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Résumé

Programme de l’année 2016-2017 : I. Textes documentaires. — II. Papyrus littéraires.

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Texte intégral

1À la demande de M. Kaan Eraslan, doctorant, nous avons examiné un fragment d’une colonne d’un papyrus conservé au Musée du Caire (CGC 30799). Daté de l’époque perse par son éditeur, W. Spiegelberg, on y trouve la mention de « Grecs », toujours remarquable dans un texte égyptien antérieur à la conquête macédonienne, mais son état lacunaire ne permet guère de déterminer sa nature avec certitude. Bien que le mode narratif de la plupart des séquences conservées puisse à la rigueur convenir à un rapport circonstancié sur des faits réels, adressé à une autorité quelconque, la nature indubitablement romanesque de certains épisodes laisse plutôt supposer une fiction littéraire. Les lignes 2 à 4 peuvent être ainsi transcrites :

2) [… iw wn-]n3.w iw(=y) n p3 ym r P3-di-r-P3-R῾ n p3 wny d m-ir wrr r-r=y

3) […] =n i.ir=f ḏḏy r Q(y) (?) iwt=y irm n3 Wynn.w

4) […] r ir=s rmt ῾3.t n-r.=s 3y=y t3y(=y) gtn r-3yt.=y (?)

2) [… alors que] j’étais dans la mer et que Pétéhorprê était dans la lumière disant : « Dépêche-toi (de venir) vers moi »

3) […]… nous. C’est entre moi et les Grecs qu’il courut vers la butte (?)

4) […] … elle était une grande dame par elle-même (?). Je pris ma tunique sur mon (?) dos …

2Malgré le début des lignes en lacune, les bribes de texte préservées semblent évoquer un naufrage (dans lequel des Grecs seraient impliqués) mettant le narrateur en péril de noyade, tandis que son compagnon, ayant trouvé un refuge (« dans la lumière », c’est-à-dire au sec, sans doute sur le rivage), le presserait de le rejoindre. Il est en revanche difficile de deviner le rôle de la femme évoquée à la ligne 4 (et sans doute déjà mentionnée à la ligne 1 non citée ici). On regrette bien sûr la perte quasi totale d’un texte aussi intrigant.

  • 1 K.-T. Zauzich, « Schmähworte gegen einer Frau », Enchoria 18 (1991), p. 135-151. On ne tiendra guèr (...)
  • 2 Cf. Chicago Demotic Dictionary (on line), letter H, s.v. hwš (29 juin 2001), p. 30. 
  • 3 . Cf. G. Hughes, dans G. E. Kadish, G. E. Freeman (éd.), Studies in Philology in Honour R. J. Willi (...)

3La plupart des conférences de l’année ont été consacrées à la révision d’un important ostracon publié pour la première fois en 19911. Conservé dans la riche collection de la Bibliothèque nationale de Vienne où il est entré par don en 1899, sa provenance exacte est inconnue. L’écriture, très lisible, peut être datée, d’après l’éditeur, de la fin de l’époque lagide ou du début de l’époque romaine, et, en l’absence de parallèles probants, on se gardera d’être plus précis. Le propos est unique dans la littérature égyptienne, puisqu’il s’agit d’une suite d’invectives adressées à une femme, ainsi que l’indique le titre, bien mis en exergue par le scribe : n3 hwš.w n T3-bik.t « Copie des injures de Tbèkis ». La pièce qui suit semble en effet correspondre à cette annonce puisque le sexe de la victime outragée y est clairement indiqué par le pronom 2e personne féminin =t. L’éditeur a logiquement supposé que son offenseur devait être un homme, qu’on imaginerait mû par un violent dépit amoureux ou une misogynie obsessionnelle. Le nom féminin Tbèkis « la femelle faucon » serait ainsi lié au substantif hwš « injure » par un génitif objectif. Cependant, si un tel usage est effectivement attesté ailleurs2, l’emploi d’un génitif subjectif semblerait plus naturel3, l’objet de l’injure étant normalement précédé de la préposition r « contre » : p3 hwš n X r Y « l’insulte de X contre Y ». Aussi, pourrait-on plutôt comprendre le titre de l’ostracon comme « Les injures (proférées) par Tbèkis », auquel cas victime et agresseur appartiendraient au même sexe, éventualité qui n’avait pas été prise en compte par l’éditeur.

4La ligne 5 de l’ostracon indique pourtant fort clairement que la femme outragée ne peut pas se nommer Tbèkis : t3 yb.t m rn=s t3 wr3.t m rb=s « l’agnelle par son nom (mais) la maléfique par sa forme », l’invective usant cette fois de la 3e personne. L’éditeur a fort justement rapproché cette séquence d’un passage d’une autre œuvre littéraire démotique d’époque romaine, « Le harpiste dévoyé » (P.Wien KM 3877, 3,3) :

i.ir=w di.t rn=f (n) r-w3 iw šp-nq p3y p3y=f rn n mtr

C’est Horoudja le nom qui lui été a donné, alors que c’est « sodomite » son nom en accord.

