement celui du commentaire. Sa taille volumineuse s’explique en partie, comme le rappelle l’éditeur, par le fait qu’il s’agit d’un commentaire tardif, qui fait une large place à l’accrétion. Il incorpore ainsi de longs passages de poésie biblique comme l’Aurora de Pierre Riga. Ces extraits sont le plus souvent cités de manière anonyme, et dans la recension de Gilles de Paris.

12Ils figurent aux côtés d’autres citations poétiques, de Virgile, Lucrèce, Horace, du pseudo-Theodolus (très fréquemment cité et de manière assez exacte d’ailleurs pour donner à penser que le commentateur ne le cite pas de mémoire mais en a une copie à portée de main), d’Alexandre d’Ashby et d’Hildebert de Lavardin. L’Historia scholastica de Pierre le Mangeur est largement mise à contribution, mais le texte biblique lui-même vient souvent, sous forme d’extraits collés bout à bout, soutenir le commentaire. On y ajoutera une citation de Bernard Silvestre, une citation certes unique et munie d’une attribution erronée à Augustin, mais qui a l’intérêt d’apporter aux auditeurs une perspective de cosmologie chartraine, dans un passage (ad IV, 182-184) qui présente un point complet sur les cosmologies antiques, chacune rattachée à « son » philosophe . On retrouve ici les notations très fines de L. Bellanger concernant la « culture générale » acquise par des générations au fil de la lecture de l’Alexandréide.

13Les gloses plus courtes sont par ailleurs conformes à la pratique médiévale et à la classification proposée par G. Wieland, rappelant le contexte, offrant synonymes et parallèles poétiques, et indiquant l’ordre des mots. On notera à ce propos le statut particulier d’un long résumé, indiqué en italique dans l’édition (l. 133-135), car il s’agit d’un passage peu commun où le commentateur a réécrit en quelques lignes le texte des vers iv, 129-132 dans l’ordre « logique » de la phrase.

14Le commentaire édité est, on l’a dit, tardif, ce qui explique son ampleur et sa richesse. Il est en effet le produit manifeste d’une compilation de commentaires et de gloses antérieurs, dont le montage laisse apercevoir en maints endroits la conflation qui a présidé à la collecte. Le terme funiculo (Alex. iv, 217) reçoit ainsi deux explications successives et légèrement différentes (l. 688-691). Il se rencontre fréquemment aussi des paragraphes introduits par uel aliter, qui annoncent des explications alternatives portant sur le même lemme que précédemment. Il est d’ailleurs remarquable que certains d’entre eux (voir ainsi l. 455-459) laissent entrevoir les traces d’un découpage lemmatique différent. Nous sommes en effet dans un passage du commentaire qui isole le vers iv, 207 en une seule unité lemmatique. Or le dernier des paragraphes consacrés à ce vers commence par un uel aliter qui explique non pas le vers iv, 207 comme l’on pourrait s’y attendre, mais les vers iv, 206 et 207, glosant « distractio (Ioseph) » par « uenditio » ; la même explication du terme figurait d’ailleurs à sa place en commentaire du vers iv, 206 (l. 401-402).

15Il faut absolument saluer l’initiative qui consiste à publier un commentaire médiéval. C’est en effet dans et par ces textes au statut incertain que passait tout l’enseignement médiéval, dans sa richesse et son oralité. L’exercice qui consiste à éditer ce type de texte est extrêmement difficile : ce ne sont pas des textes bien balisés, et tout en se rattachant aisément à une « famille », chaque commentaire constitue en soi un unicum. Une édition de ce type pose des problèmes de différents types, à commencer par celui de la mise en page du texte, qui impose d’emblée des choix à l’éditeur, contraint d’épuiser l’arsenal des moyens typographiques qui lui apparaissent rapidement très limités. Trois niveaux de texte cohabitent aisément dans une page médiévale : le commentaire sur une section donnée, qui se ramène en général à un bloc formé de trois à cinq vers ; le texte lui-même, écrit ici, comme souvent, à la suite du commentaire et sans souci des coupures de vers ; ses gloses interlinéaires enfin, insérées dans les interlignes du texte support. Le tout forme un ensemble complexe, dont le maniement est cependant rendu assez simple par les raffinements de la mise en page médiévale : l’utilisation de différents modules de caractères permet par exemple à la fois de distinguer aisément les différents types de textes et de les faire tous tenir dans un volume réduit.

16L’édition a très intelligemment choisi de restituer au plus près cette disposition : le fractionnement du texte commenté en unités lemmatiques reproduit exactement celui du manuscrit, et les gloses interlinéaires constituent, seul artifice concédé aux exigences de notre mise en page moderne, un troisième ensemble autonome où elles se lisent dans l’ordre alphabétique des lettres qui les représentent matériellement dans l’interligne de l’édition. Dans le manuscrit, les mots commentés sont soulignés, ce qui est ici rendu par des italiques. Cependant, contrairement aux principes éditoriaux annoncés en fin d’introduction, on trouve aussi parfois des uel en italiques qui ne signalent pas un lemme (voir par ex. p. 28, 69 ou p. 66, 1011), mais une autre possibilité interprétative, introduite par des guillemets simples ‘…’. Ce uel devrait, semble-t-il, être en caractères romains, puisqu’il est le fait du commentateur, à moins que ces italiques ne visent à rendre un soulignement du manuscrit, ce que l’introduction n’indique pourtant que pour les lemmes. On en rapprochera le mot ecce (l. 1600), qui ne correspond pas à un lemme, mais constitue une transition interne au commentaire lui-même.

