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2. Nouveaux tracés, nouvelles problématiques

Le petit tracé linéaire, un nouveau type d’opération archéologique

The small linear development, a new type of archaeological operation
El pequeño trazado lineal, un nuevo tipo de operación arqueológica
Richard Rougier
p. 46-49

Résumés

La diversification des types de travaux suivis par l’archéologie préventive a généré ces dernières années de nouvelles formes de recherches, qui portent sur des espaces restreints, choisis en connaissance de cause en raison de la présence quasi sûre de vestiges. Porteuse de résultats spectaculaires, leur mise en œuvre requiert le plus souvent une forte maîtrise technique et une connaissance appuyée de leur contexte scientifique. Des exemples l’illustrent relatifs aux fortifications de Soissons, à un cimetière et à un habitat carolingien à Mortefontaine, et à la porte Bellon à Senlis.

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Texte intégral

  • 1 Des données chiffrées nationales sont disponibles dans le Panorama de la quantification de l’évolut (...)
  • 2 Les statistiques réalisées en 2014 pour le diagnostic territorial de la région Picardie montrent qu (...)

1Depuis quelques années, la tendance générale est à une réduction des surfaces consacrées à l’aménagement du territoire, traduisant en cela la double volonté sociétale de préserver les espaces agricoles et naturels et de densifier le tissu urbain existant1. Une conséquence directe de ce mouvement est la diminution des surfaces investiguées par l’archéologie préventive, particulièrement visible sur les diagnostics dont les surfaces diminuent et dont la surface moyenne est en recul2. Parallèlement, les interventions archéologiques concernent de nouveaux espaces délaissés jusqu’à présent, situés par exemple dans les bourgs ou les centres de petites localités. Ce resserrement des surfaces se traduit par une adaptation des prescripteurs qui s’intéressent désormais à une palette plus diversifiée de travaux, pour peu qu’ils touchent des secteurs au fort potentiel archéologique. Parmi ces travaux, on trouve notamment tous ceux qui portent sur la requalification ou le renforcement des réseaux d’alimentation (électrique, télécoms, eau, etc.), qui génèrent une forme d’emprise jugée peu attractive jusqu’à récemment, le petit tracé linéaire. « Linéaire » par sa forme spécifique en longueur, et qualifié de « petit » car il concerne de faibles emprises. Ces opérations sont souvent complexes dans leur mise en œuvre, mais productives sur le plan scientifique car bien ciblées sur des objectifs identifiés au préalable. Dans ce nouveau cadre, la réflexion scientifique s’appuie sur une compilation, au long terme, d’opérations ponctuelles réalisées dans un même secteur ou sur une même commune.

L’émergence d’une tendance

  • 3 L’ONCEA signale qu’entre 2000 et 2012, la consommation des terres agricoles pour l’urbanisation a t (...)
  • 4 On peut considérer que les premières opérations sur gazoduc rentraient dans la catégorie du petit l (...)

2En 2006, lors de la table-ronde tenue à Châlons-en-Champagne, une réflexion avait été engagée au sujet de la taille importante des zones traitées par l’archéologie préventive. L’une des questions débattue par les intervenants tournait autour des seuils de surface jugée nécessaire pour obtenir un échantillon territorialement représentatif des occupations anciennes (Brun et al., 2006). Les communications étaient illustrées par de nombreuses opérations archéologiques engagées sur de vastes surfaces, plusieurs dizaines à plusieurs centaines d’hectares chacune, engendrées par des travaux d’aménagement eux-mêmes gigantesques (plateformes de Dourges et d’Actiparc dans le Nord, aéroport de Vatry en Champagne, zones d’activités de la plaine de Caen en Normandie pour n’en citer que quelques-unes). Ces chantiers reflétaient en cela la typologie d’un grand nombre d’opérations sur lesquelles étaient intervenus les archéologues dans la décennie qui précédait3. Cette archéologie des grandes surfaces était louée pour la qualité et l’abondance de ses résultats scientifiques, elle permettait de dégager l’idée de réseaux de sites archéologiques. À cette époque pas si lointaine, rien ne laissait deviner une évolution, qui tend à la multiplication des interventions sur des emprises réduites. Ce genre d’opération archéologique, le « petit linéaire », avait été souvent négligé et qualifié un peu hautainement par certains de « fournisseur d’information pour la carte archéologique ». Quelques chantiers précurseurs avaient montré la voie, par exemple les gazoducs suivis au cours de la décennie 1990. Ils avaient montré tout leur intérêt avec des découvertes parfois spectaculaires et l’ouverture de problématiques spécifiques4. Désormais, les gazoducs génèrent des chantiers de grande ampleur et ils n’entrent plus dans la catégorie ciblée ici [cf. article du même auteur].

