La correspondance bilatérale entre Alfred Loisy et Franz Cumont : brève présentation et projet d’édition
Notes de l’auteur
L’auteur travaille à l’université de Gand et voudrait remercier le Fonds voor Wetenschappelijk Onderzoek-Vlaanderen (fwo), qui finance le projet de recherche G.0126.08 sur l’origine du christianisme dans la pensée de Franz Cumont et Alfred Loisy. Elle remercie aussi Danny Praet et Corinne Bonnet pour leurs révisions précieuses de cette contribution.
Texte intégral
- 2 A. Rousselle a consacré une étude à la collaboration entre Cumont et Loisy autour de la rhlr par le (...)
1La correspondance d’Alfred Loisy (1857-1940) et de Franz Cumont (1868-1947) est un dossier exceptionnel tant par son ampleur que par la richesse de son contenu. Initiés par Aline Rousselle, les travaux éditoriaux qui sont destinés à aboutir à la publication de ces lettres ont été récemment repris par Corinne Bonnet, Danny Praet, Sarah Rey et moi-même2. Dans cette brève note, nous nous proposons de présenter sommairement la correspondance des deux grands historiens des religions et de mettre en avant sa grande valeur pour l’étude de l’histoire des religions.
- 3 Rousselle, Cumont, Loisy et la Revue, p. 580 et Bonnet, Le « Saint-Piège », p. 212.
2La correspondance de Loisy et de Cumont se déploie entre 1908 et 1940. En envoyant ses Études manichéennes à Loisy, prêtre tout récemment excommunié, c’est Cumont qui met en branle un échange épistolaire qui n’atteint sa fin qu’avec la mort de Loisy le 1er juin 1940. Le 8 mai 1908, Loisy répond à l’envoi de son collègue belge en le remerciant cordialement, mais, même si le geste de Cumont peut être interprété comme une prise de position en faveur de l’ex-prêtre moderniste3, la correspondance ne semble démarrer qu’à un an d’intervalle. En mai 1909, c’est à nouveau Cumont qui prend l’initiative lorsqu’il s’adresse à Loisy, nouveau titulaire de la chaire d’histoire des religions au Collège de France, pour le féliciter de sa nomination. Cette lettre est le vrai point de départ d’une correspondance ininterrompue.
- 4 On y conserve toute la correspondance passive de Cumont : www.academiabelgica.it, pour l’interface (...)
- 5 15 envois de Cumont et 11 de Loisy en 1911 ; idem en 1919.
3Cumont et Loisy prirent conscience de leur vivant de la valeur de leurs échanges épistolaires, de sorte que la plupart de leurs lettres a fort heureusement été conservée. Après leur mort (Loisy 1940, Cumont 1947), les lettres ont été léguées à Louis Canet (homme de formation classique, actif dans la haute administration) un ami commun qui a confié l’ensemble à la Bibliothèque nationale de France où elles sont aujourd’hui conservées, à l’exception d’un petit nombre de lettres de la main de Loisy conservées à l’Academia Belgica de Rome, dans les archives Cumont4. La longueur des lettres et des cartes postales variant de quelques mots à plusieurs pages, voici les données numériques pour ce qu’elles valent. Nous avons actuellement connaissance de 174 courriers de la main de Loisy et de 235 de la main de Cumont. Dans la courbe de fréquence, le pic se situe entre 1911 et 1920. En 1911 et en 1919, la correspondance est à l’apogée avec 26 envois par an5. Contre toute attente, le nombre d’échanges ne diminue pas pendant la Première Guerre mondiale. Un recul sensible se marque à partir de 1932. Dès lors, c’est surtout Cumont qui prend l’initiative tandis que Loisy se borne à adresser ses vœux de bonne année. Cette évolution s’explique par le déclin de la santé de Loisy. Au demeurant, le nombre plus bas de lettres de Loisy n’implique pas pour autant qu’il ait écrit moins que Cumont ; les lettres de Loisy sont, dans l’ensemble, plus longues que celles de Cumont et il apparaît qu’elles n’ont pas toutes été conservées. On pourrait mettre cette perte en rapport avec la mobilité de Cumont, grand voyageur devant l’Éternel !
