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1. Expertiser

Pour un nouveau programme de recherche à Sanghol

For a new research programme in Sanghol
Por un nuevo programa de investigación en Sanghol
Jean-Yves Breuil et Marilyne Bovagne
p. 14-19

Résumés

Le site indien de Sanghol, dans le Penjab, est renommé pour la durée de son occupation et pour son patrimoine bouddhique. Un nouveau projet de recherche se trouve en construction, conduisant à une collaboration franco-indienne qui nécessite l'expertise des archéologues de l'Inrap. La période kouchane demeure la mieux identifiée, avec un ensemble politique et religieux comprenant une zone palatiale, un établissement bouddhique avec un stūpa principal et un autre ensemble monacal. Le programme de recherche vise à comprendre le site dans son ensemble, en exploitant les données des anciennes fouilles et en optimisant les futures opérations archéologiques (cartographie, préservation et valorisation de Sanghol).

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Texte intégral

1Sanghol, au Penjab, est l’un des sites archéologiques principaux d’Inde nord-occidentale. Il est situé dans une région de plaine, intermédiaire entre le Gandhara et Mathura, à proximité de la rivière Sutlej et des anciennes voies de communication entre le Nord-Ouest et les régions du Sud (dakshināpatha, la route du Sud) et entre le Nord-Ouest et Pataliputra à l’est (uttarāpatha, la route du Nord). Il est occupé depuis 4000 ans, s’étend sur près de 75 hectares et atteint, à son point culminant, 18 mètres d’épaisseur stratigraphique. C’est un site d’importance majeure en Inde du Nord, tant pour la durée de son occupation que pour son patrimoine bouddhique : il est renommé notamment pour ses stūpas et sculptures du début de l’ère chrétienne.

2Les nombreuses fouilles conduites par le Punjab Department of Archaeology et l’Archaeological Survey of India ont donné lieu à un nombre extrêmement restreint de publications. De fait, bien que suscitant maintes attentes dans la communauté scientifique, en particulier en tant que référence régionale, l’histoire du site-phare du Penjab demeure très méconnue.

3Himanshu P. Ray, professeur d’histoire à la Jawaharlal Nehru University de New Delhi, initiant un nouveau projet de recherche sur Sanghol, a sollicité une équipe de spécialistes (M. Bovagne, J.-Y. Breuil et S. Gill, historienne de l’art indien) pour une première mission d’expertise de deux semaines qui s’est déroulée en mars 2010. L’objectif de cette investigation préliminaire était de soumettre des propositions contribuant à définir le futur programme de recherche archéologique.

Situation

4Sanghol se situe à 250 km au nord-nord-ouest de New Delhi, sur un axe majeur reliant deux grandes villes du Penjab, Ludhiana (à 54 km) et Chandigarh (à 40 km) [Fig.1]. Localement connu sous le toponyme « Ucha Pind », le village, à vocation agricole et commerciale, compte environ 7 000 habitants. Il s’étend majoritairement sur un monticule d’origine anthropique [Fig.2] et, hormis une réserve archéologique au nord-est du village, dans laquelle se situe une partie des fouilles anciennes, la colline et ses pentes sont complètement urbanisées. Les autres parcelles environnantes sont dévolues à l’agriculture. L’expansion du village se fait parfois au détriment des vestiges archéologiques sous-jacents. Un exemple parmi d’autres : des vestiges, récemment mis au jour lors des travaux d’agrandissement d’une école (Gvt High School), ont rapidement été escamotés. Les villageois, craignant souvent (à tort) l’expropriation à cause de la question archéologique, préfèrent taire les découvertes fortuites.

[Fig.1] Le site de Sanghol.

[Fig.1] Le site de Sanghol.

Margabandhu, Gaur, 1988

[Fig.2] Vue générale du village installé sur le tell.

[Fig.2] Vue générale du village installé sur le tell.

DR

5La topographie actuelle traduit l’existence de la cité ancienne. Le tell, qui culmine à 291 m d’altitude, est haut d’une vingtaine de mètres ; il mesure 500 m d’est en ouest et 400 m du nord au sud. Il présente des parois abruptes sur trois de ses côtés et un pendage plus léger vers l’est. À l’intérieur du village, certaines rues circulaires pérennisent probablement une structuration plus ancienne.