Les caractéristiques du « petit linéaire »

  • 5 Opérations mises en œuvre depuis 2012, récemment achevées ou en cours, suivant l'accord-cadre pluri (...)

3Les tracés linéaires classiques recouvrent de façon évidente pour tout le monde les grands projets d’aménagement du territoire tels que les autoroutes ou les lignes ferroviaires à grande vitesse, qui se sont succédé depuis le milieu des années 1980. Ils ont si durablement marqué le paysage archéologique que certaines régions ont axé sur eux une partie de leur recherche. C’est le cas de la Picardie qui a vu la construction, en 15 ans, d'une ligne TGV et de cinq tracés autoroutiers, entraînant des découvertes inédites par centaines qui ont renouvelé profondément les problématiques scientifiques (Bayard et al., 2011) [cf. article de Didier Bayard]. Leur définition parle à chacun : grande largeur du tracé (jusqu’à 200 à 250 m par exemple pour le Canal Seine-Nord Europe, dernier tracé suivi dans le nord de la France) et grande longueur qui génèrent ainsi des surfaces à traiter de plusieurs centaines ou plusieurs milliers d’hectares. Dans le mode d’approche des sites et la méthode employée, l’image renvoyée est celle d’une industrialisation du travail archéologique où les diagnostics et les fouilles s’enchaînent à vive cadence, évolution que ses détracteurs qualifient « d’archéologie de travaux publics ». Une autre caractéristique est qu’elle se pratique sur des aménagements dont les maîtres d’ouvrage sont de grands opérateurs, publics ou privés, et que les chantiers archéologiques sont réalisés avec des moyens humains et techniques souvent très supérieurs à ceux engagés ailleurs. Suivies désormais sur l’intégralité de leur parcours, les artères gazières doivent être classées dans cette catégorie, car les 210 km de l’Arc de Dierrey à cheval sur la Picardie et la Champagne-Ardenne ou les 188 km du projet Val de Saône, en Champagne-Ardenne, Bourgogne et Rhône-Alpes – soit, pour ces deux exemples, 400 à 600 ha –, leur donnent des dimensions de grands travaux5.

4À côté de ces géants, le petit tracé linéaire pourrait faire figure d’opération artisanale. Tout d’abord, les emprises sont plus modestes, en largeur (de quelques décimètres pour les réseaux urbains à plusieurs mètres) comme en longueur (de quelques mètres à quelques kilomètres). Ensuite, ces travaux sont très variés : enfouissement ou création de nouvelles lignes électriques, élargissements de routes, déviations de village, requalification ou création de voiries, rénovation de réseaux urbains (chauffage, eaux usées/adduction d’eau potable, gaz de ville, eaux pluviales). Ces opérations archéologiques correspondent bien à l’évolution de la prescription qui s’appuie de plus en plus sur une connaissance accrue des territoires et sur les zonages archéologiques qui permettent de cibler au mieux les interventions.