4Les deux savants se sont en outre rarement rencontrés de sorte que leur correspondance a servi de plateforme de discussion et de réflexion presque exclusive. C’est pourquoi cet ensemble n’est pas seulement du plus haut intérêt scientifique, mais aussi éclairant pour les renseignements qu’il contient sur la société contemporaine. Essayons de soulever un petit coin du voile.
- 6 Cf. C. Jacob, “Le miroir des correspondances”, dans C. Bonnet – V. Krings, S’écrire et écrire sur l (...)
5La correspondance offre en premier lieu un regard unique sur la genèse de l’œuvre des deux savants. Elle constitue un instrument d’autoanalyse et d’analyse réciproque pour Loisy et Cumont qui s’efforcent d’y structurer leurs pensées6. De fait, de cette intimité intellectuelle découle une sorte de pollinisation croisée dont on suit les traces dans leur œuvre publiée. Après avoir sollicité la collaboration de Cumont à la Revue d’Histoire et de Littérature Religieuses, c’est surtout Loisy qui initialement demande conseil à Cumont sur le plan scientifique, bien que ce dernier fût de onze ans son cadet. En 1909, Loisy est en pleine réorientation. Pour contrer les adversaires de sa nomination au Collège de France, il tente de sortir des sentiers battus de l’histoire du christianisme et d’étudier la notion de sacrifice dans les religions du passé et du présent. Commençant son questionnaire par le sacrifice mithriaque, Loisy adopte d’abord une attitude ironique-modeste : « Excusez mon radotage. Vous n’êtes pas obligé de répondre à mes considérations de vieillard sans expérience », tandis qu’il aime à s’adresser à Cumont comme à « mon cher Mithra » ou « c’est vous qui êtes Mithra », rôle que Cumont accepte volontiers : « Je vous ai déjà exprimé comme Père des Pères de Mithra mon opinion. »
- 7 Discussion traitée dans Rousselle, Cumont, Loisy et la Revue, p. 591-595.
- 8 Pour les discussions épistolaires sur la méthodologie, voir D. Praet, “Les liens entre philosophie (...)
- 9 Loisy s’efforce plusieurs fois d’inviter Cumont aux entretiens de Pontigny (réunions instituées pou (...)
6Les discussions ne tardent cependant pas à rayonner et très tôt Loisy se montre un partenaire à la hauteur, qui n’a pas peur de contredire l’expert des Religions orientales dans son propre domaine scientifique. Dès 1911, les deux amis se trouvent mêlés à une intense discussion sur le rôle du haoma dans le sacrifice des mystères de Mithra7. En 1913, suit un grave désaccord sur l’introduction du taurobole dans les mystères de Cybèle. Même si Cumont déclare le 26 août 1913 : « Je ne rends pas les armes et avec une obstination diabolique je vous pousse une nouvelle bosse », la profondeur de leurs dissensions scientifiques n’arrive jamais à perturber le ton amical de leurs discussions. À maintes reprises, Loisy et Cumont arrivent à se mettre d’accord, par exemple lorsqu’ils dialoguent sur les méthodes dans le domaine de l’histoire des religions8. On apprend qu’ils sont tous les deux sceptiques à l’égard de la méthode sociologique de Durkheim, Loisy s’ouvrant pourtant plus à cette approche que Cumont9. Après la démission de Cumont de l’Université de Gand, Loisy propose à Cumont de poser sa candidature pour une chaire au Collège de France. Le 12 juillet 1911, Cumont lui répond d’une manière ironique : « Gardez-vous d’abandonner votre chaire et surtout de mourir, vous seriez remplacé par quelque sociologue fumeux qui n’enseignerait plus l’histoire des religions parce qu’il n’aurait même pas l’idée de ce qu’on entend par “histoire”. »
- 10 Les discussions se reflètent sur-le-champ dans l’œuvre de Loisy qui publie sur cette question une s (...)
- 11 Lettre de date incertaine, probablement d’octobre 1912.