6Les vestiges archéologiques connus ne se limitent pas au tell. Les 13 campagnes réalisées entre 1969 et 1990, qui ont généré 13 secteurs de fouilles différents, ont permis de mettre en évidence l’étendue du site sur au moins 1 400 m d’est (« Sanghol 2 ») en ouest (« Sanghol 11 »), et 500 m du nord (« Sanghol 10 ») au sud (« Sanghol 4 »). Les données issues de ces fouilles n’ont fait l’objet d’aucune publication importante. Cependant il est possible, à partir des comptes rendus succincts publiés annuellement dans Indian Archaeology A Review (Iar) d’esquisser les grands traits de la séquence stratigraphique et de l’organisation spatiale du site.

Chronologie

7Globalement, les fouilles anciennes ont mis en évidence huit grandes phases inégalement représentées dans les 13 zones investies (Michon, 2010). L’occupation du site s’étend, de manière continue, de la période harappéenne tardive, vers 1 900 avant l’ère chrétienne, jusqu’à l’époque de l’empire Gupta (320-600). L’ensemble des trouvailles attestent clairement la succession des diverses cultures matérielles jusqu’au vie siècle de notre ère : Harappa, Bara, Painted Gray Ware, Black Slipped/ Northern Black Polished Ware, Indo-Parthe, Kouchane et Gupta. Ensuite, quelques traces des invasions des Indo-Hephthalites (Huns) au vie siècle, puis des campagnes musulmanes à la suite de la conquête du Sind (à partir du viiie siècle) semblent avoir été identifiées dans certaines zones du site. Après un possible hiatus de 200 ans, l’occupation reprend vers 1 200 pour se poursuivre jusqu’à nos jours.

Structuration spatiale

8La distribution des vestiges au gré des différents secteurs de fouille permet d’ébaucher une première organisation spatiale générale du site. Les cultures « protohistoriques » (de Harappa à la NBP Ware) caractérisées par une architecture de brique crue semblent circonscrites au monticule principal. Cependant, aucun plan d’ensemble des structures n’a encore été esquissé.

9La phase kouchane (ier-iie siècles de notre ère) est la mieux identifiée dans le paysage de Sanghol. Sur le sommet du tell protohistorique, plusieurs mètres de stratigraphie attestent de nombreux états architecturaux relatifs à de l’habitat faisant usage de la brique cuite. La partie basse, au nord-est, est aussi investie ; au lieu-dit Hathiwara [Fig.3] est ainsi érigé un ensemble bâti dit « palatial » comportant un mur de fortification quadrangulaire, des bâtiments administratifs et des habitations. Un rempart de terre a également été mis en évidence dans ce secteur. Il a pu endiguer les crues de la Sutlej dont le parcours ancien, qui se devine à l’examen de la topographie actuelle, bordait vraisemblablement Sanghol. Cet affluent de l’Indus, dont le cours actuel passe à près de 15 km plus au nord, est l’un des éléments constitutifs importants du paysage ancien de Sanghol. À environ 250 m au nord-est (Sanghol 5), un établissement bouddhique de la période kouchane, comprenant un stūpa principal et d’autres aménagements (petits stupas, monastère), a été mis au jour. Cent dix-sept éléments de la balustrade sculptée du stupa principal ont été découverts soigneusement rangés dans une fosse à proximité [Fig.4]. Cette balustrade en grès rose tacheté, représentant des déesses féminines, est caractéristique des productions des ateliers kouchans de Mathura, situé 400 km plus au sud (Gill, 2010). Elle illustre l’importance de Sanghol dans le paysage politique et religieux de l’Inde du Nord. L’implantation inhabituelle de cet établissement bouddhique en très proche périphérie d’un ensemble urbain est une autre problématique importante de la recherche sur Sanghol. Un autre ensemble monacal contemporain du stupas, découvert 450 m encore plus au nord-est, sur un terrain a priori dépourvu de vestiges antérieurs, atteste l’extension de l’occupation de Sanghol au iie siècle de notre ère. Enfin, des témoignages plus discrets datés des phases Gupta et médiévales ont été identifiés sur le tell, et aussi en contrebas, au sud-est du village (Sanghol 8) montrant la permanence de l’occupation sur une superficie importante.

