La question étrusque dans l’Italie fasciste
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- 1 M.-L. Haack, M. Miller (éd.), La Construction de l’étruscologie au début du xixe siècle, Bordeaux(...)
1Les journées d’étude de 2013-2015 à Amiens sur l’histoire de l’étruscologie1 ont démontré l’existence d’un nouveau champ de recherche pour les études sur les utilisations politiques de l’Antiquité : les Étrusques. L’incertitude des Anciens et des Modernes à propos de la question des origines étrusques a favorisé la production de discours idéologiques sur ce problème, particulièrement en Italie. Ces discours, élaborés par savants, artistes et écrivains, peuvent éclairer le fonctionnement du racisme et du nationalisme romano-centriste qui ont été promus pendant la dictature fasciste, et ils permettent d’étudier différemment la culture et la société italienne de cette période. En suivant ces idées, j’ai entrepris une recherche doctorale sur la question étrusque dans l’Italie de l’entre-deux-guerres.
2D’abord, il est nécessaire, tout en se focalisant sur l’Italie pendant le Ventennio fasciste, d’étudier le développement des sciences durant la période libérale de l’Italie, en particulier de l’archéologie et de l’anthropologie. Ces disciplines avaient été déjà institutionnalisées dans un contexte nationaliste bien avant la dictature fasciste, et elles avaient été influencées par des théories raciales comme la théorie « méditerranéeiste » de l’anthropologue Giuseppe Sergi (1841-1936). En même temps, il est important d’essayer de mettre en lumière les changements et les continuités dans les discours sur l’Antiquité entre fascisme et après-guerre, après la chute du régime et la recomposition politique de la société italienne : j’ai donc étudié certains discours à propos des Étrusques jusque dans les années 1950. Enfin, ce ne sont pas seulement les Italiens qui parlent des Étrusques : on trouve des savants, écrivains, artistes, hommes politiques allemands, français, anglais qui contribuent à créer un débat européen pendant le Ventennio. En ce sens, les Étrusques représentent donc une perspective à travers laquelle on peut étudier l’histoire culturelle italienne et européenne de l’entre-deux-guerres. J’utilise pour cela essentiellement des sources imprimées : il s’agit des œuvres des savants, artistes, écrivains, hommes politiques à propos des Étrusques. J’ai aussi utilisé quelques sources audiovisuelles (cinéma et Istituto LUCE) et j’ai recueilli des documents d’archive à l’Archivio Centrale dello Stato à Rome (Ministero della Pubblica Istruzione, Ministero della Cultura Popolare, Ministero dell’Interno).
Archéologie, art contemporain et nationalisme
- 2 J. Arthurs, « (Re)Presenting Roman history in Italy, 1911-1955 », in C. Norton (éd.), Nationalism (...)
- 3 G. Q. Giglioli, « Statue fittili di età arcaica », in Notizie degli scavi, 1919, 1-2-3, p. 13-37.
- 4 G. Scarpa, Colloqui con Arturo Martini, Milan, Rizzoli, 1968, p. 117 ; M. Campigli, Nuovi scrupol (...)
- 5 M. Sironi, Scritti editi e inediti, Milan, Feltrinelli, 1980.
- 6 R. Bianchi Bandinelli, « L’actualité de l’art étrusque », in Formes 8, octobre 1930, p. 5-6.
- 7 C. Anti, « Il problema dell’arte italica », Studi Etruschi IV (1930), p. 151-171.
