« Un terme mal interprété peut être la source de grandes erreurs », notait Fustel de Coulanges à la fin du xixe siècle, qui tenait par ailleurs un discours de la méthode historique composé de trois règles à même de s’en garantir : « étudier directement et uniquement les textes dans le plus minutieux détail, ne croire que ce qu’ils démontrent, écarter résolument de l’histoire du passé les idées modernes qu’une fausse méthode y a apportées ». La méprise sur le sens d’un mot peut causer de graves dommages à l’historiographie ; ainsi, du débat sur l’interprétation de la prétendue « prophétie » de Hitler, qui pâtit gravement de la lecture, anachronique et superficielle, du discours du 30 janvier 1939.
« Si la Juiverie financière internationale en Europe et au dehors devait réussir une fois de plus à plonger les peuples dans une guerre mondiale, alors le résultat en sera, non une bolchevisation du globe, et donc la victoire de la Juiverie, mais l’Extermination [Vernichtung] de la race juiv...