5Elles ont toutes un point commun : la complexité technique de leur conception et de leur mise en œuvre, qui les caractérise peut-être encore plus que leurs dimensions. Ces emprises offrent aux archéologues des fenêtres d’observation exigües, dans des conditions de travail parfois compliquées sur le plan de la sécurité et avec des calendriers encore plus contraints que sur les autres opérations. L’opération archéologique menée en 2016 à Soissons en est un exemple significatif : attention à des dizaines de réseaux actifs de toute sorte, nécessité de composer avec le stationnement et les accès des riverains, mise en sécurité de la tranchée. L’équipe de fouille a malgré tout pu répondre entièrement à la prescription de fouille portant sur deux bastions de la muraille moderne de la ville et sur un aqueduc médiéval ou moderne repéré lors du diagnostic [cf. encadré Richard Fronty]. Dans cet exemple, la complexité technique dans le déroulement n’est pas liée aux vestiges archéologiques eux-mêmes qui, dans un autre contexte, n’auraient posé aucune difficulté particulière ; elle tient strictement à l’environnement de la fouille, à ses contraintes et aux conditions d’intervention.

6On retrouve la même problématique sur le suivi d’une création de réseau d’eaux pluviales à Senlis. L’archéologue devait travailler conjointement avec l’entreprise de pose lors de l’ouverture de la tranchée, large d’environ 1 m pour une profondeur comprise entre 0,80 et 1,60 m. L’intervention s’est faite exclusivement sous chaussée et par petites sections pour limiter la gêne des riverains et aux usagers de ces rues très proches du centre-ville. À aucun moment la tranchée n’a été ouverte entièrement car les travaux de pose du tuyau intervenaient le lendemain ou le surlendemain de l’ouverture. Les résultats sont spectaculaires dans cette ville où les vestiges archéologiques affleurent sous les pavés de rue [cf. encadré Christophe Hosdez]. Mais les difficultés de mise en œuvre ont été très impactantes, ce que révèle la durée du suivi : quinze jours pour ouvrir une tranchée de cette longueur, soit moins de 10 m linéaires par jour, est un rythme particulièrement lent, imposé ici par la nature des travaux.

7On pourrait penser qu’en milieu rural, du fait de la moindre densité d’occupation, la situation est plus simple. Il n’en est rien. Les contraintes techniques restent quasi les mêmes et tout aussi fortes : dispersion et dimensions très limitées des emprises, cohabitation avec un environnement défavorable, voire dangereux. À Mortefontaine, dans l’Aisne, les travaux entrepris par le Département consistaient en un élargissement de route afin de sécuriser un carrefour routier. Un site médiéval a été découvert lors des travaux, qui ont dû être stoppés, le temps que cette bande de 7 m de largeur pour 170 m de longueur soit fouillée. Là, ce sont notamment des impératifs de sécurité des archéologues, liés à la proximité de la circulation routière maintenue sur la route, qui ont influé fortement sur la façon d’intervenir ; et cela dans un calendrier très tendu en lien avec la volonté de reprendre les travaux en urgence [cf. encadré Thierry Galmiche].

8Sur ce type d’opération, de façon récurrente, il semble que la pression des maîtres d’ouvrage sur les archéologues soit inversement proportionnelle à la surface concernée. En milieu urbain, à cause des contraintes exposées ci-dessus, comme en contexte rural, où ces aménagements présentent souvent des enjeux forts (le raccordement d’un secteur ou d’une commune à un réseau, un contournement de village, la sécurisation d’une chaussée ou d’un carrefour, une subvention bloquée ou en attente, le caractère inattendu de la prescription justement à cause de sa petite surface), ces opérations sont marquées par une grande proximité avec les aménageurs, particulièrement à deux moments de leur déroulement : dans la phase de préparation du chantier, axée principalement sur les aspects techniques, au cours de laquelle il s’agit de faire comprendre l’intervention archéologique en dédramatisant la gêne occasionnée ; puis, lors de la phase d’exécution, ponctuée de réunions de chantier régulières, avec le maître d’ouvrage, le maître d’œuvre, le coordonnateur SPS (sécurité et protection de la santé) et les intervenants divers.