3Pour analyser les différentes formes de valorisation nationale et raciale des Étrusques dans l’Italie fasciste nous disposons d’un point de départ : la découverte des statues du groupe d’Apollon dans les fouilles de Véies. Cette découverte, publiée en 1919, avait été réalisée pendant la première guerre mondiale par l’archéologue Giulio Quirino Giglioli, nationaliste et soldat engagé volontaire, ancien secrétaire de l’Exposition Archéologique de 1911 (une manifestation de nationalisme et du mythe de la romanità avant l’agression italienne en Libye et dans le Dodécanèse)2. En 1919, Giglioli présente les statues de Véies moins comme le résultat d’une fouille professionnelle que comme une épiphanie des divinités archaïques de la nation, présage de la victoire italienne dans la guerre3. Les statues sont ensuite exposées à Rome dans le musée de Villa Giulia, et l’Apollon devient le symbole d’un nouvel intérêt pour l’art étrusque non seulement pour les archéologues, mais aussi pour les artistes et les hommes de lettres. C’est la période du « rappel à l’ordre » dans l’art, de Valori Plastici et des novecentisti : beaucoup d’artistes qui avaient milité dans les groupes d’avant-garde recherchent, après la guerre, une esthétique classique, interprétée d’après les traditions artistiques nationales, avec l’approbation du nouveau chef de gouvernement, Mussolini. Dans ce contexte, l’art étrusque devient un modèle archaïque d’art national. Giglioli adhère au parti fasciste alors qu’il est directeur du musée de Villa Giulia, entre 1919 et 1923, et il permet au sculpteur Arturo Martini d’étudier et d’apprendre au musée à reproduire l’art étrusque, qui sera l’une des influences les plus importantes pour son art pendant tout le Ventennio. Martini et Marino Marini sont les artistes les plus connus qui proposent cet art néo-étrusque : ils gagnent des prix aux Quadriennali de Rome et ils sont appréciés par la critique. Même Massimo Campigli et Giorgio De Chirico4, dans les années 1920, visitent le musée de Villa Giulia, et Mario Sironi revendique l’inspiration étrusque pour son art mural5. Les archéologues participent à cette valorisation de l’art étrusque en écrivant dans les revues de critique d’art : c’est le cas du jeune Ranuccio Bianchi Bandinelli6. Les savants présentent l’art des Étrusques comme un art antique mais « anti-classique », opposé à la perfection esthétique de l’art grec classique, anti-intellectuel, provincial, spontané. Surtout, les archéologues et les critiques d’art intègrent cet art à l’art italique et romain, et ils théorisent une continuité ethnique et donc esthétique entre l’Antiquité, l’art toscan médiéval et de la Renaissance, jusqu’à l’art contemporain de l’Italie fasciste7.
Organisation de l’étruscologie italienne
- 8 S. Cavazza, Piccole patrie. Feste popolari tra regione e nazione durante il fascismo, Bologne, Il (...)
4En 1925 se produit un tournant décisif, avec la fondation à Florence du Comitato Permanente per l’Etruria, dépendant d’une organisation fasciste de promotion du folklore populaire et du tourisme en Toscane (l’Ente per le Attività Toscane) : c’est la base du futur Istituto di Studi Etruschi8. Cette même année, le ministère de l’instruction institue la première chaire d’étruscologie à l’Université de Rome, qui est confiée par décret à l’archéologue Alessandro Della Seta – comme Giglioli, engagé volontaire pendant la guerre et fasciste, à partir de 1919 directeur de la Scuola Archeologica Italiana di Atene. Antonio Minto, surintendant archéologique de Florence et directeur du Comitato, organise en 1926 une conférence nationale et en 1928 un congrès international d’étruscologie, avec l’approbation et l’intérêt du gouvernement. À partir de 1927 il dirige la publication de la revue annuelle Studi Etruschi. L’institutionnalisation de l’étruscologie a donc lieu pendant la période où la dictature fasciste se construit. Cette discipline a ses sièges à Florence et à Rome, mais elle organise autour de sa revue un réseau européen et interdisciplinaire de savants : archéologues, anthropologues, historiens des religions, linguistes, scientifiques. Les étruscologues italiens, qui sont en majorité « méditerranéeistes », ont quand même une caractéristique propre : ils discutent de la question des origines ethniques des Étrusques en les considérant comme une partie de la nation italienne, donc comme des autochtones ou provenant de l’Asie mineure, mais de toute façon comme des membres de la « race méditerranéenne » de Giuseppe Sergi, parlant l’une des langues méditerranéennes pré-indoeuropéennes. La thèse d’une origine septentrionale des Étrusques est minoritaire en Italie.