  • 4 Cf. H.-J. Thissen , dans W. Clarysse, A. Schoors, H. Willems (éd.), Egyptian Religion. The Last Tho (...)

5Le procédé rhétorique est le même : il s’agit d’opposer le nom propre de la personne visée à son comportement réel, mais cela implique aussi que *T3-yb.t « L’agnelle », et non T3-bik.t, devrait être le nom de l’insultée. Cependant, celui-ci ne semble pas attesté dans l’anthroponymie égyptienne, pas plus que son éventuel équivalent masculin *P3-yb « L’agneau »4. L’auteur a donc fort probablement joué sur l’homophonie, presque parfaite à cette époque, entre yb « agneau » et hb « ibis », puisque le nom féminin T3-hb.t « L’ibis femelle » est en revanche plutôt commun, ce qui lui a permis de créer une opposition entre l’innocence et la douceur évoquée par l’image d’une petite brebis et la prétendue nature néfaste de la femme qui est censée porter un tel nom. Cette hypothèse est d’autant plus séduisante que l’association du faucon et de l’ibis, en tant que noms respectifs des deux protagonistes de cette joute verbale, jouerait sur un thème iconique fondamental de la culture pharaonique de cette époque, ces deux volatiles étant notoirement appariés comme hypostases des dieux Horus et Thot.

6Cette mise au point amène à reconsidérer la nature même de ce texte étonnant. Ces « invectives de la femme faucon (contre la femme ibis) » ne peuvent se comprendre que comme une tirade extraite d’une œuvre dialoguée mettant en scène deux mégères engagées dans une vive dispute dont l’objet pourrait être les faveurs d’un amant commun. L’extrait cité dans l’ostracon constituerait sans doute le point culminant de la pièce, remarquable par sa verve et digne d’être copié, à l’instar de la « tirade du nez » de Cyrano de Bergerac. Aucun parallèle n’est malheureusement connu dans ce qui nous est parvenu de la littérature égyptienne pharaonique. Tout juste pourrait-on évoquer le « Harpiste dévoyé » déjà cité, long poème satirique brocardant les travers d’un musicien raté, goinfre et profiteur, mais cette œuvre versifiée n’est pas dialoguée et ne comporte pas d’insultes scabreuses comparables à celles qui émaillent notre ostracon. Du côté de la littérature grecque dont l’auteur de ce texte aurait pu aussi s’inspirer, on pourrait songer aux mimes d’Hérondas, encore que ceux-ci sont loin d’en atteindre la violence verbale, et bien sûr aux fameuses comédies notoirement misogynes d’Aristophane.

7Si le caractère obscène et surtout scatologique de cette composition en est le trait le plus remarquable, l’abondance de mots rares et d’hapax, l’usage de métaphores et de jeux de mots complexes, ainsi que d’éventuelles allusions mythologiques incitent néanmoins à y voir une œuvre savante, quoique destinée à la distraction d’un public dont il est bien difficile de discerner les contours.

8S’il a été possible d’élucider plusieurs séquences dont le sens, et parfois même la lecture, avaient probablement échappé à l’éditeur, certaines résistent encore à nos tentatives d’interprétation. On pourra donner ici quelques extraits de cette œuvre curieuse traduits selon nos propres suggestions de révision, en laissant volontairement de côté les passages les plus scatologiques :

2) in mtw=t iy=s iw=s ir qws (n) st[y bin …]

3) qnb.t ῾r 3sy (n) n3 mr.w n s.m.t […]

4) s.m.t m.t qnb.t lf.t rmt.t n lbš […]

5) t3 yb.t m rn=s t3 wr3.t m rb=s t3 […]

9) tw=w ῾l=t r t3 nb3.t n t3 iše.t l-῾3.t 3y=w =t r-bnr n

10) d p3 snh wr3.t : “p3 hrw m-šm n=t (?)” gm=w mw n p3 ym (n) t3 iš.t r y῾ r=t

i.ir 9 ibd (n) ḥṱ (?) n mtr r p3y=t hrw

11) ms i.ir p3 hrw nty bw-ir=w d rn=f n mtr r p3y-ir 3y ῾l3=t

  • 5 Graphie phonétique de l’infinitif pronominal ir=t (copte ⲉⲓⲁⲧ).
  • 6 . Noter la forme iry du sm=f prospectif de ir.