17D’autres minimes flottements analogues se sont glissés dans le dispositif éditorial, comme celui qui consiste à employer le gras à la fois en titre de la section commentée (il sert alors à marquer des interventions de l’éditeur) et pour indiquer les vers de l’Alexandréide, ce qui est une façon commode de reproduire le module supérieur dans lequel les porte le manuscrit. Cependant l’emploi concurrentiel des deux types de gras brouille quelque peu le message ; peut-être aurait-il été intéressant de recourir à des petites capitales pour distinguer ces deux textes au statut disparate.

18Le respect de la graphie du manuscrit constitue un choix très éclairant pour l’appréciation de la prononciation contemporaine : on relèvera ainsi cigillis pour sigillis (p. 29 glose interlinéaire j), brachis pour braccis (l. 280), pinserne pour pincerne (l. 427), nosce qui a dû être corrigé en nosse (l. 607) pour lever la confusion ; peut-être aurait-il alors fallu appliquer le même traitement à cella mis pour sella (l. 790), dans la mesure où, là aussi, les graphies concurrentes renvoient à deux mots différents. Par ailleurs le parti-pris dans les conventions graphiques n’est pas toujours obvie : alors que le choix de la graphie u à la minuscule imposerait V à la majuscule, les deux graphies coexistent dans toute l’édition. On trouve ainsi l. 4 « Unde Ouidius » mais l. 20 « Vnde Horatius », ou encore l. 359 « Vnde in apparitione » mais l. 361 « Unde unum amplexatus est »…

19Une grande attention a été portée au respect du texte, ce qui se justifiait d’autant plus que ce ms. soigné est relativement peu fautif, sauf dans les graphies fantaisistes des noms bibliques, et a fait l’objet d’un certain nombre de corrections contemporaines. On peut d’ailleurs se demander si la correction (l. 420) de carcerem en carcere s’imposait (« in carcerem fuerunt cum eo pistor et pincerna regis »), dans la mesure où P. Stotz (Handbuch zur lateinischen Sprache des Mittelalters. IV. Formenlehre, Syntax und Stylistik, Munich, 1998, p. 251-52) signale la fréquence de ce type de construction (accusatif pour ablatif) au Moyen Âge ; mais il est vrai que cette correction s’appuie a contrario, ce qui apparaît dans l’introduction (p. 7-10) mais pas dans l’apparat, sur des parallèles repérés dans des commentaires puisant à la même source. On pourrait aussi hésiter à corriger avec l’éditeur (l. 467) colubrem en colubrum, ce type de flottement entre déclinaisons étant particulièrement bien documenté pour ce terme (p. Stotz, op. cit., p. 8, spéc. n. 46).

20Était-il de même utile de corriger (l. 379) et en uel ? Il n’est pas évident que l’aternative uel … uel ait existé d’emblée dans l’esprit du rédacteur, et la leçon et se comprend assez bien. De même le style, il est vrai parfois lourdement didactique propre au commentaire, a été tantôt respecté tantôt amendé ; on relèvera ainsi à la page 25 quod[que] patet, où l’on pourrait repérer l’une des précieuses traces d’oralité dont il est très justement question dans l’introduction (p. 14). On suggérera à l’inverse une correction possible l. 483 : « quidam uermis qui alio nomine locusta <dicitur> ». Ce sont cependant des difficultés inhérentes au choix d’éditer un commentaire, un texte souvent unique, pour lequel l’éditeur ne peut s’appuyer sur plusieurs témoins et se retrouve généralement seul face au texte.

21Concernant le vocabulaire médiolatin, on relèvera le très intéressant arpentum, refait sur l’afr. arpent (l. 689), ainsi que (l. 1382) longatio au sens de « longueur, durée » (« flebant pro exilii longatione »). Signalons également, pour ce qui touche au vocabulaire métalinguistique, les réflexions sur le terme manna (l. 535-537), visant à déterminer s’il est indéclinable ou de première déclinaison, et l. 544 concernant la place de l’accent aigu dans ce même mot. On relèvera aussi la présence de quelques figures, une prolepse peu justifiée (utilisée dans son acception rhétorique d’anticipation, « quando aliquid coniunctim dicitur primo et post diuisim », mais illustrée par des exemples à caractère grammatical, l. 609-610) ou une subiectio (l. 617).

22Ce commentaire est à la fois très particulier, par son ampleur et son sujet, une section limitée de l’Alexandréide, mais aussi très représentatif du genre. Son édition permet aujourd’hui de mieux comprendre à quoi servait la lecture du poème, et la culture qu’en retiraient les auditeurs, et de se représenter ce qui se transmettait dans une salle de classe médiévale.

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Pour citer cet article

Référence papier

Anne Grondeux, « David Townsend, éd. — An Epitome of Biblical History : Glosses on Walter of Châtillon’s « Alexandreis » 4.176-274 [edited from London, British Library, MS. Aditional 18217] »Cahiers de civilisation médiévale, 216 bis | 2011, 499-503.

Référence électronique

Anne Grondeux, « David Townsend, éd. — An Epitome of Biblical History : Glosses on Walter of Châtillon’s « Alexandreis » 4.176-274 [edited from London, British Library, MS. Aditional 18217] »Cahiers de civilisation médiévale [En ligne], 216 bis | 2011, mis en ligne le 01 juillet 2024, consulté le 15 janvier 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/ccm/18485 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/128t2

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