9L’archéologie préventive sur les petits linéaires s’insère dans le processus d’aménagement au sens le plus strict, car elle intègre le planning général d’exécution d’un ouvrage. A posteriori, on peut remarquer que de nombreux maîtres d’ouvrage soulignent le professionnalisme et le pragmatisme des équipes archéologiques, les réunions de concertation préalables et de chantier devenant les lieux d’échanges entre corps de métiers qui ne se connaissaient pas forcément auparavant mais qui partagent un langage professionnel commun et des techniques proches.

De réels résultats

10Parallèlement à ce travail très technique, la compréhension archéologique des vestiges par le responsable d’opération doit se faire très rapidement, en lien avec le service prescripteur, et les décisions sont prises en temps réel. En effet, si le chantier doit être interrompu pour laisser aux archéologues le temps de comprendre et de fouiller ce qu’ils ont sorti du sol, il faut le décider très vite et en concertation car les incidences seront nombreuses : retard de livraison du réseau, allongement du temps d’occupation des lieux, exaspération des riverains. Les temps mis à la disposition des archéologues étant raccourcis, l’anticipation doit être forte et quotidienne, alors que la réflexion archéologique du responsable d’opération est encombrée par les contingences techniques et de sécurité, pour son équipe, les autres intervenants et les riverains. Seuls des responsables d’opération chevronnés peuvent assumer de mener de front toutes ces responsabilités et contraintes d’ordres divers.

11Par ailleurs, comme la prescription de petits linéaires se base sur une présomption forte ou sur le caractère avéré de l’existence de vestiges, l’intérêt scientifique de l’opération archéologique est assuré, le profil scientifique du responsable d’opération est facilement déterminable et seule se pose la question de l’état de conservation des vestiges. On vient là en contradiction avec l’esprit des grandes opérations, où la prescription à l’aveugle trouve comme arguments la surface et une répartition statistique des sites archéologiques.

12En cœur de ville, l’intérêt majeur est d’aborder l’histoire de la cité sous ses aspects les plus divers (morphologie et urbanisme, équipements et activités, événements marquants, vie quotidienne…) ; plus qu’ailleurs, la fidélisation d’un intervenant semble être le choix le plus pertinent car il bénéficiera de la mémoire des résultats précédents.

13En milieu rural, l’objectif est d’intégrer les données acquises pour alimenter les problématiques régionales, voire en susciter.

  • 6 Fouille réalisée en 2011 autour de la Porte de Meaux par Marion Sèvastidés, Inrap.

14Auparavant, ces opérations étaient prescrites dans les cas où l’impact destructif des travaux compromettait la compréhension ultérieure des vestiges archéologiques, en créant un « vide ». L’esprit est tout autre aujourd’hui. Identifier des vestiges, même sur de petits espaces, et connaître leur état de conservation permet d’orienter d’éventuelles futures interventions sur des surfaces voisines, et d’optimiser l’inventaire et le zonage archéologiques ; ce qui en fait un outil de décision pour prescripteurs et aménageurs. Les opérations choisies pour illustrer notre propos rentrent bien dans cette définition, avec une prescription ciblée sur des vestiges attendus, qui s’enrichit de l’expérience des opérations précédentes. La surveillance des travaux à Senlis devait permettre de localiser une voie romaine et les ouvrages fortifiés autour de la porte Bellon. Précédemment, sur une autre porte de la ville, une fouille6 avait montré le bon état de conservation des ouvrages, notamment un pont, enfouis après le déclassement de la place forte au XIXe siècle. Sur la porte Bellon, tout le dispositif est intact, y compris l’arche du pont situé en avant de la porte, et il a pu être comparé aux plans anciens. Dans une démarche patrimoniale, s’appuyant sur l’avis de l’Architecte des Bâtiments de France, le prescripteur a imposé la conservation in situ du vestige et donc la déviation de la tranchée de réseau.