7À partir de 1912, le christianisme fait son apparition dans la correspondance et les discussions sur ses origines et son développement ne quitteront plus jamais le devant de la scène. Une bonne partie des lettres traite de son interaction avec les cultes à mystères10. La figure centrale est Paul, sur la théologie duquel les deux savants aiment spéculer ; la mesure dans laquelle Paul a subi l’influence des mystères est leur point de discussion préféré. Dans ce contexte, les rôles initiaux sont inversés, si bien que Cumont prend le plus souvent la position du questionneur : « Je me suis demandé si l’Épître aux Romains ne ferait pas allusion à la loi païenne de la mort, mais je n’en dirai rien avant d’avoir lu votre article sur St. Paul et les mystères11. » Bien que leurs opinions divergent dans le détail, les deux savants sont d’accord dans les grandes lignes sur cette filiation religieuse. Cela ressort bien de la lettre de Cumont de juin 1913 : « Cher ami, vous avez bien raison. Le christianisme n’a pas imité les mystères, il a prétendu les dépasser. Il n’y a pas eu reproduction mais transposition. » Étant donné que Cumont ne se déclare que rarement sur l’influence des mystères païens sur le christianisme dans son œuvre, ce passage illustre parfaitement la manière dont les lettres éclairent la pensée intime des deux savants.
8Observant en détail l’évolution de leurs domaines scientifiques, les savants nous fournissent aussi une riche documentation sur la réception des œuvres contemporaines. Dans la discussion sur le christianisme et les cultes à mystères, ce sont surtout les membres de l’école dite religionsgeschichtlich qui retiennent leur attention. Les livres de W. Bousset, C. Clemen ou R. Reitzenstein sont tous passés en revue. En 1913, Cumont signale entre autres la publication du livre de Clemen, Der Einfluss der Mysterienreligionen auf das älteste Christentum, livre que Loisy qualifie impitoyablement de « théologique » dans sa lettre du 8 juin 1913 : « Clemen est très instruit, et d’une science très exacte, mais il est théologien. Et la seule différence ente les théologiens protestants et les théologiens catholiques, – me disait jadis un abbé de mes amis qui n’était point sot –, c’est que les premiers croient mordicus à un petit nombre de choses, tandis que les seconds croient à beaucoup de choses, mais moins âprement. » Pour ces amis, qui se considérèrent mutuellement comme des savants indépendants, la question de la neutralité confessionnelle est en effet de la plus haute importance. Parmi les publications dont ils discutent, on signalera encore celles d’A. von Harnack, de J. Toutain, ou « la redoutable polygraphie de M. Reinach », objet de risée favori de Loisy.
9Mais la correspondance Cumont – Loisy ne s’en tient pas à cela. Le manichéisme, la gnose, le mandéisme, et encore les implications des découvertes archéologiques faites par Cumont à Doura, des questions plus abstraites comme la définition du concept de « religion » et son rôle dans la société – sujet abordé dans les Petits livres rouges dont Cumont suit si attentivement la publication –, la discussion sur la théorie du « Christ mythe » dans l’exégèse contemporaine : toutes les questions possibles et imaginables sont discutées dans leurs lettres, même si les deux savants aboutissent parfois à des apories, concluant comme le fait Loisy dans la lettre du 23 juillet 1911 : « Il me paraît de plus en plus que nous marchons tous à tâtons dans cette forêt (d’ailleurs si peu vierge !) de l’histoire des religions. »
- 12 Ceffonds est une petite commune française située dans le département de la Haute-Marne et dans la r (...)