Régionalisme et critique de la modernité
- 9 Voir A. Soffici, « Lemmonio Boreo » in Opere, Florence, Vallecchi, 1959, vol. II, p. 25-320 (éd. (...)
- 10 Dans les années 1860 et 1870, Giosuè Carducci avait déjà utilisé l’identité ethnique étrusque pou (...)
- 11 Les principales revues de Strapaese sont : Il Selvaggio, L’Italiano, La Conquista dello Stato, Ba (...)
- 12 Cf. D.H. Lawrence, Sketches of Etruscan Places and other Italian essays, Cambridge, Cambridge Uni (...)
5Les fascistes toscans se sont intéressés à la naissance de l’étruscologie. Ce sont plus particulièrement les écrivains du mouvement politique et culturel de Strapaese qui revendiquent idéologiquement l’identité étrusque. Les écrivains futuristes toscans comme Ardengo Soffici et Giovanni Papini9, avant la guerre, avaient déjà utilisé les Étrusques pour leur idéologie régionaliste et populiste. Ils avaient inventé un mythe esthétique et politique de la Toscane alors qu’en cette période, les Étrusques figuraient dans la littérature ou le cinéma uniquement comme des ennemis des Romains ou bien comme un peuple mystérieux et étranger comparé à Rome10. Les strapaesani continuent à exprimer ce mythe de la toscanità et des Étrusques : il s’agit pour eux de défendre l’identité du fascisme squadriste, rural, provincial, contre le fascisme de la capitale, qui est en train de construire un État trop compromis avec la bourgeoisie et avec une modernité industrielle qu’ils perçoivent comme nordique, juive, matérialiste11. Les écrivains qui expriment le plus souvent cette utilisation de l’identité étrusque sont Curzio Malaparte et Vincenzo Cardarelli. Dans les mêmes années, on trouve des idées très similaires sur les Étrusques comme peuple anti-moderne dans les œuvres de D. H. Lawrence et d’Aldous Huxley, qui vivent en Toscane, qui connaissent l’étruscologie, qui visitent les sites archéologiques et qui entretiennent un rapport ambigu avec le fascisme12. Les écrits de Lawrence sont lus et commentés par les écrivains italiens, mais quand en 1938 Elio Vittorini traduit Etruscan Places, les chapitres qui critiquent le régime italien sont censurés. Dans les années 1930, Strapaese perd son importance, face à un régime plus assuré et hostile aux identités régionales, mais son idéologie populiste passe à des jeunes écrivains fascistes « de gauche » actifs à Florence, comme Romano Bilenchi, Vasco Pratolini et Vittorini.
Les Étrusques dans le débat entre racistes
- 13 M. Raspanti, « I razzismi del fascismo », in Centro Furio Jesi (éd.), La menzogna della razza. Do (...)
- 14 M. Barbanera, Ranuccio Bianchi Bandinelli: biografia ed epistolario di un grande archeologo, Mila (...)