[Fig.3] Vestiges conservés sur le site du complexe d’Hathiwara.

[Fig.3] Vestiges conservés sur le site du complexe d’Hathiwara.

DR

[Fig.4] Un élément sculpté de la balustrade du stupa principal.

[Fig.4] Un élément sculpté de la balustrade du stupa principal.

DR

Constats de la mission

10Cette description très succincte de l’histoire de Sanghol laisse évidemment en suspens de nombreuses questions et souffre de l’absence cruelle d’une cartographie et d’une synthèse reliant entre elles les séquences stratigraphiques et les données des 13 zones de fouille. Aucune étude n’a exploité les données archéologiques dans leur globalité, ni rendu compte de Sanghol dans son intégralité, tant diachronique que topographique. Seule une partie des sculptures mises au jour en 1984 a été rapidement publiée (Gupta, 1985) ainsi qu’un ensemble de monnaies (Sharma, 1986). Au-delà des notices de fouilles parues annuellement, mais dépourvues de plan et de stratigraphie (Iar), il existe aussi deux courts articles concernant les campagnes des années 1986 et 1987 (Margabandhu, Gaur, 1987 et 1988). Le volume paru en 2010 sous la direction de H. P. Ray (Ray, 2010) recueille une douzaine d’articles divers (histoire, histoire de l’art et archéologie) sur la documentation de fouille, l’histoire du Penjab ou encore les sculptures kouchanes. Inaugurant en quelque sorte le nouveau programme de recherche archéologique, cette édition pourrait être le premier élément initiant une véritable politique de publication des données sur et autour de Sanghol.

  • 1 La quasi-intégralité de la documentation conservée à Chandigarh a été numérisée lors de la mission (...)

11Un examen préliminaire, mais détaillé, de la documentation de fouille montre qu’elle est actuellement partielle, endommagée et éparpillée en trois lieux (au Department of Archaeology à Chandigarh1, au Purana Qila Museum à Delhi, et à Qila Mubarak à Patiala).

12Les collections archéologiques sont en partie conservées au Musée archéologique de Sanghol, notamment la majorité des sculptures pour lesquelles il a été construit, mais également dans les trois autres lieux mentionnés pour la documentation. De manière générale, l’état de conservation et l’accessibilité de la documentation archéologique (documents et objets) sont problématiques.

13Deux visites du site ont permis d’aborder la morphologie et la structuration générale de l’occupation humaine et de localiser les différents secteurs de fouille dans la perspective d’une future cartographie et d’une évaluation des zones en danger, des secteurs à investir prioritairement, des secteurs à fort potentiel stratigraphique, etc.

14Grâce à la mémoire d’anciens fouilleurs, il a été possible d’identifier, parfois difficilement, l’emplacement exact de chacune des treize emprises de fouille [Fig.1]. Trois zones, le « complexe palatial » d’Hathiwara (Sanghol 1), l’ensemble religieux du grand stupas (Sanghol 5) et le monastère plus éloigné (Sanghol 11), font l’objet d’un « classement » par l’Archaeological Survey of India, autorité compétente en matière de fouille et de conservation, et constituent des parcs archéologiques clos dans lesquels de futures fouilles sont inenvisageables. Dans ces trois parcs, les vestiges, apparemment ceux visibles dans les derniers temps de la fouille, ont été restaurés/restitués ; il s’agit d’architecture en brique cuite appartenant à l’occupation kouchane [Fig.3]. Les autres zones de fouilles ont été soit remblayées pour l’aménagement du village, soit laissées ouvertes depuis plus d’une vingtaine d’années à la grâce des troupeaux de chèvres, comblées progressivement par l’érosion des bermes et les détritus. Il n’y a pas de surveillance archéologique mise en place lors des travaux d’aménagement effectués dans le village.