10La correspondance est simultanément un miroir de la société contemporaine dont Cumont et Loisy dissertent de manière détaillée, en particulier des évolutions politico-sociales, militaires et religieuses. À partir de 1914, ce sont en effet les réflexions sur la Première Guerre mondiale qui occupent le devant de la scène. Les savants s’entretiennent sur les démarches politiques et stratégiques, tout en analysant de manière visionnaire leurs conséquences futures pour l’Europe. Ainsi Cumont constate le 24 septembre 1915 : « La guerre se propage au lieu de se circonscrire et les dévastations se font plus atroces. C’est évidemment un remède radical à la surpopulation mais aussi le suicide de l’Europe. L’Amérique sera le tertius gaudens, appelé à recueillir les fruits de notre labeur passé. » Par ailleurs, l’ingérence de l’Église catholique dans les affaires militaires entre régulièrement en ligne de compte alors qu’ils constatent toujours avec grande indignation l’impuissance de l’institution face aux crises contemporaines. Ils exposent en outre l’impact très réel de la guerre sur leur propre vie. C’est ainsi que, dans la lettre de Loisy du 11 juillet 1916 il décrit la manière dont il a retrouvé sa maison à Ceffonds12, confisquée par l’armée, après une période d’absence : « Ce qu’ils m’ont laissé de plus pittoresque est l’armature du poulailler transformé en prison. »
- 13 L’indifférence de Loisy s’explique par la maladie de sa sœur qu’il perdra peu après. Pour le modern (...)
11Pour l’histoire de l’Église dans la première moitié du xxe siècle, ces lettres sont une mine. Passant la plupart de son temps dans la Ville Éternelle, Cumont est mieux placé que personne pour renseigner son ami sur les tribulations de la Curie romaine. Loisy reçoit avidement ces informations ; à cœur ouvert ils évaluent les positions du Vatican : les faits et gestes de Merry del Val et d’autres dignitaires ecclésiastiques, les « exploits » de Pie X, Benoît XV et Pie XI, mais aussi le catholicisme italien, passé au crible dans la lettre de Cumont du 3 mai 1913 : « Même quand il pratique, l’italien ou du moins le romain est médiocrement croyant : il voit de trop près le côté “boutique” du Vatican. » Avec beaucoup de répugnance, ils suivent en outre les séquelles du modernisme et l’impact de l’antimodernisme sur la recherche libre13 : la condamnation de Louis Duchesne, l’excommunication d’Ernesto Buonaiuti et la mise à l’Index des livres de Loisy, laconiquement commentée par lui-même le 21 juillet 1932 : « Tout cela me laisse assez froid. »
- 14 G. Maheut, « Les dernières années d’Alfred Loisy à Ceffonds », article à consulter en ligne, http:/ (...)
- 15 Voir le petit volume qu’a écrit Cumont sur la Marquise : F. Cumont, “La marquise Arconati-Visconti (...)
12Ajoutons en conclusion que la valeur de ce dossier réside aussi dans le fait que les deux amis abandonnent souvent le décorum scientifique pour révéler leur pensée la plus intime. En 1913, Cumont, homme de caractère réservé, avoue à Loisy : « J’ai traversé, comme bien d’autres, une crise morale qui fut assez cruelle à un jeune homme de vingt ans, affamé de certitude. » L’idée qu’on se forme de Loisy, en le lisant, n’est pas du tout celle de « Loisy-le-Sec14 ». Vers la fin de leur correspondance, ces amis se mettent tellement à nu que le lecteur se sent presque comme un intrus. Avançant en âge, ils se confient l’un l’autre leurs chagrins causés par la perte d’êtres chers. En 1923, Loisy et Cumont perdent une amie commune, estimée, dont il est souvent question dans leurs lettres, la Marquise Arconati Visconti15. En 1932, Loisy fait part de la mort de sa sœur : « Ma sœur était une femme intelligente et de grand caractère, presque une sainte et qui a connu de terribles épreuves. Jamais, dans toutes mes difficultés, elle ne m’a dit un mot qui pût me faire de la peine. […] Jamais je n’avais pensé que je pourrais lui survivre. »
13Le 8 janvier 1940, Loisy écrit sa dernière lettre à Cumont ; c’est une ode à leurs échanges scientifiques et à leurs contemplations personnelles, c’est aussi la fin touchante de leur amitié inébranlable : « Et donc, réglant tous mes comptes, je suis à vous dire le prix que j’ai toujours attaché à votre amitié, et je m’engage à mourir dans ce sentiment. » Transcendant toute forme de superficialité, la correspondance de Cumont et Loisy – nous espérons l’avoir suffisamment fait ressortir – est un trésor historique que nous espérons révéler dans un avenir proche au public dans son intégralité.