12) t3 l.t p3y-ir iy.(=t)5 iry=f6 =t p3y-ir mnq=t mnq=f =t 3῾=f p3y=t iwf

13) [iw=f] we

2) Es-tu donc un démon femelle qui fait des pets [malo]dorants ?

3) Querelleuse enragée, fléau des amoureux des femmes […]

4) Femme volcanique, querelleuse échevelée, femelle en cuirasse […]

5) La petite brebis par son nom, (mais) la malfaisante par son allure, la […]

  • 7 Sur les implications mythologiques et rituelles de ce passage, cf. H.-W. Fischer-Elfert, « Der Ritt (...)

9) Qu’on te fasse monter au cou de la vieille truie7 et qu’on t’emporte dans … !

10) Puisse le conjurateur de maléfice dire : « Maintenant va-t-en ! ». Puisse-t-on

trouver de l’eau dans la bauge au cochon pour laver ton visage ! Si neuf mois de souffrance (?) ont satisfait à ton jour de

  • 8 Il s’agit probablement du jour de la mort, par opposition au jour de naissance.
  • 9 . Littéralement : « ta peau ». Les deux séquences précédentes construites en chiasme mettent en par (...)

11) naissance, le jour dont on ne dit pas le nom8 a satisfait celui qui a pris ton pucelage9 !

  • 10 . Le jeu sur la polysémie du verbe ir « faire », mais signifiant aussi « engendrer » ou « prendre ( (...)
  • 11 . Comme pour le verbe ir dans la phrase précédente, l’auteur joue sur l’ambigüité du verbe mnq « ac (...)

12) Ô la gosse ! Celui qui t’a faite, puisse-t-il te prendre10 ! Celui qui t’a parachevée, puisse-t-il te consommer11 ! Puisse-t-il laisser ta chair

13) [étant] souillée ! …

9D’autres fragments de textes littéraires ont été étudiés au cours de l’année. Le papyrus CGC 30692, d’époque ptolémaïque et publié pour la première fois par W. Spiegelberg en 1905, offre une colonne presque complète d’un conte appartenant au corpus des aventures de Setné-Khâemouasé, mais son état ne permet guère de suivre un fil narratif qui apparaît de surcroit plutôt complexe. Le début des lignes manque en effet sur une largeur suffisamment importante pour qu’il soit très difficile de relier deux lignes consécutives par une restitution convaincante. Les mentions de Nanéferkaptah et d’Inarôs, frère de lait de Setné, rapprochent ce texte du premier conte de Setné, mais il est impossible qu’il en livre une partie du début perdu, tant la nature du récit semble divergente. Néanmoins, comme dans tous les épisodes connus des aventures du héros, il est question de voyages dans l’au-delà et de confrontations avec des esprits bien ou mal intentionnés. Le récit de la découverte par Setné d’une tombe oubliée (l. 7-12) est remarquable :

7) … pr tw3y n p3y=f rsy mš῾ Stn r t3 3s.t n Mn-nfr

8) […] r t3 3s.t n Mn-nfr hy3 tre irm ῾bq iw=w wy 3.t=f iw=w ῾š3 iw=w ir g῾g῾ fy=w 3.t=f š῾-tw=f šms=w (?)

9) […] Stn 33=f bn-pw=f nw r n3 tre.w irm n3 ῾bq.w di Stn tfy=w p3 iny šm=f (r) ry r p3 m3῾

10) [… t3 w]s.t wn (?) m-1.t n Imntt i.ir=f gm t3 ws.t wn (?) m-1.t n Imntt iw=s qd n iny yby iw=s ḥḏy n nbw iw=s s n twt

11) […] w῾ twt n n3 Pr-῾3.w (?) n t3 ws.t rn=s r w῾ rmt -ntr (n) 33=f md p3 rmt -ntr irm Stn d Stn i ir=f p3 ῾῾ mn (?) P3-R῾

12) […] =fbw-ir=f swr wnm bw-ir=f ms r hrw ῾ny bw-ir=f sr irm s.m.t bw-ir=f 3y šr mtw=f (n) qny=f

  • 12 . L’hypogée, sans doute royale, est décrite comme s’il s’agissait du royaume d’Osiris lui-même (« l (...)
  • 13 . Cette expression désigne peut-être le marbre blanc.
  • 14 . Littéralement : « un homme de la nécropole ».
  • 15 . Ce passage évoque la triste existence des défunts dans l’au-delà, le commentaire qu’en a donné K. (...)