Propositions

  • 2 Cette table ronde réunissait d’anciens acteurs de l’archéologie à Sanghol, dont plusieurs archéolog (...)

15Nous avons fait le choix d’articuler notre contribution au futur programme de recherche archéologique autour des points suivants : réinvestir, sauvegarder, analyser et diffuser les recherches anciennes ; optimiser les nouvelles interventions archéologiques ; intégrer une dimension pluridisciplinaire et multi-partenariale dans le nouveau projet ; développer une politique de protection et de valorisation du site. Ces aspects ont été développés lors d’un colloque/table ronde « Sanghol and the archaeology of Punjab » qui s’est tenu à New Delhi les 15 et 16 mars 20102, à travers une communication intitulée « A few proposals for a future archaeological research on Sanghol site » (Bovagne, Breuil, Gill). L’objectif est une compréhension « holistique » du site en termes de chronologie, de référentiel culturel, de restitution paysagère et d’insertion dans l’histoire régionale.

16Il paraît d’abord urgent d’entreprendre les deux actions suivantes : rassembler, numériser et synthétiser les données anciennes et mettre en œuvre un relevé cartographique général du site.

17Les différentes fouilles se répartissent en effet de manière assez homogène au sein du village et de ses faubourgs cultivés. L’analyse synthétique de l’ensemble des données pourra alors permettre de restituer la topographie ancienne du site. Ce travail passe en premier lieu par la stabilisation et l’inventaire de la documentation de fouille. Son exploitation s’avère assez complexe. Partielle, inégalement conservée d’un carré de fouille à l’autre, inexistante pour certains secteurs, il paraît nécessaire de l’exploiter suffisamment, sans pour autant investir trop de temps et d’énergie pour un résultat encore incertain. Par ailleurs, numériser et inventorier les données permettent de les sauvegarder de manière plus sûre et de les rendre accessibles à un plus grand nombre. Cette démarche doit s’accompagner de la mise en place d’une base de données relationnelle commune aux différents chercheurs.

  • 3 Lors de la communication, en appui de cet aspect, a été présenté un poster traitant des différentes (...)

18Une seconde action prioritaire est d’établir une cartographie complète et détaillée du site. Cette cartographie est l’outil indispensable pour traiter les données anciennes (géo localisation des données), comprendre dans le détail la topographie du site, établir un plan des secteurs menacés et déterminer les futures zones de fouille3.

19Un troisième temps serait, à l’aune des deux actions précédentes, de pratiquer des tranchées d’évaluation ciblées, en fonction du plan d’urbanisation. L’intervention archéologique doit forcément intégrer une dimension pluridisciplinaire, notamment géomorphologique, afin de comprendre l’évolution du site dans son environnement naturel.

20D’autre part, il est important de mettre en place au sein même du village un travail de préservation et de valorisation des vestiges. La sensibilisation des villageois au patrimoine archéologique pourrait passer par la mise en place d’une signalisation des vestiges (quasi inexistante), par des actions de valorisation à travers le musée de Sanghol, et par la formation de guides et gardiens locaux. Il s’agit d’améliorer la connaissance du site et de favoriser la collaboration des habitants et des instances locales.

21Le nouveau projet de recherche doit fédérer les différents acteurs de l’archéologie concernés par Sanghol et les impliquer dans une démarche commune de publication des données et de préservation patrimoniale. L’intervention de diverses institutions indiennes sur le site de Sanghol a contribué à fractionner et éparpiller l’information archéologique, mais leur intérêt renouvelé dans ce projet témoigne de sa valeur et peut être un gage de réussite, même si cela complexifie le processus de décision et de mise en œuvre. Force est de constater l’absence étonnante, au sein des organismes indiens (peut-être due en partie à la régression du nombre de fouilles ces dernières années), d’une nouvelle génération d’archéologues susceptibles de gérer ce type d’intervention et de fédérer des intérêts institutionnels distincts. L’intervention sur ce genre de site relève, d’une certaine façon, davantage des méthodes de l’archéologie préventive que des habitudes de l’archéologie programmée : optimisation des interventions sur une courte durée, accommodation de la recherche et des aménagements et travail en multi partenariat. C’est l’ensemble de ce défi qu’une collaboration extérieure à l’administration indienne, celle des archéologues de l’Inrap par exemple, pourrait relever.

