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« Faire la paix » : approches pluridisciplinaires sur les processus de pacification et de réconciliation

Die Rolle Kurmainzer Diplomaten beim Frieden von Rijswijk 1697

Sven Dittmar
p. 333-348

Résumés

La guerre de la Ligue d’Augsbourg, qui s’est terminée par la paix de Ryswick, a durablement dévasté l’archevêché de Mayence, géographiquement exposé. Les destructions françaises, notamment dans le Palatinat voisin, ont marqué à long terme l’image de l’« ennemi héréditaire » français. L’article s’interroge sur les conséquences de ces destructions de guerre sur le processus de conclusion de la paix à travers l’exemple de la diplomatie de l’Électorat de Mayence lors du Congrès de la paix de Ryswick. Outre le rôle d’éventuels ressentiments contre l’adversaire et les propres alliés (protestants) liés à l’expérience vécue pendant la guerre, l’accent est mis en particulier sur l’importance de la situation stratégique exposée de l’archevêché, de la confession et du rapprochement par phases avec la France pour le positionnement de l’Électorat de Mayence. Pour imposer ses intérêts et ses idées, le prince électeur Lothar Franz von Schönborn, en plus de ses diplomates expérimentés Wolf Philipp von Schrottenberg, Melchior Friedrich von Schönborn et Ignaz Anton Otten, pouvait, en tant qu’archichancelier de l’Empire, user de son influence, notamment sur les diplomates des États de l’Empire à Ryswick, grâce à ses droits de directeur de la diète.

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Extrait du texte

Ce document sera publié en ligne en texte intégral en décembre 2025.

Plan

Die Lage des Mainzer Erzstifts
Der Beginn der Friedensverhandlungen
Die Durchsetzung der Mainzer Direktorialrechte
Die ‚Rijswijker Klausel‘
Fazit

Aperçu du texte

Wohl kaum ein Krieg der Vormoderne belastete die deutsch-französischen Beziehungen langfristig derart wie der auch als Pfälzischer/Orleanscher Erbfolgekrieg beziehungsweise Krieg der Augsburger/Großen Allianz bezeichnete Neunjährige Krieg (1688-1697). Als Kriegsgrund machte die französische Krone gegen den durch den Großen Türkenkrieg (1683-1699) gebundenen Kaiser und das Reich Erbansprüche in der Pfalz geltend. Zwar hatte Liselotte von der Pfalz bei ihrer Heirat mit dem Bruder Ludwigs XIV., Philipp von Orléans, auf mögliche territoriale Erbansprüche ausdrücklich verzichtet, allerdings blieb das Allodialerbe davon ausgenommen. So bot sich nach dem Tod des kurfürstlichen Bruders Liselottes, Karl II., im Jahre 1685 für Ludwig XIV. die Chance, im Namen Philipps und im Sinne der Reunionspolitik das seiner Schwägerin verweigerte Erbe einzufordern. Als eigentliche Motivation gilt unter anderem das Ansinnen des Sonnenkönigs, die im Regensburger Stillstand aus dem Jahre 1684 erreichte Billi...

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Pour citer cet article

Référence papier

Sven Dittmar, « Die Rolle Kurmainzer Diplomaten beim Frieden von Rijswijk 1697 »Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande, 56-2 | 2024, 333-348.

Référence électronique

Sven Dittmar, « Die Rolle Kurmainzer Diplomaten beim Frieden von Rijswijk 1697 »Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande [En ligne], 56-2 | 2024, mis en ligne le 04 décembre 2025, consulté le 09 février 2025. URL : http://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/allemagne/4100 ; DOI : https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/1314u

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Auteur

Sven Dittmar

Wissenschaftlicher Mitarbeiter, Arbeitsbereich Neuere Geschichte (Prof. Dr. Matthias Schnettger), Historisches Seminar, Johannes Gutenberg-Universität Mainz

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Droits d’auteur

Le texte et les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés), sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.

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