15Dernier-né dans la typologie des opérations archéologiques, le petit tracé linéaire est appelé à se développer car il correspond à une vague de travaux sur l’amélioration, la rénovation, le renforcement ou l’enfouissement des réseaux de fluides ou à de petits travaux d’aménagement de faible impact au sol. Il nécessite de nouvelles adaptations et innovations de la part des archéologues car les conditions d’interventions sont très éloignées de celles développées sur les grands travaux d’aménagement qui ont marqué le territoire et la profession archéologique durant ces dernières décennies. Ce type d’opérations archéologiques a pu être efficacement mené grâce à des équipes qui avaient une solide connaissance des contextes archéologiques locaux et qui sont expérimentées, tant sur le plan technique, pour faire face à des situations complexes voire inédites, que sur le plan scientifique, puisque ces opérations requièrent une connaissance des attendus et du contexte dans lequel se fait l’intervention.

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Bibliographie

Bayard D., Buchez N., Depaepe P. (dir.), 2011, Quinze ans d’archéologie préventive sur les grands tracés linéaires en Picardie, Première partie, Revue archéologique de Picardie, n° 3/4, 340 p.

Brun P., Marcigny C., Vanmoerkerke J. (dir.), 2006, Une archéologie des réseaux locaux. Quelles surfaces étudier pour quelle représentativité  ?, Actes de la table ronde des 14 et 15 juin 2006 à Châlons-en-Champagne, Les Nouvelles de l’Archéologie, n° 104/105, 96 p.

Collectif, 2014, Panorama de la quantification de l’évolution nationale des surfaces agricoles, Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, mai 2014, 126 p., http://agriculture.gouv.fr/ministere/panorama-de-la-quantification-de-levolution-nationale-des-surfaces-agricoles.

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Notes

1 Des données chiffrées nationales sont disponibles dans le Panorama de la quantification de l’évolution nationale des surfaces agricoles, publié en 2014 par l’Observatoire national de la consommation des espaces agricoles (ONCEA) (Collectif, 2014). Sur ce sujet, la loi ALUR et celle dite « d’avenir pour l’agriculture », promulguées en 2014, encouragent une consommation raisonnée des surfaces agricoles.

2 Les statistiques réalisées en 2014 pour le diagnostic territorial de la région Picardie montrent que la surface moyenne d’un diagnostic préventif dans cette région est passée de 4 ha à environ ha entre 2003 et 2014 suivant en cela le mouvement national que souligne le Rapport d’activités 2014 de l’Inrap, avec une superficie moyenne de 3,7 ha en baisse de 1 ha par rapport à 2013.

3 L’ONCEA signale qu’entre 2000 et 2012, la consommation des terres agricoles pour l’urbanisation a tourné autour de 29 000 ha/an. 34 % des surfaces ont été consacrées au tissu urbain discontinu, 24 % aux zones industrielles et commerciales, 19 % aux chantiers de travaux publics et 10 % à l’extraction de matériaux (Collectif, 2014).

4 On peut considérer que les premières opérations sur gazoduc rentraient dans la catégorie du petit linéaire en raison de leurs dimensions restreintes.

5 Opérations mises en œuvre depuis 2012, récemment achevées ou en cours, suivant l'accord-cadre pluriannuel Inrap / GRTgaz.

6 Fouille réalisée en 2011 autour de la Porte de Meaux par Marion Sèvastidés, Inrap.

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Pour citer cet article

Référence papier

Richard Rougier, « Le petit tracé linéaire, un nouveau type d’opération archéologique »Archéopages, Hors-série 4 | 2016, 46-49.

Référence électronique

Richard Rougier, « Le petit tracé linéaire, un nouveau type d’opération archéologique »Archéopages [En ligne], Hors-série 4 | 2016, mis en ligne le 12 juillet 2022, consulté le 17 février 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/archeopages/7340 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/archeopages.7340

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Auteur

Richard Rougier

Inrap, UMR 8164 « HALMA – Histoire Archéologie Littérature des Mondes Anciens »

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Droits d’auteur

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