6À partir de la moitié des années 1930 une nouvelle phase commence pour la question étrusque. L’évolution des relations entre l’Italie et l’Allemagne ouvre dans la culture italienne et dans le parti fasciste des possibilités pour les factions fascistes les plus proches du national-socialisme, avec l’approbation de Mussolini. Roberto Farinacci et Telesio Interlandi lancent le débat politique sur le racisme et l’antisémitisme en Italie, et soutiennent un art anti-moderniste, opposé aux novecentisti. Des critiques commencent à viser les Étrusques et des personnalités comme Giulio Cogni et Julius Evola gagnent une visibilité nationale. Ces deux hommes se sont formés dans les groupes irrationalistes italiens ; bien qu’ils soient très différents, ces groupes se sont généralement intéressés aux Étrusques en tant que pères de la race et de la tradition spirituelle italienne. Dans les écrits de Cogni et d’Evola, on voit la transition entre ce point de vue favorable aux Étrusques et un autre, hostile à ce peuple, d’après les théories de certains anthropologues nazis et d’Alfred Rosenberg. Rosenberg, en particulier, soutenait la thèse de l’origine orientale des Étrusques et en faisait une race inférieure, décadente, similaire aux juifs, opposée à la civilisation aryenne de Rome et responsable de la naissance de l’Église catholique. La controverse entre les différentes théories racistes débute à partir de la condamnation catholique des théories de Rosenberg, et puis avec la persécution antisémite en Italie13. La question des Étrusques divise les racistes dans cette controverse qui dure jusqu’à la chute du régime. Alors que les écrivains fascistes populistes de Florence se détachent du fascisme, parce qu’ils sont en désaccord avec les débats racistes et avec l’intervention italienne dans la guerre civile espagnole, le seul étruscologue qui prend position explicite contre le racisme est Ranuccio Bianchi Bandinelli. Il écrit des articles contre l’utilisation des méthodes racistes dans l’histoire de l’art et contre la valorisation nationaliste des Étrusques à laquelle lui-même avait contribué : c’est le début d’un parcours non-linéaire d’autocritique qui le conduira à l’antifascisme et au marxisme14.
7Au-delà de la faction anti-étrusque du racisme ésoterico-traditionnaliste et de ceux qui passent à l’antifascisme, on trouve dans la culture italienne d’autres groupes qui revendiquent encore les Étrusques dans le passé national et racial italien. Des étruscologues comme Giglioli, son élève Pallottino, Ducati et Devoto s’engagent dans la propagande fasciste et catholique de la romanità et ensuite dans la faction national-raciste, qui se méfie de l’Allemagne et qui propose une redéfinition méditerranéenne et non-aryenne du racisme italien. Ils continuent à défendre la thèse de l’autochtonie ou de la méditerranéité des Étrusques, en les intégrant avec les peuples italiques dans la romanità et dans la nation italienne. Les racistes biologiques, liés au Manifeste de la race (1938), soutiennent plutôt les idées de l’anthropologue et eugéniste Eugen Fischer à propos d’une identité indo-germanique des Étrusques. Aryaniser les Étrusques permet ainsi de les intégrer dans une race italienne d’origine nordique, mais aussi de critiquer la thèse orientaliste et anticatholique de Rosenberg, jugée inacceptable par la société italienne et par l’Église.
Après le fascisme : changements et continuités
- 15 M. Pallottino, L’origine degli Etruschi, Rome, Tumminelli, 1947, p. 106-107 et p. 130. Cf. Id., E (...)
8Le passage entre le fascisme et l’après-guerre représente une dernière phase à analyser. L’étruscologue Ducati est tué par les partisans, et Della Seta, d’origine juive, meurt sous un faux nom en essayant d’éviter la déportation des juifs. Giglioli et Anti sont les seuls poursuivis pendant l’épuration, mais ils sont acquittés et réintégrés dans l’université. Pallottino devient le savant le plus connu de la discipline, grâce à sa théorie de la « formation » ethnique du peuple étrusque qui est fondée sur l’anthropologie méditerranéiste et national-raciste des années précédentes15, et dans les années 1950 il propose une version européiste des Étrusques. Bianchi Bandinelli, au contraire, participe à la Résistance avec le parti communiste et, dans les années 1950, il continue sa critique du mythe étrusque en défendant le réalisme socialiste. Une confrontation des parcours de Pallottino et Bianchi Bandinelli permettra ainsi d’étudier les changements et les continuités des représentations de l’histoire ancienne dans la culture de l’Italie post-fasciste, en lien avec une société qui est en train de changer.