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Bibliographie

Gill S., 2010, « Celestial women in a ring around the Buddhist stūpa: the case of Sanghol », in Ray H.P. (éd.), Sanghol and the Archaeology of Punjab, New Delhi, p. 129-151.

Gupta S. P. (éd.), 1985, Kushana sculptures from Sanghol (1st-2nd AD). A recent discovery, National Museum, New Delhi.

Indian Archaeology – A Review, « Exploration and Excavations: excavation at Sanghol, district Ludhiana », 1968-69, 1969-70, 1970-71, 1971-72, 1972-73, 1977-78, 1980-81, 1984-85, 1985-86, 1986-87, 1987-88, 1988-89, 1989-90.

Margabandhu C., Gaur G. S., 1987, « Some fresh evidence from Sanghol excavations, 1986 », Purāttna, n° 16, New Delhi, p. 74-78.

Margabandhu C., Gaur G. S., 1988, « Sanghol excavations 1987: some new evidences », Purātattva – Bulletin of the Indian Archaeological Society, n° 17, New Delhi, p. 1-5.

Michon D., 2010, « The Excavation at Sanghol in Context », in Ray H. P. (Éd.) Sanghol and the Archaeology of Punjab, New Delhi, p. 69-106.

Ray H. P.(éd.), 2010, Sanghol and the Archaeology of Punjab, New Delhi.

Sharma G. B., 1986, Coins, seals and sealings from Sanghol, Department of Cultural Affairs, Archaeology and Museums, Punjab.

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Notes

1 La quasi-intégralité de la documentation conservée à Chandigarh a été numérisée lors de la mission de mars 2010.

2 Cette table ronde réunissait d’anciens acteurs de l’archéologie à Sanghol, dont plusieurs archéologues de l’Archaeological Survey of India et du Department of Archaeology of Punjab ayant fouillé le site de Sanghol dans les années 1970 et 1980, et des chercheurs en archéométrie, cartographie, histoire de l’art et archéologie, potentiellement impliqués dans le nouveau projet de recherche. La table ronde a permis d’aborder également d’autres sites archéologiques du Penjab et l’histoire récente de cet État.

3 Lors de la communication, en appui de cet aspect, a été présenté un poster traitant des différentes échelles d’études et possibilités liées à un système d’information géographique (Sig). Ce poster a été réalisé par Séverine Sanz, archéologue au Cnrs (Umr 5140 de Lattes), et membre du réseau Isa.

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Table des illustrations

Titre [Fig.1] Le site de Sanghol.
Crédits Margabandhu, Gaur, 1988
URL http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/archeopages/docannexe/image/740/img-1.png
Fichier image/png, 312k
Titre [Fig.2] Vue générale du village installé sur le tell.
Crédits DR
URL http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/archeopages/docannexe/image/740/img-2.jpg
Fichier image/jpeg, 288k
Titre [Fig.3] Vestiges conservés sur le site du complexe d’Hathiwara.
Crédits DR
URL http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/archeopages/docannexe/image/740/img-3.jpg
Fichier image/jpeg, 340k
Titre [Fig.4] Un élément sculpté de la balustrade du stupa principal.
Crédits DR
URL http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/archeopages/docannexe/image/740/img-4.jpg
Fichier image/jpeg, 221k
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Pour citer cet article

Référence papier

Jean-Yves Breuil et Marilyne Bovagne, « Pour un nouveau programme de recherche à Sanghol »Archéopages, Hors-série 2 | 2010, 14-19.

Référence électronique

Jean-Yves Breuil et Marilyne Bovagne, « Pour un nouveau programme de recherche à Sanghol »Archéopages [En ligne], Hors-série 2 | 2010, mis en ligne le 01 octobre 2010, consulté le 18 février 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/archeopages/740 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/archeopages.740

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Auteurs

Jean-Yves Breuil

Inrap

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