… Arriva l’aube du lendemain, Setné marcha vers la nécropole de Memphis. [… Quand il fut] en bas (?) de la nécropole de Memphis, des milans et des corbeaux s’affalèrent en se jetant devant lui, en grand nombre et en croassant, ils s’envolèrent alors devant lui jusqu’à ce qu’il les suivît (?) [… il parvînt au pied de la falaise, près d’une grosse pierre qui dissimulait un passage.] Setné [leva alors] la tête et il ne vit plus les milans et les corbeaux. Setné fit enlever la pierre et il descendit dans le lieu [… Il pénétra dans la] première salle ouverte (?) de l’Occident12. Il la trouva étant construite en pierre d’ivoire13, plaquée d’or et gravée de figures [… il y avait] une statue des Pharaons (?) dans la salle en question, tandis qu’un défunt14 était (juché) sur sa tête. Le défunt s’adressa à Setné en disant : « Setné, puisses-tu durer autant que le dieu Rê [… » Il se lamenta ensuite car] il ne pouvait ni boire ni manger, il ne pouvait plus participer à de belles fêtes, il ne pouvait plus coucher avec une femme, il ne pouvait plus serrer un enfant à lui dans ses bras15

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Notes

1 K.-T. Zauzich, « Schmähworte gegen einer Frau », Enchoria 18 (1991), p. 135-151. On ne tiendra guère compte de la réédition du texte par W. Brunsch, « Un précurseur démotique de Henry de Montherlant (O. Vienne no D 70) », Revue roumaine d’égyptologie 2-3 (1998-1999), p. 5-18, exagérément polémique.

2 Cf. Chicago Demotic Dictionary (on line), letter H, s.v. hwš (29 juin 2001), p. 30. 

3 . Cf. G. Hughes, dans G. E. Kadish, G. E. Freeman (éd.), Studies in Philology in Honour R. J. Williams, Toronto, 1982, p. 63, n. à la l. II/8.

4 Cf. H.-J. Thissen , dans W. Clarysse, A. Schoors, H. Willems (éd.), Egyptian Religion. The Last Thousand Years (Studies dedicated to the memory of Jan Quaegebeur), Louvain, 1998, p. 1047.

5 Graphie phonétique de l’infinitif pronominal ir=t (copte ⲉⲓⲁⲧ).

6 . Noter la forme iry du sm=f prospectif de ir.

7 Sur les implications mythologiques et rituelles de ce passage, cf. H.-W. Fischer-Elfert, « Der Ritt auf der Sau », dans S. L. Lippert, M. A. Stadler (éd.), Gehilfe des Thot – Festschrift für K.-Th. Zauzich zu seinem 75. Geburtstag, Wiesbaden, 2014, p. 43-50.

8 Il s’agit probablement du jour de la mort, par opposition au jour de naissance.

9 . Littéralement : « ta peau ». Les deux séquences précédentes construites en chiasme mettent en parallèle le martyre prétendument subi par la mère durant sa grossesse et la mort qui est censée avoir frappé le premier amant de sa fille.

10 . Le jeu sur la polysémie du verbe ir « faire », mais signifiant aussi « engendrer » ou « prendre (pour femme) », est bien sûr difficilement traduisible.

11 . Comme pour le verbe ir dans la phrase précédente, l’auteur joue sur l’ambigüité du verbe mnq « achever ». Dans ces deux séquences parallèles, il est évidemment question de supposés rapports incestueux entre le père et sa fille.

12 . L’hypogée, sans doute royale, est décrite comme s’il s’agissait du royaume d’Osiris lui-même (« l’Occident »), avec une succession de salles numérotées, comme dans le second conte de Setné-Khâemouasé (P. BM 10822) où l’on voit ce dernier visitant l’au-delà, guidé par son fils Siousir.

13 . Cette expression désigne peut-être le marbre blanc.

14 . Littéralement : « un homme de la nécropole ».

15 . Ce passage évoque la triste existence des défunts dans l’au-delà, le commentaire qu’en a donné K.‑T. Zauzich, Enchoria 6 (1976), p. 79-82, est biaisé par des erreurs de lecture, cf. J. F. Quack, Einführung in die altägyptische Literaturgeschichte, III. Die demotische und gräko-ägyptische Literatur, Münster, 2005, p. 35, n. 54.

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Pour citer cet article

Référence papier

Michel Chauveau, « Démotique »Annuaire de l'École pratique des hautes études (EPHE), Section des sciences historiques et philologiques, 149 | 2018, 7-11.

Référence électronique

Michel Chauveau, « Démotique »Annuaire de l'École pratique des hautes études (EPHE), Section des sciences historiques et philologiques [En ligne], 149 | 2018, mis en ligne le 11 juillet 2018, consulté le 25 mars 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/ashp/2146 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/ashp.2146

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Auteur

Michel Chauveau

Directeur d'études, M., École pratique des hautes études — Section des sciences historiques et philologiques

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