Notes
1 M.-L. Haack, M. Miller (éd.), La Construction de l’étruscologie au début du xixe siècle, Bordeaux, Ausonius, 2015 ; Id., Les Étrusques au temps du fascisme et du nazisme, Bordeaux, Ausonius, 2016 ; Id., L’Étruscologie dans l’Europe d’après-guerre, Bordeaux, Ausonius, 2017. Cf. aussi G. M. Della Fina (éd.), Gli Etruschi nella cultura e nell’immaginario del mondo moderno, Rome, Quasar, 2017. Je remercie Madame M.-L. Haack pour la correction de mon texte en français.
2 J. Arthurs, « (Re)Presenting Roman history in Italy, 1911-1955 », in C. Norton (éd.), Nationalism, historiography and the (re)construction of the past, Washington, New Academia Publishing, 2007, p. 27-41.
3 G. Q. Giglioli, « Statue fittili di età arcaica », in Notizie degli scavi, 1919, 1-2-3, p. 13-37.
4 G. Scarpa, Colloqui con Arturo Martini, Milan, Rizzoli, 1968, p. 117 ; M. Campigli, Nuovi scrupoli, Turin, Allemandi, 1995, p. 123 ; M. Pratesi, « Sulle tracce degli Etruschi: l’arte e la critica negli anni Venti e Trenta del Novecento », Prospettiva 46 (1986), p. 83. Cf. Aristonothos 11, 2016, numéro à propos du “Fascino etrusco nel primo Novecento, conversando di arti e di storia delle arti”.
5 M. Sironi, Scritti editi e inediti, Milan, Feltrinelli, 1980.
6 R. Bianchi Bandinelli, « L’actualité de l’art étrusque », in Formes 8, octobre 1930, p. 5-6.
7 C. Anti, « Il problema dell’arte italica », Studi Etruschi IV (1930), p. 151-171.
8 S. Cavazza, Piccole patrie. Feste popolari tra regione e nazione durante il fascismo, Bologne, Il Mulino, 1997. Voir Studi Etruschi I (1927), p 429-437.
9 Voir A. Soffici, « Lemmonio Boreo » in Opere, Florence, Vallecchi, 1959, vol. II, p. 25-320 (éd. originale 1912).
10 Dans les années 1860 et 1870, Giosuè Carducci avait déjà utilisé l’identité ethnique étrusque pour sa poétique nationaliste : voir L. Fournier-Finocchiaro, « ‛‘Les sublimes idéaux de notre race’ : Carducci et le mythe aryen », in A. Aramini, E. Bovo, (éd.), La Pensée de la race en Italie. Du romantisme au fascisme, Caen, Presses Universitaires de Caen, 2018, p. 57-72.
11 Les principales revues de Strapaese sont : Il Selvaggio, L’Italiano, La Conquista dello Stato, Battaglie Fasciste.
12 Cf. D.H. Lawrence, Sketches of Etruscan Places and other Italian essays, Cambridge, Cambridge University Press, 1992 (éd. originale 1932).
13 M. Raspanti, « I razzismi del fascismo », in Centro Furio Jesi (éd.), La menzogna della razza. Documenti e immagini del razzismo e dell’antisemitismo fascista, Bologne, Grafis, 1994, p. 73-89 ; F. Cassata, “La Difesa della razza”. Politica, ideologia e immagine del razzismo fascista, Turin, Einaudi, 2008.
14 M. Barbanera, Ranuccio Bianchi Bandinelli: biografia ed epistolario di un grande archeologo, Milan, Skira, 2003.
15 M. Pallottino, L’origine degli Etruschi, Rome, Tumminelli, 1947, p. 106-107 et p. 130. Cf. Id., Etruscologia, Milan, Hoepli, 1942, p. 25-27.
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Référence papier
Andrea Avalli, « La question étrusque dans l’Italie fasciste », Anabases, 29 | 2019, 360-365.
Référence électronique
Andrea Avalli, « La question étrusque dans l’Italie fasciste », Anabases [En ligne], 29 | 2019, mis en ligne le 14 avril 2021, consulté le 12 février 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/anabases/9342 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/anabases.9342
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