Notes
2 A. Rousselle a consacré une étude à la collaboration entre Cumont et Loisy autour de la rhlr par le biais de la correspondance, tandis que C. Bonnet a envisagé leurs échanges dans le cadre de la crise moderniste, très présente dans les lettres : A. Rousselle, “Cumont, Loisy et la Revue d’histoire et de littérature religieuse”, MEFRIM 111 (1999), p. 577-598 et C. Bonnet, “Le ‘Saint-Piège’ : les milieux romains dans la correspondance de Franz Cumont, en particulier avec Alfred Loisy”, dans F. Laplanche – C. Langlois (éd.), Alfred Loisy cent ans après. Autour d’un petit livre, Turnhout, 2007, p. 211-224. La correspondance Loisy-Cumont sera publiée dans le cadre de la Bibliotheca Cumontiana, projet international de réédition de l’œuvre publiée et inédite de Franz Cumont.
3 Rousselle, Cumont, Loisy et la Revue, p. 580 et Bonnet, Le « Saint-Piège », p. 212.
4 On y conserve toute la correspondance passive de Cumont : www.academiabelgica.it, pour l’interface de consultation de la base de données (C. Bonnet).
5 15 envois de Cumont et 11 de Loisy en 1911 ; idem en 1919.
6 Cf. C. Jacob, “Le miroir des correspondances”, dans C. Bonnet – V. Krings, S’écrire et écrire sur l’Antiquité, Grenoble, 2008, p. 7-15.
7 Discussion traitée dans Rousselle, Cumont, Loisy et la Revue, p. 591-595.
8 Pour les discussions épistolaires sur la méthodologie, voir D. Praet, “Les liens entre philosophie et religion dans quelques Scripta Minora de Franz Cumont”, suppl. 1 (2010), p. 97-110, Mythos. Rivista della storia delle religioni.
9 Loisy s’efforce plusieurs fois d’inviter Cumont aux entretiens de Pontigny (réunions instituées pour étudier les évolutions intellectuelles comme les méthodes en histoire des religions), mais toujours en vain : Rousselle, Cumont, Loisy et la Revue, p. 584-586.
10 Les discussions se reflètent sur-le-champ dans l’œuvre de Loisy qui publie sur cette question une série d’articles dans la rhlr entre 1913-14, réunis dans le livre Les mystères païens et le mystère chrétien, Paris, 1919.
11 Lettre de date incertaine, probablement d’octobre 1912.
12 Ceffonds est une petite commune française située dans le département de la Haute-Marne et dans la région Champagne-Ardenne.
13 L’indifférence de Loisy s’explique par la maladie de sa sœur qu’il perdra peu après. Pour le modernisme voir Bonnet, Le « Saint-Piège » et les actes du Colloque (3-5 juin 2010) : C. Bonnet – D. Praet et alii (éd.), Science, politique et religion à l’époque de la crise moderniste, Rome-Bruxelles, à paraître en 2011. Dans ces actes, sera publiée une étude sur la correspondance Loisy- Cumont : A. Lannoy, « Le Congrès d’histoire du christianisme : Franz Cumont et Alfred Loisy face aux visages divers de l’histoire des religions indépendante ».
14 G. Maheut, « Les dernières années d’Alfred Loisy à Ceffonds », article à consulter en ligne, http:// alfred.loisy.free.fr/pdf/maheut_cassettes.pdf (site consulté le 13 octobre 2010), p. 2.
15 Voir le petit volume qu’a écrit Cumont sur la Marquise : F. Cumont, “La marquise Arconati-Visconti (1840-1923). Quelques souvenirs”, Gasebeca 7 (1978), p. 5-41.
Haut de pagePour citer cet article
Référence papier
Annelies Lannoy, « La correspondance bilatérale entre Alfred Loisy et Franz Cumont : brève présentation et projet d’édition », Anabases, 13 | 2011, 261-265.
Référence électronique
Annelies Lannoy, « La correspondance bilatérale entre Alfred Loisy et Franz Cumont : brève présentation et projet d’édition », Anabases [En ligne], 13 | 2011, mis en ligne le 01 mars 2014, consulté le 24 mars 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/anabases/1894 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/anabases.1894
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